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    Gérard 2008 : et les pires sont...

    Les heureux lauréats des désormais traditionnels "Gérard du Cinéma", saluant les "Pires" du cinéma français, ont été dévoilées hier en live sur le web. And the loosers are...

    Ils reviennent, plus méchants que jamais ! Les Gérard du cinéma, équivalent made in France des Razzie Awards, s'étaient faits discrets en début d'année, sans saluer les pires productions françaises la veille des César comme ils avaient l'habitude de le faire. C'était pour mieux créer l'événement ce mardi 13 mai, veille du 61e Festival de Cannes, où cette cérémonie décalée a bénéficié d'une retransmission en direct sur le web.

    Parmi les "heureux" élus cette année, on retrouve Jean-Paul Rouve avec deux trophées (Gérard de l'acteur qui aurait vraiment mieux fait decontinuer à faire des sketches / Gérard du plus mauvais animal dans un rôle d'animal), mais aussi Astérix aux Jeux Olympiques (Gérard du plus mauvais film de l'histoire du cinéma en 2007), Catherine Deneuve (Gérard de l'actrice que les journalistes appellent "mademoiselle" au lieu de "mémé"), Samy Naceri (Gérard du mauvais timing), Clovis Cornillac (Gérard de l'ersatz), Alexandre Astier (Gérard de la compromission alimentaire), Franck Dubosc (Gérard du désespoir masculin), Monica Bellucci (Gérard du désespoir féminin), Pars vite et reviens tard (Gérard du film où on sait pas si on s'en va, si on revient, ou alors quoi ?), 4 mois, 3 semaines, 2 jours (Gérardu du filmu roumanescu) ou encore Très bien, merci (Gérard du film dont on a appris l'existence en préparant les catégories des Gérard), sans oublier Arielle Dombasle, annuellement sacrée "Actrice qui bénéficie le mieux des réseaux de son mari".

    Le palmarès 2008

    Voir la cérémonie

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