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denis vieille
22 critiques
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4,0
Publiée le 16 mars 2024
ce film fait partie de ceux que j'apprècie parce que le cinéma est avant tout pour moi un moyen de me détendre sans me prendre la tête mais sans pour autant tomber dans l'humour trop lourd . c'est ce que j'ai trouvé dans cette histoire qui met en relief des comportement excessifs qui peuvent être ceux qu'on peut rencontrer dans la vie courante
Un film super sympa qui suit le premier ! Il est drôle est le style d'humour reste le même ! Je conseille de voir "un éléphant ça trompe énormément" avant lui !
« Nous irons tous au paradis » de Yves Robert (1977) reprend les 4 personnages du film « Un éléphant ça trompe énormément » sorti en 1976 : Étienne (Jean Rochefort), Daniel (Claude Brasseur), Boulifet dit « Bouly » (Victor Lanoux) et Simon (Guy Bedos) avec l’inoubliable scène de la superbe maison avec un terrain de tennis achetée pendant une grève des aéroports ! Etienne qui n’est pas insensible au charme de sa collaboratrice, est cette fois persuadé que sa femme (Danièle Delorme) le trompe suite à la découverte d’une photo qui se révélera être une photo prise lors d’une répétition d’une pièce de théâtre… même si. Daniel dont l’homosexualité avait été révélée à la fin du précédent film, va a priori se marier avec sa patronne d'âge mûr mais … Bouly compose avec sa nouvelle fiancée, son ex-femme et tous les enfants qu’il garde. Quant à Simon, il est toujours sous l’emprise de sa mère (Marthe Villalonga) qui ne veut absolument pas voir sa petite amie avec une superbe scène de jalousie dans le couloir de l’hôpital où Simon travaille. Dans ce film ces 4 amis pourtant inséparables font se fâcher après une sévère engueulade sur le terrain de tennis de leur maison et c’est la mort de la mère de Simon qui va les réconcilier à jamais. Un film de la même teneur que le précèdent, toujours commenté en voix off par Étienne avec un décalage intéressant entre ce qui est dit et la réalité. Ce film aura le même succès auprès du public (plus de 2 millions d’entrées) au point que Yves Robert avait envisagé un troisième volet des aventures de ces 4 quadragénaires mais Jean Rochefort refusa de se laisser enfermé dans ce personnage. Une comédie culte baignée par la musique de Vladimir Cosma, à voir et à revoir !
Une suite plus mélancolique mais toujours aussi savoureuse et pleine de tendresse, avec toujours les dialogues irrésistibles de Dabadie et un quatuor de comédiens aussi complice qu'attachant
"Nous irons tous au paradis" dépasse en qualité le premier opus des ces quadragénaires des années 70. Les situations sont plus cocasses et un peu plus drôles. La scène avec un inconnu costaud (Jean-pierre Castaldi) et Jean Rochefort coincé dans sa voiture est mémorable et reste dans nos mémoires. Claude Brasseur prend un peu plus d'importance, ceci donne un vrai intérêt au film. La voix Off de Jean Rochefort avec son ton décalé est succulente et contribue au rythme du film. A noter dans les petits rôles, Josiane Balasko à ses débuts. Merci Yves Robert pour cette belle conclusion
je suis toujours aussi enthousiaste qu'a près le premier volet "un éléphant ça trompe énormément". faire une suite après un film qui a été très bon et apprécié, c'est toujours très délicat. ce deuxième opus est du même acabit que le premier ce qui est exceptionnel. les auteurs ont su se renouveler en gardant les mêmes personnages principaux a travers une histoire toujours aussi mouvementée et déjantée auxquels quelques nouveaux personnages sont venus ajouter du piquant. Chapeau !
Une suite moins bonne même si on a plaisir à retrouver les copains de toujours. Quelques situations vraiment bonne avec quelques longueurs . La France des années 70 nostalgie quand tu nous tiens
La malédiction des suites, nouvel épisode...ou plutôt l'illustration de la volonté des producteurs de réitérer un succès sans grande prise de risque... Moins amusant, moins fluide, moins réussi donc que le premier volet, celui-ci n'en demeure pas moins plaisant par son casting, quelques trouvailles scénaristiques caustiques et une tonalité plus cynique sur les relations humaines. Sympathique mais rapidement oublié.
Suivre à nouveau les aléas de la vie de cette bande de copains est un plaisir renouvelé avec cette suite aux mêmes composants que « un Eléphant... ». Les dialogues de Jean-Loup Dabadie sont toujours aussi drôles et fins. Marthe Villalonga est une fois de plus exquise dans son rôle de mère envahissante et spoiler: son décès ajoute une petite touche de gravité en plus.
Réalisée par Yves Robert en 1977, il s’agit de la suite de « Un éléphant ça trompe énormément » sorti l’année précédente. On y retrouve Jean Rochefort, Claude Brasseur, Victor Lanoux et Guy Bedos qui prolongent leurs aventures amicales et leurs déboires sentimentaux. Le résultat reste globalement satisfaisant tant les dialogues et les interprétations sont justes. Marthe Villalonga, en mère possessive, est toujours aussi hilarante et Danièle Delorme, en épouse modèle, toujours aussi gracieuse. Les clins d’œil au film « La panthère rose » et son fameux inspecteur Clouseau sont récurrents et amplifiés par la musique de Vladimir Cosma. Bref, un gros succès auprès du public de l’époque qui permet également à Josiane Balasko d’effectuer ses premiers pas au cinéma.
On retrouve la bande de copains dans un second film dans la lignée du premier. Les thèmes de la vie, achat de bien, infidélité, la mort sont évoqués. Un second volet où on a encore le sourire servit par une interprétation de grands acteurs. Un film à voir et revoir.
Quel plaisir de voir ce quatuor impeccable , sans oublié les acteurs qui gravitent autour . L histoire et les dialogues sont bien pensés , je ne me lasse pas de le voir .
J'ai trouvé cette dernière partie du diptyque meilleure que la première. Pleine de rebondissements, d'humour, d'amitié. Beau petit film français des années 70 avec un casting toujours efficace et investi.
Suite au gros succès d’Un éléphant ça trompe énormément, Yves Robert décide de retrouver les mêmes personnages pour Nous irons tous au Paradis. Cette suite en reprend la majorité à l’exception de celui joué par Annie Duperey (bien qu’Étienne ait changé de profession) et retrouve la même ambiance. Toutefois, nous passons de la pure comédie à une comédie possédant des moments plus dramatiques pas toujours indispensables à la suite de l’intriguespoiler: (la mort de la mère de Simon) . Cet aspect et le fait que l’intrigue est plus éparpillée font ce second volet est moins prenant que le premier mais possède d’excellents passagesspoiler: (l’agression d’Étienne par l’homme qu’il soupçonne d’être l’amant de sa femme) . De plus, le film possède des apparitions de visages désormais très connus comme Josiane Balasko et surtout Jean-Pierre Castaldi. Nous irons tous au Paradis est donc une bonne suite mais moins marquante que le premier épisode.