Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Télé Loisirs
par Thomas Destouches
La série a l'intelligence de ne pas être une succession de sketches. Elle repose sur une intrigue bien définie, tenue et développée, aussi loufoque soit-elle, avec des dialogues plus ciselés et cohérents qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
20 Minutes
par Stéphanie Raïo
Le temps des neuf épisodes de Pamela Rose, la série, réalisée par Ludovic Colbeau-Justin, on retrouve tout le burlesque et l’humour décalé qui caractérisent d’ordinaire les aventures de ces personnages devenus cultes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
A ce tandem pince-sans-rire qui multiplie les jeux de mots débiles, ajoutez des acteurs secondaires truculents comme Panayotis Pascot dans le rôle d’un serviteur qui ne se laisse pas faire, Shiri Boutella dans le rôle d’une véritable enquêtrice, un méchant qui se cache derrière un masque émoji, et un patron vicieux, et vous obtenez un cocktail décalé et sans prétention, qui se laisse regarder avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bien qu'inégale, la série tient ses promesses, réussite due à son casting composé de comédiens confirmés et de nouveaux visages.
Le Parisien
par Pauline Conradsson
L’humour déjanté fait mouche. On rit franchement devant cette accumulation de vannes, parfois lourdingues mais souvent efficaces. Dans l’écriture, l’esprit est à l’autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thibaut Lescuyer
Un choc des générations baignant toujours dans un humour absurde et régressif qui devrait combler les fans, et sans doute d’autres.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télérama
par Michel Bezbakh
Dans le cadre sérieux d’une mise en scène qui reprend tous les clichés du polar américain, Kad et Olivier font n’importe quoi. Du moins en apparence. Plus exactement, ils créent du comique en jouant sur des rapprochements loufoques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
Certaines blagues font évidemment sourire, mais il faut beaucoup aimer le douzième degré pour tenir plus de deux ou trois épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par François Léger
Il s'agit surtout de meubler entre deux gags, avec des sous-intrigues assez pénibles et de saupoudrer le tout d'un laïus sur le harcèlement en ligne.
Télé Loisirs
La série a l'intelligence de ne pas être une succession de sketches. Elle repose sur une intrigue bien définie, tenue et développée, aussi loufoque soit-elle, avec des dialogues plus ciselés et cohérents qu'il n'y paraît.
20 Minutes
Le temps des neuf épisodes de Pamela Rose, la série, réalisée par Ludovic Colbeau-Justin, on retrouve tout le burlesque et l’humour décalé qui caractérisent d’ordinaire les aventures de ces personnages devenus cultes.
Franceinfo Culture
A ce tandem pince-sans-rire qui multiplie les jeux de mots débiles, ajoutez des acteurs secondaires truculents comme Panayotis Pascot dans le rôle d’un serviteur qui ne se laisse pas faire, Shiri Boutella dans le rôle d’une véritable enquêtrice, un méchant qui se cache derrière un masque émoji, et un patron vicieux, et vous obtenez un cocktail décalé et sans prétention, qui se laisse regarder avec plaisir.
Le Journal du Dimanche
Bien qu'inégale, la série tient ses promesses, réussite due à son casting composé de comédiens confirmés et de nouveaux visages.
Le Parisien
L’humour déjanté fait mouche. On rit franchement devant cette accumulation de vannes, parfois lourdingues mais souvent efficaces. Dans l’écriture, l’esprit est à l’autodérision.
Ouest France
Un choc des générations baignant toujours dans un humour absurde et régressif qui devrait combler les fans, et sans doute d’autres.
Télérama
Dans le cadre sérieux d’une mise en scène qui reprend tous les clichés du polar américain, Kad et Olivier font n’importe quoi. Du moins en apparence. Plus exactement, ils créent du comique en jouant sur des rapprochements loufoques.
Le Monde
Certaines blagues font évidemment sourire, mais il faut beaucoup aimer le douzième degré pour tenir plus de deux ou trois épisodes.
Première
Il s'agit surtout de meubler entre deux gags, avec des sous-intrigues assez pénibles et de saupoudrer le tout d'un laïus sur le harcèlement en ligne.