Mon compte
    Yoko Tsukasa
    Commentaires
    • Plume231
      Yojimbo (1961) d'Akira Kurosawa [img]http://t1.gstatic.com/images?q...[/img] Synopsis : Dans une petite ville située au nord de l'ancienne Tokyo, l'insécurité règne. Deux gangs se partagent la ville, les rues sont pleines de cadavres et le commerce est au point mort. Un jour paraît Sanjuro Kuwabatake, soldat de fortune, qui va offrir ses services à l'un et l'autre clan... [img]http://littleimg.com/files/140...[/img] Critique : Il est consternant qu'Akira Kurosawa est plagié un film que Sergio Leone réalisera trois ans plus tard (oui, c'est très con ce que j'écris!). Non, sans déconner c'est du très bon Kurosawa (mais est-ce qu'il existe du mauvais Kurosawa de toute façon ?). Ici pas vraiment de réflexion profonde comme on peut en voir dans d'autres oeuvres du cinéaste, mais on a envie de dire "Et alors ?". Il y a de l'action (les scènes où le héros zigouille à lui seul plusieurs mecs sont superbement chorégraphiées!), un zeste d'humour, une BO délirante en total décalage et puis surtout l'IMMENSE Toshiro Mifune à jamais inégalable en rōnin pouilleux, cynique mais incroyablement rusé et fort. Un divertissement de très haute gamme. Note : 16,5/20 (****) [img]http://2.bp.blogspot.com/_Ar9D...[/img]
    • Plume231
      Dernier caprice (1961) de Yasujiro Ozu [img]http://static.blogstorage.hi-p...[/img] Synopsis : A Kyoto, un vieux marchand de saké, Kohayagawa Manbei, vit avec ses trois filles Fumiko, Noriko et Akiko l’aînée, qui est veuve, mais dont la famille espère le remariage. Quant au mari de Fumiko, Hisao, il se préoccupe de l’avenir de l’entreprise qui commence à subir les effets néfastes de la concurrence… [img]http://storage.canalblog.com/9...[/img] Critique : Un peu moins bien équilibré que certaines des autres oeuvres du Maître comme par exemple son oeuvre précédente "Fin d'automne", le pénultième film d'Ozu est pourtant d'une grâce qu'il est (encore une fois!) impossible à prendre en défaut. Et bien que certaines scènes soient très légères, il n'est pas difficile de voir une tonalité très sombre au final (le dernier plan sur les corbeaux, brrrr...!). Certaines scènes (la filature, la partie de cache-cache, la scène finale...) et certains détails (les 100 yens à chaque fois que le personnage de Setsuko Hara parle de son âge,...) achèvent de charmer. On remarquera par petites touches discrètes mais pourtant fortes la présence de plus en plus forte de l'Occident (les costumes traditionnels qui ne sont portés que par les vieilles générations, le remplacement du saké par la bière et le whisky, la jeune femme qui ne sort qu'avec des américains et même la présence d'une publicité pour Coca-Cola sur un plan!). Un beau tableau de la société japonaise et un très beau drame dont seul Ozu avait le secret. Note : 16/20 (****) [img]http://2.bp.blogspot.com/_Jo6f...[/img] [img]http://4.bp.blogspot.com/_4Oy_...[/img]
    • Plume231
      test
    Back to Top