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SB88
14 abonnés
1 019 critiques
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3,5
Publiée le 20 décembre 2022
À la fois innovant, caricatural du ridicule du duc (en attendant que Louis XV grandisse au lieu de faire des cartes de France), film souvent vulgaire et très (trop ?) bavard. spoiler: On y voit à quel point les préoccupations du duc libidineux et pédophile sont loin des réalités du peuple. Au final, ce n'est pas si drôle à notre époque et ce duc certes gentil est insupportable. 3,4/5
Film sans intérêt qui a énormément vieilli. On ne comprend pas quelle est l’histoire et les scènes qui se veulent érotiques sont tellement peu crédibles. Bref, fouillis et confus à mon gout mais je me suis arrêté au bout d’une heure.
Si tu dormais en classe lors des cours d’histoire, tu peux dormir aussi devant ce film. Par contre, si tu veux voir une reconstitution historique ouvre grand les yeux.
Que la Fête commence est trop scolaire à mon goût, car Tavernier ne choisit pas de faire l’intrigue la pièce maîtresse de son film : ce sont les personnages qui sont le moteur. Tavernier avait même pensé intitulé le film Le libéral, le cynique, l'idéaliste et la putain. Heureusement qu’il ne l’a pas pris car ici les personnages ne sont pas tout à la fois contrairement au film de Leone. Bertrand Tavernier est un brosseur de portrait, ce sont les personnages qui portent le film au travers des acteurs et des dialogues. Ce long métrage demande à être revu rien que pour ces paroles.
Trop scolaire à mon goût, car le film montre trop de détail dont on pourrait se passer comme par exemple l’histoire des seaux ou de la carte de France. Le réalisateur aurait pu gagner du temps mais on voit qu'il veut montrer qu’il a potassé pour faire ce film. Il insère ces scènes inutiles dans des plans séquences qui vont jouer aussi sur le champ et le hors champ. Ces jeux avec la caméra ne sont pas suffisants pour faire un film de cinéma. Ces plans séquences sont en opposition avec certaines scènes très ou trop théâtralisées. Ces plans séquences vont donc apporter un certain dynamisme et une tension, notamment quand la caméra est porté à l'épaule (mention au cameraman).
A noter que la musique du film, c’est celle composée par le protagoniste principal du film, le Régent.
Ma scène préférée : la séquence finale, car c’est là que la petite histoire rentre dans la grande histoire.
Un divertissement sympathique et original. De plus un cours d'histoire de France plus vivant que dans les manuels... certes un peu romancé, voire osé, mais bon, c'est ça le cinéma !
Malgré mon grand respect pour le Tavernier cinéphile et réalisateur, j'ai été déçu par le coté désordonné et irréaliste du film, autant dans les scènes grivoises peu cohérentes que par la teneur des dialogues. Heureusement reste des acteurs de grand talent iconiques des années 70.
Au risque de déplaire aux critiques précédentes j'ai trouvé le film confus dans sa narration et manquant totalement de souffle. La réalisation est laborieuse avec Noiret, Rochefort et Marielle qui cabotinent à tout va. La photo est vraiment quelconque. Les plans relevent plus du film amateur quand on pense que le chef d'oeuvre Barry Lyndon à été réalisé à la même époque.
Sous couvert de brosser une grande fresque historique de la régence de Philippe d’Orléans, Que la Fête commence est un navrant condensé de dérives soixante-huitardes. On y trouvera, pêle-mêle, un éloge de l’ivrognerie, de la vulgarité, de la prostitution, de la branlette, de la partouze et même… du viol. Cinéphiles s’abstenir !