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Véronique BREBION
4 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 2 mars 2024
On ne s'ennuie pas un seul instant ; cette série est drôle ou triste ou les deux à la fois. Les actrices et acteurs (quoi que pas tous 😜) sont agréables à regarder, surtout les filles 😉 Je le répète et j'assure que je ne me suis pas ennuyée une seule seconde... Il faut dire aussi que les épisodes ne durent qu'une vingtaine de minutes A revoir à l'occasion sans modération
Comme souvent dans les séries espagnoles, l'idée est bonne, le résultat est mauvais. Comment trois nanas qui n'auraient jamais dû se trouver là, se font maquer dans un bordel à Tenerife... Jusque là, pourquoi pas. Et le grand n'importe quoi commence : les macs sont des surhommes qui ressuscitent d'overdoses, de crises cardiaques, de blessures par flingues, au moins une fois tous les deux épisodes. Les nanas sont tellement gourdes qu'elles ont 1000 occasions des les buter (et ce n'est pas l'envie qui doit leur manquer, vues les horreurs qu'elles subissent...) , mais soit elles les ratent, soit elles les laissent pour morts avec les flingues abandonnés à côté des cadavres pas morts du tout... Elle n'anticipent rien, font tout ce qu'il ne faut pas faire, et les mecs sont aussi nuls. Et tout ce petit monde se retrouve sans cesse au détour d'un chemin, sur une route déserte où comme par hasard on tombe les uns sur les autres (C'est pas de bol, il n'y a qu'une route de 200 mètres de long à Tenerife ??). Et puis les flics... aucun, rien, on tue, on violente, ça tire dans tous les sens, mais pas un flic dans les environs, et les gens disparaissent sans que ça n'inquiète personne... Bref, rien d'étonnant de la part du créateur de la casa de papel, déjà bien ancré dans le "foutage de gueule" des spectateurs... Non vraiment, je ne suis peut être pas bien intelligent, mais on nous prend pour des débiles...
Drôle, politiquement incorrect,bourré d'adrénaline, ce " Sky Rojo " déménage et fait du bien. Certes l'on retrouve le style d'Alex Pina ( comme la voix off en fil rouge du tenancier au discours écrit façon professeur dans "Casa de Papel, ou les voix off des 3 héroïnes ) mais cela fonctionne bien et l'insolence constante est assumée. Il y a du Bigas Luna, de La Iglesia, cette outrance joyeuse si typique du cinéma ibérique. Un format court de 8 épisodes d'environ 25 mn qui appelle une saison 2 dont on ne se plaindrait pas...
4 étoiles. Sky Rojo est parfois grotesque et souvent bien amené. En tout cas on ne s'ennuit pas. J'ai lu par curiosité ceux qui mettait une ou deux étoiles:le point récurent est:"Ce n'est pas réaliste". Perso J'ai juste trouvé la fin bâclée. C'est un film il me semble..pas un reportage. Le reste est à mon goût excellent. Des acteurs à la photographie en passant par les dialogues..si un jour on fait ça en France..tenez moi informé.
Energie! Voilà comment on pourrait résumer cette série. Une énergie folle, un rythme ultra soutenu ou tout se mêle, amour perverti, cruauté de la réalité du monde la prostitution, des actrices et acteurs au top , les actrices en particuliers ont dû donner de leur personne pour certaines scènes insupportable mais indispensable à l'histoire. Merci Mesdames. Une ambiance à la "Bad Batch" à l'espagnole. Alors certes la réalité est bien plus glauque encore pour ceux qui ont pu voir le Traffic de la Jonquera à la frontière entre la France et l'Espagne, mais cette série à le mérite de rendre regardable en traitant le sujet, qui lui ne peut être montré, trop inhumain pour cela. Très bon. 4/5
Une seconde saison encore meilleure que la première. Je recommande vivement cette série palpitante et avec beaucoup d’action : on ne s’ennuie jamais. Les trois actrices principales sont excellentes dans leur rôle !
Sky Rojo est un série courte, intense, bourrée d'adrénaline, de suspens et de rebondissement. La mise en scène choisie donnant cet aspect très spectacle, burlesque, casino est agréable. Seul les invraisemblances du scénario abîment cette série
Peut-être aurait-on salué la venue d’une bonne série espagnole, si elle n’émanait d’Alex Pina, créateur de la casa de papel. En comparaison de celle-ci (dans son étonnante singularité, sa force imaginaire, sa tension dramatique) le spectateur sera forcément déçu par la thématique commune de la prostitution en Espagne, comme par le scénario tout aussi commun d’une course-poursuite, même s’il s’est attaché à donner beaucoup de rythme à cette série, conçue comme le « dernier acte » d’une pièce de théâtre.
Mais le jeu des trois actrices demeure assez quelconque, et ne suscite pas de compassion particulière, d’autant que le schéma manichéen des mauvais bougres et des bonnes prostituées s’avère idéologiquement simpliste et réducteur. La vulgarité réside moins dans son thème que dans son traitement, dénué de finesse et surtout de cette profonde sensibilité humaniste qui a tant contribué au génie de la culture espagnole, des novelas ejemplares de Cervantès à Pedro Almodovar ou à Paco de Lucia. (In seriesflixavis.fr)
Quelle nullité ! Scénario totalement bidon. Des flash-back qui ne servent à rien. Une série sans histoire. Mais comment on peut faire un truc aussi mauvais ? Fuyez cette daube....Nul de chez nul !
Une série qui n'est pas sans rappeler le cinéma de Tarantino avec ses personnages survoltés mais qui peut vite lasser à la longue. Le scénario reste léger et les personnages peu attachants. Ca se laisse regarder car les épisodes ne durent qu'entre 20 et 30 min.
La série est passionnante à suivre, ne souffre d'aucun temps mort et dépeint le parcours d'émancipation de trois héroïnes très attachantes. Elle se permet aussi d'aborder avec un certain talent les thématiques de l'emprise psychique et de l'ambiguïté des sentiments. Bref, cette série est une vraie pépite.
Une nouvelle réalisation de Alex Pina. On s'en souvient tous le réalisateur espagnol nous avait régalé pendant 2 saison de la génialissime Casa De Papel. Puis Netflix a commandé plusieurs saisons de trop pour en faire un outil de propagande de la pensée unique. C'est donc toujours sur cette plateforme que nous pouvons retrouver son nouveau show... Je me délecte des superlatifs dont on affuble cette série qui est pourtant dénuée de sens de logique et est profondément misogyne. Le monde de la prostitution n'est en rien réaliste mais ressemble plutôt à un clip de hip-hop américain représentant des femmes toutes sublimes en tenues glamour sucer des doigts ou se promener en laisse (si c'est le fantasme du réalisateur on ne va pas le juger, on ne juge pas Tarantino pour son fétichisme...) On est plus dans la comédie porno-chic (la mort de la maquerelle on en parle ?) que dans le sulfureux et violent style de Tarantino. Merci Netflix pour cette véritable pépite !
Les créateurs de la Casa Del Papel délaissent les casses et l'argent facile pour les cuisses et l'argent durement gagnée. Avec cette histoire colorée et aguicante de 3 prostituées qui décident de s'émanciper et de faire payer les personnes qui se sont fait du fric en exploitant leurs corps et détruisant leurs âmes. Une série ramassée et speed qui s'enfile comme le mac le fait avec les rails de cocaine : sans réfléchir. Un bon divertissement un peu trash par moment avec un humour sardonique grinçant qui fera hurler les féministes du premier degré.