Mon compte
    eXistenZ
    Note moyenne
    3,3
    11301 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur eXistenZ ?

    412 critiques spectateurs

    5
    70 critiques
    4
    129 critiques
    3
    74 critiques
    2
    51 critiques
    1
    47 critiques
    0
    41 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    275 abonnés 2 821 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 janvier 2024
    Une évocation du jeu de rôle aux airs de fantastique se mélangeant à une réalité improbable. Le premier évènement annonce une mise en scène déplorable qui va se confirmer au fil du métrage, sur un rythme lancinant. Tout est cheap, kitsch dont la doublure VF appuie une interprétation désastreuse.
    Yetcha
    Yetcha

    768 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2018
    Un film sur la réalité virtuelle, le jeu vidéo, mais avant tout le complot et les arnaques. Un film à l'esthétique organique crasseuse, glauque et suintante qui nous emporte avec elle jusqu'au bout. Un excellent Cronenberg, comme on les aime.
    Alain D.
    Alain D.

    512 abonnés 3 215 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2022
    Écrit et dirigé par David Cronenberg, ce film d'anticipation nous décrit les délires de personnages vivant une réalité virtuelle dans un jeu révolutionnaire à 38M$. Certes très originale, l'histoire nous offre des scènes choquantes, des séquences drôles (comme celle du restaurant Chinois), des effets spéciaux plutôt ragoûtants. Le scénariste Canadien pousse la fiction à son paroxysme avec une histoire se révélant finalement peu passionnante.
    Heureusement le film est porté par de brillants interprètes avec Willem Dafoe que l'on voit trop peu, un efficace Jude Law, dans le rôle principal de Ted, et une troublante Jennifer Jason Leigh.
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2015
    Ces dernières années, David Cronenberg frappe de par sa faculté à se renouveler. Sorti en 1999, "eXistenZ" constitue l'une des meilleures preuves de cette vitalité créatrice. Avec ce film, pas de doute, nous sommes bien chez Cronenberg ; on y retrouve en effet sa passion clinique des corps, soit sa marque de fabrique. Dans ce nouveau décryptage de l'anatomie humaine intervient donc l'expérimentation mais également tout l'appareil esthétique qui va avec ; objets et mouvements flasques, bruitages gélatineux, sans parler des allusions sexuelles en pagaille. Autant d'obsessions qu'il nourrit ici d'une brillante réflexion sur l'univers des jeux vidéos. Le spectateur, à la manière des deux protagonistes évolue sur une plateforme extrêmement stratifiée, dont l'enjeu est de ne pas perdre le fil de départ sous peine de déraisonner. En cela, "eXistenZ" entre dans la catégorie de ces films destinés à discerner le faux du vrai, voire anticiper les dangers d'une société totalement virtuelle. Difficile de savoir s'il peut être qualifié de grand film mais son inventivité et ses pistes de réflexion sont bien réelles.
    videoman29
    videoman29

    209 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 septembre 2021
    Avec « Existenz », le réalisateur David Cronenberg joue une nouvelle fois avec notre perception du monde et nous plonge dans un univers étrange, peuplé de surprenantes créatures mutantes. Son film dégage une étonnante impression de malaise, alimentée par quelques scènes sensuellement et psychologiquement troublantes qui n'ont d'autre but que de nous sortir de notre zone de confort. Dès les premières minutes, on se sent donc légèrement déstabilisé et on se prend au jeu... en acceptant, plus ou moins volontairement, de perdre tous les repères qui nous ancraient dans la réalité. Le scénario intelligent et profond fait le reste et on ne sait jamais réellement quand on est à l'intérieur du jeu vidéo ou dans la vraie vie (même si ce n'est qu'un film, après tout). Il faut dire que les acteurs sont excellents (Jennifer Jason Leigh et Jude Law en tête) et que la qualité de leur interprétation ajoute au côté immersif de l'expérience. Il en résulte un film important, mais déroutant, qui conserve un intérêt parfaitement intact malgré les années qui passent. Une preuve de plus que Cronenberg est un grand visionnaire et un cinéaste absolument délicieux, qu'il faut absolument (re)découvrir. Excellent !
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    121 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2015
    J’étais franchement intrigué et très curieux de voir comment Cronenberg allait se saisir d’un tel sujet et surtout quel type d’ambiance il pouvait nous proposer. Et je dois bien avouer avoir été déçu par l’ensemble qui ne m’a pas totalement convaincu. L’univers avait pourtant le potentiel pour faire quelque chose d’incroyable, de plus poussé dans la folie. On parle quand même d’un jeu vidéo implanté dans la chair avec des possibilités de jeu presque infinies. Au fond, j’ai trouvé ça étonnant trop terre-à-terre, trop lisse avec peu de séquences réellement marquantes. Mais le contenu du film est intéressant, il questionne notre rapport au virtuel et cette volonté constante de créer quelque chose que l’on peut contrôler tout en gardant cette crainte que cette chose nous contrôle à son tour.

    Il y a aussi un aspect particulièrement dégueulasse qui fonctionne plutôt bien et est bien déstabilisant. Les habitués de Cronenberg constateront que ses fascinations pour la chair et ses transformations ne disparaissent pas dans eXistenZ. Le film est franchement bien viscéral par instants. Je le trouve par contre un poil décousu et perché, sans enjeux bien définis ni réellement accrocheurs. Je ne voyais pas tellement le principe de ce jeu et ne comprenait pas cette addiction. De ce fait difficile pour moi d’être totalement embarqué dans l’intrigue, d’autant plus que les personnages ne sont pas forcément palpitants (sans être mal écrits ni mal interprétés pour autant).

    Après on a une ambiance typique de Cronenberg qui marche assez bien avec cette sensation que ce calme malsain peut basculer dans le chaos à tout moment. Je n’ai cependant pas été totalement happé par cet univers, faute de véritables enjeux. Toutefois la fin du film est plutôt bien sentie et réussie mais ça n’enlève pas tellement le goût de la déception. Il y a de bonnes idées mais pas forcément très bien exploitées, c’est assez paresseux car ça se repose un peu trop sur la succession de twists à défaut de créer un véritable liant, une progression dans le dégoût ou l'inexplicable. Un Cronenberg en demi-teinte en somme, je le préfère plus corrosif.
    Nicolas V
    Nicolas V

    68 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2016
    existenz est le classique inspirant les grandes oeuvres telle que matrix par exemple. Véritable reflexion sur le monde virtuel, existenz pose les questions morales, financière, sanitaire, logistique et politique d'un monde utilisant le virtuel comme loisir.
    Une aventure violente aux rêves choquants sans repère dans un monde ou tout nous dépasse : un véritable voyage piloté par david cronenberg.
    keating
    keating

    49 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2014
    Le thème de la frontière entre réalité et imaginaire intéresse le cinéma (et le spectateur que je suis) depuis longtemps. Pour ouvrir de nouvelles voies dans cette thématique récurrente, le septième art possède une piste intéressante et contemporaine : le virtuel. Les nouveaux médias que sont internet et le jeu vidéo sont potentiellement une source passionnante pour de nouvelles œuvres brouillant les frontières du réel et de l’irréel. « Matrix », « Tron » ou encore le récent « Her » peuvent en témoigner. Mais le jeu vidéo au cinéma s’est cependant souvent traduit par adaptations lourdingues de grosses licences peinant à convaincre un public au-delà des fans du jeu d’origine. Que se passe-t-il, alors, lorsqu’un réalisateur de la renommée de David Cronenberg s’empare du sujet ?
    « Existenz » prend le jeu vidéo comme point de départ mais va beaucoup plus loin, et reste un film typiquement cronenbergien avant tout. En témoigne l’obsession habituelle du cinéaste pour le corps et ses déformations. La grande idée du film, à mon sens, est le fait de donner vie au virtuel par une matière corporelle : toute la technologie ressemble à de la véritable chair humaine ! Les manettes de jeu, les pods à connecter en forme de cordon ombilical, les armes organiques … cette confusion entre corporel et virtuel est fort dérangeante, et pourrait fort bien traduire à quel point les univers virtuels deviennent de plus en plus proche du réel aujourd’hui. La confusion entre les deux est au centre du film, le cinéaste laissant volontairement planer le doute sur la réalité de ce qu’on voit à l’écran, le jeu vidéo étant une copie quasi parfaite de la réalité. Le final devient alors une sorte de jeu de poupées russes où les différents niveaux se mélangent de façon vertigineuse. Sur la forme, ce sont les points les plus convaincants, le reste étant un peu décevant par rapport à son potentiel de base. Je trouve l’intrigue du jeu vidéo un peu décevante, trop aléatoire dans son évolution. Les scènes vidéo-ludiques me semblent surtout être un prétexte pour représenter les délires de virtualité organique déjà mentionnés. Ils sont certes visuellement réussis, mais j’aurais aimé les voir introduit de façon moins hasardeuse. Ensuite, j’ai eu un peu de mal avec Jude Law dont l’évolution personnage réel-personnage virtuel ne m’a pas totalement convaincu ; le reste du casting est bon, de Jennifer Jason Leigh aux seconds rôles comme Willem Dafoe ou Ian Holm.
    Au-delà de cette thématique de réalité virtuelle, le film questionne sur des thèmes comme la violence et sa banalisation, le libre-arbitre et la possession du corps par l’esprit, ou encore notre besoin de dimension supérieure (la salle de jeu qui ressemble à une église), notre tendance à fuir la réalité. Plutôt pas mal pour un seul film d’une heure et demie !
    Ce n’est pas encore le chef d’œuvre potentiel d’une rencontre entre le cinéma et le jeu vidéo, mais « Existenz » fait partie de ce que l’on peut trouver de mieux sur le marché à ce sujet.
    Artriste
    Artriste

    86 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2021
    Film de science-fiction à la façon David Cronenberg, eXistenZ est un film viscéral à l'image de son réalisateur. L'histoire nous fait suivre la démonstration d'un jeu qui parait si réel qu'on se demande si nous sommes dans le jeu ou dans la réalité. C'est plaisant à suivre même si dans l'ensemble c'est assez plat et lent. L'univers créer est minimaliste mais efficace. On retrouve dans celui ci tous les éléments et les obsessions du réalisateur. En effet c'est très organique - jusqu'aux armes qui sont littéralement faites en chair et en os - avec des pénétrations et des objets aux formes plus qu'évocatrices. Tout fait penser à des organes sexuels et pourtant c'est à la fois dégoutant et repoussant. Malgré ce côté crasseux, l'ambiance est pleine de sensualité et la tension sexuelle très présente. Il faut dire que le personnage d'Allegra est très charmante. L'actrice Jennifer Jason Leigh incarne en effet une femme envoutante qui arrive à elle seule à donner tout l’intérêt au film. Car malheureusement à ses côtés Jude Law est assez insipide certainement dû à son rôle qui n'offre pas beaucoup de matière. A noter aussi la prestation de Willem Dafoe. Globalement ce qui déçoit ce sont les personnages qui manquent d'épaisseur. La réalisation de David Cronenberg pour sa part fait le boulot et la photographie est plaisante même si les différents lieux manquent un peu de personnalités. La b.o. pour sa part se veut très présente mais sait rester tout de même discrète et aide grandement à faire planer cette étrange atmosphère. Reste une fin surprenante franchement réussie et qui donne une autre dimension à tout ce que l'on vient de vivre. Elle est ambiguë, inattendue et donne envie de visionner le film une seconde fois. Au final eXistenZ est un bon long-métrage qui mérite le coup d’œil si on aime les choses répugnantes et le corps humain.
    Dawasta
    Dawasta

    47 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2012
    Un film dont l'atmosphère est profondément malsaine et parano. Cronenberg illustre avec des images parfois dégueulasses l'addiction bien réelle de ces jeux servant d’échappatoire à la réalité. Et pas seulement les jeux vidéos d’ailleurs car les allusions sexuelles sont assez explicites. Entre autres, les "pods", choses mécaniques et vibrantes, font penser à des sextoys. Le jeu dans le film est très réaliste, on voit des personnages tourner en boucle jusqu'à ce que le joueur fasse la bonne action. On évoque aussi le véritable culte voué par certains fanatiques à des inventeurs comme Bill Gates et Steve Jobs. A part ça le casting tient la route et les seconds rôles (Willem Dafoe et Ian Holm) sont de bonnes surprises. Le scénario très ambigu n'a rien à envier à "Total Recall" ou "Shutter Island". (Très bien)
    Serpiko77
    Serpiko77

    50 abonnés 1 620 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    Cronenberg n'a pas l'habitude de s’embarrasser de sentiments (à la manière d'un John Carpenter), il offre les pires situations possibles d'un œil glaciale. Ses discours habiles, ses décors soignés, son univers très malsain et ses acteurs au jeu toujours très sobres sont bien présent. Mais son "eXistenZ" reste très confus et aussi ennuyeux par moment.
    konika0
    konika0

    23 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2018
    L’autre réalité n’est pas forcément la meilleure. Existenz est un petit film ambigü d’un Cronenberg toujours aussi accro au corps. C’est l’histoire d’une créatrice de jeux vidéos ou plutôt une créatrice de mondes virtuels. Elle est menacée par des fanatiques pour qui la virtualité est la négation de la création, celle avec un grand C, le travail de Dieu. Ici, le réel et le virtuel se confondent et l’interface entre les deux mondes est le corps humain, ses excroissances et ses orifices. Il y a quantité d’autres films sur le thème du monde virtuel mais celui-ci a le supplément de tripes que les autres n’ont pas. Au fur et à mesure du film il devient impossible de discerner le vrai du faux, les transitions se faisant par glissements subtils des décors ou des personnages secondaires. Le spectateur se retrouve alors perdu entre deux univers assez semblables. L’héroïne est quant à elle accro au monde qu’elle a créé. Le suspens fonctionne très bien et la gêne ressentie propre aux films de Cronenberg est bien présente. Pas un chef d’œuvre mais une réussite.
    Caine78
    Caine78

    6 118 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2012
    Trip dont Cronenberg a le secret et que probablement personne d'autre ne pourrait imaginer, « Existenz » est de ces oeuvres un peu dérangeantes qui n'en sont pas moins salutaires à bien des égards. Au-delà de cet univers de « très bon mauvais goût » nous en mettant plein la vue avec des moyens pourtant limités, c'est une fois de plus les obsessions du réalisateur qui s'avèrent fascinantes : confusion réel-virtuel, ton légèrement sulfureux, personnages secondaires (voire principaux) bizarres et inquiétants... Tout le cinéma de David Cronenberg est là, mais celui-ni se répète jamais, cette plongée dans l'univers des jeux vidéos apportant un nouvel édifice à une filmographie pourtant déjà chargée niveau expériences déconcertantes et uniques... La fin, intelligemment ambigüe, est à ce titre parfaitement représentative de la façon dont le réalisateur de « Dead Zone » joue avec nos sens et notre conception du monde, et résume le mieux ce que nous avons pu vivre pendant près de 100 minutes... Encore une belle réussite de la part d'un cinéaste décidément surdoué.
    cylon86
    cylon86

    2 293 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    David Cronenberg est tout de même un cinéaste fascinant capable de rendre passionnantes des choses totalement repoussantes. Explorant toujours des thèmes qui lui sont chers comme la déformation physique, il utilise ici le jeu vidéo comme prétexte pour nous livrer un film où la frontière entre la réalité et la fiction est totalement brouillée et où la psychose peut naître à tout moment du manque de repères de ses personnages. Dans "eXistenZ", on joue aux jeux vidéos en branchant un pod à son bioport, un orifice que l'on peut se faire installer en bas du dos. Vous pensez sûrement que c'est très sexuel ? Attendez de voir la séduisante Jennifer Jason Leigh se brancher pour jouer, vous n'avez encore rien vu ! Accompagnée de Jude Law, elle explore le jeu qu'elle a créée et se retrouve flottant entre plusieurs couches de fiction. C'est tout de même incroyable de voir ce que Cronenberg peut sortir de sa tête folle, nous livrant là un mélange repoussant mais tout à fait brillant de "Videodrome" et du "Festin Nu". On a du mal à s'en remettre mais il faut avouer que c'est efficace et que c'est tellement organique que ça nous parle jusque dans nos tripes et que l'on ne décroche pas un instant.
    Julien D
    Julien D

    1 123 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mai 2012
    Rien d’étonnant qu’à la fin des années 90 David Cronenberg, qui a toujours eu pou sujet de prédilection la quête d’identité au cœur de mutations tant physiques que spirituelles, ait voulu tenter de donner sa version de cette thématique alors très à la mode, la limite entre mondes réel et virtuel. L’ennui vient justement du fait que le réalisateur réutilise tous les ingrédients déjà présents dans son VIDEODROME pour nous entrainer dans une énigme confuse mêlant des questions sans réponses et l’imagerie d’une technologie organique écœurante. Cependant, ces sentiments de confusions, de doute et d’écœurement pourrait sembler une bonne idée pour déstabiliser intelligemment le spectateur si ils n’entravaient le suspense et que le tout n’était pas esthétiquement et narrativement mal filmé. C’est dommage qu’il faille attendre le rebondissement final pour trouver de l’intérêt à cet OVNI prometteur.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top