Woody Goguenarde

Une succession à foison d'oiseaux en tout genres. Des cygnes, paons, hiboux. Et un final ou un aigle ayant kidnapper un poussin dont un escadron de corbeaux mènera une attaque afin que le poussin puisse retrouver sa mère. Votre envol devrait bien se passer lors du visionnage.

Allez on débute la série silly symphonique de l'an de grâce 1931 avec ce dessin animé qui se situe honorablement un peu au-dessus de la moyenne. On reprend certains vieux gags comme celui de la chaussure, on trouve quelques nouveaux trucs visuels pas trop mal comme les oiseaux-harpe et on insuffle un bon rythme avec une deuxième partie assez drôle qui concerne une poule très maladroite, ses poussins, un aigle et un escadron de corbeaux.

Ce Silly Symphonies sur les oiseaux au drôle de titre: plaisanterie boisée est assez diversifié avec une partie habituelle moyenne un peu répétitive dans les mouvements mais quelques bonnes choses tel que les oiseaux-lyres. On passe en revue quelques oiseaux plus ou moins mélodieux par leur chants avec des mouvements plus ou moins amusants et une seconde partie raconte l'histoire d'une poule et sa progéniture qui pousse à la vitesse grand ...
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Woody Goguenarde est sympathique court-métrages de la série des Silly Symphonies, même si l'ensemble est assez moche (certain des Silly Symphonies serait bien mieux avec de la couleur), la bonne humeur générale, la mélodie entraînante et les gags légers comme une plume, nous donne le sourire, ce qui est déjà pas mal. Burt Gillett signe un court inventif et joyeux, pas forcément des plus malin, mais la sympathie de l'ensemble l'emporte ...
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