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    Mon nom est Personne
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    363 critiques spectateurs

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    Sildenafil
    Sildenafil

    63 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2011
    Western atypique ponctué par un humour parfois un peu lourd, Mon nom est personne se regarde surtout pour ses dialogues cocasses, ses musiques originales et son charismatique duo d'acteurs Hill/Fonda.
    willyzacc
    willyzacc

    72 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2010
    Très bon western, beaucoup plus drôle que les Leone, avec deux acteurs excellents et une bande son excellente comme d'habitude (Morricone!).
    Peichan2
    Peichan2

    49 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2008
    Terence hill est un excellent acteur, le film regorge de combats du genre bud spencer et terence hill et la musique sinée par ennio morricone est devenue culte. Un bon western à voir.
    lemiwings
    lemiwings

    21 abonnés 476 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Sergio Léone est comme le roi Midas: c'est tellement un génie qu'il a réussi bà transformer T.Hill en acteur!!!!!
    yannick R.
    yannick R.

    95 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2010
    Terrible confrontation entre Terence Hill et Henry Fonda accompagné par le Maitre Ennio Morricone. Le dernier western spaghetti est un bon film mais pas un chef d'oeuvre comme ceux de Sergio Leone.
    Alolfer
    Alolfer

    86 abonnés 875 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2024
    Un Western incroyable ! Casting parfait ; réal parfaite ainsi que la musique d Ennio Morricone.... Il faut voir ce film
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 août 2010
    Classique du Western Spaghetti, le film manque cependant cruellement d'un scénario.
    janisaire
    janisaire

    76 abonnés 1 895 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 août 2010
    se film et un pur bijou un film culte que je conseil
    teofoot29
    teofoot29

    68 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2010
    la musique inoubliable d'Ennio Morricone est un des ingrédients essentiels de cette réussite. Ce western spaguetti rempli d'humour nous offre un duo Terence Hill (plein de charme et très drôle) et Henry Fonda excellent. Du grand art.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2009
    «Il mio nome è Nessuno» (Italie/USA, 1973) de Tonino Valerii n’est pas qu’un film qui se termine sur l’image fixe d’un doigt dans le cul. Ce plan, d’une vulgarité similaire à celle d’un homme qui marche de plein pied dans une crotte de cheval dans «There was a crooked man», et que conserve indubitablement le spectateur en fin de séance, ne doit pas voiler le ressort plaisant du film. Scénarisé en partie par Sergio Leone, et occasionnellement mis en scène par lui, ce «western spaghetti» répond à «Giù la testa» en en prolongeant la figure du binôme. Du «western spaghetti», «…Nessuno» bascule vers le buddy movie. Un jeune inconnu, l’éponyme Personne (Terence Hill), se lance à la recherche de Jack Beauregard (Henry Fonda). Provoquant sa rencontre, il motive cette légende de l’Ouest pour affronter la Horde Sauvage, garde rapprochée composée de 150 cavaliers qui protège le meurtrier du frère de Beauregard. Homme lambda, Personne, substitut du spectateur plongé dans le film, incite une des légendes fordiennes, Fonda, à entrer dans l’Histoire. «Il mio nome è Nessuno» ne constitue rien d’autre qu’une fable d’héritage, contant l’histoire d’une passation de pouvoir, entre le vieil homme du western classique et le jeune trublion du néo-western. La distinction des deux est fortement marquée par les situations, jusqu’à l’interprétation des acteurs. Où Fonda n’entre en conflit avec les évènements que dans une élégance exemplaire, Hill emploie une gestique qui confond le western et le slapstick. La rencontre des deux générations institue le cœur de la réalisation de Valerii. Empruntant le style lyrique d’«Il Buono, il bruto, il cattivo» ou de «Once upon a time in the West» tout en développant parfois un cinéma régressif, Valerii pose les ébauches de ce qui constituera le postmodernisme. ‘Personne’, en fin d’analyse, n’est autre que Leone lui-même, ce spectateur paradoxal, adorateur des films de Ford et qui a voulu faire du cinéma pour inverser les canons du genre.
    Karim A.
    Karim A.

    40 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    2 réalisateur italiens
    un de trop qui a empêché Sergio Leone de construire un très bon film
    Les dialogues d'Henri Fonda sont 90% de la qualité du film, le reste c'est Hill qui l'apporte sans brio.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 mars 2010
    Moins sérieux que les autres westerns, ce film est quand même marqué par une magie de Leone souligné dans la lenteur de certaines scènes, notamment celle d'ouverture, et par la musique d'Ennio Morricone.
    Samuel S.
    Samuel S.

    11 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2013
    Un tres bon western spaghetti efficace et bien comique. Mention pour la musique du génie Ennio Morricone. Culte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 janvier 2010
    Un excellent western-comédie des plus réjouissants le plan final est onoubliable et la musique magistrale!!!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    En 1973, Sergio Leone qui a besoin de plus en plus de temps pour concrétiser ses ambitieux projets cinématographiques est en pleine réflexion sur « Il était une fois en Amérique » qui sera malheureusement son ultime chef d’œuvre. Il n’a donc pas le loisir, ni l’énergie ni l’autorisation contractuelle (dixit Tonino Valerii) de réaliser lui-même un film. Il décide donc de produire un western spaghetti à partir d’une idée de Sergio Donati et de son beau-frère Fulvio Morsella, proposant un parallèle avec un épisode de l’Odyssée d’Homère. La quête longue et laborieuse d’un scénariste amène à Ernesto Gastaldi après que Sergio Donati a quitté le projet . Se considérant à juste titre comme le père fondateur du western spaghetti auquel il a donné d’emblée ses lettres de noblesse, Leone supportait assez mal de voir le genre qu’il considérait comme son bébé subir le même sort que le péplum italien avant lui. Soit une dénaturation profonde conduisant jusqu’aux confins du ridicule après une surexploitation outrancière (450 spaghetti auraient été tournés). Terence Hill qui vient d’obtenir les plus gros succès commerciaux avec la saga des « Trinita » est celui qui représente par excellence à ses yeux la bouffonnerie qui s’est emparée du genre. C’est justement Hill qu’il impose comme acteur principal au côté d’Henry Fonda qui avait été le mercenaire froid et cynique d’ « Il était une fois dans l’Ouest ». Le producteur Leone confie à Tonino Valerii son assistant sur les deux premiers « Dollars » le soin de mettre en forme cette réhabilitation qui doit clore en beauté une trop longue liste. Ce sera donc une sorte de retour au classicisme imposé par celui qui avait quelques années plus tôt dynamité le western tout en contribuant à le remettre pour un temps au goût du jour Outre-Atlantique. D’un côté la tradition de l’Ouest incarnée par Henry Fonda héros fordien par excellence ayant toutefois participé à sa perversion en s’acoquinant avec Leone. De l’autre Terence Hill dit « Personne » comme Clint Eastwood était l’homme sans nom dans les « Dollars ». Le trublion victime selon Tonino Valerii du syndrome de Peter Pan, refusant de grandir, toujours à la remorque de celui dont il suit les exploits en fan absolu depuis sa plus tendre enfance. Admirateur, chose rare, devenu plus rapide que son modèle déclinant auquel Personne veut offrir une fin grandiose à la hauteur de son mythe : seul avec son fusil face à la horde sauvage. Passation de pouvoir ou comme l’a montré si bien Sam Peckinpah (un hommage sera rendu au réalisateur dans la scène du cimetière), disparition d’un mode de vie fondé sur la liberté et l’absence de règles emporté par le progrès qui avance comme le rail qui traverse désormais tout le continent ? La fin du film donnera une réponse, celle de Leone bien sûr. Entre temps, les deux hommes vont se tourner autour avec toujours en surplomb le respect indicible qui unit ceux qui dégainent plus vite que tous les autres et surtout font mouche à tous coups. Magnifiquement interprété, filmé et rythmé par une des plus percutantes partitions d’Ennio Morricone, le film alterne gags drolatiques du meilleur effet avec scènes épiques grandioses. « Mon nom est personne » porte indéniablement la patte d’un Sergio Leone qui ne s’étant pas contenté de son rôle de producteur en réalisant quelques scènes marquantes a laissé prospérer sans jamais réellement démentir, la rumeur selon laquelle le film serait le sien. Ceci au grand dam du pauvre Tonino Valerii qui a passé le reste de sa vie à justifier son réel travail. Mais Leone était un ogre et il n’est pas étonnant qu’il ait fini par dévorer celui qui sans doute à ses yeux demeurait son assistant.
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