Avis La Casa de Papel S1

voilà une série sympathique à suivre.
Saison 1 : démarrage de ce braquage avec une équipe mené par un maestrio.
Bon, plusieurs épisodes laissent à désirer, pour une équipe de pro, ils sont souvent à la ramasse.
Mais la série se regarde aisément avec un intérêt certain.

Très bonne première saison qui nous donne envie de voir la deuxième ! Cette série a plein de personnages intéressants, complexes, je pense notamment à Berlin ou Nairobi. Il y a de l'action et du suspense, vraiment très bien !

La première saison est très bien, plus que prenante, et le réalisateur sait comment gérer la pression et l'attente du spectateur avec une mise en scène un peu trop classique mais un scénario qui frôle l'imprévisible.

Je ne comprend pas l'engouement pour cette série. Porté par les critiques dithyrambique et malgré une bande annonce peu palpitante, j'ai commencé la série.
Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai levé les yeux au ciel.

Déjà les personnages complètement clichés du début à la fin. les situation complètement clichées, et les dialogues complètement nuls.
Ensuite les mecs sont censés être des cracks surentraînés pendant 5 mois,et leur mentor un génie; et ils commettent ânerie sur ânerie, bêtise sur bêtise, on dirait des amateurs guignols.
Je me dis qu'ils le font exprès, parce qu'il y a une ruse dans la ruse, un piège dans le piège, un truc génial à la Oceans 11. Non ils sont juste tous débiles.
Et la police aussi est complètement débile, sauf la négociatrice. Dont le rôle devrait d'ailleurs se limiter à la négociation, mais qui en fait mène toute l'enquête à elle toute seule (et les flics sont incapables sans elle de faire un zoom sur une vidéo reçue ; et aucun flic ne va se douter au bout d'une heure qu'ils sont dans la maison de la monnaie avec tout le personnel en otage pour imprimer des billets ? Sans déconner ? Et personne ne leur coupe le jus ?)

Je me suis arrêté au 5e épisode, non seulement on s'ennuie ferme devant les minuscules histoires sans intérêt auxquelles on a droit, mais à trop lever les yeux au ciel devant tant de bêtise, je me suis luxé la paupière, alors il est bon pour sa santé d'arrêter.

Que des avis un peu honnêtes soient écrits ici. Vous 'êtes pas obligés d'adorer au prétexte que les média vous gavent à dire que c'est génial.
C'est de la daube, et seul Berlin est un bon acteur, tous les autres sont à jeter dans les rouages de leur machine.

Bon il a bien fallu que je m’y mette. Bah oui, à force d’entendre parler de la série espagnole « La casa de papel » - un collègue de travail la qualifiait encore récemment de « chef-d’oeuvre » - je me suis décidé à mater la saison 1. Enfin, les 13 épisodes de la première partie de la saison 1 puisque celle-ci est manifestement scindée en deux parties. Pas besoin de poursuivre l’expérience, ma patience et mon indulgence ont quand même des limites: ces 13 premiers épisodes de la soi-disant nouvelle série-phénomène de Netflix suffisent largement pour découvrir la supercherie. Quand on voit le nombre d’excellentes séries proposées aux téléspectateurs (dont une grande partie est chroniquée sur ce blog, je vous le rappelle les amis), je me pose la question: le monde va t-il si mal pour faire de ce truc un tel succès?? Est-ce grâce au contexte social mouvementé que cette série racontant un braquage et prétextant mollement un pseudo message contestataire est brusquement sortie de l’anonymat dans lequel elle aurait dû restée?? D’ailleurs, cette idée de masques des braqueurs à l’effigie de Salvador Dali évoquant fortement ceux du collectif anarchique des « Anonymous » ne ressemblerait-elle pas à un acte manqué de la part des scénaristes?

Bon finalement ça fait trois questions et comme je n’ai aucune réponse à vous proposer, je vais me contenter de rappeler quand même le pitch: il s’agit en effet d’un braquage et d’une prise d’otages, soigneusement organisés dans les moindres détails par un génie, « le Professeur », celui-ci restant planqué dans son entrepôt pour filer les ordres à ses huit recrues, manipuler la police - au propre comme au figuré en ce qui concerne l’inspectrice Raquel Murillo - avec une aisance déconcertante, et tenter de retourner l’opinion publique en sa faveur en se faisant passer pour un chantre non-violent de la redistribution des richesses. Car le gang s’attaque ici à la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre de Madrid et a bien l’intention de taper l’incruste une dizaine de jours afin d’imprimer un petit milliard ou deux d’euros, rien que ça.

La série a été créée par un certain Alex Pina. Connais pas, mais quand on découvre après coup que le bonhomme a fait ses armes chez l’équivalent ibérique de TF1, Telecinco, chaîne hyper commerciale très critiquée en Espagne pour la qualité putassière de ses programmes (notamment de télé-réalité), on est beaucoup moins surpris de constater que sa série ressemble davantage à une vulgaire télénovela à la sauce braquo formatée pour la tranche des 18-24 ans qu’à un classique du huis clos anxiogène « braqueurs/otages » comme « Un après-midi de chien » de Sydney Lumet.

Mais faute de personnalité, le truc lorgne dès le début du côté des productions anglo-saxonnes et américaines - montage dynamique, musique rock et électro, voix off (inutile) - et ne fait donc que se tirer une bastos dans le pied en soulignant cruellement à quel point le niveau des créations outre-manche et outre-atlantique est difficilement égalable.
Le premier problème tient dans la crédibilité du scénario et de ses ressorts, qui étirent artificiellement l’intrigue jusqu’à l’indigestion. Cette « maison de papier » se chiffonne dès les premières épisodes et se transforme rapidement en une boulette de papier ballotée par les incohérences et les cliffhangers ridicules, notamment ceux concernant le cerveau de l'opération. Pardonnez-moi cette odieuse comparaison me permettant de proposer un petit exemple: là où la mécanique implacable d’une bombe comme « Breaking bad » nous faisait gober sans moufter les efforts de Walter White pour dissimuler son double, « Heisenberg », on ne croit pas ici une seconde aux stratagèmes déployés par le personnage de Sergio Marquina pour dissimuler sa seconde identité du « Professeur ». Certains rebondissements sont franchement gênants, comme la scène de la tasse de café avec la mère de Raquel, où celle dans laquelle il contacte en russe le gardien de la casse qui se trouve alors chez les flics en tant que témoin.

Mais ce personnage de chef de bande, malgré son absence totale de charisme, est loin d’être le pire, comparé aux autres…Alors non seulement les scénaristes, lors de l’écriture de leur caractère, leur ont réservé l’épaisseur d’un carpaccio de saumon, mais figurez-vous qu’ils s’avèrent tous plus débiles les uns que les autres, en particulier les huit braqueurs! Outre le stéréotype du petit branleur au ricanement gras incarné par « Denver » ou celui de l’allumeuse badass de service en la personne de « Tokyo », je ne sais plus si c’est « Helsinki » ou « Oslo »… euh attendez, là je crois que je dois ouvrir une petite parenthèse pour vous préciser que « le Professeur » leur a tous donné des noms de villes pour masquer leur identité, même si ils en ont de toute évidence rien à foutre puisqu’ils vont tous rapidement montrer leur visage aux otages! Donc je disais: je ne sais plus si c’est « Helsinki » ou « Oslo », les deux molosses ayant un tantinet la même tronche, mais il y en a quand même un qui ne sait pas ce que sont des… empreintes !!! Si, si, je vous assure, « le Professeur » se voit obligé de lui expliquer au téléphone!! J’exagère donc pas si j’évoque une certaine débilité profonde hein, on est d’accord? Ça pourrait être drôle si c’était une série comique mais non, tout ici est hélas servi au premier degré, plombé par une interprétation sans nuances et traversé qui plus est de sous-intrigues sentimentales ridicules.

Alors, grâce à une nouvelle ruse de renard imaginée par Marquina, rien d’étonnant finalement à voir tout ce petit monde retirer un instant son masque du peintre espagnol surréaliste pour en mettre un autre ressemblant à la figure effrayée du célèbre tableau « Le cri » d’Edvard Munch, puisqu’on a envie de hurler tellement tout cela est accidentellement surréaliste et effarant de connerie.
Les dialoguistes, si ils avaient eu l’idée ou le talent de placer quelques digressions savoureuses ou même de décocher quelques flèches de deuxième degré, auraient pu éventuellement relever un chouïa le niveau d’ensemble mais on reste là dans le domaine médiocre d’un banal soap. Le comble de l’ironie est atteint avec la seule réplique à retenir, d’une lucidité involontaire et terrible, cette phrase de « Nairobi » apostrophant le méchant « Berlin »: « Arrête tes conneries Berlin, on est pas dans un film de Tarantino! »
Doux euphémisme…

Un scenario alléchant, on a envie de savoir comment un braquage va sortir des stéréotypes du genre … Effectivement il en sort, mais à quel prix !
On va d’incohérences en invraisemblances, de grosses ficelles en situations dont le dénouement est tellement inespéré qu’elles feraient passer Mac Gyver (ancienne version, je ne connais pas la nouvelle) pour un malchanceux invétéré ! Tout cela est rédhibitoire pour qui est à cheval sur une crédibilité –même relative- de l’intrigue.
Quelques exemples : spoiler: la visite surprise du professeur chez la mère de l’inspectrice considérée comme normale, alors qu’ils ne se connaissent que depuis quelques jours et qu’ils viennent juste de coucher ensemble. - l’invraisemblable trouvaille (pour ne pas dire gag) pour faire disparaître le portrait-robot du professeur : c’est énorme, et il y a trop à dire ! La liberté ou l’argent : la proposition faite aux otages d’être libérés ou de rester moyennant une rétribution ultérieure de 5 millions … combien parmi ceux-ci (sans parler du « professeur » lui-même) ne se disent pas alors que les libérés donneraient la raison pour laquelle les autres ne l’ont pas été, avec toutes les conséquences ??? Soyons sérieux ... La balle dans la jambe de l’otage : balle à bout portant, reste coincée dans la jambe sans rien casser ni toucher l’artère, la femme qui hurle de douleur mais quelques secondes après simule la mort pendant 30 secondes avec le sang qui cesse miraculeusement de couler, le fait qu’elle remarche normalement deux jours après … De façon générale, quel amateurisme des braqueurs ! Les combinaisons données aux otages semblent être faites pour cacher des objets, mais ils ne sont jamais fouillés alors qu’ils utilisent des outils !? De plus ils sont souvent laissés seuls, non attachés … on voit aussi des braqueurs se balader sans aucune précaution parmi les otages, on croit rêver. Et j'en passe ...


Les acteurs sont tous moyens, en font trop, et pour couronner le tout leur personnage manquent souvent de crédibilité dans leurs actes, leurs attitudes, et sont même pour certains superficiels voire caricaturaux. Seul celui de Berlin est réellement crédible, même si là encore les scénaristes ne le rendent pas toujours cohérent.

Les points positifs : les effets spéciaux, c'est plutôt bien fait dans l'ensemble, et la sexualisation de beaucoup de scènes (visuellement ou verbalement), on n’est pas en Espagne pour rien ! De belles plastiques que l’on peut contempler en détails, il y en a pour les garçons et les filles !

Une série qui fera (fait) essentiellement fureur chez les djeuns pour certaines raisons, ça tombe bien ils sont très présents sur Netflix ;-) C'est dommage pour les autres, il faut juste espérer que le succès rencontré n'encourage pas à aller dans le même sens de la superficialité en général :/

Véritable carton, "La Casa de Papel" est LA curiosité du moment. C'est aussi la preuve qu'il faut se méfier des séries "hype" puisque les éloges qui l'entourent ne survivent guère longtemps à un visionnage critique. Certes les 13 épisodes de cette saison 1 recèlent de ci de là quelques bonnes idées scénaristiques. Mais globalement la série déçoit : mise en scène tape-à-l’œil (musique appuyée, des scènes de fesses gratuites), flash-back très pauvres qui ne font pas avancer le récit, voix off qui ne présente aucun intérêt, rebondissements grossiers et prévisibles, etc. On peut aussi être sévère en ce qui concerne les personnages. Hormis un Berlin assez amusants, les autres protagonistes peinent à exister. Certains acteurs ne sont par ailleurs guère irréprochable. Bref, je reste très circonspect à l'issue de cette saison 1, qui ne boucle nullement l'histoire de braquage. Mais pas certain d'avoir le courage de me lancer dans la saison 2.

Acteurs au top, rythme d'enfer, curiosité énervée, du très lourd...
Impossible d'arrêter les épisodes, addictive série.

il parait que les goûts et les couleurs ne ce discutent pas. tout dans cette serie m'insuporte, du jeux d'acteurs au scénario. si vous avez pas de mal a regarder une serie avec un manque de crédibilité totale alors peut etre vous apprécierez. les acteurs jouent comme des pieds en surjouant tout, cest insuportable. une serie muette sur la qu'elle on aurait mis le son.

Je me suis farci la saison 1, je n'aurai jamais imaginé un tel supplice. Tout est grotesque, rien ne tient debout, alors ok c'est une fiction mais quand même, tout n'est qu'enormité sur énormité ! Je ne comprends absolument pas l'engouement pour cette série, c'est mauvais, c'est long, mais looooong !

1ère saison de la série espagnol " La casa de papel " .
Cette série nous raconte l'histoire d'un homme surnommer " le professeur " ( Alvaro Morte ) qui décide d'organiser le braquage du siècle en infiltrant la fabrique de monnaie d'Espagne . Son but imprimer 2,4 millards d'euros en moins de 11 jours et sortir avec tout cette argent . Pour exécuter son plan il recrute alors les meilleurs malfaiteurs du pays qui auront chacun une tâche spécifique à accomplir pendant le braquage . L'équipe de malfaiteurs investit la fabrique et prend en otage le personnel auquel il ordonne de fabriquer des billets non stop pendant une dizaine de jour . Le plan est mis en place mais tout ne va pas se passer comme prévu ...
" La casa de papel " est une excellente série venu tout droit d'Espagne qui rivalise sans problème avec les grosses productions américaines . C'est vraiment la série du moment . On peut dire merci à Netflix de proposer une large gamme de série et pas que américaine mais d'autre pays comme l'Espagne . L'histoire est originale et surtout très prenante avec une équipe de braqueurs qui va pendre en otage une soixantaine de personnes dans une fabrique de billet et les obliger à fabriquer des billets non stop pendant une dizaine de jours . Mais tout ne va pas se passer comme prévu entre les otages difficile à gérer et la police déterminer à sauver les otages ce qui va donner lieu à son lot de suspense , d'action , de tension , de rebondissements et d'humour . tout les ingredients pour passer un bon moment sans aucun ennuie . Tout au long de la saison on est tenu en haleine pour voir comment va se terminer se braquage et on ne va pas être au bout de nos surprises . La série a un petit côté " prison break " avec un homme brillant qui a tout planifié et qui voit son plan être mis à mal par de nombreux imprévu . Le professeur est un peu le Mickael scofield du braquage . J'ai bien aimer voir qu'il a vraiment tout planifier de A à Z et qu'il a prévu toutes les éventualités spoiler: et à chaque fois qu'on croit que le plan des braqueurs va tomber à l'eau le professeur avait prévu qu'il pouvait arriver une telle situation et avait donc un plan pour contrer ça .

Les épisodes sont ponctuer par de sympathique flashback qui nous montre comment a été organisé tout ce braquage et qui nous fait connaître un peu plus les personnages et leurs personnalités et qui nous montre qu'elles sont leurs motivations d'aller faire ce braquages . Et on découvre qu'ils ont chacun des personnalités différentes et des motivations bien différentes . On fini par s'attacher à pas mal d'entre eux quand on découvre que leurs motivations dans ce braquage sont plutôt noble spoiler: comme le fait de vouloir redémarrer une nouvelle vie après avoir galérer comme Moscou qui veut offrir une belle vie à son fils ou Narobi qui veut cette argent pour pouvoir récupérer son fils qu'on lui a enlever .
Pendant le braquage les caractères et personnalités de chacun vont vraiment se révéler spoiler: nottament face au braquage qui va se compliquer au fur et à mesure et sa va être tendu entre les braqueurs qui n'ont pas le même point de vue sur les méthodes à employer pour rétablir la situation et mener au mieux ce braquage . Sa va être explosif entre eux à telle point qu'on ne saura plus qui sont les méchants ni les gentils dans l'histoire et que le manichéisme du début ( les méchants brauqueurs face aux gentils otages ) va voler en éclat et j'ai trouver sa géniale .

Le casting est très bon avec une très belle brochettes d'acteurs ( Alvaro Morte , Ursula Corbero , Alba Flores , Pedro Alonso , Jaime Lorento Lopez , Itziar itunio ... ) qui incarnent parfaitement une belle galerie de personnages avec les braqueurs ( le professeur , Berlin , Moscou , Tokyo , Rio , Denver , Nairobi ... ) les otages ( Arturo , Monica .. ) et les flics ( Raquel ... ) . Les costumes des braqueurs sont stylés avec leurs combinaisons rouges et leurs masques pas possible ( des têtes pas possible avec des gros yeux ) qui est en totale décalage avec la situation dramatique ( le braquage ) qui me font bien rire et qui donnent une bonne ambiance à la série . La série est porter par de belles musiques et chansons espagnols et italienne qui donnent une bonne ambiance à la série ( bella ciao ! ) . Le générique est très sympathique avec une très bonne musique qui met bien dans l'ambiance .
La saison s'achève par un très bon épisode très prenant qui se termine par un très bon cliffhanger spoiler: ( la maison des braqueurs investit par les flics qui vont découvrir leurs identités )
qui nous donne qu'une envie attaquer la seconde saison au plus vite .

ma fille ado adore, moi je m'ennuie fermement par manque d'épaisseur des personnages et une écriture trop basique. Bof

En un mot : EXCELLENT. Du début a la fin.

Du début a la fin on a envie de connaitre la suite. Ce qui m'impressionne le plus dans cette histoire est qu'elle est tout a fait plausible, contrairement a ce que beaucoup de personnes sur ce site ont écrit, oui le braquage dure longtemps, normal quand il y a autant de vie d'otages en jeu, et de plus une personnalité proche d'un politique. Les acteurs principaux sont TOUS excellents et vraiment charismatiques, mention spéciale bien sur au Professeur, a Berlin et a Raquel. Le montage est très bien fait, on est toujours dans le questionnement, a se dire, "mince, ils vont se faire avoir la !' et bien non, le Professeur a pense a tout, et on lui accorde notre pleine confiance. bien sur qu'il y a des flash back qui font durer les épisodes, encore une fois c'est Normal c'est une série ! et non un film d'1h30 avec tout ce que cela engendre niveau scénaristique... honnêtement pour moi je n'en dis pas plus ça faisait longtemps que je ne m’étais pas régaler autant, le concept, l’idée de cette série avec ces acteurs la en fait un résultat tout simplement magistral. Encore une fois le cinéma espagnol a frappé très, très fort.

On se laisse prendre assez rapidement et l'idée de ce braquage millimétré a tout pour plaire. Malheureusement, le format "série" ne convient pas du tout à ce scénario qui aurait gagné à exister en film ou en mini-série. Les scènes inutiles sont légion et tous les flashbacks, les intermèdes romantiques ou les digressions ne font que donner l'impression de remplissage.
Malheureusement, dans une histoire où la minutie est le point clé, les incohérences sont très nombreuses et chaque épisode amène son lot d'agacement. Alors, oui, on a continue de regarder car, malgré tout, on aimerait connaître le dénouement. Mais ce n'est pas sans l'envie de mettre en avance rapide un bon nombre de scènes.
Pour ce qui est des acteurs, hormis quelques uns, ils sont globalement décevants et ont tendance à en rajouter des tonnes, par moment on se croirait devant "plus belle la vie".
Si vous êtes "sérievore" compulsif, allez-y, sinon, passez votre chemin et dirigez-vous vers des programmes de meilleure qualité.

Véritable raz de marée depuis sa création, la casa de papel est l'une des meilleures séries de ces dernières années. En misant sur une scénario en béton et des personnalités fortes, l'attachement à cette bande de braqueurs est obligatoire et vous pouvez être sur de suivre leurs aventures jusqu'au boût.

Les nombreux rebondissement et l'affrontement entre le professeur et l'inspectrice est implacable.
Nous sommes tenus en haleine jusqu'au dénouement de cette première saison parfaitement maîtrisée.