Derniers Avis : Cheval de guerre - Page 6

Une joli histoire d'amitié entre un cheval et son "dresseur" pendant avant et pendant la grande guerre.
Les images sont belles, le film est bien filmé (Spielberg oblige) et les acteurs font le job, le cheval etant extraordinaire.
Maintenant peu de surprise quand au dénouement mais plus sur l'histoire du personnage principal du film, le cheval.
Un bon cru.

Ce film ( quoique bien romancé) rend hommage au million de chevaux et d'animal de bat tués lors de la 1ère Guerre Mondiale...La boucherie de la WW1 n'a pas concerné que les hommes, mais aussi les chevaux. Je l'ai offert à mes nièces qui sont fanas de chevaux...

Le cheval est clairement mis en avant. Les quelques scènes de la seconde guerre mondiale, surtout celle avec le char et la charge des cavaliers britanniques sont sublimes et véritablement marquantes ! J'ai bien aimé l'environnement du film et le cheval ne semble pas être le centre du film, ce qui n'est pas mal non plus. Un très beau film !

Un film exceptionnel (tout comme le livre d'ailleurs). Un scénario très réaliste, une réalisation parfaite, des paysages somptueux et à la fois horribles (tranchée, no man's land). Merci Steven Spielberg.

Selon moi, il s'agit d'une référence dans le genre dramatique. Une émouvante histoire consacrée à la 1ère Guerre Mondiale, retraçant l'épopée, non pas d'un soldat, mais d'un magnifique cheval. Cela ne change guère à la caractéristique principale de cette guerre qui n'est autre qu'une guerre de tranchée spoiler: (ex: la guerre de la Somme)
. Toutefois, le regard du film par rapport à la guerre se focalise plus sur ces animaux qui font preuve d'un grand courage, comme à l'image de Joey, en participant à une guerre sans qu'ils souhaitent y intervenir. On y voit des scènes dures, dans le but de montrer la duralité et le nombre incalculable de victimes durant la guerre, que ça soit pour les soldats et pour les chevaux..
Toutefois, il faut reconnaître que le charme du film reste ce lien d'amitié très fort entre Albert et son cheval dénommé Joey. On est émerveillé par cette tendresse inouïe, malgré cette terrible période, en multipliant les bons sentiments. En effet, quand Joey perd son maître, il se retrouve seul mais au fur et à mesure que l'aventure avance, il fait la rencontre de plusieurs personnes (n'ayant pas souvent les mêmes langues et pouvant être adversaires) qui vont se sacrifier pour sauver cette pauvre bête..
La campagne anglaise est mise à l'honneur au début du film grâce à une parfaite photographie pour montrer à quel point que la nature est si bien faite. Cela constitue un paradoxe par rapport aux mois qui vont précédés la guerre et ses décors détruits..
Très bien filmé, ce film a dû être difficile pour Steven Spielberg de le réaliser en raison de ces séquences d'une perfection incroyable pour nous apporter un réalisme fou spoiler: (ex: les nombreuses batailles durant la guerre mises en image par le film , Joey coincé dans des barbelets, etc...)
..
Pour nous accompagner dans cette sublime odyssée, la musique de John Williams est toujours aussi magnifique. Elle est essentielle car elle nous emmène tout au long du film pour poétiser les nombreuses scènes de ce chef d'oeuvre spoiler: (ex: au moment où Albert retrouve Joey au bout de 4 ans, quand Toptorm meurt, tout comme Tom Hiddleston et les jeunes Allemands, lorsque Joey veut rester avec sa mère au début du film,...)
. La fin est grandiose, extraordinaire..
Ce film est tellement magistral qu'on aimerait pas qu'il s'arrête. Bravo à Steven et à toute son équipe pour ce film mémorable !!!

un chef d'oeuvre . quand splieberg s 'inspire des grande fresque hollywoodienne , sa donne ce cheval de guerre . Épique , émouvant , drole , spectaculaire , le réalisateur , fait preuve du grande maîtrise et prouve qu'il est le plus grand réalisateur au monde . la mise en scéne est sublime , inventive , aider par une photo magnifique. les acteurs sont trés bon et tous attachant . Mais le cheval est celui qui va le plus vous émouvoir et vous donner les scénes les plus impressionnantes et touchante . une réalisation de trés haut niveau , pour un grand et beau film .

Autant vous dire que ce film rentre dans mon top ! Steven Spielberg rempile sur une histoire de guerre et cette fois ci au moment de la première guerre mondiale , donc même allié et même ennemis mais pas pour les même causes . Steven décide cette fois de nous faire vivre une incroyable aventure tout a fait poignante sur le dos d'un cheval , tout en gardant l'aspect réaliste de cette guerre il rend a chaque personnage rencontrer une grande onde d'amour et de fraternité indéniable , romancer bien sur mais c'est se qui fait tout le charme du film !

Dresser au labour , Joey sert en premier lieu de cheval de trait a une famille endetter , de là toute la base de l'histoire se fondent dans l'amitié entre le cheval et son maître où le réalisateur ne se prive pas de se joué de notre coter sentimental . Il sait parfaitement mettre en valeur ces personnage et les environnement , un paysage qui je doit dire n'avais jamais vue quelque chose d'aussi bien filmer , c'était brillant !!
Les décors étant parfaitement maîtrisé les personnages n'en furent pas moins , tout au long nous sommes sans cesse poussez vers de nouvelle histoire , a chaque personnage une histoire touchante est amener , pour en retenir une en particulier je citerais celle avec l'acteur français Niels Arestrup qui tien un rôle renversant de gentillesse et d'amour , peux de chose sont aborder sur l'histoire de son personnage mais bien assez pour qu'il sois la meilleur rencontre de tout le film , sont jeu toujours aussi posé et réfléchis m'a vraiment bouleversé !

Un cheval toujours au galop , inépuisable , filmer par toute sa splendeur , Steven réalise l'une des plus belle scène lors de cette course a travers les champs de combat , une invincibilité redoutable , une course folle magnifique ! Il y a aussi cet étalon noir qui se suivent sans relâche , l'un à l'autre représente une image forte de la fraternité entre la jeune bête envers son matriarche .

Spielberg s'inspire également du film de Christian Carion , Joyeux Noël sortis en 2005 centrer sur la même guerre dans cette scène de réconciliation mener sur un apte de temps , une romance de toute bon sens et de pardon , image forte et symbolique qui se doit d'être saluer !

Une bande originale savoureuse qui nous laisse aucune chance lors des moment les plus saisissant , personne n'aura put retenir ses quelque larmes a moins d'être indifférant .

Rien n'est laisser au hasard , Steven Spielberg réalise ici je pense son deuxième chef d’œuvre selon moi , on le sais tous il est un grand passionné des guerre et nous la prouver de nombreuse fois et celle ci restera pour moi sa meilleur au coter de La liste de Schindler ! Je salut également l'excellent travail des scénaristes qui a aucun moment ne s'éloignent du sujet , ils ajuste parfaitement les histoire aucune n'est trop longue ou trop insister ou même trop rapide , un travail soigné et fait avec beaucoup d'amour et sa se ressent !

La part contributive de Steven Spielberg dans le cinéma mondial est incalculable tant par la qualité que par la quantité de ses œuvres dont beaucoup sont devenues des classiques incontournables. Il s'est imposé au fil des années comme un des plus grands réalisateurs de tous les temps mais également un des plus populaire, ce qui n'est pas anodin. C'est dans cette veine que s'inscrit « Cheval de guerre ». Bien qu'il représente une forme d’hommage aux combattants de la première guerre mondiale, il est avant tout une formidable histoire d'amitié entre un jeune homme et son cheval. Séparés par les combats cruels qui enflamment l'Europe, on suit leurs aventures respectives avec passion et émotion tant l'histoire est captivante. Bien que le film cherche un peu son style par moment, ces qualités techniques sont telles qu'on est subjugué par tant de maîtrise et de beauté. Les acteurs sont tous irréprochables (y compris les chevaux) et apportent beaucoup à cette saga spectaculaire et, encore une fois, populaire. Une façon plutôt agréable et pédagogique de faire découvrir au plus jeune public une guerre mondiale dont on fête actuellement le centenaire.

Steven Spielberg est un conteur, et son film WAR HORSE (CHEVAL DE GUERRE) l'un des plus beaux que j'ai vu ces dernières années. Le cinéaste a hérité de tout un art du cinéma tel que le pratiquait jadis John Ford auquel j'ai beaucoup pensé en regardant ce film. Beau, riche et émouvante, cette oeuvre profondément humaine s'adresse avec intelligence à tous les publics, ce qui se fait rare de nos jours. A l'issue de la projection, je suis reparti avec le cheval Joey, l'emportant dans mes rêves comme un enfant après un beau voyage. J'aurais voulu voir ce film quand j'avais 10 ans, il m'a rapporté un goût de cette enfance à jamais disparue, d'un temps où deux heures et demie de projection me nourrissaient de rêves pendant des années. Je ne regretterais pas d'avoir été sur terre, notamment pour les films de Steven Spielberg. J'emporterais avec moi ce CHEVAL DE GUERRE, réalisé par de merveilleux techniciens de l'image, et interprété par des acteurs hors pair tels que Jeremy Irvine, Emily Watson, David Thewlis, Peter Mullan et Niels Arestrup. Le souvenir de ce film n'est pas prêt de s'effacer...

Bon ben ça y est je l'ai vu. Et je suis déçu !
C'est beau, c'est du Spielberg, c'est soigné tant au niveau des costumes, des bruitages, de l'image... Bref, tout est soigné, sauf le scénario ! C'est nunuche à pleurer, bourré de miracles irréalistes. Alors oui, c'est pour l'émotion, mais parfois on dirait que les scénaristes ont essayé de créer de l'émotion là où il ne devrait pas y en avoir, tout ça à base de dialogues parfois longuets et creux.
Ben voilà, je suis vraiment déçu.

Spielberg m'a bien habitué à mieux.
une histoire sans queue ni tête.
à oublier vite.

Évidemment, l'angle d'attaque du film est original, mais malheureusement le défaut tant redouté est bien présent: à passer de personnage en personnage, le spectateur a bien du mal à éprouver une quelconque empathie. Spielberg a toujours le sens du rythme, mais on ne retrouve pas ici le "feu sacré" qui habitait le Soldat Ryan ou bien d'autres de ses films. C'est au final très conventionnel, avec hélas un passage en revue de tous les poncifs du genre. Plaisant sans être captivant, avec des acteurs peu investis ou sous-employés. Les images sont superbes malgré leur côté très téléphoné.

Puissant, epoustouflant et tellement realiste que l'ont pourrait croire à de vrai images filmés en guerre. j'ai biensur pleurer à certain passages...

Il y a 60 ans, sans doute que ce "Cheval de guerre" aurait été un grand classique. Car à l'époque où la guerre était empreinte de courage et d'héroïsme, et même d'une bonne dose de sentimentalisme, Spielberg aurait fait passer son film comme une lettre à la poste. Mais aujourd'hui, on sait que la guerre ce n'est pas ça. Sous une musique pompeuse, sous une lumière convenue, et avec une manière empreinte classicisme, nous assistons à l'épopée sans âme de ce canasson, qui, comme dans beaucoup de films du genre, est le meilleur ami d'un pauvre garçon qui serait prêt a risquer sa vie pour lui...De quoi, et son c'est but, faire pleurer les adolescentes éperdues d'équitation, celles-la même qui s'insurge contre la consommation de viande de chevaline, sans savoir que leur héro, dans la vraie vie, aurait sans doute fini en ragout pour les poilus britanniques.
Enfin, reste un grand spectacle qui se laisse regarder les jours de pluie, histoire de se distraire.
Certain crieront au chef-d'oeuvre, parce qu'après tout, comme chaque fois, c'est Spielberg...

Inspiré d’un roman pour enfants de Michael Morpurgo, le « Cheval de Guerre » de Steven Spielberg, bien que se déroulant dans la vieille Europe entre le Devon rural et les champs de batailles français de la guerre 1914-18, respire entièrement le film hollywoodien. On y retrouve en effet à la fois une mise en scène époustouflante aux reconstitutions historiques de grande qualité, une musique entêtante appuyant de grands sentiments bourrés de guimauve destinés à faire sortir le mouchoir du spectateur, le tout brodé sur une histoire qui brille par ses grandes invraisemblances et approximations (bon c’est vrai, c’est un roman pour enfants à la base, pas une histoire vraie). Ainsi, par exemple, nous passons en gros directement d'août 1914 aux derniers mois de la guerre, tous les personnages sont très caricaturaux. Nous nous approchons donc du conte magnifiant l’amitié entre un homme et son animal préféré doté là de sentiments humains, avec la dénonciation des horreurs de la guerre, mais il ne faut pas chercher le moindre réalisme.