Avis : Rasta Rockett - Page 9

Un film amusant et original !
L'histoire est très convaincante et les acteurs sont très bons !
Les décors sont plaisants et la Jamaïque est appréciable.
L'ambiance est agréable et les musiques sont bien.
Les gags sont drôles avec des scènes cocasses très rigolotes et la morale est belle.
Une comédie donc réussi tirée d'un fait réel intéressant avec une équipe très sympathiques qui nous fait passer un moment de bonne humeur.

Désolé pour l'objectivité mais ce film c'est pour moi un coup de coeur. Les situations comiques sont excellentes. Je n'irais pas jusqu'à dire que les acteurs sont parfait mais ils sont suffisamment bon pour nous faire passer un bon moment. Un film très agréables et léger.

C’est un film familial avant tout sur cette épopée de l’équipe jamaïcaine de bobsleigh, des novices aux JO d’hiver qui ont été dépaysés. Quelque touche d’humour, sans plus, avec ces clichés du jamaïcain moyen, le rasta reggae, la pertinence du racisme dans ce milieu est vite abordé par la bonne humeur, l’important est de participer dans un final en émotion sentimentale.

Film a la fois culte et excellent.Malgré qu'il "date" il m'a laissé un bon souvenir.C'est bourré d'humour,l'histoire est bonne,les acteurs sont géniaux,que demander de plus ....
A voir et a revoir.

Cette histoire vraie de jamaicains participant aux JO d'hiver via ce sport méconnu qui est le bobsleigh donne ici lieu à comédie familiale grand public qui dispose d'un fort capital sympathie, propre à passer un bon moment. On peut regretter le parti pris excessif d'un côté un peu trop enfantin et cartoon que ce soit sur le plan de la mise en scène ou de l'humour, alors que les enfants sont suffisamment avisés pour que l'on n'est pas à sur-appuyer certains effets. Le film met trop en avant le fait qu'il doit être apprécié par un public jeune. L'ensemble se suit néanmoins globalement avec plaisir. Les personnages inspirent la sympathie et le contraste entre la jamaique et le Canada est plutôt bien utilisé. Les séquences de bobsleigh tiennent plutôt en haleine même si l'on n'entre pas trop dans les détails techniques du sport. La vitesse avec laquelle les personnages arrivent à assimiler ces techniques est moyennement crédible mais on peut passer outre cet aspect. Le récit ménage sa surprise jusqu'au bout. Pour ma part, l'émotion ne m'a pas particulièrement saisi mais la fin reste digne et touchante bien qu'un peu expédié. Le message de fond sur le sport et la compétition n'est pas si naif que ça et bien qu'exposé explicitement, reste pour moi pertinent et intéressant. Bref, un film plaisant sans prise de tête.

drôle, voir très drôle ; et qui plus est original ! Une belle petite comédie qui ne mange pas de pain, mais qui à le mérite d'esquisser de nombreux sourir et rire, même si on ne passe pas à coté des pièges inhérent au genre. Il faut dire que le film commence à prendre de la bouteille. Bref, je recommande !

absurde et c'est le but, mais à ce point là, on ne peux plus rien faire !

Film assez mythique qui passe une fois par an à Noël sur TF1 que tout le monde a déjà vu, Rasta Rockett est un film très connu. Je ne l'avais jamais vu...J'ai enfin "réparé cet écart". Et j'ai été très déçu.

Dans une Jamaïque ressemblant à n'importe quel pays d'Afrique vu par un cinéaste abruti (sable par terre, familles rassemblées, le bonheur dans le village, bref, plus de clichés que dans un magasin Kodak), le film se lance très lentement, avec l'excellent, néanmoins, John Candy en ex-tricheur appelé à la rescousse par Derice Bannock, joué par un Leon Robinson mal à l'aise en comédie, pour l'aider à monter une équipe de bobsleigh. Les autres acteurs sont nuls, Doug E. Doug et Rawle D. Lewis en premier. En revanche, Malik Yoba est sous-utilisé, bon comme il est.

Le film, écrit à six mains est un ramassis de clichés, avec les méchants sportifs contre les gentils amateurs, ces derniers qui se crashent à la fin alors qu'ils étaient sur les temps d'un record du monde (bah voyons, et pourquoi pas le mur du son, pendant qu'on y est?) et surtout, les excuses à la fin... Un film niais et totalement pour enfants, dont les personnes de plus de 12 ans en sortiront ennuyés.

Hilarant et loufoque à la fois, ce quatuor de personnages roi du pastiche deviennent au final trs attachant. Une pure réussite pouvant servir pour remonter le morale à quiconque ose mettre le film en marche.

Je me souviens l'avoir vu une fois quand j'étais petit, et j'avais beaucoup aimé. Je l'ai revu ensuite il y a 10 ans, et aujourd'hui je le revois une nouvelle fois, malheureusement ma vision enfantine s'est détérioré en la voyant. J'ai constaté que le rythme du film est devenu très lent, j'ai moins rit. Je ne me souvenais pas de l'histoire, mais plus particulièrement du personnage de Sanka, la vedette du film. J'ai finalement remarqué qu'il y a une belle brochette d'acteurs plus ou moins connus, comme John Candy ( repose en paix ), Leon Robinson, Malik Yoba, etc . . . dans une ambiance très sportive, et on parvient à ressentir l'anxiété du candidat au moment de se lancer sur la piste de bobsleigh. Les personnages sont très attachants, comme tous les personnages noirs dans les films plus placés dans l'humour. Toutefois, je trouve que les scénaristes ont triché sur la ponctuation de tensions et de conflits, comme la revendication de John pour changer les règles du jeu. Si cette scène n'aurait pas été incluse au montage, ça n'aurait rien changé dans l'ensemble. Les problèmes sont prévisibles : pas assez de motivation, et surtout le bobsleigh qui se casse lors du parcours. Puis le dénouement est pas très crédible, ils finissent la piste en portant l'engin sur leurs épaules, on ne sait pas si ils ont gagné, mais ils suscité l'amitié du public qui ne les prenaient pas au sérieux avant. Malgré cela, Rasta Rockett ( ou plutôt Cool Rasta, le nom du bobsleigh Jamaïcain ) reste une bonne comédie de tous les âges, mais qui doit être vue en priorité par les plus jeunes, et les fans de reggae apprécieront ce petit éloge au pays de Bob Marley.

Marrante cette comédie, pratiquement devenue culte d'ailleurs, tout comme certaines répliques, dont celle où ils décident de pousser le bobsleigh à leur façon. Chaque personnage est différent, ils sont là chacun pour leur raison et c'est ce qui rend le film encore meilleur, ils ne sont pas là par simple caprice. C'est un moment très drôle à passer que de regarder ce film. On rigole beaucoup, mais l'émotion est là aussi, c'est très réussi.

Pourtant engoncé dans les gros clichés des films qui traitent de sports notamment au niveau de la trame scénaristique très très classique, Rasta rocket parvient malgré tout à endosser le costume de bon film grâce, notamment, à un casting qui se veut très sympathique avec en tête John Candy, mais aussi grâce à un humour assez basique mais efficace. On passe donc un agréable moment devant son écran, le sourire au coin des lèvres. Parfois, on en demande pas beaucoup plus.

"Balance man,
Cadence man,
Trace la glace,
C'est le bob man,
COOL RASTAAAAA"

En 1988, Les jeux Olympiques d'hiver se déroulent à Calgary, Canada...
Quatre Jamaïcains décident de participer à l'une des disciplines, le Bobsleigh!

Aujourd'hui, dans la rubrique "j'ai testé pour vous", j'ai testé pour vous: Rasta Rockett!

Rasta Rockett, c'est l'histoire de...
OH pardon, on ne se connais pas en fait? Je ne me suis même pas présenté à vrai dire...
Je ne sais pas si vous suivez mes aventures depuis longtemps, mais dans tout les cas vous ignorez probablement quel fou-malade écris ces lignes...
Je me présente, AJTPV, je suis passionné de musique, de jeux vidéo et surtout de cinéma... (Et de plein d'autre trucs dont on se fiche...)
J'ai une particularité, je suis très critique...
Quel que soit la source, j'ai toujours tendance à chercher la petite bête pour ne pas dire que la chose est "parfaite" et dans l'autre sens, j’essaie toujours de trouver quelques points positifs à du caca...
Dans tout les cas j’essaie de le faire de façon constructive et avec un soupçon d'humour pour mieux faire passer la pilule (un peu comme notre gouvernement, y'a qu'a voir ce qui se passe avec l'UMP...)
Bref, maintenant laissez-moi vous expliquer pourquoi une review sur un film si ancien...

C'était par un bel après midi d'Avril 2004, vacances scolaire...
Une sortie en roller à tenter des tricks/grinds/tailgrabs (traduction, des cascades minables) qui tournèrent mal.
Triple fracture de la jambe sur une rampe... En gros, la loose...
Plâtré jusqu'aux couilles [pardon aux coudes... Ah nan en fait c'était bien de l'entre-jambe que je parlais...] j'ai subi plusieurs mois d'inactivités dans mon lit... (oui à cet age là on est pas très actifs au lit)
Bon je vous passe les détails.
Quels lien avec le film me direz vous?
Il se trouve que dans le magnétoscope, (pour les plus jeunes d'entre vous c'est comme un lecteur de BlueRay, mais sans les bonus...) se trouvait une VHS du film "Rasta Rockett" coincée (mais lisible).
Cette année là si vous vous en souvenez, c'était la première année de Loft Story sur M6...
Autant vous dire qu'entre:
"Loft Story, Loana et piscine",
J'avais choisi, ce sera:
"Jamaïque, Canada et pistes de Ski"!
J'ai donc regardé ce film presque 1 fois par jour pour oublier la douleur (maintenant, je prend directement de la drogue hein...

Ainsi je peux le dire, j'aime ce film, et c'est MON préféré!

A ce propos, qu'est ce qu'un bon film selon vous?
Pour ma part, je considère un film "parfait" lorsqu'il provoque chez son spectateur à peu près les principaux "sentiments" qu'un Homme puisse ressentir: Joie, Peine, Tristesse, Dégout, Haine, le tout sur fond d'humour et de second degré...
Ceci étant clarifié, j'ai tendance à penser que "Rasta Rockett" correspond parfaitement à ces critères.

"Rasta Rockett" c'est donc l'histoire de Derice, un Jamaïcain qui rêve de participer aux épreuves d'athlétisme des J.O d'été de Los Angeles, pour courir sur les pas de son père, qui remporta la médaille d'or du 100m et représenta le pays en 1968...
Mais lors des qualifications nationales, un incident le priva du voyage tant espéré...
Sur une vieille photo de son père, Derice remarque la présence d'Irving Blitzer, un ancien pro du Bobsleigh, qui lui aussi à déjà connu la gloire de la médaille d'or.
Ni une, ni deux, Derice se met en quête de retrouver cet homme, de monter une équipe et d'aller participer à un sport qu'il ne connais absolument pas aux jeux olympique de Calgary 88...

Vous l'aurez compris, le pitch permet déjà de sourire!
Quatre Jamaïcains (non pas SOUS mais) SUR un Bob par -25°c!

Lorsque je vous parlais de "sentiments" (non ce n'est pas que je suis un grand romantique quoi que), c'est que justement ce film à mon goût réuni ces principaux ressentis...
Ce film est joyeux, il met de bonne humeur et rend heureux (bien sûr produit par Disney), mais aussi:
quand Junior renvoi son père on est triste, quand on apprend comment Irving Blitzer à remporté sa médaille d'or on est dégouté,
quand les finlandais méprisent les héros car ils sont noirs on est haineux,
quand Sanka Coffie (tout court), on rit...

Pour tout avouer, c'est MON film,
celui que je regarde quand je suis heureux,
celui que je regarde quand je suis triste,
celui que je regarde quand je suis malade,
celui que je regarde quand j'ai peur,
celui que je regarde quand j'ai passé une sale journée,

En bref, c'est le meilleurs film du monde pour moi, pour toutes ces raisons...
Je vous invite donc à le voir ou à le revoir. Il est beau, coloré (dans tout les sens du terme), les dialogues sont drôles, vrais, la musique est géniale et la fin...
MAGIQUE!
De plus il est tiré d'une histoire vraie, celle de militaires Jamaïcains qui on participé à leur premiers jeux olympique d'hiver à Calgary grâce a la vente de t-shirts à leur effigie...

Pour conclure, je sais que cette review était un peu gnangnan/cul-cul et que j'ai été gentil...
Mais promis, sur les prochaines je reprends les méchancetés et les saloperies, faut pas déconner quand même!

Bon film.On rigole bien.Mais sans plus.On le regarde sans se prendre la tête.

A voir et revoir indéfiniment !!! Cette comédie tiré de la véritable histoire de l'équipe de bobsleigh jamaïquaine et savoureuse et franchement drôle. La finish est la part belle à l'émotion.