Mon compte
    Halloween, La Nuit des masques
    Note moyenne
    3,7
    10762 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Halloween, La Nuit des masques ?

    650 critiques spectateurs

    5
    225 critiques
    4
    200 critiques
    3
    114 critiques
    2
    55 critiques
    1
    42 critiques
    0
    14 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    Le PIRE film "d'horreur" (si on peut appeler ça comme ça) que j'ai jamais vu. Une nullité incroyable, aucun scénario, il ne se passe absolument rien pendant tout le film. On se contente juste de suivre l'actrice principale suivi par Michael Myers et puis c'est tout ! Pour chaque meurtre, il faut attendre au moins 15 minutes de suspens tout ça pour en venir à une scène de mort pitoyable où le tueur se contente juste d'étrangler sa victime et puis voilà. Ouaah ça fait peuur ! Même la musique ne parvient pas à rendre ce film flippant. Franchement même en y mettant tous les efforts du monde je n'ai vraiment pas réussi à ressentir une once de peur... Encore un énième film considéré comme culte on ne sait pas comment, car à moins d'être un mouton de la critique cinéphile on ne peut prendre plaisir à regarder ce film ! Entre ce premier "Haloween" et le premier "Vendredi 13", ces deux films sont vraiment les PIRES films d'horreurs que j'ai jamais vu. Crédibilité 0 !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Terrible ! Voila du Carpenter culte, surtout avec la scène d'intro qui restera gravée dans nos mémoire. Un rythme parfait, la répétition des sons et de la musique angoissante fait planer une ambiance propre au film qui lui donne tout son cachet, et c'est ça qui est superbe. Une référence du film d'horreur !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 juillet 2010
    John Carpenter nous le prouve sur ce coup-là, pas besoin de tonnes d'hémoglobine, pour arriver à faire peur. Avec un suspens terrible et une réalisation extrêmement efficace, Halloween, La nuit des masques acquiert le statut de film d'horreur culte. Et pour très longtemps encore...
    Léa H.
    Léa H.

    30 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2014
    Modèle séminal du slasher, « Halloween » dépasse de loin cette pesante généalogie et demeure un film majeur, une trouée dans l’histoire du cinéma. Dès la première séquence (un plan séquence virtuose), le dispositif du film est posé : on se retrouve dans le regard d’un tueur anonyme qui s’apprête à passer à l’acte (de manière très freudienne) ; nous sommes ainsi à la fois témoin muet et complice de cette libération des pulsions primaires ; spectateur et acteur d’une catharsis sanglante. Le retournement final de ce plan séquence, qui nous dévoile l’identité du meurtrier, est comme une déchirure dans ce mouvement d’identification, un scandale, qui nous ramène à l’ambiguïté première du spectacle cinématographique. Celle qui, dans le même mouvement, libère et guide notre inconscient. En effet, la nature même de ce plan subjectif questionne en abime la position du spectateur, à la fois regard captif et toute-puissance scopique. Il sera décliné tout au long du film et le récit en tirera un pouvoir anxiogène rare. Qui regarde ? Somme-nous dans le subjectif du tueur ou dans un simple plan objectif ? Quasiment à chaque plan, Carpenter joue habilement avec cette double nature du cinéma qui montre tout en regardant. Aussi simple l’argument du film puisse-t-il être, cette ambivalence permanente contamine chaque image et confère au film un pouvoir de fascination et d’inquiétude qui dépasse de loin ses rebondissements narratifs. D’une façon plus ou moins consciente, « Halloween » apparaît ainsi comme l’un des films les plus théoriques existants, tout en jouant la carte d’une narration très classique, construite comme un conte de fées (la référence au croquemitaine n’est évidemment pas gratuite et nous ramène à toutes les peurs enfouies de l’enfance que le film sait convoquer). L’autre atout d’Halloween est évidemment (et c’est lié) son incroyable puissance visuelle, cette façon d’aborder l’espace cinématographique d’un geste impérial de sculpteur, ouvrant sur une véritable poétique de l’altérité. Que ce soient ces lents travellings sur une banlieue anonyme où plane le Mal (le Ca), ou dans les apparitions-disparitions d’un tueur à l’ubiquité grandissante, Carpenter, encore tout jeune cinéaste, fait preuve d’un instinct saisissant pour capter les sensations pures avec sa caméra, maniant le scope comme nul autre et donnant une viscéralité au moindre de ses cadres. L’essence de son cinéma est avant tout de l’ordre d’une évocation matérielle de l’essence des choses. Les inoubliables derniers plans du film donnent ainsi à voir, à travers la pure forme cinématographique (cadrage et montage), une véritable métaphysique du Mal, comme essence pure et libération de la conscience (du spectateur entre autre qui vit ainsi la catharsis parfaite). Ce climat onirique qui baigne le film nous ramène lui ainsi à l’inconscient que Carpenter filme ici à ciel ouvert. D’où l’effroi total dans lequel nous plonge ce chef d’œuvre.
    Shawn777
    Shawn777

    459 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2022
    J'avoue que la saga "Halloween" est celle que j'aime le moins parmi toutes les franchises de slashers. Même si je reconnais bien évidemment que celui-ci, réalisé par John Carpenter et sorti en 1978, possède d'indéniables qualités, je persiste à le trouver bon mais sans plus, étant par exemple beaucoup plus amateur de la saga "Vendredi 13". Contrairement à la croyance populaire, "Halloween" n'est pas le premier slasher ! Enfin certes, le film de Carpenter a énormément contribué à populariser le genre et les codes qui vont avec mais n'oublions pas que "Black Christmas" de Bob Clark est le premier a avoir réellement mis en place les codes du slasher. Par ailleurs, lui même inspiré de "Psychose" et du "Voyeur", ainsi que des giallos. Mais nous ne sommes pas là pour remonter l'Histoire des slashers, même si le sujet est passionnant, mais pour parler du film le plus populaire de Carpenter. L'histoire, tout le monde la connait, c'est celle de Michael Myers qui, après s'être échappé de l'hôpital psychiatrique dans lequel il était interné depuis quinze ans, se met en tête de tuer des ados et à harceler une baby-sitter répondant au nom de Laurie Strode. On a donc dans ce pitch deux des noms les plus célèbres du genre : le tueur le plus emblématique ainsi que la final girl la plus connue. Cependant, force est d'admettre que l'intrigue en elle-même n'est pas des plus palpitantes et que le film possède, à mon goût du moins, de nombreuses longueurs. Alors oui certaines critiques diront que les plans longs et "simplistes" du réalisateur en disent long sur sa capacité à créer une ambiance forte et oppressante à partir de pas grand-chose. Ce qui est vrai, du moins dans la première partie du film. On se souvient tous de Michael derrière un arbre ou derrière une haie entrain d'épier Laurie. Mais ces longs plans fixes en deviennent malgré tout au bout d'un moment plutôt lassants, surtout lorsque l'histoire commence à patiner. J'ai en effet trouvé que nous avions un gros ventre mou lorsque le film reste bloqué sur Annie. On voit alors Annie au téléphone, Annie se foutre à poil, Annie faire la lessive, Annie s'enfermer dans la buanderie, Annie engueuler sa sœur etc. Certes, la tension monte quelques fois car on ne sait jamais vraiment à quel moment Michael va frapper mais tout de même, au bout d'un moment, c'est un peu lassant et redondant. On ne peut cependant pas enlever au réalisateur le fait d'invoquer des thèmes très manichéens mais néanmoins pertinents et qui ont tout à fait leur place dans un film du genre : le bien contre le mal ; surtout en banlieue pavillonnaire qui est normalement un lieu sécurisant. Ainsi, avec ce film, Carpenter, en plus de personnifier le mal à l'état pur, fait complètement voler en éclat l'imagerie proprette de la banlieue pavillonnaire des années 50 et 60 et montrant que la menace et que le danger ne sont pas présents qu'en ville. "Halloween", premier du nom, est donc un film intéressant mais que je ne parviens pas à trouver passionnant sur la longueur.
    Lululouci
    Lululouci

    20 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2013
    Le film jouit tout d'abord d'une musique (composé par John Carpenter) très angoissante qui met en valeur les scènes les plus horrifique, il y a ensuite les acteurs qui sont absolument parfait malgré le fait que la plupart soit des débutants. John Carpenter (The Thing) signe quant à lui une remarquable mise en scène pour son troisième long métrage qui est incontestablement son meilleur film.
    A ne manquer sous aucun prétexte !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 mai 2014
    Un film qui devait être bon a l'époque... Mais aujourd'hui est vraiment très moyen. Une qualité d'image mauvaise et un son pas terrible.
    Kill-Django
    Kill-Django

    34 abonnés 319 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2011
    Le meilleur Slasher movie qu'on peut voir. John Carpenter réalise là LE film d'horreur par exellence ! Hallloween, Le Nuit des Masques est ( avec Massacre à la tronçonneuse [1974/2004 ], Halloween [ 2007 ], Vendredi 13 ) le film qu'il faut connaitre et voir par dessus tous, c'est quand même autre chose que tous c'est navets de film d'horreur qu'il y a maintenant !
    Wagnar
    Wagnar

    63 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2018
    Halloween demeure une oeuvre culte, une référence dans le cinéma d'horreur, remarquable par son atmosphère inquiétante, effrayante, très prenante, et la qualité de sa mise en scène. Un film qui sait instaurer la peur et cela sans partir dans les effets sanguinolents lassants et inutiles comme le font à tort pas mal de cinéastes de nos jours. Avec son masque pâle et son couteau de boucherie à la main, Michael Myers produit immanquablement le frisson, tout comme la musique, culte. Je ne suis pas très fan du slasher movie, mais Halloween reste pour moi une histoire d'horreur originale, fort bien maîtrisée et réalisée. John Carpenter est parti d'une histoire simple mais a donné naissance à un chef-d'oeuvre. À voir sans attendre !
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    25 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Sans aucun doute mon film d'épouvante préféré depuis mon plus jeune âge. Ce n'est pourtant pas le meilleur des films de ce genre niveau technique, mais cette histoire autour de ce personnage mystique et mythique, Michael Myers, est je pense la plus épouvantable de l'histoire du cinéma d'horreur. Et malgré les dizaines de film qui firent suite à celui-ci il reste incontestablement le meilleur de la saga.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2012
    Un très grand slasher , peut être même le meilleur , John Carpenter nous réalisé un chef d'oeuvre qui à ouvert par la suite des saga culte comme Vendredi 13 , Nightmare on elm street , Scream et bien d'autre , sans ce film il n'aurait sans doute pas eu les films cité au dessus aujourd'hui.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 septembre 2009
    Le seul et unique chef-d'oeuvre authentique de John Carpenter. Une musique culte, une réalisation avant-gardiste et un suspense constant (chose rare pour être soulignée) font de ce film le sommet d'un genre disparu.
    Valentin BRAS
    Valentin BRAS

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    Quel chef d'oeuvre absolu que ce Halloween qui posa les jalons du Slasher (même si Black Christmas était la avant). Une mise en scène grandiose et un sens de l'angoisse omniprésent font de ce troisième film de Carpenter un monument du cinéma. La musique composée par Carpenter également restera pour toujours gravé dans nos mémoires à chaque 31 octobre.
    Astrid R
    Astrid R

    19 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    Quel suspense ! Quel mystère ! Pas besoin de gore quand le réalisateur a autant de talents.
    Les acteurs sont bons.
    Le scénario ok
    La musique est formidablement montée sur les images.
    A mes yeux ce film est une merveille
    Matis H.
    Matis H.

    11 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2017
    Tournant majeur du cinéma d'horreur, « Halloween » de John Carpenter est surtout un grand film sur le Mal. Le cinéaste développe un récit en deux parties : une de jour, durant laquelle Myers repère ses victimes, puis celle de nuit où ce dernier passe à l'action. C'est donc par le biais de ce procédé, d'une simplicité alarmante, que la force de la mise en scène va pouvoir se déployer pleinement.

    « Halloween » se pose donc comme une œuvre du point de vue, et ce dès l'introduction : une scène de meurtre à la première personne, aussi virtuose que cathartique dans un premier temps, puis glaçante une fois l'identité du tueur révélée. Carpenter se jouera ainsi continuellement de nos attentes et de ce qu'il nous montre, pour mieux nous terrifier de ce qu'il nous cache, à commencer par le visage de Myers, toujours hors du cadre et qui, au moment tant attendu, se révélera être un masque absent de toute humanité ou émotion.

    C'est grâce à cette volonté d'abstraction, que Carpenter fait de « Halloween » une réflexion sur le Mal, son tueur mutique ne semblant jamais pouvoir être stoppé et étant totalement ôté de son humanité (le docteur Loomis faisant même référence à ce dernier en tant que «It » ) inscrivant ainsi le long-métrage dans une ambition conceptuelle vertigineuse.

    Toutefois, si il est capital de souligner la force thématique de « Halloween », il ne faut en aucun cas sous-estimé son axe horrifique.

    Ainsi, Carpenter fera du cadre l'élément principal de la tension, préférant jouer sur la longueur des scènes, pour mieux nous faire appréhender, l'apparition du tueur bien évidemment, mais plus pernicieusement, le lieu de son surgissement. C'est donc une parfaite maîtrise de la profondeur de champs et du cadre, qui permettent à Carpenter de rendre ses scènes si terrifiantes, n'oubliant jamais de faire apparaître et disparaître Myers, sans que ce dernier n'est fait la moindre action, afin qu'il tétanise autant par sa présence que par son absence. « Halloween » est donc une œuvre fondamentale, aussi bien pour la force de sa réflexion que par sa virtuosité formelle. Ces deux éléments gardant le spectateur en alerte, faisant de chaque encadrement de porte une source de terreur.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top