Avis Generation Kill - Page 3

Super série de guerre, ultra réaliste. Filmé à la manière d'un documentaire, c'est un plaidoyer contre la guerre, la politique de Bush et l’incompétence.
L'incompétence, surtout des officiers, c'est déjà un thème que l'on retrouvait dans la précédente série des créateurs de celle-ci, The Wire. Elle est portée la, à son paroxisme. spoiler: L'attaque du camp de blindés avec des hummers en est un exemple.

Les scènes de combat sont remarquablement filmé et proche de la réalité.
Bref, une série remarquable, une des meilleures du genre.

Cette mini-série est un vrai petit bijou tant dans l'interprétation, les dialogues que dans le scénario et la mise en scène.

Elle se laisse regarder même presque 10 ans après les faits.
spoiler: D'ailleurs on en tire les mêmes conclusions que les protagonistes sur le foirage total de cette soit disante guerre éclair.


Le genre de série que l'on aimerait voir plus souvent, certes faible dans la quantité mais d'une telle qualité.

Excellente serie HBO pour ceux qui apprecie les series de guerre.

Aux frontières du docu un peu à l'image du film "le démineur", excellent.

Le vrai visage des guerres modernes, où personne ne sait contre qui il combat. Des jeunes abreuvés de jeux video et de films à la télévision, où tuer un etre humain de sang froid est aussi marrant que de jouer à "cal of duty". cette série nous ouvre les yeux sur les prochaines guerres à venir. Bon kill et à voir absolument. film d'or pour HBO.

Brillant!qui peut encore dire que les américains ne sont pas capables d'auto critique?et ce, sans pour autant être caricatural!Une de ces pépites que sait faire HBO!

Chef d œuvre, magistralement.,un coup ds le ventre à chaque épisode. Scénario, dialogues, personnages tout est bon,à voir et à revoir !.....

Je viens de découvrir par location l'ensemble des 7 épisodes. Je suis vraiment enchantée par la qualité du jeu des acteurs.Un commentaire précédent dénonce le trop de ''vulgarité'', moi au contraire, j'y vois du réalisme. Une bande de vrais hommes, boustés à la testostérone, les propos des gars , je mettrais ma main au feu, sont inspirés de vrais soldats ayant été en Irak. On jurerait un documentaire tellement c'est empreint de réalisme. CEtte série me fait bcp. réfléchir non seulement sur la guerre mais celle qui s'en vient avec les mêmes adorateurs du même soi-disant dieu ressemblant bien plus à hitler qu,`un dieu.A lire les textes dits sacrés, je ne doute pas un instant que quand les taux d'adeptes de la doctrine-secte apparaitra assez suffisente pour leur permettre de nous conquérir vraiment en Occident, tous les pays envahis vivront vraiment des scènes comme le film le démontrent sauf que cela se passera à mon avis en Europe en premier lieu.CE qui m'écoeure, c'est encore à cause de l'ignorance et la naiveté des FRançais, nous devrons encore aller les aider et faire mourir nos hommes!! Sites-vous bien une chose, si le monde avait lu le Mein Kampf, que se serait-il produit?? Tout citoyen Occidental non-adepte de la secte-doctrine a le devoir de lire ce qu,ils osent nommer; textes sacrés. Leur livre de base est un livre de guerre, ca présente bien la doctrine!Comme toujours, le monde se réveillera quand il sera trop tard!Pauvres nous Américains!! Nos hommes vont encore y passer à cause de collabos comme au temps d'Hitler. Je vous laisse devineer la secte-doctrine qui détruira l'humanité si ca continue!!

Ca commencait mal, des personnages nombreux , l'ambiance militaire coté beauf , mais c'est normal le 1er épisode met en place les personnages et le contexte . le reste de la série d'un réalisme terrifiant ou des militaires américains tuent des civils , femmes et enfants comme dans un jeu vidéo. Ordres et contre-ordres sont le lot de ces marines déshumanisés avec ce qui leur parait etre leur ennemi. "on a un blessé au pied et un qui a un éclat d'obus dans la cuisse , et on leur a completement rasé leur ville " dit James Ransone ....
comme d'habitude dans les séries de David Simon les personnages , même les plus noirs Trombley, venu là uniquement pour tuer des"arbes et des chiens " révelent une personnalité plus contrastée qu'on ne l'aurait soupçonné.
Au final , une série absolument indispensable , le seule reproche serait le format court de cette série.
A voir absolument

Certes cette série peut etre choquante, mais je l'ai tout de meme aprécié. Donc si vous avez la possibilité de la voir regarder là.

Je me suis accroché pour regarder deux épisodes. Mais je ne vais pas en regarder trois. Je pense que j'ai perdu mon temps et c'est très désagréable. Passer plusieurs heures devant une série où il ne se passe rien, où les dialogues sont à la limite du supportable tellement ce qui est dit est bête et grossier; c'est frustrant. De plus je n'ai pas compris ni l'histoire ni ce que la série veut montrer. A moins que ce soit voulu pour sur démontrer la bêtise qui règne dans les rangs de Marines ? Si c'est ça c'est réussi ! Pour moi c'est à éviter absolument.

Unique ! Vous recherchez une série traitant du conflit en Irak ? Précipitez vous sur Generation Kill ! Inspirée du roman d'Evan Wright, relatant sa propre expérience en tant que journaliste embarqué au sein d'un bataillon de Marines, lors de la première vague d'invasion américaine en Irak, écrite et produite par les papas de "The Wire", cette mini-série de 7 épisodes est un chef-d'oeuvre sans conpromis qui fait office d'Ovni dans le paysage des fictions US. Magnifiquement écrite, réalisée et interprêtée, sa qualité première quiest aussi son seul défaut est de se suffire à elle-même avec son unique saison, laissant le téléspectateur en manque d'autres programmes du même accabit.

À voir, une immersion dans ces guerres du 21ème siècle, avec ses paradoxes, désillusions et sans ce fichu patriotisme de propagande que l'on retrouve par exemple dans le très mauvais "American Sniper".

EXPLOSIF... De vérité. D'authentisme. Une série comme on aimerait en voir plus souvent. J'ai été époustouflé par la réalisation des épisodes, le jeu d'acteur et l'effet immersif.

onnaissez-vous Ed Burns et David Simon ? Non ? Vous en êtes certain ? Il s’agit des papas de la mythique série The Wire et de la plus récente Treme ( pour David Simon ) qui s‘est achevée en décembre dernier. Ils sont aussi les auteurs de l’adaptation de Generation Kill, le roman d’Evan Wright, reporter embarqué au coeur du 1er bataillon de reconnaissance du Corps des Marines des États-Unis en 2003 lors de la Guerre d’Irak.

C’est cette dernière mini-série qui nous intéresse ici. Composée de 7 épisodes d’une heure chacun, elle se veut à l’image des Marines qui y sont dépeints : une force d’attaque rapide, brutale, polyvalente, et surtout, complexe.

7 épisodes, 7 chapitres, 7 charnières mortelles et fascinantes qui s’emboitent et nous racontent l’histoire d’hommes et de leurs comportements au sein d’une activité aussi vieille que l’humanité : la guerre.

L'arrivée du Scribe

Tout commence au Koweit : les soldats patientent, l’assaut est imminent mais se fait attendre. L’ennui rode, la tension augmente, les conflits internes se multiplient, les railleries s’échangent comme des rafales de M16, la camaraderie masculine est au rendez-vous, les blagues salaces et racistes volent de toutes parts, tous identiques dans leurs tenues militaires, tous différents dans l’attente. C’est alors que débarque Evan « Scribe » Wright, un reporter du célèbre magazine Rolling Stone chargé de couvrir la guerre du plus près possible.

Julian Assange télévisuel

Rapidement, la série nous montre qui elle est : pas question d’enjoliver le conflit, ni de redorer l’image du gouvernement américain. Ici, on montre tout ce qui ne va pas : le manque de logistique (pas assez de piles pour les lunettes à infrarouge, pas de graisse pour les mitrailleuses, peu de pièces de rechange pour les moteurs des véhicules ), la quasi absence de stratégies bien ficelées, l’omniprésence de l’improvisation, le combat de coq entre les officiers qui veulent briller au détriment de la sécurité auprès du Godfather ( ce supérieur mystérieux qui semble atteint d’un pouvoir quasi-divin et qui n’hésite jamais à envoyer ses hommes dans les pires situations , et ce, dans les pires conditions préparatoires ) , les bavures, les incompétences, le doute qui règne dans l’esprit des soldats, la peur, la soif de sang, les ordres contradictoires, les incohérences humaines et militaires,…

Le souci du réel avant tout

Les prises de vues sont nerveuses, dynamiques, tremblantes, les images s’enchaînent durant les scènes d’actions, la caméra semble toujours trouver un recoin inattendu ou se placer, et....

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