Une plongée au coeur de la création, au quotidien, dans l'intimité d'un des hommes de théâtre les plus fascinants de notre époque. De répétitions en confession, entre euphorie et colères, la fougue et les doutes d'un homme face à une oeuvre unique.
Découvrez les talents du choro à travers les rues, les places, les bars de Rio : virtuosité d'une guitare, chaleur des gafieiras où se chante et se danse le choro, improvisation d'une clarinette ou d'un tambourin. Cette musique est bien vivante !
"Shadowing the third man" part sur les traces de la fabrication du grand classique du film noir de Graham Greene, "Le Troisième homme". Il s'agit du premier documentaire jamais fait sur ce film culte.
A La Nouvelle Orléans tout le monde se prépare pour le grand carnaval annuel. Alors que l'heure est la fête, le maire s'inquiète à propos de plusieurs affaissements de terrain qui ont eu lieux dans la région.
La premiere journee d'une famille d'immigrants siciliens dans le borinage belge, region charbonniere en declin. Ce film tourne en 1960 fut au depart une commande de propagande ministerielle destinee a illustrer le bien-fonde de la politique belge en matiere d'immigration. A l'arrivee Paul Meyer en avait fait un long metrage de fiction, libre et ...
Les efforts incessants d'une femme, Zainap Gashaeva, pour dénoncer l'oppression et le massacre du peuple tchétchène par le gouvernement russe. Portrait de la fondatrice de l'association "Echo de Guerre".
De 1840 a 1900, les premiers laboratoires photographiques s'organisent en Roumanie. La photographie reconnue comme un art, tient la chronique de la vie citadine, politique, sociale et scientifique de l'epoque.
Le documentaire se penche sur l'importance du fleuve Whanganui pour les indigènes de Nouvelle-Zélande, premier cours d'eau du monde à jamais avoir obtenu la personnalité juridique.
À l’hiver 2019, pour surmonter ma douleur paternelle, j’ai filmé l’hospitalisation contrainte de mon fils Nathan, au seuil de son incertaine entrée dans l’âge adulte. Dès les premières visites, et surtout à cause de leur caractère parfois hostile ou tout bonnement vide, j’ai pris le parti de filmer de petites séquences de trente secondes, parfois plus, parfois une minute, à l’aide de mon téléphone de poche. À la fois, je me désennuyais – quand Nathan dormait – et à la fois je me donnais une contenance – quand l’hostilité de ce dernier me poursuivait dans les couloirs ou, au contraire, me fuyait. Je ne filmais pas nécessairement Nathan, d’ailleurs, mais beaucoup son environnement. Et plus je regardais, plus je voyais s’inventer un monde.