C’est sur le plateau de Bonjour !, la matinale de TF1, que Christophe Beaugrand avait vendu la mèche. En cette année anniversaire, la chaîne a décidément mis les petits plats dans les grands en faisant revenir Koh Lanta à la fin février dans un format encore jeune, mais très apprécié des téléspectateurs. “Koh-Lanta, ça revient, avec une version qui va s’appeler La revanche des quatre terres avec des candidats censés représenter les quatre coins de la France”, a-t-il dévoilé. Mais ce n’est pas tout ! Le présentateur s’est également permis de divulguer le nom de cette nouvelle saison : Koh Lanta - La Revanche des 4 terres. Un titre qui fait référence à son prédécesseur, Koh Lanta : Les 4 Terres. Parmi les candidats prêts à relever le défi, figure Alan, un “pur produit du Nord” comme il s’amuse à se qualifier.
Koh-Lanta 2025 : Alan, un candidat qui a une petite longueur d’avance !
Le 4 février 2025, TF1 a diffusé sur sa plateforme TF1 + le portrait de ce nouvel aventurier pas comme les autres. Si au premier abord, le jeune dunkerquois de 25 ans semble coché toutes les cases du candidat modèle, il dévoile finalement un très grand secret : “Vous connaissez ma mère, c’est Marjorie, elle a fait Koh Lanta en 2017 au Cambodge”. Eh oui ! Alan est le fils d’une ancienne aventurière. Un avantage dont il compte tirer une partie de sa force, lui qui ne manque pas de témoigner son admiration à sa mère, cachée derrière l’évier de sa cuisine lors de l’interview : “(...) Je l’ai trouvée incroyable. Elle a été forte pourtant elle est pas très sportive mais au final elle est allée très loin et je suis très fier d’elle. Et maintenant c’est à mon tour”. Une déclaration secondée par la principale intéressée qui s’est empressée de lui apporter son soutien : “J’ai fait mon aventure, maintenant je te passe le flambeau, à toi de briller aussi mon fils. (...) je serais toujours fier de toi”.
Koh-Lanta 2025 : Alan, un docker habitué aux défis
Alan a beau être le fils d’une ancienne candidate du programme, cela ne veut pas dire que c’est la seule raison de sa présence dans cette nouvelle saison. Jeune et vigoureux, c’est sur le port de Dunkerque qu’il s’épanouit professionnellement : “Je travaille sur le port de Dunkerque où je suis docker de profession”. Que ce soit au sol ou à plusieurs mètres d’altitude, le jeune dunkerquois manie machine et outil à longueur de journée dans des journées toujours plus physiques. Le vertige ? C’est un mot absent de son vocabulaire. D’ailleurs, son métier, il l’affectionne particulièrement : “Pour moi c’est une grande fierté de faire partie de la famille des dockers parce que c’est une place qui est très convoitée. C’est un milieu très fermé, on y rentre que par lien familial”. Fort de ce privilège et des capacités que son travail lui permet d’entretenir, Alan risque de briller de mille feux lors des épreuves physiques !
