Avis Sons of Anarchy S3

Après le final de la seconde saison qui nous laissait béant et sans mots, c'est avec joue que l'on retrouve nos membre de SAMCRO. Le scénario emmène les SONS a Belfast en Irlande pour retrouver Abel le fils de Jax. Je trouve cette troisième saison un poil en dessous des deux premières car elle perd un peu en rythme et s'attarde sur des passages dit un peu superficiels. Après on comprends aussi qu'il faut laisser le temps à la série de se poser. Une mention spécial a Kurt Sutter qui a su adapter son fameux générique a la sauce Irlandaise.

Cette saison 3 est vraiment enorme c'est ma prefere pour l'instant J'ai été plus qu'agréablement surpris par les 2 premières saisons, et cette 3ème est encore un niveau au dessus ! Captivante, surprenante, triste, heureuse, on en a pour tout les goûts. Le final est simplement magnifique et innatendu avec des acteurs absolument formidable. Vivement la prochaine !!

Saison 3 en forme de demi teinte, la faute à un scénario, toujours aussi bien ficelé, mais qui recèle parfois de sous intrigues qui n'apportent pas grand chose à l'histoire.
Néanmoins, cette 3ieme saison regorge de rebondissements, et d'action.
Entre histoires très tristes - spoiler: celle du couple qui a adopté Abel
- et amours plus ou moins impossibles, la saison 3 recèle de scènes émotionnelles superbement filmées.

Troisième baroude d’honneur pour les bikers de Kurt Sutter, succès conséquent de la chaîne câblée FX, successeur officieux de la prodigieuse The Shield, une série sur laquelle a œuvrer le Showrunner des Sons of Anarchy et de laquelle il a clairement tiré toute cette vitalité narrative. Un brin poussive, cette troisième saison constitue un nouveau planning alléchant de traitrise, de violence, de machination meurtrière, ou l’on retrouve chacun des protagonistes des deux saisons précédentes, découvrant ou redécouvrant sans cesse de nouveaux vices, de nouveaux secrets aux conséquences potentiellement destructrices. Le rythme est à ce point tendu que les temps morts, ici, n’existent pas, ce qui en soit, est la clef du succès de la série auprès d’un très large public. Ou pourrait cependant regretter cet état de fait tant la narration paraît parfois excessive, cumulation interrompue d’ennuis en tous genres qui s’imbriquent les uns aux autres pour dresser un tableau final satisfaisant mais pas toujours crédible. Un fils disparaît. Partant à sa recherche, voilà que disparaît la petite amie. Sans compter qu’il s’agit de blanchir maman qui risque la prison à perpétuité. A cela s’ajoute les potentielles révélations destructrices d’un passé dont on ne connaît finalement que peu de choses.

Vous l’aurez compris, Sons of Anarchy n’est pas un show qui s’éternise mais se précipite, un condensé millimétré de tout ce qui fait le succès d’un bon soap crapuleux, l’héritage de The Shield. On en revient toujours à la même référence. Sur le papier, l’un des atouts de cette troisième saison était le voyage de presque l’intégralité du club en Irlande du Nord, histoire de sauver des griffes d’anciens partenaires commerciaux, l’IRA, le fils de Jax, morveux kidnappé par le désespéré Cameron au terme de la saison précédente. Cela promettait des variations notables en rapport aux épisodes précédents. Malheureusement, le voyage n’est pas forcément concluent, notamment du fait d’un tournage californien à peine maquillé. Oui, les bois irlandais ne ressemblent pas à ceux de la Californie. Ajoutons à cela l’apparition de nouveaux personnages, à Belfast, pas foncièrement attractifs, à l’exception de la dénommée Maureen dont la confrontation avec Gemma est plutôt mouvementée. On passera sur la relation amoureuse entre deux individus à qui personne n’aura pris la peine de révélé leurs liens de parenté.

Mais ce voyage irlandais qui n’apporte finalement pas grand-chose de plus, appuyé par une refonte du thème lors de générique, ne représente pas grand-chose face à la dextérité avec laquelle Kurt Sutter fait s’enchaîner les évènements, sans compter sur un excellent final-Season. Oui, qu’importe les lacunes, la saison, dans sa globalité, est réussie, puissante sur le plan de l’écriture. La distribution des tâches, des rôles à jouer, entre chacun des protagonistes est également parfaitement maîtrisée, ne laissant personne sur le bord de la route. Le club est soudé, oui, mais tout menace à chaque instant de s’effondrer, notamment en rapport à la justice et à l’immonde mais appréciable agent Stahl. Dans ce sens, chacun des personnages, tous sincèrement sympathiques, Jax n’étant paradoxalement pas toujours le plus intéressant, tiennent un rôle majeur dans l’évolution de la série. Remarquable écriture, donc.

Voilà donc un second retour plein de promesses, de belles perspectives, s’achevant en beauté, ouvrant la voie à une quatrième saison que l’on espère aussi bonne, voire meilleure sur le plan technique. Tout ça est allé très vite, peut-être un peu trop, mais on ne peut que tirer notre chapeau à Kurt Sutter pour son show vitaminé, original et toujours attrayant. A bientôt pour la suite. 15/20

Paradoxalement, la saison 3 est la saison qui commence le moins bien avec six premiers épisodes très chiant et incohérent, surtout vis à vis du fil conducteur : spoiler: C'est à dire qu'à la fin de la saison 2 l'irlandais enlève Abel sur un coup de tête, puis au final il s'avère que c'est le père catholique qui avait tout orchestré (suite au révélation du père de Jacks) pour sortir Abel du destin qui lui était tracé en étant élevé chez les bikers, pourquoi ce revirement de scénario ? Incohérent.
Mais étrangement, la saison 3 sera la plus forte en rebondissement car elle ne cesse de monter en puissance. Un final qui clos les trois premières saisons, mais de quelle façon ! Incroyable.

Cette troisième saison est un peu moins pertinente à mon avis. Au sein des Sons, les explications manquent de crédibilité autour de ce qui arrive à Abel et Gemma. Tout tourne en rond, beaucoup de déplacements à droite et à gauche pour les bikers. L'épisode avec le père de Gemma est le plus émouvant de la saison. Le final est assez spectaculaire et surprenant.

D'un tout autre niveau, cette saison fut plus sombre et naturellement plus tendue au vu des enjeux que furent spoiler: la recherche du fils nouveau né, des tensions naissantes entre notre gang et leur nouvel ennemi voulant l'assommer, la police pourrie de l'intérieure collaborant quasiment avec ce même ennemi puis les femmes au combien maîtresse de nombreux jeux bien dangereux. Plusieurs intrigues complexes qu'il faut correctement suivre, menant bout à bout à la découverte d'un "trafic" de bébé, de la réelle identité d'un prête finalement très peu catholique (excellent James Cosmo ("Troy"...) dont le naturel charisme aura sublimé le rôle) jusqu'au dénouement hyper ficeler. Coups bas, paroles bien placées, les personnages auront nettement évolués notamment les femmes qui, dans ce programme bien masculin, auront montrées leur force, charactère bien tremper et savoir faire en matière de manipulation. Des premières séquences "gore" montant la série en gamme et promettant assurément une 4ème plus sombre encore, plus poussée avec qui sait, des évolutions toujours plus marquées
. Quant à Ally Walker, présente depuis la 1, elle nous aura "offerte" la première mort symbolique mais son rôle aura surtout payée les coups bas engendrés pas à pas, jouant ainsi les victimes du système, elle se sera trahie elle-même. Affaires à suivre.

Dépaysement au programme pour Samcro qui va s'exiler à Belfast à la recherche d'Abel pour se retrouver dans un nid de vipères où les secrets de famille côtoient les traitres de tous bords. L'enquête se traîne un peu en début de saison, et la balade irlandaise se fait attendre, d'autant que les pérégrinations de Gemma et le pourrissement de la relation avec Tara sentent le remplissage. L'agent Stahl et le renégat Salazar vont heureusement se charger de mettre un coup de pression sur notre héros qui devra être prêt à tout pour retrouver son fils. Jax va alors prendre une dimension humaine touchante, qui sur fond de vengeance et de règlement de comptes nous conduira sur une fin de saison éblouissante.

Un cran au dessus de la saison 2, cette saison 3 à la sauce "Irlandaise" est sympathique, certains épisodes sont malheureusement beaucoup moins prenant que les autres, mais le final est là la hauteur de la qualité de la série.

Mention spéciale aux épisodes 01 et 11.

Meilleure des 7 saisons à mon goût. Le voyage a belfast et tout ce qui s'y passe est génial. Et surtout, l'accent irlandais est top

Cette troisième saison relève un peu le niveau de la série par rapport à la saison précédente. Les personnages sont toujours aussi intéressants (notamment Jax, Tig, Tara, Unser...), les nouveaux du casting sont à la hauteur et l'apparition de Jose Pablo Cantillo (Martinez dans The Walking Dead) sur une bonne partie de la saison n'est pas sans me déplaire. La quête de Jax pour retrouver son enfant donnera lieu à quelques intrigues secondaires qui seront toutes plus ou moins bien menées jusqu'à leur terme. Les épisodes se déroulant en Irlande sont vraiment très sympathiques et changent un peu au vu de la répétitivité qui recommençait à s'installer déjà un peu avant la moitié de la saison. On en apprend également plus sur John Teller, puis le générique a été remanié en version irlandaise pour les derniers épisodes. Finalement, ce n'était pas si mal.

Le final de la saison 2 était fracassant et cette troisième saison ne cache pas sa volonté de toujours faire encore plus fort. Plus d'intrigues, plus d'ennuis pour le SAMCRO, encore plus de rebondissements, cette saison est celle qui en fait un peu trop. A force de voir les ennuis crouler sur les personnages, on finit par s'en détacher un peu tant les évènements malchanceux sont nombreux. Mais cela n'enlève rien à la force de cette saison où les enjeux sont extrêmement forts et les révélations sont de mises. Comme toujours, ce sont surtout les personnages (Jax, Gemma, Tig, Wayne Unser et même l'agent Stahl) et non pas les évènements qui sont le plus intéressant. Ainsi dans toutes les actions de cette saison, seules certaines se retiennent vraiment comme celles du final, vraiment réussi (c'est souvent le meilleur épisode de la saison dans cette série) et qui vient enlever une grosse frustration qui régnait depuis un moment. Et même si elle est loin d'être parfaite, "Sons of Anarchy" est une série prenante qui sait surprendre (les quelques épisodes qui se passent en Irlande, les décisions des personnages) et qui sait créer une attente à chaque fin de saison pour mieux se laisser regarder ensuite.

Avec l’excellent cliffhanger de la non-moins réussie deuxième saison, le fan de Sons of Anarchy pouvait s’attendre à une saison assez sauvage, qui allait encore repousser les limites de Jax Taylor.

Toujours aussi ultraviolente, la série commence quand même par 6 épisodes où SAMCRO reste aux USA à préparer son voyage à Belfast et elle démarre plutôt bien avec la nouvelle disparition d’un personnage important, mais qui avait du mal à évoluer. Malheureusement, cela traîne encore un peu en longueur, dans la mesure où un arc scénaristique avec les Mayans, où on peut apercevoir Emilio Rivera sur quelques épisodes, ce qui n’est que du bonheur. Malheureusement, entre Abel capturé, Tara capturée et Gemma coincée avec son père (joué par l’immense Hal Holbrook), la saison tourne un peu en rond. Une fois à Belfast, c’est déjà plus intéressant, avec des scènes d’une sauvagerie intense, proche de l’arrachage de tatouage de Brian van Holt dans la première saison. Cependant, la saison dure trop longtemps d’au moins 2 ou 3 épisodes et le tout semble très rallongé artificiellement, sans pour autant qu’elle devienne mauvaise, loin de là. En effet, des personnages comme Chibs prennent de l’importance, là où Tig et Elvis sont un peu en retrait ou mal utilisés. Les tensions entre Clay et Jax sont mises de côté, ce qui n’est pas une mauvaise chose, par contre. Quant aux bad guys de la saison, Titus Welliver et Ally Walker, ils sont parfaitement haïssables, ce qui témoigne encore d’une écriture soignée de la part de Kurt Sutter qui apparaît juste dans le Finale, d’une grande qualité, comme d’habitude dans la série.

Sans pour autant être au niveau des deux premières, cette troisième saison, qui semble être une saison de transition, se trouve être une réussite, tant SAMCRO est un endroit passionnant. Avec un tel cliffhanger, comment ne pas être impatient de voir la suite ?

Une troisième saison qui n'a pas à pâlir fasse aux deux précédentes. L'humour, l'action et les grosse cylindrées cohabitent toujours à merveille, les acteurs gagnent en charisme et le changement d'air opéré en cour de saison est revigorant au possible. Bref, un nouveau sans faute pour les Sons !

SAMCRO s'est assagi durant cette saison mais ils nous ont réservé une très bonne surprise en se rendant pendant plusieurs épisodes en Irlande. Le drame est d'ailleurs plus présent : (Spoiler) la parenté entre Trinity et Jax et les doutes de Jax : faut-il laisser son fils à ces parents adoptifs ou le récupérer (fin du spoiler).