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    Captain America : First Avenger
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Captain America : First Avenger" et de son tournage !

    70 ans

    Captain America a vu le jour il y a 70 ans. Depuis la publication du premier l’album, la bande dessinée s’est vendue à plus de 210 millions d’exemplaires dans quelques 70 pays.

    Et de 5 !

    Ce film est la cinquième adaptation cinématographique autour du fameux super-héros. Après le Captain America de 1944, on trouve le film télévisé de 1979 ainsi que son sequel, Captain America II (TV). Sans oublier la version de 1990, le film théâtral Captain America.

    Le premier en dernier

    Même si ce film s'intitule Captain America: The First Avenger, il s'agit en réalité du dernier film présentant un "avenger" avant la sortie du film The Avengers qui verra Iron Man, Thor, Hulk et Captain America faire équipe.

    De Narnia à Captain America

    Les scénaristes du film, Christopher Markus et Stephen McFeely, sont connus pour avoir adapté les trois premiers volets de la saga Narnia.

    Scénario corrigé

    Au début, Captain America : First Avenger devait être un film unique. Mais lorsque The Avengers a été annoncé, le scénario a été corrigé par Joss Whedon dans le but de mieux intégrer Captain America à l'équipe de super héros. Par la suite, Samuel L. Jackson est venu tourner quelques scènes, de la même façon que pour Iron Man ou Thor.

    Tournage

    Le tournage s'est déroulé à Londres, Liverpool, Manchester et Los Angeles et a duré plus de 90 jours.

    Des auditions tout en testostérone

    Avant de confier le rôle à Chris Evans, l'équipe du film a vu défiler un bon nombre d'acteurs : de Sam Worthington à Will Smith, de Channing Tatum à Chace Crawford, de John Krasinski à Michael Cassidy ou encore de Kellan Lutz à Alexander Skarsgård...

    Refus

    Les producteurs avaient proposé le rôle de Peggy Carter à Emily Blunt, mais, après des mois de discutions, elle a finalement décliné l'offre. Chris Evans a lui refusé trois fois le rôle de Captain America avant d'accepter.

    Le choix du réalisateur

    Kevin Feige explique pourquoi il a choisi Joe Johnston pour réaliser le film : "J’admire son travail depuis l’époque où il concevait les effets spéciaux d'un Star Wars : Episode IV - Un nouvel espoir. Sa carrière le conduit aujourd’hui à réaliser un film produit par les studios Marvel ; un film sur le fil du rasoir, contemporain mais qui a du cœur. Son film Ciel d'octobre était déjà une œuvre cinématographique remarquable. Johnston a toujours été sur la même longueur d’ondes que les producteurs et répété à l’envi que le sujet du film devait être Steve Rogers et son cheminement intérieur." Avant Joe Jonhston, Jon Favreau et Nick Cassavetes ont été approchés. Louis Leterrier a, quant à lui, proposé ses services.

    Un acteur américain

    De plus en plus de super héros censés être américains sont dorénavant joués par des britanniques. Par exemple, Batman est interprété par Christian Bale, Spiderman est joué par Andrew Garfield et Henry Cavill prêtera bientôt ses traits à Superman. Pour Captain America : The First Avenger, les producteurs voulaient impérativement un comédien américain.

    Les années 1940

    Comme Captain America est né dans les années 1940, il était essentiel de situer l’action du film à cette époque là. Pour autant il n'était pas question de faire un film historique. "Nous avons adopté une approche fantastique de l’Histoire : nous avons pris des événements et des lieux réels auxquels nous avons apporté une touche de science-fiction pour raconter les origines de l’univers Marvel, que nous seuls pouvions raconter. Il y a eu énormément de films de guerre, et notamment sur la Seconde Guerre Mondiale, mais pas comme celui-ci", explique Kevin Feige, le producteur du film.

    Retrouvailles

    Hugo Weaving, Joe Johnston, le chef opérateur Shelly Johnson et le chef décorateur Rick Heinrichs avaient tous les quatre collaboré sur le film Wolfman.

    Le père d'Iron Man

    Dominic Cooper incarne l’inventeur Howard Stark, futur père de Tony Stark, alias Iron Man. Pas vraiment amateur de BD, il ne connaissait pas vraiment son personnage. "J’ai voulu savoir dans le détail comment la production envisageait le personnage et sa place dans l’intrigue. C’est passionnant d’étudier comment fonctionne Howard Stark. Il s’avère être un chef d’entreprise exubérant avec un passé de playboy. De plus, il est créatif, c’est un inventeur", explique-t-il. Et même si le tournage s'est très bien passé, il se plaint de n’avoir eu "ni cascades ni cape ni panoplie de super-héros".

    Habitué au comic-book

    C'est la septième fois que Chris Evans joue dans une adaptation de comic-book après Les 4 Fantastiques, Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent, Push, TMNT les tortues ninja et Scott Pilgrim.

    Chris Evans tout maigrichon

    Pour transformer Chris Evans en un Steve Rogers de 45 kilos, Christopher Townsend a employé toute une palette d’effets spéciaux, allant jusqu’à un remplacement de la tête de l’acteur, car il était plus crédible d’affiner la tête et le corps d’Evans. Une doublure amincie regardait Evans jouer la scène, puis devait reproduire sa gestuelle du mieux possible. Ensuite, tête et corps étaient mixés grâce aux effets spéciaux.

    Un costume mythique

    Kevin Feige, producteur du film, raconte comment a été conçu le costume : "Nous avons imaginé le costume en étant fidèles à l’esprit de la BD. Mais on a aussi tenu à ce qu’il soit réaliste : il s’inscrit donc parfaitement dans son époque, tout en donnant l’impression d’exister dans notre monde. On serait vraiment stupide de ne pas se servir des dessins d’origine et de repartir à zéro, mais on souhaitait les adapter à notre acteur et à notre intrigue." Patrick Whitaker, costumier, ajoute : "Le costume se devait d’être le plus fonctionnel possible, mais il était souhaitable également qu’il ait l’air un peu rétro car l’intrigue se déroule dans les années 40."

    Ginger Rogers

    Selon Hayley Atwell, Peggy Carter ressemble beaucoup à Ginger Rogers : "Tout ce que fait Captain America, elle le fait à l'envers et en talons".

    Un service militaire...même pour les filles

    Hayley Atwell s’est soumise à un entraînement militaire rigoureux avec un ex-Marine, non seulement pour se préparer physiquement, mais aussi pour apprendre à tirer tant au revolver qu’à la mitraillette et être crédible sous les traits de Peggy Carter. "Je me suis entraînée au tir assez tôt, avec un Walther PPK. J’avais déjà tiré quelques fois auparavant, mais jamais à cette échelle", explique-t-elle.

    Une relation complexe

    Hayley Atwell nous éclaire sur la relation qu'elle entretient avec Steve Rogers : "Elle mène sa propre carrière, a une grande estime d’elle-même et en a plus qu’assez de ces militaires qui ne la prennent pas au sérieux. C’est ce qui la rend si irrésistible, surtout aux yeux de Steve. Peu importe sa métamorphose, il demeure au fond un petit garçon qui n’a aucune expérience des femmes. C’est comme s’il était passé sans transition de l’école primaire à la fac."

    Inspirations

    Pour préparer son rôle, Sebastian Stan a regardé de nombreux documentaires sur la Seconde Guerre mondiale et s'est beaucoup inspiré de la mini-série Frères d'armes.

    Deux orphelins

    Sebastian Stan interprète Bucky, le meilleur ami de Captain America. Il revient sur leur relation : "Par bien des aspects, il ressemble à Steve et c’est pourquoi, d’après moi, ils sont si proches : ils sont tous deux orphelins, indépendants et ne comptent que sur eux-mêmes. Mais Bucky se sent responsable de Steve et est prêt à tout pour le protéger. En devenant Captain America, Steve incarne un symbole. Bucky a toujours eu l’habitude de résoudre les problèmes annexes, ce qui fait de lui un allié de poids pour Captain America. Ça me plaît vraiment car je trouve que cela ajoute une dimension à mon personnage."

    A l'écoute des réalisateurs allemands

    Pour parfaire son accent allemand, Hugo Weaving a écouté des interviews de Werner Herzog et de Klaus Maria Brandauer.

    Des heures de maquillage

    Pour prendre les traits du Red Skull, Hugo Weaving devait endurer des heures de maquillage par jour. Une fois le masque posé, l'acteur a eu un peu de mal à se l'approprier : "Au départ, c’était une gageure de se glisser derrière le masque. Mais progressivement, je me suis rendu compte que je pouvais tirer parti d’expressions du visage, et que je pouvais même m’approprier totalement le masque. Les pommettes, les sourcils et la bouche sont outranciers, mais m’ont permis de donner vie à ce visage, alors que j’avais le sentiment qu’on ne distinguait plus Johann Schmidt lors des premiers essais."

    Un crâne très rouge

    Hugo Weaving ne connaissait pas bien la BD. De fait, il ne savait pas à quel point son personnage était emblématique. "J’ignorais tout des histoires de Captain America et de toute façon je n’ai qu’une connaissance limitée des super-héros en général. C’était particulièrement formateur de m’intégrer à ce monde", confie l'acteur australien. "Il existe tant d’histoires différentes et d’images contradictoires du Crâne Rouge que je ne savais pas dans quelle direction aller. J'avais l’impression qu’il valait mieux m’atteler à la version spécifique du Crâne Rouge élaborée dans le scénario puisque les studios Marvel avaient inventé cette intrigue spécialement pour lui", ajoute-t-il.

    Un accent allemand

    Stanley Tucci a accepté d'interpréter le Dr. Reinstein parce que cela lui permettait de prendre un accent allemand, chose dont il avait toujours rêvé !

    Le bouclier

    Les scénaristes ont inséré le fameux bouclier dans des moments-clé du film : "C’est à la fois une arme de défense et d’attaque, qui lui permet d’éviter les balles mais aussi de frapper ses ennemis", explique le scénariste Christopher Markus. Différents boucliers ont été fabriqués pour couvrir tout le tournage, dont certains sous la responsabilité du chef accessoiriste Barry Gibbs : "Il y a quatre types de boucliers dans le film : l’original, le léger, le dur et le mou, et ils ont tous une utilité différente. Chris se servait de l’original pour les gros plans, et alternait entre les trois autres en fonction des besoins des scènes. Le mou était toujours utilisé pour les scènes de combat."

    Une costumière très 40's

    Les costumes du film ont été dessinés par Anna B. Sheppard. Nominée aux Oscars à de nombreuses reprises, elle est passionnée par les années 1930 et 1940. Elle a réalisé les costumes de nombreux films d'époque dont Le Pianiste, Inglourious Basterds et La Liste de Schindler.

    Un régime un peu spécial

    Neal McDonough incarne Dum Dum Dugan. L’acteur, qui mesure 1m83, a dû porter des épaulettes et "manger beaucoup de gâteaux au chocolat" afin de grossir pour interpréter comme il se doit ce personnage à la carrure imposante.

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