Derniers Avis : Le Hobbit : la Désolation de Smaug - Page 15

Encore un film consternant made in Peter Jackson. Après avoir martyrisé le seigneur des anneau voici que le pseudo cinéaste assassine bilbo, beau palmarès! Le seigneur des anneaux laissait déjà entrevoir la propension de PJ à vouloir absolument introduire des éléments scénaristiques étrangers à l’œuvre originale. la quasi totalité de ces modifications non seulement n'apportaient rien mais participaient à la dénaturation de l’œuvre de Tolkien. Bien sur la volonté de construire un produit plus "consensuel" et grand public était évidente et on retrouve le même défaut puissance 10 dans cette "adaptation" du Hobbit.
Vouloir faire 3 films de 3 heures avec le Hobbit ne pouvait germer que dans un esprit malade sans aucun respect pour l’œuvre original. Mais pourquoi pas, il était sans doute possible de réaliser 3 bon films à partir de l'univers incroyablement riche de JRR Tolkien. Encore faut il comprendre et respecter cet univers et ne pas vouloir faire tout et n'importe quoi avec. Perdu! PJ fait sauter tout les verrous et donne libre court à sa délirante imagination en transformant le voyage initiatique d'un hobbit innocent dans un monde dure et impitoyable en fête foraine ridicule. Alors que le livre parvenait admirablement à montrer l'évolution du personnage avec un ton presque enfantin au début et de plus en plus grave au fur et à mesure que Bilbo expérimentait la dureté du monde extérieur à la conté, PJ avec ses gros sabot piétine toute finesse et toute gravité sous la lourdeur du propos avec une bonne dose d'humour façon enclume pour faire "passer" le tout. Alors que le roman décrivait un monde mystérieux et sombre PJ fait dans le cliquant et l’esbroufe. Si on retrouve bien les passages clefs du Hobbit (les araignées, les elfes de la forêt, la ville du lac...) toute magie à disparu au profits d'actions interminable dépourvu de toutes émotions. Même la réalisation est lourde, sans génie, un vrai travail de bucheron ou l'on tente de compenser par la quantité le manque d'originalité et de vision. Mais non content de ruiner les passages les plus intéressant du livre PJ se permet de torturer l'histoire avec un manque de talents sidérant. Aucun, absolument aucun des ajouts ou modifications n'apporte le moindre intérêt supplémentaire bien au contraire. Le seul but de ces "diversions" semble résider dans l'allongement à l’envie du métrage du film. Décrire chaque faute de gouts, chaque incohérence, chaque personnage sans consistance, chaque dialogue creux, chaque effet spéciaux ratés, chaque prendre un temps considérable...En conclusion ce film comme le précédent et comme le suivant est un immense gâchis, une insulte à Tolkien et à tout ceux qui ont été touché par son œuvre. Je reste persuadé qu'il est possible de réaliser un vrai adpatation de ce livre merveilleux il faudra malgré tout un réalisateur pourvu de beaucoup plus de respect et de talent que PJ.

Bilbon, Thorin Écu-de-Chêne, Gandalf et les autres nains sont de retour dans cette seconde aventure aussi palpitante voire supérieurs au premier. La durée est toujours aussi importante (et vue en version longue)mais on ne voit pas les 3h15 passer. Pour cause, on ne s'ennuie pas une seconde ou plutôt on n'a pas le temps de s'ennuyer car les moments épiques s’enchainent sans temps mort. Bien plus présentes dans cette suite, les scènes d'action sont à la fois spectaculaires, drôles et impressionnent visuellement. Certains passages ne manqueront pas de vous faire sourire (comme la course-poursuite dans les tonneaux) et certains passages sont un véritable régal pour les yeux, et/ou pour une fois une voie Gandalf faire autre chose que de la lumière. Après avoir fait un "voyage inattendu", la bande de nains vont devoir faire face à la colère du terrible Smaug, un dragon parlant, très agressif, (voir assez drôle sur certains côtés) et visuellement impressionnant et interprété avec brio par Benedict Cumberbatch. Sur la route, ils vont faire la connaissance de Legolas, l'elfe de la saga du "Seigneur des anneaux" interprété par le charismatique Orlando Bloom. (Celui-ci a toujours autant la pêche et une haine assez forte pour les Gobelins. Mais quel plaisir de revoir ses cabrioles et surtout il décapite les têtes comme personne). Ainsi que de Bard, un humain vivant près de la montagne interprété par le fantastique Luke Evans. Quant au personnage de Tauriel. Je la trouve intéressante et on sent qu'elle aura de plus en plus d'importance. Certes je comprends que pour le pur-fan Hardcore du livre que R. R. Tolkien ce personnage soit une hérésie vu qu'elle n'est pas dans le livre. Mais quand même, je vois pas en quoi crée un nouveau personnage fait que l'on trahis l’œuvre. Surtout que pour le coup, ce petit côté "féminin" ne fait pas de mal dans ce monde et/ou depuis le début il n'y a que des hommes comme héros principal. Au final, avec une ambiance chevaleresque remarquable, des scènes d'action a coupé le souffle, des décors magnifiques (qu'il soit naturel ou crée de toutes pièces), ou des effets spéciaux grandioses. On sent que Peter Jackson ne fait pas dans la demi-mesure, c'est du haut de gamme qu'il nous sert. On sent qu'il s'est fait plaisir et cela se ressent à l'écran a chaque instant. Ce second opus annonce aussi la naissance d'un méchant, mais pas n'importe lequel puisque c'est Sauron en personne. Résultat: une superproduction très spectaculaire et très rythmée qui nous laisse présager un 3e film époustouflant et qui je l'espère sera au même titre que le "Retour du Roi" pour la première trilogie. Une conclusion à la hauteur de mes attentes. Mais au vu de ses 2 premiers films. Je ne me fais pas trop de soucis.

Un second volet encore plus rythmé, dense et spectaculaire avec des scènes de combat épiques entre les créatures les plus diverses et des paysages vertigineux. On peut critiquer Peter Jackson mais la magie opère une fois de plus.

"Le Hobbit - La Désolation de Smaug", second et très attendu épisode de la trilogie de Peter Jackson. Je ne vous cache que je trépignais d'impatience avant qu'on nous ouvre les portes de la salle, engouement qui a été ramené à la baisse en moins d'une heure.
Majoritairement, cet épisode transitoire est bien mieux que le premier, mais pas une petite minorité...
Cette suite se présente comme allant à l'encontre des autres films en Terre du milieu, narrativement et structurellement. Démarrant sur les chapeaux de roues avec une introduction nous plongeant directement dans l'action et se finissant d'un coup, spoiler: avec un cliffhanger des plus frustrant mais aussi des plus prometteur
. Donc que dire sur ce qui a été pour moi une torture en terme d'attente? Une petite déception.

Terminé le road movie savoureux aux personnages sympathiques paysages fantasques, place à une course contre-la-montre effrénée aux allures d'action movie, notamment avec la 1ère partie du film, ne laissant aucun répit au spectateur, et cela jusqu'à l'arrivée de Bard. D'ailleurs, ce personnage, nouveaux venus de la trilogie, s'intègre parfaitement à l'univers, contrairement aux autres protagonistes croisant la route de nos nains, à savoir Thranduil, Beorn, Alfrid ou le maître de Lacville. A ça je réponds: achetez la version longue! Cette édition corrige les problèmes de rythme et (surtout!) la présentation des personnages.
Nous revoyons également Legolas, au rôle quasi-identique niveau action/badass attitude que dans "Le Seigneur des anneaux" mais plus développé psychologiquement. Son père, Thranduil, arrive aussi comme ceci et repart comme cela, sans plus de développement, pour un retour dans le dernier film qu'on espère fracassant! Et puis la belle Tauriel, que dire sur ce personnage spécialement créé pour le film? Malheureusement, le ressenti général qu'elle soulève prouve que si Jackson n'avait pas voulu d'histoire d'amour, elle n'aurait pas été présente. Alors rapprochement des espèces, romance, idylle ou simple flirt? Encore une fois, "La Bataille des cinq armées" nous éclairera.

"La Désolation de Smaug" pose pas mal de question sans jamais y répondre, sans réellement nous éclairer sur l'avenir de tel ou tel personnage. A ce propos, spoiler: le cliffhanger
arrive comme une punition, nous laissant une année entière avec notre imagination tentant de construire le final, mais connaissant Jackson, nous aurons probablement des surprises. Ce troisième film promet une conclusion épique comme le cinéaste Néo-Zélandais sait en faire, cependant, je reste perplexe quant à la qualité du film, j'attendrais donc le 10 décembre pour me faire mon avis.

La mise en scène est plus poussée que pour le 1er film, dévoilant de vrais moment de cinéma: les araignées, les Monts du Rhudaur ou encore l'antre de Smaug. La musique elle aussi reste dans la lignée des grandes compositions d'Howard Shore. Petite déception de ne pas voir les nains plus travaillés, ils apparaissent comme des seconds rôles, parfois même comme des figurants.
Le rythme est traître, emballant et rapide d'entrée de jeu, puis plus calme pendant trente minutes pour finir avec une longue séquence nous scotchant à notre siège! Défaut majeur de cet opus (je suis subjectif sur ce point).

Que dire du lyrisme qui caresse le film du début à la fin: la prophétie de Bard, le 1er échange entre Kili et Tauriel, les monts du Rhudaur, Bilbo redécouvrant l'air pure à la cimes des arbres de Mirkwood, une diversité et une poésie nous plongeant définitivement dans cette aventure. Le final parvient aussi à être symbolique, "Smaug the golden", tout est dit, Peter Jackson nous renvoie à la source même de cette mythologie, c'est-à-dire le roman Bilbo le Hobbit lui-même. Pour le sepacteur lamba, il s'agit d'une scène où on se demande l'utilité, mais pour le fans inconditionné de Tolkien (et de Jackson par ailleurs), c'est une déclaration d'amour si forte et iconique qu'on se dit: "Mais quel génie!".

Concernant la version longue, en dehors des nombreux bonus auxquels le fan de Jackson a l'habitude, le film fait oublier une version cinéma incomplète et irrégulière, chaque lieu est un peu plus explorer, mise à part au royaume sylvestre et Erebor. Seul défaut, et cela est purement subjectif, le passage à Dol Guldur, bien trop mal pensé et mal monté, l'objectif premier du magicien passe au second plan, spoiler: tout comme Sauron lors de l'affrontement
.

Au final, "La Désolation de Smaug" n'en reste pas moins un blockbuster de très grande qualité, composé de scènes ingénieuses et jubilatoires, comme les tonneaux ou tout simplement Smaug! Grand vainqueur de ce film, car c'est de lui qu'on se souviendra à la sortie de la salle. Je n'ai qu'une chose à rajouter: "Well, fans, we will see soon the final chapter".

Voilà un bon film d'aventure, agréable à regarder. Les scènes de combat sont particulière réussies ; la performance est d'autant plus remarquable étant donnée la profusion de productions récentes dans le domaine.

Plutôt déçu par ce second épisode qui souffre d'une seconde partie mal rythmée, dont les multiples intrigues ne servent malheureusement pas à grand chose. Néanmoins, Peter Jackon reste l'un des génies du septième art, et quand il s'agit des séquences d'action, ça envoie du lourd.

Par contre, le cliffangher de fin, c'est juste pas possible. Pour un épisode de série à la limite, mais après un film de 2h45 qui finit par tourner en rond et sachant qu'on doit attendre un an pour voir la suite, c'est limite du foutage de gueule !

En résumé, une première partie excellente, une seconde trop molassone et un troisième acte qui m'a déçu, traitant Smaug d'une manière qui ne m'a pas convaincu. Attendons de voir le troisième épisode !

Après un très bon premier opus, ce film nous entraine dans un voyage encore plus merveilleux.
Les acteurs sont tous très bons, la musique nous plonge dans l'ambiance, et l'action comme le merveilleux sont au rendez vous. Smaug et Bilbo est un face à face majestueux. Smaug est exceptionnel. L'humour est moins au rendez vous ce qui est mieux. les décors sont fantastiques et l'arc de Gandalf est superbement mis en scène. voilà, c'est tout.
VC : 18,75/20
VL: 19,5/20

Étonnée ! C'est très certainement la première adaptation de Peter Jackson de J.R.R. Tolkien où je n'ai pas vu le temps passer. Le film a presque un an et cela fait donc autant de temps que je me prépare à le regarder sans grande conviction ni envie, tellement le premier m'avait déplu notamment par sa longueur. Ici l'action ne s'arrête jamais et nous offre d'ailleurs une fin brutale à laquelle on ne s'attend pas. Le reste à déjà fait ses preuves dans les films précédents de Peter Jackson, de bons effets spéciaux, un très beau cadre. Il a magnifiquement réussi Smaug et la surprise et rester entière. Moi j'ai adoré que ce dragon est une âme de philosophe, mon personnage préféré dans cet opus. Grand plaisir de retrouver Evangeline Lilly, que je n'avais pas vu depuis "Lost" et qui nous offre une belle interprétation. Bref, sans être fan de cette univers et sans vraiment y adhérer, j'ai passé un bon moment que je n'ai pas vu passé, je me suis davantage attaché au personnage et j'ai frissonné avec eux. En revanche, il y a beaucoup trop d'incohérence et d'improbabilité pour rendre ce film intéressant voir réel, et vu leur niveau c'est décevant dans un film de ce calibre.

un film fatiguant . Soit des longueurs, soit des combats avec pleins de pirouettes invraisemblables. c'est du remplissage ... en tout cas pire que le premier .
Sinon la premiere rencontre de bilbo avec le dragon est pas mal du tout.

Une suite tout aussi bien faite que la précédente aprés The Hobbit, le passage dans la forêt montre la qualité des effets spéciaux mais aussi les acteurs qui reste parfait dans leur rôle comme Bilbon saquet toujours aussi bien joué. L'on retrouve aussi les elfs, le très célèbre anneau. Le scénario ne dévie jamais et reste dans sa ligne ce qui rend ce film a la hauteur des autres volets même s'il reste hélas un ton en dessous du précédent. A voir quand même absolument pour ceux qui ne l'ont pas vu car c'est un excellent film et les adorateurs de cette saga ne pourront que continuer a l'aimer.

Deuxième volet de la saga du Hobbit, Le Hobbit : la Désolation de Smaug est presque mieux que Le Hobbit : un voyage inattendu. Si le précédent épisode avait posé les bases de la nouvelle trilogie, la Désolation de Smaug ne fait pas dans la dentelle et nous fait pénétrer avec frénésie dans le cœur de l’action du début à la fin. La naissance d'une amourette inter espèce spoiler: entre le nain Kili et l'elfe Tauriel
saura de surcroit combler les plus romantico-sensibles d'entre-vous. Seule ombre au tableau : la fin un peu trop brutale du film. Certes on s’attendait à rester sur notre faim, mais là le gout d’inachevé est peut-être trop marqué... A vous d’en juger !

Le 1er volet du retour au sein de la Terre du Milieu avait divisé les fans, celui-là aura confirmé le fait que P. Jackson a définitivement perdu toute aura sur la sphère critique. Le film est il est vrai un peu moins réussi que ceux de la trilogie précédente et son choix de départ ne s’avérera sans doute payant aux yeux des professionnels de la profession que dans 10 ans (l'image est trop claire, parfois trop irréelle mais il faut aussi avoir un matos à la pointe pour l'apprécier pleinement, ce qui n'est pas mon cas et celui de 98% des cinéphiles amateurs) mais il faut aussi reconnaître que l'histoire est mieux menée, avec une entière dévotion au spectateur avec un enchaînement de morceaux de bravoures certes un poil too much et inspiré par le monde jeu vidéo mais clairement, Jackson s'éclate et nous offre des plans incroyables, toujours généreux, un spectacle époustouflant mené à un rythme fou et qui ravira les ceux qui ont su garder une âme d'enfant. Il maîtrise mieux le monde de Tolkien et il nous offre également des passages pleins de magie, il continue d'étendre cet univers qu'il vénère et il fait avec un plaisir communicatif et surtout il y a ce final dans la caverne de Smaug, véritable feu d'artifice rempli d'effets bluffants. Hélas, le tout est parfois un peu épuisant, l'abus d'effets digitaux joue parfois contre le film et le spectacle total n'en est encore qu'à ses balbutiements (le 3ème et dernier volet s'annonce épique) mais les enjeux sont bien posés et même si les personnages ne sont pas assez développés (pourquoi garder la troupe des 12 nains au complet alors qu'on ne s'intéresse qu'à un tiers d'entre eux ?), on passe un bon moment devant ce spectacle qui se veut intègre et jouissif. Vivement la suite tout de même. D'autres critiques sur

C'est toujours aussi beau mais il y a toujours le même problème de "too much". Les Nains sont comme en caoutchouc et rebondissent, les Elfes sautent d'un tonneau à l'autre dans un torrent en furie sans jamais hésiter etc.: le dernier quart d'heure du film, comme pour le premier tome veut trop en mettre plein la vue. La lassitude finit par gagner et une certaine gêne en pensant ce que Tolkien dirait de l'adaptation de son œuvre.
Mais cela reste somptueux et ne m'empêchera pas d'aller voir le troisième volet!

L'ANNEE DU DRAGON. Bon, on en est où après 15 heures de films??? Si c'est ça le cinema de divertissement: attendre 2 heures un oeil de dragon et 1 heure pour la fureur du dragon...Bruce Lee reveille toi, ils sont devenus fous.... Heigh ho heigh ho, on rentre du boulot...L'imagination de Peter Jackson est en berne, la routine en somme. Il meuble le monde perdu. Et moi je suis maso, j'insiste, oh Seigneur de l'anneau je vous en supplie, abregé mes souffrances, et pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.

Il se passe un peu plus de choses dans cette suite. Le problème est toujours le même, certaines séquences sont beaucoup trop longues, mais si elle ne sont pas désagréables à regarder. Le point fort du film est l'apparition du dragon qui est vraiment saisissant, très bien animé et parfaitement doublé.