Avis Le jeu de la dame - Page 4

Personnage féminin fort et intéressant, tout en contrastes. j'ai adoré le déroulé des épisodes et l'approfondissement des caractères.

Belle histoire qui intéressera même les réfractaires aux échecs, une histoire ou chacun aura envie ou pourra se reconnaître, à tort ou à raison, dans le parcours de l’héroïne. Sa progression est linéaire sans à-coup tout se déroule quasi sans problèmes et quand elle en a, elle gère, on en est presque content que tout aille dans le bon sens …. Les décors, le rendu de l’époque, le casting, l’agencement de l’histoire (totalement inventée), tout coule de source et on ressent le travail bien fait. Mais voila perso je trouve que c’est trop beau pour être totalement accrocheur …. Oui elle commence mal, oui elle se retrouve à vivre dans un endroit pas évident, mais tout se passe bien. Découverte de sa passion, aucun problème relationnel avec ses congénères, juste une addiction (entre d’autres qui arriveront plus tard) qui n’empêche pas sa progression, au contraire. Elle change de vie, trouve sa voie, elle perd des parties oui mais gagne celle qu’elle ne devait pas perdre, elle se dispute mais se réconcilie, elle a les proches qui lui faut et malgré leur perte, continue son chemin sur le même rythme. J’ai pris un réel plaisir à regarder cette série, mais il me reste un petit goût d’inachevé, c’est quasi un conte de fée qui ne dis pas son nom, un roman-photo, une histoire calibrée, un peu plus d’aspérité m’aurait fait l’apprécier avec plus de passion. Mais je vous la conseille quand même il y a des moments forts, bande musicale, la force mentale de l’héroïne, des moments avec sa mère et ses amis à la fin qui me resteront en mémoire.

un chef-d'oeuvre! j'ai fini de la regarder en une soirée (le jour de sa sortie) et je l'ai regardée 3 fois depuis.
Le jeu des acteurs est exceptionnel, les parties d'échecs palpitantes, beaucoup d'émotions. Meilleure série depuis des lustres!
A regarder absolument

Du Grand Art. Après la flamboyante série Godless, Scott Frank en collaboration avec Allan Scott et la chaine Netflix nous livrent une véritable pépite télévisuel a travers cette Mini Série Addictive et Brillantissime dont on ressort totalement envouter. Pour Commencer la Réalisation est Eblouissante et Audacieuse tout en disposant de quelques Plans Séquences magnifiquement mis en avant qui dispose d'une splendide reconstitution historique des années 60 qui nous immerge dans une Ambiance Haletante et Mélancolique qui est accompagné d'une BO royale de Carlos Rafael Rivera qui apporte sa contribution a la réussite de la série. Ensuite le Scénario est Passionnant et Prenant du Début jusqu'à la Fin en suivant le parcours hors normes d'une Jeune Orpheline au passé tourmenter qui devient au fil des années une Prodigieuse joueuse d'Echecs qui va connaitre une Ascension et une Déchéance fulgurante dont la série parvient avec Finesse a aborder des Thématiques comme le Féministe,l'Addiction,la Persévérance,le Deuil,le Dépassement de Soie et l'univers des Echecs qui sont admirablement mis en avant a travers son Rythme parfaitement soutenu pendant 7 Episode, Ajouter a cela des parties d'Echecs réjouissantes et pleine de tension qui donne des sueurs froides en passant par un Humour Particulièrement Pertinent qui vient pimenter la série avec en prime une note Dramatique qui atteint largement son paroxysme a travers quelques Séquences Intimistes d'une grande puissance émotionnelle qui ne verse jamais trop dans le larmoyant. Pour Finir le Casting est Prodigieux avec son lot de Personnages Nuances et Fascinants dont on retrouve en haut de l'affiche la Talentueuse Anya Taylor Joy qui est Sensationnelle en y livrant une de ces performances les plus marquantes de sa carrière en campant avec brio le role de Beth Harmon une jeune orpheline de 22 ans Séduisante,Complexe,Stratagéme et Stoïque dont l'actrice nous bluffe totalement a travers ce Personnage Féminin Déterminée et Tourmenter, Autour de notre Héroïne Magnétique et passionné par les jeu d'Echecs on retrouve une poignée de Seconds Rôles très Consistants qui l'entourent en étant composer de Harry Melling,Thomas Brodie-Sangster,Bill Camp,Marielle Heller et Christiane Seidel qui apportent leurs édifice face a cette Distribution de haute volée. En Conclusion, Le Jeu de la Dame est assurément un Chef D'Œuvre majeur de la Télévision qui confirme une nouvelle fois l'ambition de la Chaine Netflix en matière de Séries Divertissantes et Audacieuse dont le tandem formidable former par les Showrunner Scott Frank et Allan Scott nous régalent a travers ce Biopic Dramatique a la fois Brillant,Palpitant,Emouvant,Glamour et Engagé qui rentre directement au Panthéon des Séries Incontournables de 2020 dont les passionnées de Biopic ainsi que les Inconditionnels des Jeu d'Echecs seront rapidement conquis par cette Perle inestimable du Petit Ecran a ne pas rater sous aucun prétexte.

Fresque féministe davantage que film sur le jeu d’échecs, « The Queen’s gambit » repose sur les nombreuses qualités d’Anya Taylor-Joy, dont le visage, le jeu et l’attitude si particuliers, sont le terreau des grandes actrices hollywoodiennes.

Je dis BRAVO.
Une série parfaite, scénario, ambiance, et jeu d'acteurs à la perfection (mention particulière à Anna Taylor Joy). A voir absolument qu'on aime ou pas les échecs.
Et svp pas de saison 2 ça gâcherait ce petit bijou.

Je ne comprends pas trop l'engouement.
Certes on s'y prends car on veut savoir comment ça va finir mais au bout de 7 épisodes on est content quand ça se termine.
Trop de flou, trop de questions sans réponses.
Vraiment barbant à la longue.
Certes cela sort des sentiers battus mais heureusement qu'ils ne font pas de saison 2

(Petite remarque: je sous-note quelque peu ici pour compenser les notes totalement farfelues selon moi nées de la hype pour cette série) - Enorme déception. Sans même mentionner le petit couplet féministe de rigueur pour obtenir financements et attention de nos jours, j'ai surtout trouvé le tout particulièrement mou, vide, souvent ennuyeux, déjà-vu 1'000 fois de A à Z, pour être franc j'a eu du mal à finir la série tellement je trouvais mollasson, surtout quand le déroulé est écrit 5 épisodes à l'avance comme ici.... En fait les échecs sont un pur prétexte pour nous refaire un énième portrait caricatural du génie comme adorent se le représenter les masses, à savoir cliché et exagéré. Le tout est beau, soit, mais c'est le minimum de nos jours pour une série US, non? L'actrice joue réellement bien mais bon, la majorité de actrices douées ferait la même chose sans souci, si c'était une autre on aurait exactement les mêmes commentaires sur sa performance, la vraie prouesse ici étant d'arriver à ne pas paraitre ridicule malgré la potiche rousse aussi kitsch que visible et le fait qu'on demande à une actrice 24 ans de prétendre qu'elle en a 12, tâche évidemment vouée à l'échec ( oui, j'assume le jeu de mots...).

Sinon, ben le film de génie classique: Beth sait tout, peut tout, est la meilleure partout (et surtout elle est meilleure que les hommes...), comprend tout toute seule aux échecs, gagne toutes ses parties sauf bien sûr celle qui lui permet de grandir et d'être à terre un moment (faut bien respecter le livre sur "Comment écrire une histoire en 3 parties"), est très largement supérieure même aux meilleurs adversaires, son seul véritable adversaire étant évidemment elle-même, ici représenté par les habituelles addictions et son difficile rapport aux autres... Bref terriblement cliché et déjà vu 200'000 fois, le film égrenant un par un chaque passage obligé au cours de scènes que l'on peut littéralement prédire dès les 5 premières minutes. Comment ne pas mentionner aussi la musique, insupportable de violons "épiques" et de piano "profond" pour souligner chaque moment où le talent brut anime notre héroïne à grands coups de gros plans sur ses yeux pour bien nous faire sentir toute sa force intérieure et la beauté de ce qu'elle a et que nous autre simples mortels n'avons pas: le GENIE... Bref, comme toutes ses devancières dans ce même domaine, une série qui marche pour la projection qu'elle permet au public, avant tout.

C’est donc la fameuse série qui a cartonné cet automne sur Netflix… Personnellement, je ne comprends pas trop l’engouement. Malheureusement, la sauce peine à prendre et seulement deux épisodes s’avèrent intéressants.

Le Jeu de la Dame démarre pourtant en fanfare, avec son héroïne pressée et en retard pour son dernier match, et surtout, accro à toutes sortes de substances. Le ton est donné et en un court instant son personnage principal, Beth, nous est présenté. Si on découvre avec curiosité son enfance le temps d’un épisode, le reste de la série s’essouffle ensuite.

Certes, les quelques moyens mis en œuvre par Beth afin d’assister au plus de compétitions possible (par la suite avec sa mère) sont attrayants et nous embarquent dans ses aventures. On plonge vite dans son nouveau quotidien de prodige. Les parties d’échecs -qui sonneraient aussi chiantes sur papier- sont pourtant réalisées avec réussite. La caméra impose un rythme et souvent une tension bienvenus. Une bonne façon de nous plonger dans un monde que l’on perçoit comme intello et souvent en retrait.

Néanmoins, ces quelques points ne suffisent pas à rendre Le Jeu de la Dame intéressant et distrayant. L’ambiance morose et les décors grisâtres sur fond des années 1960 dans le Kentucky sont des plus rebutants. Rien ne donne envie de faire partie de ce monde, à l’image de sa mère, désespérée mais pathétique. Les échanges entre amateurs d’échecs créent une distance avec le spectateur lambda qui n’y connaît rien, et cette bande de geeks présentés comme des génies (véritable sujet de passion et portrait caricatural !) ne cesse de prendre tout le monde de haut de par leur caractère et talent si spéciaux.

Par ailleurs, si Anya Taylor-Joy est une actrice accomplie et talentueuse, on manque souvent d’empathie pour son personnage. Parfois touchante et attachante, elle est la plupart du temps hautaine, prétentieuse et tête-à-claque. Ses fréquentations sont mitigées et sa façon de traiter certains de ses plus proches amis comme aventures éphémères (Beltik notamment) sont déplaisantes. La série se donne de faux airs cool en montrant l'utilisation de drogue et d’alcool comme moyen de réussir. Puis, ça tourne en longueur, nous trimballant ici et là entre deux tournois dans des aventures qui ont peu d'intérêt et à la lenteur infinie.

Enfin, le dernier épisode, prenant et emballant, s’avère être une réussite, même s’il ne parvient pas à enlever un ensemble déjà terne. La fin est attendue, mais le déroulement et les conclusions finales concernant l’arc narratif de Beth et ses démons sont amenés et exécutés avec force. On quitte cette mini-série sur une bonne note et une scène finale réussie. Mais globalement, Le Jeu de la Dame n’est pas une série d’exception et se révèle souvent antipathique.

Un peu déçu par la série dont tout le monde parle. On en voit rien des jeux, tout est suggéré, donc quand on connait les échecs c'est un peu frustrant. Les acteurs et la réalisation sont corrects, Anya Taylor-Joy est au dessus du lot bien évidemment.
Le problème c'est qu'on a l'impression d'une série commandée par l'ère du temps, la promotion du féminisme oblige, un peu agaçant et artificiel. Trop d'alcool et de médicaments. Le fait que l'on a l'impression d'une histoire vraie basée sur une réalité historique alors que ce n'est pas le cas est absolument insupportable.

Scénario digne d'un biopic. Anya Taylor-Joy est magistrale et a été parfaitement castée pour le rôle. S'il n'y avait pas quelques longueurs, j'aurais attribué la meilleure note à cette mini-série. 5 épisodes auraient suffi.

je n'ai trouvé aucun intérêt à cette série si plébiscitée. L'histoire est plate, lisse, sans surprise. Je me suis dit que c'est sûrement à la fin qu'on allait découvrir la véritable histoire de cette fille si mystérieuse. spoiler: Mais rien en fait.
. J'ai vraiment eu l'impression de perdre mon temps.

Filmer l'ascension d'une jeune prodige des échecs était a priori un projet passionnant. Mais je pense que cette série souffre de 2 gros pb. 1- Le scenario n'est pas vraiment crédible et montre plus un phantasme féministe que la véritable vie d'une joueuse d'échecs. 2- Le réalisateur est tombé amoureux de son actrice (d'où les innombrables gros plans sur son visage) et s'est perdu en route: La beth enfant était un personnage avec une certaine épaisseur, la beth adulte est un mélange de mannequin, glamour, trash, froide mais tactile parfois, solitaire mais amoureuse parfois (si si), alcoolique mais pas trop. Si on rajoute les décors léchés + musique sixties seventies, ben il ne reste qu'un beau packaging complètement vide.
Je pense que le scénar était vérolé a la base de toutes façons.

Comme trop souvent avec Netflix, c'est lent et nous avons droit à du remplissage durant les trois quarts de la série.
Tout est prévisible, sans aucune surprise

Amateur d'échecs, me voila fort intéressé par une série qui suscite, n'ayons pas peur de le dire, l'engouement du moment. Ayant quelques à priori de par "l'estampillage" dont elle souffre : "Netflix", je me décide de la regarder quand même. De prime abord, il serait plus précis de dire que c'est une série sur "une joueuse d'échecs" plutôt que sur "le jeu d'échecs". En effet, force-est de constater qu'à aucun moment on ne rentre dans le vif du sujet du jeu en lui même, c'est assurément un portrait sur la personnalité tourmentée d'une prodige des échecs, sans vraiment expliquer ni sa manière de jouer, autrement dit son "style", ni les positions qui lui permettent de gagner, ni les erreurs des autres joueurs, quand celle-ci les bat de manière quasi systématique ... On ne fait qu'ajouter un vocabulaire échiquéen (dont je doute que les profanes, qui représentent surement la grande partie des spectateurs, comprennent réellement la signification, à défaut de n'en voir quasi aucune au cours de la série ...) par ci, par la, pour ne pas faire oublier au spectateur le thème principal de la série, à savoir : le jeu d'échecs. Comme si l'overdose (Pour ne pas faire de mauvais jeu de mots) par trop esthétique des plans sur un échiquier ou des pièces ne nous le rappelle pas assez. Car quoi de plus inutile pour un amateur d'échecs que des plans de quelques secondes sur un jeu dont l'intérêt même réside dans l'étude d'une position et l'évolution de celle-ci, et non pas la beauté, aussi grande soit-elle, des pièces de bois que chaque époque a pu revisiter à sa manière ? Une série sur "une joueuse d'échecs" en somme et dont le talent n'a d'égal que les addictions, qui semblent si présentes au cours de la série qu'elles en deviennent indissociables de l'héroïne. Alcoolisme, toxicomanie, dépression ... J'ai eu l'impression de voir plus de bouteilles d'alcool et de médicaments anxiolytiques et de personnes vantant leurs qualités plus que discutables, que de parties d'échecs. A défaut de pouvoir mettre de l'action dans un thème "cérébral" et "rébarbatif" il faut compenser par une personnalité féministe borderline sur fonds de mauvais traitements, un peu de glamour, mode et de beauté, beaucoup d'alcool et de drogue. Est-ce donc cela le cocktail incontournable pour captiver le spectateur Netflixien ? A en juger par la prestation de la réalisation, on est obligé de répondre par "oui".