Pas très crédible, un genre de "Plus belle la vie" version geek, avec beaucoup d'invraisemblances. Quand on a vu les Pirates de la Silicon Valley, The Social Network ou Snowden, cette série fait pâle figure. Mais la thématique est intéressante et très actuelle.
Alors dans les bonnes choses je trouve que les acteurs jouent plutôt bien, l'idée de base est originale et finalement le format fait que l'on ne s'ennuie pas. On va dire que la "forme" du film est plutôt bien et bien rythmée. Les défauts, hum à peu près tout le reste. Déjà j'ai eu dû mal avec la motivation du personnage principal spoiler: Tout ça pour juste se venger, il aurait rien fait qu'il n'y aurait pas eu de série . Les personnages sont censés être dans une grande école, mais ce sont des idiots spoiler: Le mec se fait pirater son ordi en rentrant son mot de passe sur un site qu'il ne connait pas parce que soit disant il a gagné un truc. Même ma grand-mère ne se fait pas avoir facilement . Les "anciens" qui sont là depuis longtemps en informatique n'y connaissent rien dans le domaine, un mec qui fait 2 mois d'informatique en connait plus qu'eux (on va dire que ça reste un détail). Il y a énormément de clichés spoiler: la soirée d'intégration, les geeks, les clans dans les écoles, etc. et de facilités scénaristiques spoiler: Le fameux "menteur dévoilé". Le personnage ment, les autres finissent par le découvrir mais on lui pardonne . En bref, je ne me suis pas ennuyé, mais surtout parce que le format est bien rythmé.
un vrai plaisir à suivre cette série c 'est vraiment bien fait alors certes cela s 'adresse certainement à un public averti mais le message sous-jacent lui est bel et bien grand public c 'est vraiment une série à ne pas rater tous les acteurs sont crédibles et à cet age là ce n 'est pas si évident en plus du casting la réalisation tient la route , bref , un belle petite réussite
Genial ! Le thème est très intéressant et nous fait réellement prendre conscience que les nouvelles technologies peuvent présenter un réel danger notamment chez les plus jeune. En dehors de cela cette série est très bien réalisée du début à la fin. Seul bémol, trop court ! Réaliser une vraie suite plus longue s'il vous plaît !
Serie francaise de folie a faire palir Netflix Bien fais poussé recherché avec une intrigue qui tiens très bien la route J adore, hate de découvrir la saison 2 si il y a
Whaou. Dire que j'avais hésité à l'enregistrer, seulement convaincu par l'excellente critique de mon journal. Franchement, je ne suis pas loin de penser que « Stalk » est ni plus ni moins l'une des meilleures séries françaises jamais réalisées. C'est juste... brillant. À tout point de vue. Franchement, lorsque je vois une telle maîtrise dans la réalisation comme l'écriture, je me dis qu'il y a sans doute en France des auteurs ne demandant qu'à éclore s'ils venaient à avoir leur chance : c'est clairement le cas du trio Simon Bouisson - Jean-Charles Paugam - Victor Raudenbach, le premier cité en tête. Moi qui suis totalement étranger à ce monde des génies de l'informatique, je me suis presque tout de suite senti hautement impliqué dans ce récit addictif au possible, étonnamment immersif. Il y a tout ce qui manque si souvent à la « création » française : intelligence, rythme, densité... Bouisson sait exactement où il veut aller, nous plongeant dans un récit aussi intense qu'imprévisible, multipliant les rebondissements sans jamais s'éloigner de son point de départ : une vengeance au départ implacable prenant rapidement un chemin aussi incontrôlable que tortueux. L'une des forces de « Stalk » vient également de là : avoir su créer un univers aussi fascinant qu'inquiétant, hautement, portant un regard très lucide sur notre rapport aux nouvelles technologies, entre addiction totale et répulsion devant tant de dérives « voyeuristes » et d'entraves aux libertés individuelles. Une réflexion profondément ambiguë remarquablement exprimée par sa voix-off omniprésente, retranscrivant à merveille la « pensée complexe » de notre héros, les dialogues incisifs dans leur ensemble donnant une force supplémentaire à cette œuvre incroyablement moderne, portée par de jeunes comédiens stimulants (on reconnaît à peine Théo Fernandez, si loin des « Tuche » et autres « Gaston Lagaffe », la splendide Carmen Kassovitz se révélant troublante comme peu d'actrices ont pu l'être ces dernières années), bercées par une musique électro aérienne du plus bel effet. Bref, si l'on excepte un dénouement légèrement décevant et quelques rares baisses de régime, « Stalk », c'est de loin parmi ce que j'ai pu voir de mieux niveau séries françaises, voire séries tout court : un shoot d'adrénaline puissance dix pour un (très) gros coup de cœur.
Stalk est une série du moment qui traite à la fois de sujet d'actualités et du rapport quasi-obsessionnelle qui en découle. Ses thématiques sont très bien amenés, parfois facilement mais dans l'ensemble la mayonnaise prend. Il faut dires qu'il y'a de bonnes idées. Tout l'aspect technique comporte deux ou trois incursions dans cette idée de Hacking, parfois un peu trivial et coton mais pour cette série sa marche.
Il y'a aussi quelques soucis ! Commençons par le plus gros d'entre eux, les dialogues. On enfile les phrases types, on enfonce les portes du clichés et en cela pollue l'acting de ses interprètes. Pour ces derniers, ce n'est clairement pas la panacée, on est clairement sur du rudimentaire mais aussi surprenant soit-il on s'y fait. On n'est plus proche de la telenovela à la française que sur du Breaking Bad mais bon, passons ... Un dernier mot toutefois sur l'acteur principal d'un ennui et d'une fadeur intersidéral. Oh mon dieu !
Coté rendu, le visuelle n'est pas non plus très recherché, les coups de truelles sont pléthoriques. Il y'a des fondations, des points d'ancrages mais c'est encore une fois obstrué par les ratés de cette série. Non mais sérieux, ente la Twingo, les Kros, le " style " aux rabais de ses soit dit en passants " Gosses de riches ", on y croit moyen ... Le coté foutraque de la caméra n'est pas non plus très juste, quelques pirouettes ici et là aurais amené de la matière, une conception qui justement aurait amené ce petit coté subversive recherché. En revanche le format est très bon, 20 minutes, bien vu. Le coté Teenage est a moyen terme exploité avec un regard en fin de compte assez romantique et plaisant.
Stalk est parfois à coté de la plaque, pas toujours digeste comme plat mais avec une bonne garniture et une sauce relevée trouve quelques motifs de satisfactions et entre dans son match. On prend les vitamines la ou elles sont, mêmes minimes.
Série plaisante, Théo Fernandez colle bien à son personnage de Geek. L'histoire sort de l'ordinaire, quelques clichés mais dans l'ensemble ça tient plutôt la route.
Whaou. Dire que j'avais hésité à l'enregistrer, seulement convaincu par l'excellente critique de mon journal. Franchement, je ne suis pas loin de penser que « Stalk » est ni plus ni moins l'une des meilleures séries françaises jamais réalisées. C'est juste... brillant. À tout point de vue. Franchement, lorsque je vois une telle maîtrise dans la réalisation comme l'écriture, je me dis qu'il y a sans doute en France des auteurs ne demandant qu'à éclore s'ils venaient à avoir leur chance : c'est clairement le cas du trio Simon Bouisson - Jean-Charles Paugam - Victor Raudenbach, le premier cité en tête. Moi qui suis totalement étranger à ce monde des génies de l'informatique, je me suis presque tout de suite senti hautement impliqué dans ce récit addictif au possible, étonnamment immersif. Il y a tout ce qui manque si souvent à la « création » française : intelligence, rythme, densité... Bouisson sait exactement où il veut aller, nous plongeant dans un récit aussi intense qu'imprévisible, multipliant les rebondissements sans jamais s'éloigner de son point de départ : une vengeance au départ implacable prenant rapidement un chemin aussi incontrôlable que tortueux. L'une des forces de « Stalk » vient également de là : avoir su créer un univers aussi fascinant qu'inquiétant, hautement, portant un regard très lucide sur notre rapport aux nouvelles technologies, entre addiction totale et répulsion devant tant de dérives « voyeuristes » et d'entraves aux libertés individuelles. Une réflexion profondément ambiguë remarquablement exprimée par sa voix-off omniprésente, retranscrivant à merveille la « pensée complexe » de notre héros, les dialogues incisifs dans leur ensemble donnant une force supplémentaire à cette œuvre incroyablement moderne, portée par de jeunes comédiens stimulants (on reconnaît à peine Théo Fernandez, si loin des « Tuche » et autres « Gaston Lagaffe », la splendide Carmen Kassovitz se révélant troublante comme peu d'actrices ont pu l'être ces dernières années), bercées par une musique électro aérienne du plus bel effet. Bref, si l'on excepte un dénouement légèrement décevant et quelques rares baisses de régime, « Stalk », c'est de loin parmi ce que j'ai pu voir de mieux niveau séries françaises, voire séries tout court : un shoot d'adrénaline puissance dix pour un (très) gros coup de cœur.
Voici une courte série bien écrite, car dynamique et dans l'air du temps. Certes certaines ficelles sont bien présentes pour fluidifier l'ensemble, mais le rendu final en reste tellement honnête que l'on ne peut trouver à en redire. Une saison 2 aurait toute légitimité !
Série française sur le monde des geeks, du piratage, du code et des stalkers, ces nouveaux voyeurs 2.0. Plutôt destinée aux jeunes générations, ou aux aînés qui veulent comprendre cette culture pas si underground, en dehors de son aspect didactique elle est une mise en garde sur les dérives du monde numérique. Sa mise en scène oscille entre une froideur clinique de circonstance et des choses plus ringardes qui ne la placent pas aux niveaux de certains programmes anglo-saxons. Et même si le héros est plutôt convaincant il souffre par moment du syndrome "Duvauchelle" la partie aiguë de sa voix restant coincée dans la membrane des enceintes et transformant le vocabulaire informatique technique en yaourt grec.
Très bonne série française, réaliste fait prendre conscience des risques « invincibles » de la vie réelle. Un bon jeu d’acteur dans l’ensemble. Je la conseille vraiment.