Exclu. N'oubliez pas les paroles : on connaît enfin le point faible de Benoît ! Il se confie
Sébastien J.
Sébastien J.
-Rédacteur
Sébastien est passionné par les émissions de divertissement : Danse avec les stars, The Voice, Les 12 Coups de midi, rien ne lui échappe. Les histoires d'amour et les clashs de la téléréalité n'ont aussi aucun secret pour lui.

INTERVIEW. Grand Maestro de N'oubliez pas les paroles sur France 2, Benoît s'est confié en exclusivité à TV Actu afin de revenir sur son parcours impressionnant. L'occasion aussi de connaître son point faible.

Capture d'écran N'oubliez pas les paroles / France 2

Benoît est entré dans le top 3 des meilleurs Maestros de N'oubliez pas les paroles le 8 janvier 2025. Le jeune homme de 31 ans en a rêvé et il l'a fait ! Arrivé le 2 décembre 2024 sur le plateau de Nagui après avoir passé des années à réviser des tas de chansons, il ne compte pas laisser sa place de sitôt. Interviewé par TV Actu, le photographe de profession est revenu en exclusivité sur son parcours hors normes et s'est livré sur cette "faille" qui pourrait bien causer sa perte dans le jeu.

TV Actu : Fort de votre notoriété grâce à N’oubliez pas les paroles, est-ce qu’on vous arrête dans la rue désormais ?

Benoît : Oui ! Je savais que ça allait finir par arriver. C’est marrant mais je sais aussi que c’est très passager. Je prends le temps d'échanger avec les gens qui me croisent et me reconnaissent.

Comment se déroule une journée de tournage ?

Le rythme est très intense du fait qu’on tourne entre 10 et 14 émissions par jour mais c’est tellement de bonheur de pouvoir chanter avec un orchestre. Moi j’ai 31 ans, c’est chouette mais il faut penser à Nagui qui en a 63 et qui passe la journée debout (rires). Il me fascine, j’aimerais avoir sa forme à son âge.

Avez-vous pu échanger avec Margaux, la plus grande Maestro de l’émission ?

Non, je ne la connais pas du tout. Je pense qu’elle entend parler de moi. Si pour moi ça me paraît loin, de son côté elle doit commencer à se sentir en danger.

Depuis combien de temps regardez-vous N’oubliez pas les paroles ?

Je regardais quand j’étais très jeune. J’avais passé mon tout premier casting quand j'avais 18 ans et j’ai été recalé à la première étape. Ça devait être en 2011, c’est ma cousine qui m’avait inscrit. J’ai arrêté de suivre pendant un moment ensuite avant de reprendre il y a 5 ans et de regarder tous les soirs avec ma mère. J’étais reparti vivre chez elle et c’était un peu notre rendez-vous quotidien.

Quel type de chanson pourrait vous mettre en difficulté ?

Il y en a beaucoup. Je ne sais pas si on peut catégoriser ça en “type” de chanson mais toutes celles qui datent des années 2010 parce que je n'écoutais plus du tout de musique française à ce moment-là. Depuis j’en ai travaillé mais c’est vrai que j’ai vraiment une faille sur cette décennie.

Avez-vous un grigri avec vous durant les émissions ?

Oui, j’en ai parlé dans l’émission. On l’a sorti même, c’est un dé à 20 faces qu’une de mes copines m’avait offert. Il est toujours avec moi. Je le lance les matins de tournage pour savoir ce qu’il va se passer dans la journée.

Avez-vous une idée de ce que vous allez faire avec l’argent récolté dans votre cagnotte ?

Il va y avoir des petites folies. Je vais refaire des voyages. Je vais finir celui que je n’avais pas terminé et je vais essayer d’investir un peu d’argent pour m’assurer une stabilité financière. Le métier de photographe paye bien mais il y a des périodes où l’on peut avoir moins de contrats, l’hiver par exemple c’est un peu compliqué parfois. L’idée se serait aussi d’avoir un revenu stable.

Vous continuez donc votre métier de photographe ?

Oui, c’est mon métier et j’adore ça !

Et vous vivez toujours en copropriété ?

On a acheté une maison avec quatre familles et on vit à cinq et l’idée c’est d’en faire un écolieu culturel dans le Maine-et-Loire pour y accueillir des événements. On est tous un peu artistes.

Vous défendez souvent votre goût pour l’écologie. Est-ce une cause importante pour vous ?

C’est vrai que ça transparaît beaucoup sur le plateau. Oui c’est important mais aussi parce qu’on est en 2025 et que c’est un sujet majeur. On se rend bien compte que la vie ne va pas pouvoir continuer comme ça. On est en train de détruire la planète. Ça ne me tient pas particulièrement à cœur mais j’estime qu’on n’a pas vraiment le choix que d’en parler.

Comment réagissent vos proches à votre succès ?

Ils sont extrêmement contents pour moi. J’ai mes deux grand-mères qui me disent qu’elles sont au bord de l’attaque cardiaque à chaque émission (rires). Ma maman est très heureuse pour moi. N’oubliez pas les paroles est une émission qui nous a rapprochés et elle sait à quel point je me suis investie dedans. Ils sont tous très soulagés parce que mes efforts ont fini par payer. Il y a de la fierté aussi, je suis devenue la star de la famille.

De quels autres Maestros êtes-vous proche ?

Ceux dont je suis le plus proche sont Charlotte, contre qui j'ai joué en 2023 et Etienne. Avec Laurens également et un peu Louis.

Avez-vous eu des conseils de leur part ?

Etienne m’a mis coaché pour pouvoir profiter sur le plateau et ne pas subir la pression. Il a été top, ça a été mon bol d’air frais. C’est lui qui m’a hébergé avant mon premier tournage. Il m’a emmené rencontrer ses amis à Paris, faire des JAM ensemble dans des bars. Il a vraiment été un soutien énorme. Laurent quant à lui m’a donné beaucoup de conseils sur comment me mettre en place pour La même chanson et je les applique à fond. Charlotte est restée un peu loin mais elle est bien occupée puisqu’elle vient d’accoucher, elle a d’autres choses à penser.

Qu’est-ce que vous regardez à la télé ?

N’oubliez pas les paroles et Taratata aussi, j’adore ! Ça fait très “Nagui, Nagui” mais pour le coup c’est vraiment une émission que je trouve géniale.

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