Derniers Avis : Cent mille dollars au soleil - Page 5

Parfaitement mis en scène par Henri Verneuil voici un grand classique du cinéma à posséder à tout prix. Paysages superbes, musiques grandioses, dialogues savoureux, courses-poursuites haletantes, casting 4 étoiles. On est captivé du début à la fin, un bon moment de cinéma.

Un film absolument fabuleux qui mérite le détour ne serait ce que pour son casting et ses dialogues fabuleux, signée Michel Audiard !

Voilà un très grand classique des années soixante, parfaitement réussi par l'un des meilleurs réalisateurs de sa génération, Monsieur Henri Verneuil. L'action et l'humour sont au rendez-vous avec un Lino Venture en pleine forme et un Belmondo émoustillant. On ne saurait oublier les principaux seconds rôles, Bernard Blier aux propos décapants et sa verve habituelle, Gert Froebe, inoubliable avec son accent allemand maternel et un rôle qui ne peut laisser indifférent, et enfin, dans une moindre mesure, Reginald Kernan dans le rôle de l'intrigant qui ne vient pas conduire un camion pour sucer des caramels. Les dialogues d'Audiard font mouche une fois de plus. Les dialoguistes d'aujourd'hui feraient bien de s'en inspirer.

Un excellent "road-movie" à la française, avec un casting incroyable et une réalisation forte. Les paysages marocains sont filmés avec un brio inégalable. Les dialogues sont quant à eux tout simplement fantastiques. L'une des plus brillantes histoires de course-poursuite du cinéma.

Sorte de "road-movie" français avec d'excellent acteurs et bien sur les géniaux dialogues de monsieur Audiard.

Quel plaisir de retrouver dans un même film Belmondo, Ventura et Blier ... Avec en plus les dialogues d'Audiard qui font toujours mouche, on passe un excellent moment à suivre cette course poursuite dans le désert.

Une brochette d'acteurs épatants et des dialogues aux petits oignons,une aventure à travers le désert amusante et plaisante à suivre.

une course poursuite dans le désert aux répliques grandioses et casting élogieux !!!

Henry Verneuil a signé avec CENT MILLE DOLLARS AU SOLEIL l’un des plus cultes des films d’aventures français. Ce qui fit sa renommée, ce ne sont ni son scénario relativement simple ni la belle qualité de l’imagerie en noir et blanc mais incontestablement les performances de Belmondo, Ventura et Blier qui sont tous les trois aussi irrésistibles quand ils s’échangent les dialogues rédigés par un Michel Audiard en pleine forme. Quoi qu’il en soit, les course-poursuites à travers le désert saharien et la bagarre finale sont de grands moments spectaculaires qui resteront gravés dans l’histoire du cinéma populaire hexagonal.

Grand divertissement populaire mené par de très bons acteurs,on passe un très bon moment devant ce très bon film,avec une très bonnes fin. Je mettrais à ce film un 16,25/20.

Fut un temps où le cinéma français n'avait pas peur de faire des films d'aventures cocoricos plutôt que d'imiter grossièrement le modèle américain. "Cent Mille Dollars au Soleil" en est un parfait exemple, film d'aventures franchouillard qui ne s'excuse jamais de son audace et qui a un demi-siècle d'avance sur la plupart des films français du même genre qui sortent aujourd'hui.

"Cent mille dollars au soleil" nous rappel que l'on peut faire des bons films sans trop se prendre la tête. A condition, comme ici, d'y mettre une grosse pincée d'humour.

Quel plaisir de voir Belmondo et Ventura, si drôle, dynamique et charismatique dans un film d'aventure taillé pour eux. Certes, l'intrigue reste simple mais c'est justement ce point qui fait tout le charme de ce film, sublimé par des acteurs formidables qui restent gravés dans la mémoire collective et qui ne trouvent toujours pas d'égal de nos jours. De plus, le côté aventurier du film est totalement réussi, fait de courses poursuites poussiéreuses et de bagarres cultes. Bref, malgré la cinquantaine d'année qui nous sépare de sa sortie, ce film reste un modèle du genre et nous fait profiter de la belle époque du cinéma des années 60, simple, divertissant et hilarant grâce aux dialogues inégalables de Michel Audiard et ses acteurs cultissime. Respect à Monsieur Belmondo et Ventura qui nous feront toujours rire. Quel nostalgie!
Pour finir, certains critiques et chicaneurs professionnels pourront reprocher la simplicité du film ainsi que son côté colonialiste mais s'il vous plaît, sachez appréciez ces films à l'ancienne qui ne sont évidemment pas à prendre au sérieux!

Quelques fois, Arté l'après midi a du bon, surtout lorsque passe ce genre de film d'hommes, de poussière, de bagarres, de courses poursuites et d'alcool: bref un vrai "western moderne". Le casting est en or, le scénario se tient (même si la fin est prévisible et presque plate), et surtout les dialogues d'Audiart.... C'est le genre de film dont les répliques deviennent culte, que les bandes de copains aiment a se les répéter, encore et encore, sans jamais sans lasser. Avec son humour en fil rouge et ses courses poursuites en camion, le film est divertissant; reste cependant son coté colonialiste largement assumé...

Ce tout mauvais film signé Henri Verneuil apporte la preuve qu'à un moment ou un autre chacun est capable du pire. A commencer par le réalisateur, également auteur de Mélodie en sous-sol ou de Un singe en hiver, qui n'est ici qu'au service exclusif de Belmondo, en crétin arrogant tel que l'aimait le public de l'époque. Mais aussi les acteurs, au premier rang desquels Lino Ventura en faire valoir ridicule du précédent ou Bernard Blier qui se caricature lui-même. Et comme si cela ne suffisait pas, la photo en noir et blanc (sublime pour certains !...) qui passe à côté des coloris du Sud marocain, la bande son(faut-il parler de musique ?) signé Georges Delerue, généralement mieux inspiré (exemple, Dien Bien Phu) viennent encore aggraver les dégâts. Mais la palme (d'or ?) revient, sans la moindre hésitation, au racisme qui baigne l'ensemble du film, traversé par des "indigènes" montés sur des bourricots, des femmes pliées sous des charges démesurées et à chaque instant des Marocains traités comme des esclaves par des européens d'essence supérieure (Belmondo ?!!!). La preuve que le public des années soixante n'était vraiment pas exigeant.