Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Mindhunter : la nouvelle série de David Fincher est un petit bijou à ne pas rater (…) C'est fort, c'est intense, c'est beau, c'est dur, c'est grand, c'est Mindhunter.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Martine Delahaye
Mindhunter s’avère passionnante avant tout grâce à ses deux premiers épisodes : tant pour sa mise en scène, son montage, son humour sous-jacent que pour la somme d’interrogations qui se fait jour en cette fin des années 1970, période post-guerre du Vietnam, post-Watergate, mais aussi post-‘Summer of Love’.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cosmopolitan
par Loïse Delacotte
Si vous aimez les films policiers, les thrillers et les histoires de tueurs en série, vous avez devant vous votre nouvelle série policière préférée. Mais on vous prévient, elle risque de vous donner des sueurs froides....
La critique complète est disponible sur le site Cosmopolitan
Elle
par Ophélie Daguin
La série promet de nous glisser dans la psyché complexe et effrayante de ces meurtriers. Composée de dix épisodes – dont au moins trois réalisés par David Fincher – Mindhunter devrait plaire à tous les fans de séries à la fois cérébrales et terrifiantes. Et si vous avez aimé angoisser devant les films Seven et Zodiac, elle est faite pour vous !
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par La rédaction
Le générique nous donne un avant-goût de la qualité de la série en détournant le célèbre test de Rorschach (les tâches d’encre sont remplacées par des gouttes de sang) avec un léger zoom avant, comme une invitation à pénétrer le cerveau des serial killers. Brrrr.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Marjolaine Jarry
Après un premier épisode d’exposition un peu propret, le deuxième prend toute son ampleur en se nouant autour des entretiens que mène le jeune Holden (…) Avec l’élégance et la sobriété musclées qui caractérisaient déjà Zodiac, sur une palette gris-bleutée mi-documentaire mi-onirique, et sans se départir d’un humour acide, David Fincher (qui réalise ces deux premiers épisodes ainsi que les deux derniers) raconte ce qu’on pressent être un voyage initiatique, aussi fascinant que désorientant, au cœur des pulsions destructrices.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro Magazine
par Etienne Sorin
Mindhunter ne représente pas un budget énorme, ne compte pas de stars au générique. Mieux, il est un laboratoire formidable pour un raconteur d’histoires comme Fincher. (…) Vivement la suite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Point
par Philippe Guedj
Là où la série nous accroche le plus, c'est dans le minutieux et inlassable travail de conviction mené par ses deux héros face à des institutions judiciaires qui ne comprennent pas encore à quel point les codes ont changé. Les dialogues mettent adroitement en relief cette lutte entre l'ancien et le nouveau paradigme. (…) La série s'engage ainsi dans une voie ambitieuse et risquée, entre le tableau d'une époque, une réflexion sur la nature du mal et un thriller classique sur les affaires criminelles croisées par nos deux héros itinérants.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Benjamin Rozovas
Contrairement à un film comme Le Silence des agneaux, qui trace au sol une ligne de démarcation entre nous et les tueurs psychopathes, Mindhunter cherche à comprendre ce qui nous rapproche d’eux. (…) Soit très exactement ce qui travaille en profondeur le cinéma de Fincher depuis quelques films ; l’ordre, le tissu collectif, l’homme en tant qu’animal social et spongieux. Il ne signe que quatre épisodes sur dix mais Mindhunter est sans doute le truc le plus fincherien qu’il ait jamais fait.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par La rédaction
Méconnu du grand public, le profiling est pourtant l’une des méthodes les plus efficaces du FBI. Elle permet aux agents de comprendre le tueur ainsi que ses motivations afin de le devancer lors de son prochain crime. Dans Mindhunter, David Fincher redonne vie aux premiers jours de cette discipline. (…) En optant pour ce pan de l’histoire policière, le réalisateur innove et envoie aux oubliettes les Esprits Criminels… On ne sait pas vous, mais nous, on a hâte d’en voir plus !
La critique complète est disponible sur le site Public
Télérama
par Pierre Langlais
On comprend vite qu’il se cache derrière ce road-trip atypique une réflexion passionnante.(…) Si ces promesses se confirment, Mindhunter pourrait être une sorte de "buddy movie" (…) Elle devra pour cela tenir un équilibre entre suspense et réflexion sur "l’esprit criminel" et sa frontière avec celui du flic qui le traque – où s’arrête la raison, et où débute la "folie" ? Très intelligemment, les scénaristes y ajoutent peu à peu une bonne dose d’humour, qui repose sur les énergies complémentaires du délicat Groff et du rugueux McCallany.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par La rédaction
David Fincher a réalisé les deux premiers épisodes de cette série sur les hommes qui ont inventé le terme “tueur en série”. Lent à démarrer mais forcément intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Cécile Jandau
Après House of Cards, David Fincher, le virtuose (Seven, Fight club, The Social Network), continue ses pérégrinations sur le petit écran avec Mindhunter, un thriller psychologique qui promet d’être très addictif.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Ecran Large
Mindhunter : la nouvelle série de David Fincher est un petit bijou à ne pas rater (…) C'est fort, c'est intense, c'est beau, c'est dur, c'est grand, c'est Mindhunter.
Le Monde
Mindhunter s’avère passionnante avant tout grâce à ses deux premiers épisodes : tant pour sa mise en scène, son montage, son humour sous-jacent que pour la somme d’interrogations qui se fait jour en cette fin des années 1970, période post-guerre du Vietnam, post-Watergate, mais aussi post-‘Summer of Love’.
Cosmopolitan
Si vous aimez les films policiers, les thrillers et les histoires de tueurs en série, vous avez devant vous votre nouvelle série policière préférée. Mais on vous prévient, elle risque de vous donner des sueurs froides....
Elle
La série promet de nous glisser dans la psyché complexe et effrayante de ces meurtriers. Composée de dix épisodes – dont au moins trois réalisés par David Fincher – Mindhunter devrait plaire à tous les fans de séries à la fois cérébrales et terrifiantes. Et si vous avez aimé angoisser devant les films Seven et Zodiac, elle est faite pour vous !
GQ
Le générique nous donne un avant-goût de la qualité de la série en détournant le célèbre test de Rorschach (les tâches d’encre sont remplacées par des gouttes de sang) avec un léger zoom avant, comme une invitation à pénétrer le cerveau des serial killers. Brrrr.
L'Obs
Après un premier épisode d’exposition un peu propret, le deuxième prend toute son ampleur en se nouant autour des entretiens que mène le jeune Holden (…) Avec l’élégance et la sobriété musclées qui caractérisaient déjà Zodiac, sur une palette gris-bleutée mi-documentaire mi-onirique, et sans se départir d’un humour acide, David Fincher (qui réalise ces deux premiers épisodes ainsi que les deux derniers) raconte ce qu’on pressent être un voyage initiatique, aussi fascinant que désorientant, au cœur des pulsions destructrices.
Le Figaro Magazine
Mindhunter ne représente pas un budget énorme, ne compte pas de stars au générique. Mieux, il est un laboratoire formidable pour un raconteur d’histoires comme Fincher. (…) Vivement la suite.
Le Point
Là où la série nous accroche le plus, c'est dans le minutieux et inlassable travail de conviction mené par ses deux héros face à des institutions judiciaires qui ne comprennent pas encore à quel point les codes ont changé. Les dialogues mettent adroitement en relief cette lutte entre l'ancien et le nouveau paradigme. (…) La série s'engage ainsi dans une voie ambitieuse et risquée, entre le tableau d'une époque, une réflexion sur la nature du mal et un thriller classique sur les affaires criminelles croisées par nos deux héros itinérants.
Première
Contrairement à un film comme Le Silence des agneaux, qui trace au sol une ligne de démarcation entre nous et les tueurs psychopathes, Mindhunter cherche à comprendre ce qui nous rapproche d’eux. (…) Soit très exactement ce qui travaille en profondeur le cinéma de Fincher depuis quelques films ; l’ordre, le tissu collectif, l’homme en tant qu’animal social et spongieux. Il ne signe que quatre épisodes sur dix mais Mindhunter est sans doute le truc le plus fincherien qu’il ait jamais fait.
Public
Méconnu du grand public, le profiling est pourtant l’une des méthodes les plus efficaces du FBI. Elle permet aux agents de comprendre le tueur ainsi que ses motivations afin de le devancer lors de son prochain crime. Dans Mindhunter, David Fincher redonne vie aux premiers jours de cette discipline. (…) En optant pour ce pan de l’histoire policière, le réalisateur innove et envoie aux oubliettes les Esprits Criminels… On ne sait pas vous, mais nous, on a hâte d’en voir plus !
Télérama
On comprend vite qu’il se cache derrière ce road-trip atypique une réflexion passionnante.(…) Si ces promesses se confirment, Mindhunter pourrait être une sorte de "buddy movie" (…) Elle devra pour cela tenir un équilibre entre suspense et réflexion sur "l’esprit criminel" et sa frontière avec celui du flic qui le traque – où s’arrête la raison, et où débute la "folie" ? Très intelligemment, les scénaristes y ajoutent peu à peu une bonne dose d’humour, qui repose sur les énergies complémentaires du délicat Groff et du rugueux McCallany.
Les Inrockuptibles
David Fincher a réalisé les deux premiers épisodes de cette série sur les hommes qui ont inventé le terme “tueur en série”. Lent à démarrer mais forcément intrigant.
Sud Ouest
Après House of Cards, David Fincher, le virtuose (Seven, Fight club, The Social Network), continue ses pérégrinations sur le petit écran avec Mindhunter, un thriller psychologique qui promet d’être très addictif.