Avis Andor - Page 9

Une très bonne série de science-fiction futuriste sur le personnage de Cassian Andor dans l'univers Star Wars avec Diego Luna, Stellan Skarsgard et Andy Serkis.

Très bien écrite et bien interprétée. Un sujet très intéressant. Plus ouvert un peu plus noir. Plus social, mais pas ou peu de fan service et c'est très bien.
C'est très bien mais aussi très frustrant aussi car on aimerait en savoir plus sur ces débuts de la rébellion. On en parle pas assez.
Bonne thématique c'est différent ça change. A voir car c'est la meilleure production Star Wars depuis des années. A voir.

Meilleure série Star Wars !

Le petit frère de Rogue One suit la trace de ce film novateur en nous proposant une série totalement inédite et rafraîchissante. On nous offre ici une expérience incroyable bien différente de tout ce que nous avons l'habitude de voir, surtout dans l'univers Star Wars. Ici nous ne restons pas sur une planète, nous ne suivons pas une quête, nous ne vivons pas qu'une seule histoire. Non. La série nous propose une aventure qui va explorer différents univers, différents thèmes. Les histoires comme les personnages sont incroyablement bien travaillés. La série prend le temps de nous impliquer dans un environnement avant de nous en sortir et de nous introduire ailleurs. Un dépaysement surprenant mais plutôt plaisant. Ainsi nous passons d'une histoire d'espionnage à la James Bond à une préparation de braquage de la Casa de Papel en poursuivant sur un milieu carcéral de Prison Break et terminant sur une scène de guerre magnifique. Le tout saupoudré d'une ambiance politique pesante, composée de manigances, de trahisons, de complots et de manipulations complexes qui n'est pas sans rappeler Game of Thrones.
Andor réussi l'exploit de nous plonger dans tous ces différents univers tout en restant cohérent et vraiment prenant. Tout comme Rogue One, il nous apporte une vision différente, plus critique, sur l'univers Star Wars. Tout est parfait, les décors, les acteurs, le rythme. Le compositeur du Mandalorian aurait été le bienvenue cependant, la musique est le seul petit défaut.
Hâte de la suite !!!

On ne s'Andor pas / 20

enfin sur série digne de la première trilogie star Wars, loin des mievreries Disney servient ces derniers temps. Casting 3 étoiles, un univers dark et un scénario abouti. Vivement la suite

Très bon, dans la continuité de Rogue One. On retrouve complètement le style et l’ambiance de cet opus (dramaturgie - intrigue politique), c’est sérieux et appliqué; meilleure série Star Wars et de loin

Si c'était pour faire du sombre et spoiler: sans Jedi
, ils auraient du appeler cette série autrement qu'un énième Star Wars. Je ne vois pas trop le rapport avec les deux trilogies de bases (les épisodes 7, 8 et 9 ne rentre pas dans la canonisation à mon goût). Disney la pompe à fric a encore frappé. Ils ont voulu faire du SyFy sombre comme Blade Runner (d'ailleurs amazon a pris les droits pour certainement massacrer sans respect ce chef d'œuvre de Ridley Scott sauce politisée).
Il n'y a plus rien à créer à part des énièmes suites, reboot, prequel, etc ? C'est dur de faire de la fantaisie ou du Space Opéra ? Acteur moyen saut le héros, le reste c'est du surjoué dommage qu'on s'enfiche de ce perso dans la Saga Star Wars et spoiler: sans Jedi
...
Le point positif le héros n'est pas une fille mais Cassian, ouf on a échappé à la case "féministe" à cocher.

Enfin du star wars comme on aime, comme les vrais fans devraient aimer, on s'éloigne du côté bisounours et recycler qu'on a pu avoir avec the mandalorian, boba fett et obi wan, c'est sombre, c'est triste, c'est angoissant, la série est magnifique niveau photographie et décors, fini la caméra à l'épaule qui bouge et nous donne le mal de mer, on l'impression de voir un film, ça respect l'univers rogue one, cette série promet vivement la suite

Du Star Wars on en bouffe depuis 2015, de gré ou de force. Que pouvait on encore attendre d'une franchise désormais sévèrement gangrenée par les travers mercantiles de la franchise aux grandes oreilles ? À priori plus grand chose vu la médiocrité de la plupart des récentes productions. Pourtant et contre toute attente, Andor relève le niveau. Une série qui prend à rebrousse poils, nous présente de nouveaux personnages, de nouveaux designs, qui prend le risque d'éclairer l'univers sous un autre angle. Plus grave, sans humour, la série prend son temps, les acteurs sont tous excellents et les antagonistes prennent la relève avec brio. Inattendu.

J'avais pas trop aimé au début, m'imaginant une nouvelle série DIsney. Ici tout est excellent, superbe musique, beaux plans, bons dialogues.

Nouvelle série de l’univers Star Wars que je n’attendais pas particulièrement, Andor fut une grande et bonne surprise en se démarquant des autres projets de Disney et qui est pour moi la meilleure série star Wars à ce jour.

La série aborde un thème plus sérieux avec un côté politisé mis en avant et qui montre les deux faces sombres et lumineuses des deux côtés, Rebelle et Empire. Le scénario s’effectue en plusieurs actes avec pour chacun un démarrage lent qui permet de pousser des bases solides qui permet de développer aussi bien les différents personnages que l’histoire. Tout cela pour arriver à chaque fois a des climax grandioses.

De plus, Andor réussit a bien montré la période d’occupation de l’Empire et leurs abus de pouvoir. On ressent le régime autoritaire et la crainte qu’ils inspirent aux différents peuples. Cette série arrive à montrer tout au long, le feu de la révolution qui s’aide en cachette et qui se propage petit à petit.

Malgré tout, on a une vision de deux points de vue différents entre la Résistance et l’Empire. Et au final, on se rend compte que rien n’est totalement noté ni totalement blanc. On ressent l’envie des Rebelles de vouloir mettre fin à l’oppression et l’envie de l’Empire de rétablir l’ordre en contrant les activités terroristes des Rebelles. Et là où ne voyait que des méchants et des gentils, ici les personnages sont humanisés ce qui permet d’avoir des choix plus profonds.

On retrouve après l’excellent Rogue One, Diego Luna dans le rôle de Cassian Andor, qui a le droit à une bonne introduction et une bonne évolution. Et même si la série est centrée sur lui, elle possède une bonne diversité de personnage que ce soit chez l’empire, que chez les rebelles ou même chez les civils. Comme Stellan Skarsgård qui est vraiment bon dans son jeu et joue un personnage intéressant qui montre qu’il a tour sacrifié pour la rébellion.

Cette série ne possède pas de Jedi, mais est une des meilleures réalisations depuis le rachat de Disney, ce qui est ironique. Cela est du a un budget bien utilisé. Qui a permet d’avoir de nouveaux décors et plus de planète ensablée, alors que l’univers de Star Wars possède une infinité de possibilités pour donner de meilleurs décors.

Les plans sont incroyables avec des moments incroyables qui marquent, comme la scène de l’Oeil qui reste une des plus belles scènes de Star Wars. La CGI est bien exécutée et les décors font vraiment réels, ce qui fait plaisir à voir.

Malgré un rythme lent qui peut en répugner certains, Andor se démarque des autres projets grâce à une qualité retrouvée qui ne fut disparue depuis longtemps.

Alors c'est le pire Star Wars que j'ai jamais vue de ma vie niveau music c'est complètement à plat mandalorian ou boba fet c'est cent fois mieux,
Niveau rôle l'acteur n'a aucun talents c'est ennuyeux pendant 8 episode faciles je me suis forcé à regarder la série. spoiler: Le mec qui devient berger pendant 3-4 épisode facile Ça m'a bien fatiguée !

Tout ce qu'on attend d'une série Star Wars, des personnages consistants, une mise en scène efficace, des enjeux bien établis et un scénario qui avance à chaque épisode, tout ce qu'il manque à "The Mandalorian".
N'hésitez pas un seul instant à vous lancer c'est ce que Star Wars a fait de mieux depuis Rogue One et ça mérite bien plus de succès que toute la soupe fade que disney nous sert depuis 8 ans !

Du catalogue de séries annoncées Star Wars par Disney en 2020, Andor n'était certainement pas la plus évidente. Dérivé d'un film dérivé (Rogue One), consacré un personnage dont le sort est déjà connu, explorant une temporalité pas mal fouillée par d'autres (Rebels, The Bad Batch),...De surcroit, on ne peut pas dire que les séries live aient particulièrement brillé par une quelconque originalité. Mandalorian s'en tient à du générique tartiné de clins d'œil et guest-stars, quand Le livre de Boba Fett se révèle d'une misère déprimante. Conséquemment, on démarre cette nouvelle création avec fébrilité. Tant mieux, la surprise n'en a été que plus belle.

L'appréhension a fait oublier une petite chose pourtant essentielle à toute bonne série, son showrunner. Celui qui jette les bases, encadre l'atelier d'écriture et le ton à donner. Le rôle a été confié à Tony Gilroy, plume derrière les Jason Bourne, Michael Clayton ou Jeu de pouvoir et script-doctor de luxe sur Rogue One (on lui doit l'excellente partie finale). Première chance : l'homme ne voue pas de culte à l'univers Star Wars. Deuxio, ses créations ont le point commun de s'intéresser à des personnages aux prises avec une situation qui leur échappe. Le crédo s'accorde à merveille avec le personnage de Cassian Andor, héros fracturé et ambivalent. Gilroy s'entoure d'une équipe de scénaristes en titane, comprenant son frère Dan (Night Call), Beau Willimon (House of Cards) et Stephen Schiff (The Americans). Du politique, des enjeux plus adultes et des dilemmes moraux en cascade, voilà pour les promesses. À l'arrivée, Andor va même au delà de ce qu'on était en droit d'espérer.

Ce qui happe d'abord, c'est la fluidité et la cohérence de cette première saison. Rappelons d'ailleurs qu'une saison introductive est tenue de poser les règles et protagonistes essentiels d'abord pour ensuite lancer la partie. D'où ma surprise à lire certains commentaires jugeant les premiers épisodes somnolents, à un temps où les meilleures séries ont démontré que prendre son temps valait mieux que de le perdre à foncer sur du plat. Moments d'exposition et péripéties s'enchainent avec brio, une réelle gravité traverse les 12 épisodes et nombre d'idées prennent de court. La division en points de vue est une vraie aubaine, poussant certaines thématiques entraperçues au mieux dans les films/séries Star Wars. Les mécaniques d'oppression ou de rébellion sont passées au crible, tout comme le coût humain et moral derrière chaque décision d'un côté comme de l'autre. La puissance du récit s'en trouve décuplée, d'autant que la direction artistique est à l'avenant.

On a un beau quatuor à la page, et un très bon trio derrière la caméra. Toby Haynes, Susanna White et Benjamin Caron se relaient avec cohésion, travaille le cadre, les atmosphères, la mise sous tension et laissent les personnages exister. Certains devront attendre pour déployer leurs ailes, comme souvent. C'est le cas de Bix, incarnée par la charmante Adria Arjona hélas peu exploitée. En revanche, les figures essentielles se dessinent avec intelligence. Cassian est un cas intéressant, simultanément en périphérie et partie intégrante de la toile qui se tisse. Un marginal sans cause ni patrie qui se découvre petit à petit une conscience au gré des épreuves et de ses rencontres. Un Han Solo moins aimable mais assorti à ce ton plus noir. Diego Luna (très bien) est visiblement ravi de creuser ce sillon. Il n'est pourtant pas loin de se faire voler la vedette par plusieurs de ses partenaires.

En premier lieu Luthen, bloc de flegme allié au charisme de Stellan Skarsgård. Nouveau venu dans le paysage, il synthétise parfaitement la finesse d'une écriture qui donne plusieurs couches de personnalité à ses meneurs. Même constat pour Denise Gough, au jeu tranchant et raffiné. Dans le mauvais camp, on s'y attache quand même parce qu'on est loin de l'antagoniste unidimensionnel. Kyle Soller n'a pas le même temps de présence - c'est dommage, d'ailleurs - ce qui ne l'empêche pas d'apporter aussi de l'air à l'Empire, en donnant quelques touches d'humanité à un officier un peu gauche et émasculé. Quelques rôles secondaires tirent leur épingle du jeu. Karis (parfait Alex Lawther), rebelle et théoricien dont les pensées épousent certains idéaux socialistes, chose qu'on attendait plus de Star Wars après son rachat par Disney. Et Andy Serkis qui vole presque toutes les scènes où il apparait. Son grand moment de gloire - au sein d'un morceau de bravoure - est d'ailleurs l'une des scènes les plus fortes vues dans Star Wars. On en applaudirait son petit écran.

Ce sera le dernier gros point fort de Andor, les climax. Cette saison introductive en comporte trois, et chacun d'entre eux équivaut au dernier acte de Rogue One en termes d'intensité (pour vous donner une idée du niveau). Terminées les infiltrations bourrines d'un Mandalorian (ne parlons même pas du navrant épisode IX), on se situe dans une veine bien plus prenante et tendue. Il y a un effort de crédibilité surprenant, évitant les lieux communs habituels pour nous montrer comment un grain de sable ébranle une stratégie, à quoi ressemble l'improvisation face au aléas, une opération de la dernière chance et les dommages collatéraux. Tellement de choses évidentes passées sous silence ou effleurées tout juste (dans les séries animées) et qui font l'effet d'une perfusion à un organisme ankylosé par quelques années de traitement rétro. Star Wars n'avait pas été aussi captivant depuis...1980 ?

Restons dans l'implicite, cette ritournelle est devenue une blague tellement elle a été servie à toute les sauces en 20 ans. Il n'en demeure pas moins que cette fois c'est vrai. Cela pourrait-il se confirmer avec une saison 2 ? Espérons, les signes sont très encourageants. Gilroy n'entend pas tirer sur la corde et s'en tiendra à deux saisons (choix surprenant, un de plus). En tout cas les bases sont maintenant très solides, et la réussite impose le respect. Recréer de l'excitation autour d'une série live, c'était complètement inespéré. Mais en fouillant la zone grise trop souvent laissée de côté, la galaxie fort lointaine a enfin repris de belles couleurs.

"Le feu couvait, tu n'étais que la première flamme."

Série préquelle au très chouette «Rogue One» (2016), ce «Andor» est clairement dans le haut du panier des productions «Star Wars» depuis le rachat de la licence par Disney.

À l'image de «The Mandalorian» qui s'inspire de l'esprit des westerns, cette nouvelle série, supervisée par Tony Gilroy (scénariste de la trilogie Jason Bourne et de Rogue One), reprend ici les codes des films de guerre et d'espionnage.

Malgré une exposition trop laborieuse (il m'a fallu quelques épisodes pour me mettre véritablement dedans) et un segment (celui de Syril Karn) que j'ai trouvé moins intéressant, «Andor» possède une qualité d'écriture et de mise en scène qui manquait aux dernières séries «Star Wars», et ne laisse plus aucun doute sur le parallèle évident que tisse la saga interstellaire avec la Seconde Guerre Mondiale.

Loin des Jedi et de la Force, on se concentre ici sur l'Empire (l'Axe), son fonctionnement et ses guerres de pouvoirs internes, face à une Rébellion (Résistance) encore fragile qui fomente, se questionne et s'organise dans l'ombre pour tenter de déstabiliser son ennemi, dont la présence, menaçante et omniprésente, ne laisse plus que deux options possibles : subir ou faire front.

Pourquoi se bat-on ? Voilà la question qui pourrait transparaître en filigrane tout au long de cette première saison dans laquelle les espions, les messes basses et les (fausses) alliances sont légion.

Une série plus "réaliste" aux résonances humaines et sociales, dénuée d'humour et de fan service (et c'est tant mieux), qui gagne en ampleur et en rythme au fil de l'histoire, en particulier dans sa seconde moitié (avec notamment un arc "prison" très réussi), quand l'étau se resserre autour de nos protagonistes, que la révolte gronde de plus en plus distinctement et ne plus être contenue, les poussant à agir au grand jour.

Une série qui aurait pu être réduite à 8/9 épisodes au lieu de 12 pour gagner en rythme, mais qui possède de nombreux atouts qui manquaient clairement aux précédentes productions, notamment dans le fait de donner de l'épaisseur et du vécu à ses différents personnages et à leurs rapports entre eux, entre collaboration et dissension.

Une belle petite réussite dans l'univers «Star Wars», et faisant la part belle à une catégorie de personnages laissée un peu trop souvent au second plan jusque-là.

Une première saison incarnée et soignée dans son ensemble, malgré quelques défauts.
Et une seconde (et dernière) saison qui devrait logiquement passer à l'offensive, raccrochant ainsi les wagons avec «Rogue One», à l'image de ce tout dernier plan post-générique. 7,5/10.

Vu Andor je sais pas pourquoi les Gens crie au Chef d'œuvre, tant c'est long mou et chiant. Bon OK la Rébellion tout ça mais faudrait un peu faire avancer le Récit car sa parle vraiment pour rien dire dommage sa mérité mieux ⭐️⭐️