Capitaine X

Jan Kounen c'est souvent couillon. Capitaine X, court-métrage de douze minutes sur un groupe déranger de la tête ou on va nulle part, ni dans le rire noir, ni dans le délire que procure le sujet. Kounen c'est barjo-vide-de-maturité.

Après Gisele Kerosene (1990) & Vibroboy (1994), Jan Kounen continu de se faire la main avec des courts-métrages, avant de se lancer dans les longs-métrages, avec notamment Dobermann (1997). Capitaine X (1994) se situe dans un univers post-apocalyptique et l’intrigue se déroule exclusivement en huis clos, dans un hangar où des dégénérés s’amusent avec leurs otages. Filmé intégralement en caméra subjective, on comprend ...
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Après s'être essayé au Stop Motion gamin puis au Noir & Blanc théâtral, Kounen se frotte au plan-séquence-performance, avec un peu plus de moyens, d'acteurs et de profondeur. L'univers Mad Maxien est sympa, la Politiquement-Incorrecte-Touch' est bien là mais il faut reconnaître que les 12 minutes de ce film finissent quelques peu par s'éterniser passé 5 minutes.