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    Cosmopolis
    Note moyenne
    1,9
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    1 098 critiques spectateurs

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    73 critiques
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    Flowcoast
    Flowcoast

    51 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juillet 2013
    J'ai rien trouvé de positif dans ce film : un cadre et une mise en scène de pauvre, c'est filmé, une fois dans un restaurant, dans la limousine et dans un appartement. Robert Pattinson est très mauvais, voire pathétique dans son rôle de magnat de la finance. Les dialogues n'apportent rien, au même titre que ce sujet hyper complexe, avec des mots techniquement impossibles à comprendre au public. Y a rien d'intéressant, c'est linéaire et sans intérêt.
    Hélène L
    Hélène L

    16 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juin 2013
    Cosmopolis ou comment Robert Pattinson tient un film avec une seule expression
    Aram.
    Aram.

    6 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juin 2013
    Devant Cosmopolis, on comprend assez vite pourquoi la note spectateurs est aussi basse. Pas de chance pour les fans de Rob' Pattinson, il joue dans le film le plus difficile de son auteur. D'ailleurs, même chez les fans de Cro', Cosmopolis clive. Les grandes oeuvres sont clivantes. Extrêmement bavard, donc extrêmement cérébral, qui n'a pas peur d'enchaîner les paroles philosophiques et les actes suicidaires inexpliqués, le film est sans concessions. C'est quand Cronenberg se lâche, qu'il oublie totalement la visée commerciale de ses films, qu'il pond ses plus grandes oeuvres, Crash en tête. Comme Crash, Cosmopolis suit un scénario qui casse les codes, il n'y a pas vraiment d'intrigue à proprement parler, et, l'air de rien, derrière les champs-contrechamps, il ouvre une nouvelle manière de faire du cinéma. Un cinéma engagé, formellement, mais sur le fond aussi, car Eric Packer, c'est le capitalisme. On a rarement vu plus belle description du consumérisme que dans ce film, sorti dans ses années les plus sombres. Particulièrement drôle (merci Mathieu Amalric), fondamentalement anti-conformiste et magnifique plastiquement (formidable photo), rapidement désespéré, insensé, comme une machine qui s'emballe on ne sait pas trop pourquoi, on ne sait pas vers où, Cosmopolis est un chef-d'oeuvre, le deuxième de Cronenberg après Crash, le plus grand film de l'année 2012 (oui, même devant l'autre film-limousine Holy Motors), un immense témoignage d'une époque en perte de répère et de sens.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2013
    Long et ennuyeux souvent, génial par moments, ce brûlot anticapitaliste peine à être vraiment intéressant. Les divagations philosophiques des différents protagonistes finissent par lasser, et l'impression de tourner en rond achève de plonger le spectateur jusque là attentif dans l'ennui le plus profond. "Cosmopolis" mérite néanmoins la moyenne car des éclairs cinématographiques émaillent le film par moments, et les dialogues sont intelligents et portent à la réflexion. Mais il est difficile de parler de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 juin 2013
    Nul a chier.....................NUL ,BIDON ,HORRIBLE
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    50 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2013
    Malgré les critiques désastreuses, je trouve que ce film a quelque chose de mystique. Du vrai cronenberg.
    SATSANGA
    SATSANGA

    5 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2013
    Une œuvre dérangeante où le réalisateur canadien maîtrise son sujet . En effet, David Cronenberg revient à ses premiers amours avec "Cosmopolis", critiquant avec fermeté une société au bord du gouffre tel qu'il a su le faire avec ses premiers films, embarquant le spectateur dans un délire psychotique où l'être humain n'est plus que l'ombre de lui-même . Ce long métrage reste cependant difficile à cerner pour les non habitués et l'on peut s'ennuyer ferme durant le visionnage, mais le cinéaste avec son sens du génie arrive à attiser l'intérêt des plus fervents, prouvant une nouvelle fois son style inimitable . Du 7ème art totalement décalé et hors normes .
    ER  9395
    ER 9395

    72 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2013
    Comment se fait-il que David Cronenberg soit tombé si bas , quelle tristesse !
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2013
    Vampire un jour, vampire toujours ! Après avoir fait fantasmer les jeunettes dans la saga Twilight, Robert Pattinson montre une nouvelle fois les crocs dans un tout autre domaine : le monde financier. Celui-ci va mal et est en train de s'écrouler, à l'instar de la richesse d'Éric Packer, jeune homme multi-milliardaire. Alors qu'il perd tout (son argent mais aussi sa femme), il décide de retourner là où il a passé son enfance pour se faire couper les cheveux. Le domaine économique est très compliqué à comprendre et qu'une chose soit claire, Cronenberg ne va pas nous ménager. Tant dans la forme que dans le fond, Cosmopolis est très difficile d'accès. Dans sa limousine cloisonnée de liège, Packer est un maître et nous des esclaves. Nous subissons ces dialogues très complexes qui n'en finissent pas, et nous suffoquons car aucun bruit extérieur n'arrive à percer le véhicule. La mise en scène très particulière mais ô combien réussie en déroutera plus d'un. Beaucoup de plans longs comportant peu de mouvements baignent cette ambiance à la fois froide et apocalyptique. La plupart du temps assis sur son trône, Pattinson prouve avec ce rôle difficile à jouer qu'une très belle carrière l'attend s'il fait les bons choix. D'abord sûr de lui puis tombant peu à peu dans l'anéantissement, Packer incarne les valeurs du capitalisme. L'appropriation des biens, l'incompréhension du moi parfois contradictoire et cet éternel problème de vouloir contrôler ce qui nous dépasse vont le mener à sa perte. Cronenberg affirme qu'il faut voir le film plusieurs fois pour pouvoir mieux comprendre le sens du récit. Pas sûr par contre que les spectateurs auront la force de remettre le couvert. En effet, Cosmopolis est une véritable épreuve cinématographique qui ne laissera personne indifférent.
    Komodorr
    Komodorr

    132 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2013
    Ne jamais se faire une opinion sur un film avant de l'avoir vu! A voir toutes ces mauvaises critiques spectateurs sur allocine je me suis dit que j'allais forcément être déçu! Et bien pas du tout. Certes si le film n'a pas un rythme très soutenu nous voyageons dans cette univers urbain hostile mais en limousine. Nous faisons la rencontre de multiples personnages et subissons diverses ambiances accompagnés du personnage principal, capitaliste renommé, adulé, détesté et même pourchassé. Le contraste est saisissant et l'ultime rencontre est criante de vérité. Les dialogues sont longs mais justes, parfois troublants et chacun joue parfaitement son rôle et beaucoup de thèmes valables dans notre société sont abordéès bon film donc! A voir!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 mai 2013
    Film qui n'a ni queue ni tête.
    Un vrai navet ou comment perdre 2h bêtement à regarder un film bien pourri.
    Pourtant il y avait de bons acteurs mais ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 mai 2013
    Métaphore sur les dérives du capitalisme avec la lente fin d'un capitaine d'industrie financière trop occupé à spéculer pour comprendre la réalité de son monde. Le film s'ouvre sur une toile de Pollock, et se refermera sur une toile de Rothko, deux des toiles parmi les plus chères vendues au monde, symbolisant ainsi les valeurs du monde capitaliste qui s'envolent et l'humanisme avec. La société capitaliste broiera cet arriviste pour laisser place aux suivants. Eternel recommencement.

    L'histoire suit le cheminement d'une limousine blanche blindée au travers d'un New York futuriste où la population en proie à la misère manfifeste violemment sa rancoeur.
    A son bord Eric Packer, jeune golden boy fraichement marié à une très jolie blonde héritière d'une des plus grandes fortunes du pays. Ce n'est pas la présence du président des USA dans les rues de la ville qui va l'empêcher de se rendre chez son coifffeur, bien que Torval,son homme de sécurité, le lui déconseille.
    En chemin il recevra d'autres collaborateurs, comme lors d'une journée habituelle de travail, cherchant à valider sa prise de risque dans une affaire de spéculation sur le yuan (devise chinoise).
    Bien qu'il soit détenteur de l'information avant les autres, il ne pourra rien arrêter car le monde continue d'avancer, avec ou sans lui.

    Adaptation du roman éponyme de Don DeLillo paru en 2003, le film de David Cronenberg reste certainement fidèle au roman car les dialogues sont nombreux et parfois littéraires.
    La principale prouesse du réalisateur réside dans le tournage de plusieurs scènes dans la limousine, sorte de bureau mobile bénéficiant des dernières technologies, et donnant à son propriétaire le sentiment d'être invulnérable. Chaque scène procure alors une sensation d'immersion dans un monde feutré (celui de la finance, des dirigeants) et permet simultanément d'apercevoir un autre monde qui s'agite, en proie à des convulsions générées par le monde d'en haut. Ces différentes plongées sont particulièrement bien réussies, elles saisissent et renforcent la notion de dualité entre ceux qui possédent l'information et ceux qui ne l'ont pas. Le monde extérieur est aussi invité à l'intérieur du véhicule (la vendeuse de tableaux, le médecin, l'assistante faisant son jogging) pour apporter les éléments vitaux de la vie (sexe, maladie, désir).

    Le film ressemble sur la forme à Crash, également adapté d'un romain visionnaire. On a souvent du mal à comprendre les enjeux à partir des seuls discours tenus par les personnages. Mais les scènes s'enchainent et viennent apporter leur flux d'informations explicatives comme autant de maillons constituant une chaine, celle de la vie. Les scènes de sexe sont toujours aussi charnelles chez Cronenberg mais ici les protagonistes sont plus dans des rapports de domination alors que d'ordinaire les personnages de Cronenberg s'accouplent pour se perpétuer.
    Beaucoup de symbolisme. Une bonne trouvaille : la limousine qui représente le corps de Packer, elle sera revisitée par les graffeurs, joli clin d'oeil aux toiles contemporaines. Telle un corbillard, elle ramène le jeune Packer, à la réalité (la sienne) sur le lieu de son enfance (le coiffeur), et il demande plusieurs fois : où vont dormir les limousines la nuit ? Est ce prémonitoire ?

    Ce film est particulièrement jubilatoire car il n'offre pas d'explications toutes faites, les dialogues sont abscons, on a du mal a les comprendre. Dans le même lieu et dans le même univers la limousine se déplace dans un silence galactique, les amateurs de cinéma d'action aimeraient que tout cela accélère, et bien au contraire la voiture ralentit, s'arrete, baisse la vitre pour laisser entrer les bruits d'une ville moderne où les gens s'affrontent dans la quête de richesses synonymes de pouvoir et de survie. La preuve qu'il s'agit d'un grand film est que l'on se sent transporté sans savoir vers quoi l'on va, mais une fois celui-ci terminé on ne cesse d'y repenser afin de décoder les scènes qui au premier abord peuvent se montrer austère, car le jeu des acteurs est volontairement froid, mais qui sont le reflet d'une très bonne direction d'acteurs. Du grand cinoche qui nécessite un peu d'efforts pour se révéler, et toujours quelques scènes magistralement vues par l'un des maîtres actuels du 7ème art.
    legend13
    legend13

    216 abonnés 1 021 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mai 2013
    A part la dernière demi heure, qui rehausse un peu le rythme, ce film est vraiment ennuyeux à mourir. On ne cerne pas vraiment le comportement du personnage principal. Mais il faut reconnaitre que Robert Pattinson est vraiment excellent et sauve quelque peu le film de la nullité totale. David Cronenberg nous avaient habitué à mieux !!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 mai 2013
    Les mauvaises critiques sont assez compréhensibles : on est dans un film particulier car constitué quasi-exclusivement de dialogues. Ce qui fait la qualité de ce film ce sont bien ces derniers, très bien écrits. Si les dialogues vont parfois à des hauteurs philosophiques assez abstraites, la réflexion sur la place de l'argent dans le monde est passionnante. Un film intéressant dans sa structure : il ne se passe pas grand chose mais c'est justement ça qui est bon : le récit par les dialogues. Le héros (Robert Pattinson, froid et efficace) peut tout se payer et vit dans une bulle. La spéculation et les théories sont ses dadas mais la situation des gens, ils s'en fichent. Bref, un film froid mais intelligent et qui ne plaira certainement pas à tout le monde.
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    70 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mai 2013
    Quelle déception! Annoncée en grande pompe au dernier festival de Cannes, cette nouvelle œuvre de Cronenberg devait réveiller les consciences des spectateurs aux dérives de la société de consommation. Au final, Cosmopolis est une parabole lourdingue sur la fin du capitalisme aussi bavarde qu’ennuyeuse. 1H45 de branlette économico-philosophique totalement incompréhensible et sans aucun panache. Bref, une belle tache sur la filmographie d’un réalisateur qui avait toujours su éviter la catastrophe jusque là.
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