Mon compte
    Marion Davies
    Métiers Actrice , Productrice
    Nationalité
    Américaine
    Naissance 3 janvier 1897
    Décès 22 septembre 1961 à l'age de 64 ans
    9
    ans de carrière
    11
    films et séries tournés

    Filmographie

    Betsy
    Betsy
    Date de sortie inconnue
    Cain and Mabel
    Cain and Mabel
    Date de sortie inconnue
    Operator 13
    Operator 13
    Date de sortie inconnue
    Au pays des reves
    Au pays des reves
    Date de sortie inconnue
    Peg O'My Heart
    Peg O'My Heart
    Date de sortie inconnue
    Polly of the circus
    Polly of the circus
    Date de sortie inconnue
    Mirages
    Mirages
    2 août 1929
    C'est une gamine charmante
    C'est une gamine charmante
    Date de sortie inconnue

    Photo

    News

    Mystères à Hollywood ! L'affaire Thomas Ince
    News - Culture ciné
    vendredi 29 août 2014
    Commentaires
    • Plume231
      Show People (1928) de King Vidor [img]http://8mm16mmfilmscollectible...[/img] Synopsis : Peggy Pepper arrive à Hollywood avec son père, le Colonel Pepper. Par une agence de casting, elle décroche un petit rôle et rencontre l'acteur comique Billy Boone qui lui obtient des rôles plus importants, mais toujours dans le registre de la comédie. Or, Peggy veut devenir une grande actrice dramatique. Un nouveau contrat lui permet de devenir la partenaire, sous le nom de Patricia Pepoine, de l'acteur dramatique André Telfair. Se croyant « arrivée », elle snobe désormais Billy... [img]http://www.silentera.com/PSFL/...[/img] Critique : Cette fois-ci, on vient bien que King Vidor avait envie d'une bonne poilade. C'est donc sans arrière-critique qu'il a tourné ce film dans les coulisses d'Hollywood en les représentant plutôt par un aspect totalement parodique. C'est donc en se marrant souvent qu'on regarde la jeune aspirante actrice, incarnée par la pétillante Marion Davies (qui sait faire des choses incroyables avec sa bouche cela dit au passage!), évoluer au milieu de grandes vedettes de l'époque telles John Gilbert, Douglas Fairbanks ou même King Vidor himself, ou donner de mauvaise grâce un autographe à un inconnu nommé Charlie Chaplin. La scène où elle doit verser des larmes est un des grands moments de délire qui ponctuent souvent cette comédie agréable et d'un certain intérêt historique. Note : 16/20 (****) [img]http://4.bp.blogspot.com/_vZGs...[/img]
    • Plume231
      Polly of the Circus (1932) d'Alfred Santell [img]http://4.bp.blogspot.com/_3S2T...[/img] Synopsis : Blessée lors d'un numéro de trapèze, Polly Fisher est emmenée pour être soignée chez le voisin le plus proche, le révérend John Hartley. Tous deux tombent amoureux et se marient secrètement. Mais lorsque leur union est révélée, l'entourage du révérend ne la voient pas d'un très bon oeil... [img]http://4.bp.blogspot.com/_iNLt...[/img] Critique : Une histoire d'amour sur un fort fond de religion mais qui n'hésite pas à dénoncer l'hypocrisie de certains chrétiens qui ont tendance à juger un peu trop facilement son prochain. L'ensemble reste assez prévisible mais se suit sans déplaisir de bout en bout grâce au charme de son couple principal. Clark Gable avec son charisme insolent et Marion Davies qui prouvait qu'elle pouvait parfois être une très bonne actrice. Sans être très mémorable, un très bon film. Note : 13/20 (***)
    • Plume231
      Cain et Mabel (1936) de Lloyd Bacon [img]http://www.jane-wyman.com/post...[/img] Synopsis : Les managers d'un champion de boxe et d'une chanteuse de comédies musicales arrangent une romance pour augmenter la cote de leurs protégés. Mais ces derniers ne le prennent pas du bon coté... [img]http://3.bp.blogspot.com/_qB_d...[/img] Critique : Une comédie romantique qui laisse sur une impression mitigée. Il y a quelques maladresses au niveau de la réalisation en particulier pour le montage. L'histoire est interrompue par des numéros musicaux certes charmants mais qui coupent le rythme. Ensuite, l'interprétation est loin d'être pleinement convaincante. Si parfois elle arrive à se montrer drôle, Marion Davies, qui est plus connue pour avoir été la maîtresse du milliardaire complètement mégalo qui a inspiré le Charles Foster Kane d'Orson Welles William Randolph Hearst que pour ses talents d'actrice, se montre peu à l'aise. En fait, seules quelques scènes bien imaginées comme celle de la bibliothèque ou celle finale sur le ring et les interprétations de Roscoe Karns et de Clark Gable arrivent à sauver le film. Note : 8/20 (**) [img]http://1.bp.blogspot.com/_a1Qr...[/img]
    Back to Top