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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 septembre 2012
David Lynch a toujours aimer perdre les spectateurs dans des histoires incomprehensible, des anbiances envoutante a ce titre Lost Highway est certainement sont chef d'oeuvre (avec Mulloland drive qui est encore meilleur). Impossible de résumer l'histoire sans en révéler des retournement de situation. Tous ce qu'il faut savoir c'est que si vous aimer les film bizzard alors n'hésiter une seconde. Cepandant il faut quant même présiser que la réalisation experimentale au possible et tout de même vachement bien métriser, que les aceurs sont tous très bon et que Patricia Arquette n'as jamais été aussi bandante. Laisser vous tenter par cette experience sans pareil et si vous y comprenez quelque chose alors expliquer moi.
Un des tout meilleurs films de David Lynch, certes il n'atteint pas la puissance émotionnelle de Mulholland Drive mais il n'en est pas loin.
David Lynch installe un climat dérangeant mais aussi envoûtant, où le spectateur est sans cesse dérouté au fur et à mesure qu'il découvre le personnage principal, un saxophoniste persuadé que sa femme le trompe et assailli par la jalousie...
Un très bon thriller psychologique. Un peu compliqué de prime abord, mais finalement très prenant. C'est un film noir avec une très jolie BO (Badalamenti). Un film qui donne matière à réflexion ! A voir !
Un bon Lynch, malsain et dérangeant comme il faut, quel dommage que la fin soit un sommet de n'importe quoi et nous gâche le film, on frôlait le chef d'œuvre. Lynch ne devrait pas s'auto-parodier.
Cette fois c’est le chef d’œuvre car, enfin, la forme rejoint le propos, s’y fond, devient le propos. Lynch s’affirme comme un des cinéastes essentiels de cette fin du XXe siècle à travers cette réflexion, métaphysique et cinématographique à la fois, Lost Highway est peut-être le début de l’illustration du mot de Bunuel sur la toile et l’image qui la ferait exploser... À suivre dans Mulholland Drive.
Le film de la maturité, plus qu'un film, une oeuvre au delà de tout code narratif, une invitation au rêve, au cauchemard. Moins abouti selon moi que le suivant, Mulholand Drive, le film se révèle très astucieux: au milieu de cette incohérence apparente, le déroulement est fluide, clair et finalement très logique. Reste l'ambiance.... quelques facilités visuelles sur la fin, un peu choc, un peu toc. Néanmoins le film retombe très bien sur ses pattes, et possède cette identité propre à la plupart des films de son auteur, décidément dans un autre monde.
David Lynch à son sommet. Expérience sensorielle inoubliable, Lost Highway est un chef d'oeuvre dans lequel le spectateur se perd, baladé entre des rêves hallucinés et des scènes surréalistes, baignées dans la musique toujours si belle d'Angelo Badalamenti. La moiteur sexuelle le dispute à la terreur que provoque certaines scènes macabres, sublimées par la mise en scène de Lynch, novatrice et inspirée. Plus complexe encore que son futur Mulholland Drive, qui sera plus orienté grand public, Lost Highway est une bombe, à découvrir et redécouvrir.
Un bon film de Dadid Lynch qui tourne autour du rêve, de l'amour, du mystère et des énigmes en veux-tu, en voilà. Les personnages s'enguirlandent autour d'un scénario tiré jusqu'à épuisement, il plane toujours un doute. Et si on ne comprend rien à rien ce film, c'est parce que ce n'est ni explicite, ni involontairement abstrait. La première partie du film, mis en scène avec brio, tenait en haleine... mais c'est parti en vrille au bout d'un moment. Et si on ne sait pas vraiment qui est quoi, où est qui, et pourquoi est qui? C'est parce qu'on ignore aussi si nos doutes doivent exister. En bref, un travail inégal, beaucoup de scènes de génie, des musiques variées passant allègrement du pop au metal lourd.. Etonné et encore pleins de questions, j'essaierai de le revoir. Mais manifestement, cela ressemble à tout sauf à un chef-d'euvre. On est à 1000 lieues de Mulholland Drive, voire plus. Déçu.
Difficile de juger un tel film à moitié compréhensible mais à l'ambiance intrigante. Un film psychédélique dont D.Lynch à le secret mais que je n'apprécie qu'à moitié : le film est beau, les acteurs sont forts, le BO est osée, le scénario est bancal mais vraiment recherché. L'œuvre se suit dans un sentiment d'incompréhension et c'est bien dommage.
J'ai voulu voir Lost Highway parce que j'avais adoré Mulholland Drive. Mais je ne vais pas comparer les deux films car Mulholland Drive exerce sur moi une sorte d'attraction indescriptible, il m'envoute. Bref, je reviens à Lost Highway, qui lui est un film très complexe, violent et complètement barré. Il ne faut pas essayer de comprendre tout de suite la signification, laissons nous porter par le film et la logique apparait ( enfin une partie de la logique ). En deux mots : putain de film, moins beau formellement que Mulholland Dr. mais ( presque ) aussi prenant.
(..) Ce qu'il faut savoir, ou ''comprendre'', c'est cette logique formelle que Lynch exploite, car l'expression de toutes les pistes est tangible quand à elle. Film psyché mais film médité ; les pensées ne sont peut-être qu'à demi-avouées, mais pleinement concrétisées : l'écrin cinématographique retient tout de leur fulgurante beauté, d'ailleurs Lost Highway nous happe d'abord par le biais d'une prodigieuse émotion plastique. La mise en scène procure ce vertige ; le gadget de l'auteur remet en question sa place face à sa propre création. Attribuer au ''Mystery Man'' le titre d'alter égo du réalisateur n'est pas une façon de démystifier le film ou d'en dévoiler la vérité profonde, mais c'est indéniablement l'une des voies les plus vastes et bouillonnante et les plus à-même de déchiffrer ses intentions nébuleuses. Au travers de ce personnage omnipotent, Lynch tourmente et devance ses créations, les oriente et leur donne unité ; Mystery Man est sa projection en même temps que l'autorité de la conscience de Fred Madison, identité officieuse du héros du film. La crise identitaire que le film exprime trouve son point d'orgue dans cette démarche, pendant que Lynch se livre au dernier degré, mais reste tout habillé. (..)