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    Black Mirror
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    4,2
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    62 critiques spectateurs

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    HawkMan
    HawkMan

    151 abonnés 1 125 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    Voilà une série bien originale et talentueuse. Les anglais sortent 3 épisodes, tous distinct et sans lien, autour du thème de la dépendance de l'homme avec la technologie et les écrans.
    Les 3 épisodes sont forts, intenses, ingénieux et ne laisseront personne insensible.
    Bref : une vraie réussite.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2021
    Avec ces trois épisodes évoquant l'aliénation de l'homme à l'image, "Black Mirror" impose un univers visuel et thématique profondément dérangeant et d'une redoutable cohérence. Imprégnés d'une photographie à la blancheur clinique, ces épisodes dépeignent une surface en apparence limpide, c'est en la grattant que l'horreur et le cynisme apparaissent, sous une forme provocatrice dans la mesure où l'aversion du spectateur n'est pas toujours partagée par les personnages. Avec un goût pour les retournements de situation et une dialectique au sein de la fiction, Charlie Brooker ne se contente pas de mettre au point la dystopie pour réaliser une critique à charge, mais fait diverger tous les points de vue possibles. Aussi il n'est pas simplement question pour le Premier Ministre britannique (épisode 1) de renoncer à un acte sexuel odieux, mais il faut composer avec la pression populaire, l'avis de ses conseillers et de sa femme, car la vie de la célèbre princesse Susannah est en jeu ; quant à Bing, il renonce à pédaler à longueur de journée (épisode 2) et à visionner des publicités imposées dans son étroite cellule, et s'indigne d'un show télé qui propose aux rares gagnants d'élever leur condition (soit en se lançant dans la pornographie, soit en devenant soi-même un acteur de la publicité) : néanmoins, la tentation d'échapper à un quotidien monotone et coupé de l'extérieur est trop tentante ; enfin, dans une société où chacun est équipé d'une puce – rattachée au cerveau – permettant de visionner à n'importe quel moment des instants de sa propre vie (épisode 3), c'est la survie d'un couple qui est en jeu. Toutefois, tous n'ont pas le même rapport à l'image puisque certains décident de ne pas utiliser le gadget, d'autres développent une addiction malsaine, et pour Liam Foxwell, cet objet ne fait qu'exacerber sa jalousie et les soupçons d'adultère de la part de sa femme. Dans tous les cas, cette première saison met en scène des personnages pris au piège par un dilemme ou, de manière plus globale, par leur époque et des dérives communément acceptées. C'est en rendant compte de l'évolution de ses personnages que la satire devient pleinement opérante : quand l'étau se resserre et l'atmosphère devient étouffante, il ne reste plus qu'à céder devant un autoritarisme foudroyant.
    bsalvert
    bsalvert

    319 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2019
    une série qui appelle à la réfléxion. Chaque épisode est independant et pose des questions.
    PLV : bon jeu d'acteurs, bon scénarios
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    Black Mirror saison 1 est violente et déroutante et l'une des meilleure représentation de ce que nous devenons petit à petit lorsque la technologie ne sert qu'au voyeurisme, à l'oppression et au contrôle/autocontrôle . Le premier épisode est le plus dérangeant. Le troisième épisode est le plus poignant. Mais gros coup de coeur pour le second épisode qui est un pur chef d'oeuvre ! Un mot sur les acteurs : beaux et géniaux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 septembre 2019
    la saison 1 de black mirror et très courte ! (3 episode) mais a malgré cela réussi a mettre dacort
    de part son sujet évoquer lors des episode qui touche tout le monde (la technologie) , l 'ambiance a la fois glauque et intéressant, et qui démontre bien ce qu pourrait être notre société dans quelque années
    Aulanius
    Aulanius

    173 abonnés 1 682 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2014
    Il est extrêmement difficile de juger cette série car tous les épisodes sont composés d'histoires totalement différentes avec de nouveaux acteurs à chaque fois. Le seul point commun que l'on retrouve ce sont les nouvelles technologies présentes dans un futur proche. En ce qui concerne le premier épisode, nous sommes en plein dans le monde politique avec une demande très spéciale sous forme d'ultimatum. On commence en fanfare avec du rentre-dedans, l'un des meilleurs selon moi. Le second ne m'a pas trop plus car on dirait presque un huit clos ou l'ensemble se passe dans "bâtiment" confiné qui referme une communauté. Ce qui m'a dérange, c'est le côté cliché ainsi que le manque de profondeur des personnages. On tourne vite en rond et la morale est incessante. Quant au troisième, c'est le sujet de l’infidélité qui est traité et je dois avouer que si plus tard, tout ce passe comme ici, on est mal barré car on ne pourra plus rien faire. C'est une sorte de Big Brother mais entre particuliers, qui je dois avouer, est très réussi. Tout est bien ficelé et malgré quelques détails dérangeants, j'ai accroché. Donc pour cette première saison, c'est une très bonne surprise pour une production assez méconnue car j'en ai prit connaissance uniquement grâce au site Allociné. 13/20.
    Sandie H.
    Sandie H.

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 juin 2019
    A bannir.
    Comment peut on penser a ecrire des choses pareilles et surtout aimer les regarder. Le monde est fou et memr pour tout l or du monde je ne regarderai l episode 2.
    Honte a cette serie...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 novembre 2019
    Alors la, en voyant les avis sur cette série, j'étais vraiment impatient de la regarder.
    Mais pourtant quelle énorme déception.
    Je m'explique brièvement parce que j'estime que la série n'en mérite pas plus, on envenime au possible le semblant de réalité des faits présentés, comme si nous étions tous des porcs en devenir, des écervelés prêts à se soumettre à la moindre absurdité numérique. Certes, la base est réaliste mais le caractère plus que grossier de la série est vraiment décalé d'une possible réalité, inintéressant à regarder. On s'est demandé avec mon amie combien de temps nous allions tenir, verdict, l'épisode 3 à moitié entamé.
    Manon Ano
    Manon Ano

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2023
    Épisode 1 Saison 1 : D’une violence psychologique ignoble et insoutenable, j’ai beau tourner en rond les raisons d’écrire un scénario pareil et d’essayer de comprendre le message derrière, rien ne vaut d’écrire et de voir une horreur pareil.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 142 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2015
    Trois épisodes seulement mais, OUAH ! J’avoue pourtant avoir été très rétif à regarder cette série. Même si le premier épisode m’avait beaucoup plu, je n’étais pas très fan du concept : « nouvel épisode / nouvelle histoire ». J’avais peur d’avoir à faire l’effort à chaque fois de me plonger dans une nouvelle histoire, me familiariser avec de nouveaux personnages, risquer l’inégalité de niveau… Seulement voilà, pour « Black Mirror », rien de tout ça. Certes les histoires sont indépendantes, mais il y a tout de même une continuité qui se dégage vite entre les épisodes : le question sur l’aliénation par la technologie, l’ancrage très profond dans les questions d’actualité et – surtout – le regard cynique. C’est une constante et cette constante me va très bien car chaque épisode est traité avec beaucoup de soin, d’intelligence et d’originalité. A chaque fois je rentre très vite dedans, grâce à une intrigue qui sait mettre très rapidement l’accent sur l’originalité de son propos, mais aussi parce qu’on a cette garantie que la série ne va se poser aucune limite. Or, cette liberté, couplée au grand savoir-faire de la réalisation, c’est bien là toute la force de sombre miroir qui, à bien des égards, a de quoi faire date…
    Arnaud R
    Arnaud R

    85 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Une excellente première saison pour cette mini série futuristique mais très réaliste. Les sujets abordés sont variés et angoissants.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    96 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2015
    Petit morceau de bravoure venu tout droit du Royaume-Uni, Black Mirror, diffusée sur Channel 4, création originale d’un certain Charlie Brooker, frappe comme un grand coup de massue dès la diffusion d’hymne nationale, son premier épisode. Au format anthologique, la série, qui n’en n’est pas une au sens strict du terme, pousse à la réflexion en grattant là où ça saigne, pousse le consommateur, l’utilisateur, à s’interroger sur l’avenir d’un monde sur connecté, ses dérives, ses potentiels diktats technologiques. Avec une certaine dose d’humour, un fort penchant pour le politiquement non-correct, Charlie Brooker nous propose, en 2011, une composition de trois épisodes, radicalement différents les uns des autres mais tous ayant traits à l’abus, aux faiblesses, à la marginalisation des médias, de l’internet, des technologies et des réseaux sociaux. Chacun des épisodes, sortes de court-métrages indépendants, nous renvoie vers une certaine logique, certes exacerbée, mais jamais dénuée d’un certain réalisme angoissant.

    Le premier épisode, justement l’hymne national, dystopie plutôt terre-à-terre, dans le fond, s’affiche comme le jeu pervers d’un narrateur qui ose le trash, l’immoralité pour renforcer son propos. Un premier ministre britannique est donc destiné à s’adonner à la zoophilie, aux yeux de toutes et tous en vue du sauvetage de la princesse de la famille royale kidnappée. La toile s’impose alors comme le moteur de l’épisode, qu’il s’agisse du partage de vidéos comme des réseaux sociaux. Dans l’impasse, la triste seule solution proposée au protagoniste principal ne nous est pas épargnée. Réjouissant, d’abord, puis attristant, le constat se lit également sur les faciès des personnages assistant à la scène, nous font nous interroger sur la curiosité morbide dont nous sommes tous dotés. Impressionnant de limpidité, de maîtrise narrative, malgré une durée d’environ 45 minutes, ce mini-film nous égratigne profondément, bien que d’avantage adressé aux britanniques.

    Le second opus, lui, dévie fortement d’une potentielle réalité. Là, nous nageons en pleine science-fiction, là où le consommateur est l’esclave de sa dépendance à la célébrité, à la reconnaissance, via des avatars qu’il s’agit de personnaliser, via une technologie de pointe. Le potentiel prétendant au titre de star engrange des crédits, s’efforce de payer virtuellement son ticket vers un paradis pas toujours rose. Difficile à comprendre de quoi il ressort? Evidemment. Je ne peux dès lors que conseiller à tous de visionner ce drôle de court-métrage, diablement habile sur le plan technique et narratif, une bombe, là aussi dystopique, qui renvoie le public vers les affres probables du monde de la consommation exacerbée. En prenant le risque de parodier la célèbre et décérébrée émission La nouvelle star, le scénariste tente de dresser le portrait d’une humanité asservie, subjuguée par la réussite sur les réseaux. Curieux mais diablement captivant, l’épisode ne manque pas, lui-aussi, d’atout plutôt glaçant (le destin de la protagoniste féminine).

    Pour boucler sa première trilogie, Black Mirror nous offre un thriller d’anticipation plutôt conventionnel dans sa forme mais plutôt original sur le fond. Moins choquant, moins convaincant que les deux épisodes précédent, celui-ci s’illustre en mettant en lumière le possible enregistrement de la mémoire par le biais d’une puce implantée. Certes, cela n’est pas foncièrement cirant d’originalité, mais ce procédé permet une nouvelle approche d’une vision d’un couple qui se déchire. Si tout est sauvegardé, à portée de main, l’adultère l’est aussi. Bref, la technologie dessert les rapports humains.

    Trois phases, trois différents récits, qui, en toute harmonie, en viennent plus ou moins aux mêmes conclusions. Immanquable, d’autant que maintenant disponible sur Netflix, qui produira prochaine les douze épisodes qui composeront une troisième saison, cette première volée s’avère jouissive, novatrice et suffisamment irrévérencieuse pour que le doute quant à sa provenance ne soit pas permis, le royaume de sa majesté. 17/20
    Audrey L
    Audrey L

    548 abonnés 2 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2019
    L'épisode du cochon, du pur machiavélisme ! Certainement un des épisodes qui marqueront à vie ceux qui oseront le regarder, vraiment très dérangeant sans jamais tomber dans le sanglant ni la torture gratuite (à la "Saw"), ici l'horreur réside dans ce que l'on devine... L'entrée en matière de Black Mirror est à double tranchant : beaucoup, écœurés, s'arrêteront à ce premier épisode-choc, mais d'autres (parmi lesquels je me compte) applaudiront le scénario audacieux et la maturité du discours sur la société, et continueront avidement à visionner la suite. Les deux autres épisodes ne m'ont pas autant emportée, moins grandioses, moins trash, et moins fins dans leur critique sur la société de consommation (l'épisode qui mélange "X-Factor" et un script post-apocalyptique bien pessimiste à la "The Island") et le droit à la vie privée (les implants qui enregistrent tout ce que l'on voit, et dans lesquels on peut farfouiller à sa guise pour percer n'importe quel secret ou agissement d'autrui). Les guests sont un vrai plaisir puisque l'on ne les mets pas en avant comme des "stars faire-valoir de l'épisode" (comme dans les dernières saisons des Simspon, bien vides sans les stars à chaque épisode) mais on loue leur talent au même niveau que les acteurs moins connus de l'épisode : Jodie Wittaker, Rupert Everett (joie de revoir ce grand Monsieur !!!), Daniel Kaluuya (Get Out)... Pour conclure, on retient davantage l'histoire du ministre et du cochon, très critique et qui n'hésite pas à nous tirer le tapis sous les pieds avec une chute peut-être encore plus dérangeante que l'acte zoophile : si les gens n'avaient pas regardé comme des voyeurs malsains cette diffusion, ils auraient vu spoiler: la gamine dans la rue
    , et auraient pu arrêter le ministre avant l'horreur... Au final, l'épisode nous le dit clairement : avec notre appétit des programmes dégradants, nous sommes aussi coupables que le bourreau lui-même... Je reste ébahie de l'ingéniosité et de l'audace de ce premier épisode.
    Redzing
    Redzing

    919 abonnés 4 295 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2018
    "Black Mirror" est série britannique de moyens-métrages, indépendants scénaristiquement les uns des autres, mais reliés par un thème commun : la possible aliénation de l'humain par les nouvelles technologies. Cette première saison comporte trois épisodes d'environ 50 minutes : un ministre soumis à un chantage culotté, un individu prisonnier d'un monde à base de pédalage de vélo et d'émissions abrutissantes, et une crise de couple dans un univers où chacun enregistre en permanence tout ce qu'il voit. Si les passages sont inégaux et que l'on ressent parfois quelque longueurs, la série a le mérite de faire preuve d'une redoutable inventivité scénaristique, et d'un grand cynisme. Le ton est très noir, voire cruel, et l'intégration intelligente de chaque concept dans une société tout à fait crédible fait poser de nombreuses questions, différentes selon les épisodes (sur-connectivité, dépendance aux médias des petits gens comme des puissants, facilité d'un système immonde à nous faire mettre notre éthique de côté, culte du corps, narcissisme, rapport entre respect de la vie privée et abondance de l'information...). Par ailleurs, les acteurs sont globalement très bons, et la réalisation est sobre et efficace, allant de paire avec le ton sombre de l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 mars 2018
    Je ne comprend pas comment cette série à pu fonctionner, le thème annoncé est original et ouvert à beaucoup de scénario, mais la mise en scène, caméra, ambiance, rythme, ..., bref déçu par cette série britannique
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