Avis Journal d'une ado hors norme - Page 2

serie destiné d'abord aux 15-25 ans , mais retranscris bien la vie , les angoisses , les problèmes des jeunes autour de 18 piges.. dans une ambiance musicale des années 90 , rock alternatif , anglais etc..( une epoque ou on nous soulait pas encore complétement avec ce rap de merd..).. psychologie des personnages intéressante.. scenario captivant , on ne s’ennuie jamais.. du leger ,du drame etc.. la vie réelle..

j'ai 55 ans et même si oui je reconnais '''normalement ''' de ne pas avoir l'âge de regarder cette série mais voilà elle est anglaise , le mal être des ados étaient pareils à notre époque , c'est tout simplement bien fait alors quand je tombe dessus j'adhère

Je ne l'attendais pas
Mais sérieux c'est juste génial, les anglais sont vraiment très doués pour des séries sur les ados

J’ai commencé la série sans trop m’attendre à quelque chose. C’est un bijou. Extrêmement bien scénarisé. Rae, une jeune fille complexée par son corps, qui découvre la vie, l’adolescence dans un ton léger puis d’un autre plus dramatique. La série ne describilise pas du tout les troubles et donne un point de vue juste : les premiers amours, la première fois, le lycée et ses difficultés… puis d’un côté une vie un peu en vrac. C’est assez fou de voir une série qui fait du bien autant qu’elle fait réfléchir sur la vie en général, la difficulté des ados, leurs problèmes, les complexes, tout ça dans une série qui n’est absolument pas niaiser je trouves.

Pour ma première critique personnelle sur Allociné, je n'ai pas peur de mettre cinq bonnes étoiles sans hésiter. Cette série est simplement fabuleuse. Les personnages, dans leur psychologie, leurs problèmes, leurs espoirs, sont criants de vérité. Au fur et à mesure que l'histoire avance, chacun d'eux se révèle, et présente au spectateur des personnalités attendrissantes (Karim, Finn,...). Un point important, qui est renforcé par les jeux d'acteurs d'excellente qualité, comme à l'accoutumé dans les séries britanniques.

L'histoire, toujours vraie, jamais dans l'excès, donne à réfléchir. Une belle leçon d'existence.

Je conseille vivement cette série à chacun, même si les amateurs de séries britanniques y seront, je pense, plus sensibles.

Je suis étonnée de voir que My Mad Fat Diary n'ait pas plus de critiques et de notes, parce qu'elle vaut vraiment le détour. J'insiste sur le vraiment. Je regarde des séries depuis toujours et j'ai tendance à les diviser en deux catégories. Il y a celles qui me font rêver à une vie plus folle, plus palpitante, qui me permettent de suivre des personnages que j'admire mais dans lesquels je ne me reconnais absolument pas. Et puis il y a celles qui me touchent directement, celles qui s'attaquent aux choses réelles, qui mettent en scène des personnages comme nous et qui n'ont pas peur de faire lumière sur leurs qualités comme sur leurs défauts. My Mad Fat Diary fait partie de celles-ci, avec, en plus, cette qualité de viser toujours juste : elle est drôle et décomplexée sans être vulgaire, elle est touchante sans être larmoyante et elle s'attache aux tourments des adolescents sans en faire des clichés. Si on aime My Mad Fat Diary, c'est parce que ce n'est pas seulement Rae qui suit une thérapie, c'est aussi l'adolescente complexée, soucieuse, envieuse, impatiente, pleine de peurs que nous sommes ou que nous avons toujours en nous. C'est un long travail qui, en deux fois six épisodes, creuse la carapace lisse des personnages, les pousse à dévoiler douloureusement toutes ces parts d'eux-mêmes qu'ils n'aiment pas pour commencer à les accepter, à s'en satisfaire et à se battre contre ce et ceux qui essayent de les faire sombrer. Comme ça, ça peut paraître une vision des choses très simpliste. Mais la série est d'une justesse incroyable, et bon nombre d'adolescents devraient se tourner vers elle plutôt que sur ce qu'on nous sert habituellement !

Cette série est incroyablement touchante et drôle ! En effet en lisant le synopsis on peut se dire que tout ça à l’air, mine de rien, bien triste, ou alors que c’est incroyablement cliché comme scénario. Cependant, croyez-moi, cette série sent le neuf. Certes, une adolescente qui se sent mal dans sa peau, tout le monde connait, on est même tous passé par là, mais dans My Mad Fat Diary, le réalisme des faits, de l’histoire, contrastant avec l’humour décalé et l’imagination débordante de Rae ne peuvent vous laisser de marbre. Cette série vous force à sourire malgré la situation, et je peux vous assurer qu’il est également impossible de ne pas s’imaginer à la place de la jeune femme car elle nous confie tout ! Ses désirs, ses passions, ses tristesses, ses peurs, ses amours… son journal intime est un secret entre elle et nous, téléspectateurs. N’est-ce pas jouissif de tout savoir d’une personne ? Non, non, ne mentez pas, je sais très bien que vous avez déjà été tenté de lire un journal qui ne vous appartenait pas, ou un même un message qui ne vous était pas destiné, après tout, nous sommes bien humains, non ? Bref, cette série rassasie en quelque sorte la curiosité que l’on éprouve toujours face à nos personnages préférés de série, ici Rae sera sans secret pour vous ! Ah mais attendez, je sais maintenant ce que vous pensez: cette série est sans mystère, Non, non mes petits, n’ayez crainte car les autres personnages restent secret au sujet de leur vie et beaucoup reste à découvrir d’eux … Autre point positif de la série, l’ambiance SO 90‘s Oh Yeah! La bande son est... suite de l'article sur Super Bobine !

Magnifique, rien à dire, j'ai regardé d'une traite les 2 saisons, et j'ai envie de les revoir. L'adolescente toujours enfouie en moi est tombée amoureuse de Finn, mais aussi d'Archie de Chop, de Tix, de Danny, d'izzy de la BO et de leur accent anglais que je trouve si sexy !
Cette série mérite bien plus de visibilité !

Réalisation moyenne. Manque de réalisme. Restituer la série dans les années 90 ne va pas plus donner de réalisme que ça, les personnages restent des stéréotypes gros comme une montgolfière : la ronde mal dans sa peau qui s'assume pas, qui n'a que des problèmes (dur la vie quand on a pas d'amis, quand on vit dans une boîte en carton et qu'on a une culture musicale au ras des pâquerettes...), et comme si cela ne suffisait pas, elle a une meilleure amie qui elle est son contraire : mince, « jolie », populaire (il faut bien une jolie et une moche dans un groupe)... Vous avez dit cliché ? Si seulement le ton de la série était moins dans le pleurnichard, ça ne fait que se plaindre de ses soucis quotidiens (Est-ce que je plais au beau gosse de la bande ? My best friend va-t-elle arrêter d'être aussi égoïste ? Bref, que des questions existentielles...). Sérieusement, il n'y a pas un seul épisode sans que ça pleure, ça se plaint, si bien qu'à la fin de la saison ma tête a doublée de volume. C'est l'adolescence je sais bien, passage délicat et tout et tout, mais pourquoi autant de négativité ? Malgré tout (du positif) l'atout majeur est la bande originale de qualité ; que des tubes bien choisis pour l'occasion, pour chaque situation.

Une très bonne série comme (seuls ?) les Anglais savent le faire.

Ce qu’il y a de vraiment bien avec notre époque c’est que lorsqu’on est malade, cloué au lit avec de la fièvre et un nez qui coule, on n’est pas obligé de regarder les programmes nuls de la télévision, ni de rembobiner une VHS vue 100 fois. On peut découvrir une série totalement inédite et l’adorer au point d’en oublier d’être malade.

Il est amusant de constater à quel point un résumé peut mal refléter l’intérêt d’une production, car My mad fat diary n’est pas (seulement) une série d’ado mal dans sa peau qui cherche à se faire une place dans ce monde cruel et hostile. C’est (aussi) un bijou d’humour, de situations abracadabrantes et de fines introspections.

Le premier point vraiment passionnant, c’est le personnage principal, joué par Sharon Rooney : le rôle de Rachel “Rae” Earl sonne juste, très juste. Bien sûr, comme dans quasiment toutes les séries, le spectateur est sensé s’identifier au personnage autour duquel tourne les épisodes, mais dans le cas de Rae cela prend une proportion impressionnante. Peut-être parce qu’elle est le reflet de nos complexes d’adolescent, de nos moments de malaise, de nos espoirs et fantasmes… elle agit comme la catharsis de nos émotions. Il s’agit donc d’un rôle particulièrement bien écrit et interprété.

La dynamique de la série repose sur les échanges entre Rae et son journal intime, celui-ci fait office de témoin et de confident comme si elle s’adressait directement aux spectateurs. Cette impression de partager les réflexions intimes de Rae passe par des incrustations, dans les images, de pensées dactylographiées (voir image ci-dessus) ou de dessins (ci dessous). Je pense que la réussite de cette série tient autant à la proximité avec le personnage principal, qu’à l’alternance entre les ressorts dramatiques de l’histoire (une gamine obèse qui est à peu près aussi à l’aise en société qu’un rorqual au milieu du désert) et des instants comiques. Rae dispose d’un bon sens de la répartie et de pas mal d’ironie sur sa situation.
Suite de cette critique sur le site mondeazerty.fr

Très bonne série, sûrement une de mes série préfères :)
On passe par toutes les émotions en la regardant.

Une de mes séries préférées ! Un concept parfait, des acteurs parfaits ! bref à voir !!!

Très bonne série, qui reste pourtant très simpliste puisqu'elle se base sur la vie d'un groupe d'adolescent en Angleterre. Mais l'humour est là, les personnages sont attachants tous autant qu'ils sont, tous très différents, et malgré les stéréotypes. Un Skins ouvert au public, qui met de bonne humeur après une longue journée. Bref, un vrai coup de coeur pour moi, je la recommande vivement pour ceux qui veulent voir "autre chose" que toutes les séries du moment:)

Qu'entend-je ? Il y aurait une saison 3 de My Mad Fat Diary en préparation ? En voilà une sacré grosse bonne nouvelle !

pas comme Léa Seydoux en James Bond Girl...)
Si vous ne connaissez pas encore cette petite merveille de série anglaise, voici la séance de rattrapage. Ce n'est pas une honte d'être au rattrapage... Sauf quand toutes tes copines de Lycée sont passées. Tu sais, ces copines de Lycée, celles qui étaient toujours plus belles, plus drôles et plus bonnes que toi. Tu vois de quoi je parle ? Ce bon vieux mal-être de l'adolescence ? Tu as de la chance il y a déjà deux saisons à dévorer.

My Mad Fat Diary c'est la vie de Rae Earl, 16 ans, 120 kilos. Elle tient un journal intime dans lequel elle raconte ses deux plus grosses angoisses : la bouffe et son corps. C'est drôle, vraiment très drôle. Mais pas que. On s'identifie immédiatement à ce personnage entier et fragile qui tente de décortiquer son monde et de s'y adapter.

"Aucun prince pour m'emporter au coucher du soleil...
La raison pour laquelle, bien sûr,
Je ne ressemble pas à sa princesse ?
Je ressemble à son cheval."

Note spéciale à la bande son de cette série qui a de quoi raviver l'adolescente effarouchée aux hormones en ébullition qui est en toi : Oasis, Radiohead, Shaggy, les Bee Gees... Finalement, cette série est-elle faite que pour les filles traumatisées ? Non. C'est pour tous ceux qui se cachent pour manger derrière leur gros sweat à capuche, ceux qui angoissent à l'arrivée de l'été et qui se promettent : "l'année prochaine, c 'est sûr, je fais un régime"... Et ceux qui tombent amoureux de n'importe qui et de n'importe quoi.