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    La Haine
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    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 023 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2022
    Enfin vu pour la première fois La Haine, l'un des films français les plus cultes. Et je ne suis pas déçu. Évidemment, ça reste un film très tapageur dirons nous : les personnages sont tout le temps en train de crier et s'embrouiller, du coup c'est peut-être un peu fatiguant à suivre à la longue. Cependant, le message du film est toujours autant d'actualité et la manière dont il est passé à travers l'histoire de ces 3 jeunes de banlieue qui sont plus ou moins clean est incroyable. Le chemin parcouru par ces 3 gars jusqu'à à la fin est assez dingue et prouve bien le climat hostile qui règne dans ces cités et qui n'est bon pour personne, que ce soit citadin comme policiers. Bref, un grand film et des acteurs au top, d'une puissance politique et émotionnelle forte. A voir absolument !
    FR Saas
    FR Saas

    13 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2022
    Le film décrit de manière assez triste une jeunesse de banlieue enfermée dans une bulle de médiocrité et déconnecté du monde et de ses réalités.
    Spider cineman
    Spider cineman

    114 abonnés 1 811 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2022
    Le film de Mathieu Kassovitz, la révélation d un réalisatrice d acteurs mais surtout une vision d une banlieue. Intrigue bien menée jusqu'à au paroxysme... et fatal dénouement.
    Ritchie B.
    Ritchie B.

    3 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2022
    PFFFF...

    Ce film a une puissance qui reste d'actualité.
    Très cliché (sur la ghettoïsation, les jeunes de banlieues, la vie de la cité), mais tellement de profondeur...
    Ce qui fait un grand film c'est qu'il reste intemporel.

    2022 je viens de visionner ce film, 17 ans qu'il est sorti.
    Rien n'a changé...
    Pascal M.
    Pascal M.

    13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2022
    Ce film "La Haine" ne m'as pas vraiment marqué... Parfois cité dans les discutions quand j'étais jeune, je l'ai revisionné en 2021 et il ne m'as pas vraiment emporté... De mon point de vue, le scénario est maigre, les dialogues plus que moyen... Je n'ai pas senti quelque chose de particulier qui se dégage de ce long métrage... J'ai quand même apprécié le style de film en blanc et noir ainsi que le point de vue de la camera dans certains plans mais le reste est vide, selon moi...
    J'ai visionné ce film histoire de dire que moi aussi, j'ai vu le film "La haine" mais ce dernier sera vite oublié.... Je suis déçu...
    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2021
    Un incontournable des années 90 dont le mérite est d'offrir une photographie sociale assez juste de la vie en banlieue et du désarroi de la jeunesse même si, quelques années avant, Jean Claude Brisseau avait déjà frontalement abordé le sujet dans "De bruit et de fureur ". "La Haine" est un espèce de road movie à l'esthétique un peu trop léchée mais sa force est bel et bien sa direction d'acteur et l'aspect tragicomique de cette succession de sketchs organisés en film. Par contre la référence à Taxi driver" me parait hors sujet. C'est un truc de cinéphile.
    Julien R
    Julien R

    8 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2021
    Excellente réalisation ! Du cadrage, du mixage son. Toutefois, politiquement, c'est un film vide; qui n'amène ni réflexion ni revendications. De ce point de vue c'est décevant.

    Point fort sur les violences policières mais qui encore une fois n'est qu'un pur constat
    Barbe d’or
    Barbe d’or

    6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2021
    Un monument de l’histoire du cinéma.
    La première plongée filmée dans les cité.
    La musique est génial, les comédiens…
    Je suis fan !!!!
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2021
    23 ans séparent « La haine » de « Les misérables », mais ils parlent tous deux de la même fracture sociale que rien n’a réduit malgré les années. Les deux prouvent que la violence policière est toujours plus légitime aux yeux de la société que l’émeute urbaine. Entre les deux, un changement de point de vue ; une première fois le film adopte le regard des jeunes de banlieue et une seconde fois celui des policiers. Film coup de poing, il remporta le prix de la mise en scène à Cannes et le César du meilleur film en 1996.
    Reprenons le critique de Critikat pour un film intemporel devenu culte :
    « Comme les films noirs dont il est inspiré, La Haine raconte l’histoire d’une chute causée par la poursuite d’un fantasme. Les trois personnages principaux du film ne sont pas animés par un désir charnel ou attirés par l’appât du gain, ils fantasment seulement l’idée de reprendre possession de leur image. Quand ils ne sont pas cantonnés au simple statut de spectateurs de programmes de télévision ou de publicités, Saïd (Saïd Taghmaoui), Hubert (Hubert Koundé) et Vinz (Vincent Cassel) restent prisonniers de rôles cousus de fil blanc : celui de la petite frappe, du dealer ou encore de la victime de violence policière, soit autant de variations des clichés typiques du « malaise des banlieues ». Dans un contexte d’émeutes provoquées par une bavure dans leur quartier, Hubert et Vinz s’affrontent sur les moyens de redéfinir leur rôle dans la société sous le regard de Saïd, leur ami, personnage par lequel nous entrons dans le film.
    De l’autre côté du miroir
    Il est important de relever que ce témoin propose un regard amical sur les deux autres protagonistes. En 1994, un tel choix de point de vue sur des personnages « issus des banlieues » est encore rare. Nous nous plaçons ici à hauteur d’homme, Saïd nous offrant un rapport privilégié pour rencontrer ses deux compères. Vinz est le premier à être présenté, par l’entremise d’une scène de rêve (choix qui remet en question le statut de certaines images qui l’accompagneront par la suite). Dans un plan resté dans les mémoires, c’est lui qui prononce la célèbre réplique de Robert De Niro issue de Taxi Driver : « C’est à moi qu’tu parles ? » Le miroir s’apparente ici à un écran face auquel il reste seul, spectateur de lui-même. Vinz n’est en fait jamais sorti du rêve : le poster derrière lui qui encadre sa tête place son imaginaire en dehors de sa réalité immédiate. En cela, il est le personnage le plus enfantin du trio, son cabotinage s’apparentant le plus souvent à une simple posture. Un peu plus tard, devant la télévision qui diffuse les images des émeutes auxquelles il aurait participé, il rage de ne pas avoir été filmé. C’est que Vinz veut devenir un personnage de télé, preuve suprême d’une existence sociale à l’apogée de l’ère de la petite lucarne. Quand il trouve un pistolet perdu par un policier dans la cité, il y discerne la possibilité de se retrouver au cœur d’une grande scène tragique : celle d’un meurtre par vengeance, sorte de sacrifice pour « rétablir la balance » et s’extraire de l’éternel rôle de victime.
    Hubert fait office quant à lui d’adulte au sein du trio. Il voit d’un mauvais œil les projets de Vinz et tente de le dissuader de commettre l’irréparable. Persuadé que la haine attise la haine, il cherche à s’en sortir par le haut afin de quitter cet enfer et se réinventer ailleurs. Il est, d’une certaine manière, représentatif d’une forme de réussite légitimée par les discours des gouvernements successifs, de celles qui prouvent que le travail paie et ouvre les portes d’un monde meilleur pour les plus méritants. Hubert est un personnage rassurant et profondément sympathique, qui parvient de justesse à éviter que Vinz ne se serve de son arme en le confrontant à l’impasse où le mène son projet. Mais cette idée d’élévation par la vertu se révèle être elle aussi un fantasme, quand une nouvelle bavure est commise sous ses yeux. C’est alors Hubert qui pointe le pistolet vers les forces de l’ordre, menant à son terme le projet de Vinz. Cette fin, parfois décriée comme une touche finale de noirceur gratuite, permet à La Haine de ne pas se limiter à une simple leçon de morale. Si le destin des personnages se retrouve totalement bousculé dans le dénouement, c’est qu’il était plus difficile que prévu de s’en écarter : aussi méritant que puisse être un « jeune de banlieue », il reste plus exposé aux violences policières, c’est ainsi. C’est en cela que consiste toute l’importance de la Haine : le film part de la situation particulière de ses personnages pour proposer un regard humaniste à plus grande échelle, rappelant au passage que l’effondrement d’une société n’est en rien causée par la prétendue déchéance morale de ceux qui sont en bas de l’échelle sociale.
    « Et qui nous protège de vous ? »
    Kassovitz l’assume, ne serait-ce que par des citations explicites : La Haine est profondément imprégnée des films néo-noirs de la fin des années 1970 qui implantaient des structures de film de genre dans des décors réels. Nourrissant son deuxième long-métrage de déambulations dans des rues filmées comme des labyrinthes, Kassovitz fait le choix de cadres très composés. Les publicités, les tags, les images télévisuelles ou encore les formes des bâtiments attirent le regard, dessinant un monde envahi d’injonctions. Cette approche stylisée contraste avec une démarche qui se voudrait « prise sur le vif », parfois presque documentaire, mais elle se justifie par le choix du point de vue. La caméra arpente les différents quartiers de l’agglomération parisienne par le biais du regard des trois personnages. Or, ceux-ci en sont réduits à réagir à ces injonctions, seules prises qu’ils ont sur une ville qui les rejette. Vinz voudrait imiter des personnages des films, Hubert porte un regard politique sur les mensonges publicitaires, tandis que Saïd se les réapproprie au moyen de sa bombe de peinture. Paris met en scène leur exclusion, maintenant derrière ses murs ce qui leur est interdit : comme le dit Saïd, ils sont enfermés dehors (du périphérique comme des immeubles).
    Lorsque le trio parvient à entrer quelque part, un piège se referme sur eux. Sur ce point, aucune scène n’égale celle du commissariat parisien : dans la terrible séquence de la garde à vue, le point de vue change et adopte pour la première fois celui d’un policier. La violence observée n’est en effet plus celle des trois protagonistes, il s’agit de celle des forces de l’ordre. Nous sommes aux côtés d’un jeune policier assis en retrait, placé en spectateur des exactions de ses collègues. Surgit alors un autre imaginaire : celui du racisme, de la violence acceptable, de la puissance par l’humiliation. Apparaît même un fantasme, là-aussi : celui d’une violence jugée légitime, proférée impunément grâce à son invisibilité. Désapprobateur mais impassible, le policier silencieux donne à ressentir la honte de ne pas réagir en ne disant rien, en baissant les yeux. Il ne faut pas laisser de trace, voilà le secret du métier, explique son collègue. Cette violence qui cherche à s’effacer se retrouve justement être, vingt-cinq ans plus tard, le thème central des Misérables de Ladj Ly, film dans lequel trois policiers tentent de mettre la main sur des images filmées d’une bavure. Mises côte à côte, les deux œuvres déploient une étonnante symétrie en ce qui concerne les enjeux liés aux images de violence. Le constat reste le même : la négation des violences policières attise les flammes plutôt qu’elle ne les éteint. C’est pourquoi l’image d’ouverture du film de Mathieu Kassovitz frappe peut-être plus encore qu’à l’époque de sa sortie. Cette affiche montrant une Terre frappée par un cocktail Molotov relie en effet la situation sociale en banlieue parisienne à une réflexion plus ample sur la propagation de la haine. Le fantasme à l’origine de la chute d’une société n’est en effet pas celui de banlieusards que certains veulent voir comme « ensauvagés », il s’agit plutôt de cette croyance mondialisée selon laquelle les coups de matraques sont plus excusables que la colère sociale. »
    Donc un film incontournable
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    GéDéon
    GéDéon

    55 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2021
    Avec son deuxième long-métrage en tant que réalisateur, Mathieu Kassovitz signe une œuvre qui sert désormais de référence. En suivant la journée de trois amis issus d’une cité sensible (Vincent Cassel, Hubert Koundé et Saïd Taghmaoui), l’histoire dépeint l’univers des banlieues et les tensions qui les opposent aux forces de l’ordre. En prenant fait et cause pour ces jeunes délaissés par la société, le cinéaste expose au grand jour une facette jusque-là méprisée par les institutions. Bref, un sujet traité avec subtilité et humanisme dont l’actualité récurrente prouve l’intemporalité de ce drame fort justement récompensé du César du meilleur film en 1996.
    tisma
    tisma

    257 abonnés 1 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2021
    Un film boulversant et vraiment perturbant. On suit ces 3 jeunes qui nous embarquent dans leur vie quotidienne tiraillante. Les acteurs nous transportent et c'est troublant.
    Le 4ème homme
    Le 4ème homme

    11 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2021
    1995-2021
    Ce film est toujours d'actualité !
    Au départ, je ne suis pas vraiment "branché" vers cet univers de banlieue. Mais force est de constater que l'on rentre dans le film pour ne plus le lâcher !
    Réalisation tout à fait remarquable, très moderne dans un très beau noir et blanc.
    Les acteurs sont très bons, et notamment Cassel criant de vérité !
    Leandre H
    Leandre H

    7 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2021
    Film célèbre car représentatif de son époque, il est triste de voir que le sujet est encore d’actualité aujourd’hui. Kassovitz a fait son choix, et charge la société (représentée par la police et les bourgeois bien-pensants) des maux qu’il représente ici. On assiste à une journée ennuyante pour les 3 personnages, campés par un trio au sommet. Le désoeuvrement se lit sur leurs visages. Et il y a l’atmosphère électrisée par une récente échauffourée. La tension monte, lentement mais sûrement.

    Ils n’ont rien fait de mal, et l’on bouillonne avec eux lorsqu’ils sont victimes d’agents de police racistes et abusifs. Cependant l’institution policière aurait mérité davantage de nuance. C’est un film extrêmement à charge contre eux, et contre le système médiatique qui est responsable d’une certaine polarisation de l’opinion publique.

    On y voit un beau noir et blanc anachronique, et qui met en valeur les contrastes visuels. Métaphoriquement, on pourrait y voir une révolte graphique contre le manichéisme (noir/blanc) qui est l’un des sujets du film. Néanmoins, le film n’est pas objectif.
    Des plans magnifiques sont tirés d’une pellicule granuleuse, certains restent mémorables. Cassel explose dans son rôle, et les 3 manipulent avec adresse le verlan, et tout un langage qui doit leur permettre de faire face à une situation qu’ils n’ont pas choisie (la violence, la cité, etc).

    C’est un film de gauche, et il semble compliqué de le comprendre pleinement si l’on ne connaît pas l’histoire de France, son rapport à l’immigration, et la société française de ces années-là (politique, culture, etc).
    La subjectivité de Kassovitz en fait un grand film, qu’il faut voir en gardant la tête froide.
    L. Lawliet
    L. Lawliet

    17 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2021
    Film qui nous marque !

    Aujourd’hui on s’attaque à: "La Haine", film sorti en 1995.
    "L'important ce n'est pas la chute..." Le propre des grands films est d'être intemporel. Et 27 ans plus tard la réalité dépeinte par "La Haine" est toujours aussi brulante d'actualité. Il est d'ailleurs amusant d'entendre évoquée la nostalgie d'un âge d'or qui n'a jamais existé : "il y a quelques années, un dialogue était encore possible" est encore la formule favorite des politiques et journalistes d'aujourd'hui. Grand film "La Haine" n'en est pourtant pas parfait: le point de vue de Kassovitz, sans verser trop ostensiblement dans le manichéisme reste très subjectif. On peut notamment lui reprocher de n'expliquer l'oisiveté et la propension à tomber dans la délinquance de ces jeunes que par l'absence de stimulation et de perspective.
    Avec 3 personnages qui ont tousses une mentalité différente avec les mêmes ambitions.
    On n’est totalement séduis par la manœuvre artistique de Kassovitz que j’ai découvert avec "Les Rivières Pourpres", autre film également avec Vincent Cassel.
    Vincent Cassel qui tiens et on n’est absolument d’accord la dessus: Sa meilleur performance cinématographiquement !
    Après c’est grâce à ce film qu’il a démarré et sorti les superbes bon films comme "Mon Roi", "Black Swan", "Trance" et encore le doublage de Diego dans "L’âge de Glace"…!
    Saïd est joué par un acteur portant le même nom Saïd Taghmaoui. Et Hubert idem.
    Le trio est très attachants. D’un côté on n’a le leader (Vings) qui est tête brûlée et celui qui a les couilles de faire la connerie.
    Aussi on n’a Said qui est la pour faire des blagues et qui réfléchi pas trop. En gros le plus immature de la bande. Et ensuite on n’a mon préféré, le plus "gentil" qui est un peu malheureux à la foi puis content.
    Celui qui est l’opposé de l’Etat d’esprit de Vings, spoiler: on les voit d’ailleurs souvent s’engueuler pondant le film.

    Maintenant pour les acteurs avec des rôles médiocres (C’est-à-dire "secondaire") ils sont je trouve pas très convaincants. J’veux dire, ils jouent pas très très bien… même Mathieu Kassovitz n’était je trouve pas très investi dans son jeu…
    Y’a seulement Benoît Magimel et Karim Belkhadra qui sont plutôt bon.
    Après pour Karim c’est sûrement car mes parents l’on une fois rencontré en vrai et qu’ils j’avaient dîner ensemble, que j’aime bien Samir…😂🤌🏾
    Mais pour en revenir au film, y’a des très très belle idée de réalisation.
    Il y a qu’à voir la scène des toilettes ou on n’est vraiment perdu avec les jeux de miroirs, ou encore la vu dominante sur les marchent automatiques etc, bref que des très beaux plans des mises en Scène simplement Extraordinaire !
    Tout comme évidemment les dialogues cultes qu’on ne peux s’empêcher de dire en regardant le long-métrage.
    ("C’est à Moi que tu Parle ? Ouais les mecs, c’est à Moi qu’il parle l’enculé…!", "Pour quoi Faire ?!", ou encore le sublime "Jusqu’ici tout va Bien".)
    D’ailleurs en parlant du "Jusqu'ici tout va Bien", parlons de la fin qui est vraiment.. très surprenante et ce qui fait le film pour une Perfection !
    spoiler: En fait en effet, la phrase est la dernière du film, puis la mort de Vings qu’on ne voit absolument pas venir et Marquante et traumatisante ! De plus, la caméra fait un Zoom angoissant sûr Said, ce qui fait que nous voyons plus le policier et Hubert, et d’un coup on n’entend un coup de feu, mais on sait pas de qui ça vient, un des deux son mort, et la paf GÉNÉRIQUE !

    Excellent ce film, j’vous le dit il est Génial !
    Dommage que je mette pas 5 étoiles mais c’est pour le rythme de fois ennuyant ou encore le contexte du déroulement de l’intrigue ou il me fallut jusqu’au troisième visionnage pour avoir bien tout compris.
    (Aussi quand tu le découvre à 13 ans…😂🤦‍♂️)
    ANSI le film a peu de musique voir pas du tout. Qu’il est en noir et blanc sans Musique peuvent ne pas en attirer certains mais je vous jure que c’est un film à conseiller. Qui n’est pas comme les autres films Français a oublié dès le lendemain et préféré voir une Comédie de merde… non si on veut voir un bon film Français faut regarder des films de Guillaume Canet et Mathieu Kassovitz.
    Non, ce film est un vrai Drame/Crime qu’il faut regarder en famille ou entre potes, pour bien kiffer !
    C’était l’un des films favoris de mon père, le meilleur rôle de Vincent Cassel et l’une des meilleurs Mise En Scène de réalisation jamais vu !
    Je me stop là, je préfère la deuxième parti et je le conseille fortement.
    Bref
    8/10
    Urbex Résurrection
    Urbex Résurrection

    1 abonné 47 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 octobre 2021
    Très bon film représentant une certaine réalité avec une honnêteté incroyable. le film sonne vrai de A à Z c'est incroyable on a l'impression que les personnages sont fait pour leur rôle. Film à voir, il est à mon sens un classique du cinéma français et il sera toujours d'actualité, car selon moi il n'a pas pris une ride depuis 26 ans.
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