Derniers Avis : Cartel - Page 14

Plus jamais ca par pitié. zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

malgre ridley scott et son casting explosif!! cartel reste moyen est pour cause!! tout simplement pour un scenario comme celui ci!! on s 'attendait a quelque chose de plus rhythmer ( on s 'ennuie a mort),et de plus spectaculaire!! ici on a le luxe , les femmes, la sappe, et c est tout!! une scene d'action de gun fight et cameron diaz qui fait l'amour en voiture en grand ecart !!! malgre la fin bien faite!! on a rien d'exeptionelle (sauf le casting),et c 'est dommage!!!peu etre le deces du frere de ridley pendant le tournage qui a chambouler les choses ?!!! bref pas du tout le polar a lequelle on a envie de voir!! une deception totale pour les 2 heures qui nous est presenter!! a eviter naturellement

La première chose qui me vient à l'esprit concernant ce film c'est "bavard"; mais pas le bon genre de bavard, type Tarantino ou Allen dans leurs bon jours (ni même dans leurs mauvais en fait), non là ce n'est que baratin existentiel pseudo-philosophique pendant 2 heures (ah je suis de mauvaise foi: 1h50), et faut entendre les conneries qui y sont débitées. Soit, on en a vu d'autres des films avec des dialogues pourris, le vrai problème ici, c'est qu'il n'y a rien d'autre, il ne se passe strictement rien... Du coup c'est dur de suivre le fil (tortueux) de l'intrigue (le mot est fort) quand on est trop occupé à regarder les mouches voler et je serai bien incapable de résumer ce film autrement que par: spoiler: Fassbender se retrouve dans la merde pour une raison et sa copine est kidnappée et tuée par quelqu'un
(le personnage de Brad Pitt par exemple, qui est-il? que fait-il? Pourquoi? Comment est-il connecté à Fassbender? à Bardem? spoiler: Qui est le mec à moto? Pourquoi a-t-il été tué? Qui a tué Bardem?
J'en sais rien et honnêtement je m'en fous), et puis il y a des scènes qui n'ont absolument aucun intérêt si ce n'est servir de pretexte à encore plus de répliques sans queue ni tête spoiler: (typiquement la scène où Cameron Diaz va se confesser)
. Tout est hideux dans ce film: de l'image avec ses teintes jaune pisseux pour filmer le désert (bravo quelle originalité!) à la garde robe des protagonistes (oui j'en suis réduite à commenter les fringues tellement c'est vide) et ça réussit l'exploit d'être incroyablement trash et vulgaire tout en échouant lamentablement à être un brin provocant: aucun intérêt.

Très beaux décors, très beaux costumes, très belles images, dialogues souvent pointus, mais ça ne prend pas, à cause d'une histoire qui n'a ni queue ni tête... En fait, une succession de clips destinés à mettre en valeur tour à tour les méga-stars d'un casting de rêve.

film sans queue ni tête qui vous tien en allène durant toute ça durée pour finir en queue de poisson

J'ai pas trop compris l’intérêt de ce Film a part nous jeter a l’écran tout ce Fric belles bagnoles et villa car tout le reste est tout bonnement lamentable,le pire film de Ridley scott

J'avais vaguement vu sur allociné le pourcentage très faible de bonnes notes spectateur de ce film, et à propos d'une oeuvre du grand maître américain il y avait de quoi être étonné. Je n'avais pas encore vu le film. Un pur ovni. Bien sûr, quand on constate la présence au scénario d'un immense écrivain comme Cormac McCarthy, on peut s'attendre à une certaine qualité d'écriture, mais à ce point ! Ce n'est plus un thriller très bien écrit, ni même un thriller littéraire, c'est carrément l'invention d'un genre : le thriller philosophique. Les répliques fusent à foison. Réflexions sur la vie, la mort, l'amour, l'amitié, cela n'arrête pas. De quoi se demander si tout cela est bien réaliste. Bien sûr que non. Ce n'est pas ce qui est recherché ici. Alors, amateurs de films d'actions qui pètent, attention, la première scène d'action ne vient qu'au bout d'une heure et demi (dans la version longue, disponible seulement sur l'un des blu-ray). Mais dieu que c'est étrange et intéressant. Je conseille fortement, non seulement parce que c'est culotté au possible, mais que venant d'Hollywood, on n'en croit pas ses mirettes et encore moins ses oreilles. Et surtout, si on est friand de littérature ou de philo, ça ne peut qu'intéresser. Personnellement, j'y retournerai voir au moins une deuxième fois. Il me semble que Ridley Scott réussit ce que Malick aimerait tant savoir faire... Mais, notre ami Ridley avait un solide appui en Cormac McCarthy, héhé !

Le pitch donnait envie de voir ce film, comme le casting ou la bande annonce ... mais il vaut mieux s'arrêter la !
L'histoire n'est pas assez exploitée, j'ai l'impression que le film aurait pu être tourner en 10min, il ne se passe rien, tout arrive très rapidement et se termine rapidement, le scénario laisse le spectateur sur son siège sans jamais l'inviter, dommage. On peut difficilement en vouloir aux acteurs car le scénario ne les aident pas ... seul Javier Bardem sort du lot, il joue son rôle à la perfection.
Je ne vous le conseille pas, perte de temps.

Film d'une nullité incroyable. Pourtant le casting de rêve laisse présager un bon moment de cinéma mais au final c'est à se demander si ces acteurs ont lu le scenario avant de tourner le film.
Ok la finalité du film est complètement attendue mais si cela était accompagné de bons dialogues et d'un montage correct mais là, les dialogues sont longs, ennuyeux, les scènes sont complètement décousues.
C'est un désastre abolu.

Le pari risqué de Ridley Scott, s’associant au célèbre dramaturge américain Cormack McCarthy, n’aura pas, d’un point de vue critique, porté ses fruits. Si pour ma part j’ai trouvé le travail associatif entre ces deux figures, cinématographique et littéraire, pour le moins fructueux j’admets cependant que The Consuelor n’est certainement pas le film attendu par la majorité. Annoncé comme un hit d’action dans la lignée de la série Breaking Bad et du très didactique Trafic de Steven Soderbergh, voilà que débarque un film nihiliste au possible qui ne prend jamais la peine de ménager un public non-averti préalablement de son contenu. Monologues philosophiques sur le sens de la vie, sur l’acte sexuel, scènes d’échanges bavardes n’ayant rien à voir avec le tissu narratif, longues parades d’aisances de la part de personnages que l’on ne situe que difficilement dans le récit, Cartel n’est jamais facile d’accès. Pour autant, ceux qui connaissent, qui adhèrent, aux tribulations pessimistes du romancier dramaturge qu’est McCarthy, ne pourront pas s’étonner de l’allure que prend le film.

Le casting cinq étoiles aspire lui aussi à attirer le public en masse. Rien de moins que Michael Fassbender, Javier Bardem, Brad Pitt, Pénélope Cruz et Cameron Diaz, entre autres, n’auront pris part à cette délicate dissertation sur l’atrophie de l’espèce humaine. Soyons clairs, si Scott et McCarthy situent la narration dans le domaine des cartels de la drogue, c’est bien pour dénoncer l’appât du gain de chacun dans un business des plus lucratifs. Chacun, obsédé par sa richesse, par ses soucis financiers, fait l’impasse sur toutes les bonnes mœurs pour devenir une sorte de monstre individualiste, fait entraînant dans son sillage son lot de drames impondérables. La richesse n’est jamais dissociable de la violence, le succès de crime. L’on reconnaîtra alors aisément l’élan défaitiste de l’écrivain, qui se pose depuis des décennies comme l’homme dressant les portraits les plus noirs de notre espèce. Chaque acte entraîne des répercussions, ici souvent très sombres. Les dialogues, quant à eux, ne résultent pas d’une écriture propre au cinéma mais bel et bien d’un roman noir, haut fait d’une littérature dramatique qui laissera sans doute une bonne partie du public sur le bord de la route.

Alors que les frères Coen et Jon Hillcoat on parfaitement su adapter des récits de Cormack McCarthy sur les écrans, c’est simplement parce que les réalisateurs ont dissocié littérature et cinéma lors de leurs processus de narration. Ce ne fût pas le cas chez Ridley Scott qui prend simplement la place du metteur en scène sous le joug du romancier. Je ne peux, pour ma part, pas accabler le célèbre réalisateur britannique, qui selon moi, fait un énorme travail sur le tournage de Cartel. Oui, si la narration et l’absence de rayonnement divertissant ont fait de Cartel un échec commercial, le film n’en reste pas moins un franc succès technique et artistique. L’on constate très vite que Scott n’a pas perdu la main en termes de mise en scène, une bonne partie de ses plans étant excellents. Les interprétations, elles aussi, sont fantastiques, celles de Fassbender, bien sûr, mais plus surprenant, surtout celle de Cameron Diaz, actrice que l’on avait depuis longtemps, voir jamais, vue aussi charismatique. Notons que la place des femmes dans les écrits de McCarthy est prépondérante à sa vision du monde. L’écrivain ne voie pas le beau sexe comme nos égaux mais comme des déesses côtoyant l’homme pour se divertir. Cela se ressent incessamment dans le film de Ridley Scott.

Sans doute voué à devenir un film culte pour des raisons incomprises, sans nihilisme extrême, notamment, le dernier né de l’écurie Scott Free, en l’hommage du frère décédé, est selon moi un monument de noirceur, un film si particulier qu’il ne peut s’adresser qu’à une toute petite partie des téléspectateurs. Si j’ai moi-même apprécié l’œuvre, je ne peux que comprendre le mépris de certain pour un film qui ne permet jamais le sourire, la gaieté et qui s’évapore souvent dans des monologues psychologiquement délicat. Faut aimer, comme dirait certain. Beau travail de la part du réalisateur, qui dans un sens, s’approche un tantinet des tribulations philosophiques de son Prometheus. Avis aux amateurs. 15/20

C'est quoi ce bordel !!!!! Ce film est un ovni du cinéma.

Le seul moment où je me suis diverti c'est quand le générique de fin est apparu. Vraiment bof, les acteurs sont pas bons ! Déception !

Une bonne idée de scénario, une farandole de bons acteurs et une belle image pour au final un film sans rythme et sans âme qui fait pchitttt! Un beau gâchis pour presque 2 heures d'ennui imprévisibles et impardonnables

Un casting au top. Une réalisation au top. Une ambiance réussie. Mais, un scénario moyen. On n'est pas franchement passionné. Certaines scènes sont là pour nous laisser éveillé et ça marche. Étonnant pour ce réalisateur. A voir, quand même.

Excellent film. Des dialogues d'une profondeur incroyable (il faut les écouter pour eux-même, pas simplement pour faire avancer une intrigue). Des situations en demi teinte (parce que la vie, en particulier dans ces histoires là, c'est pas toujours quelque chose de simple) et des personnages parfaits. Tout est fait pour nous parler de la cruauté, mais elle est amenée pour qu'elle touche, pas comme un fait divers. spoiler: On nous montre la préparation d'un meurtre ... sa préméditation ... et on en est écœuré par cette mécanique. On nous évoque des meurtres horribles, mais pas avant de nous avoir fait partager la douleur des proches. Enfin, on nous parle du trafic de drogue de façon légère, mais tout le film nous prouve qu'il n'y en a pas sans souffrance à chaque étage.
Ce film est une succession de prises de conscience ... ce film nous ouvre l'esprit. En cela, il est parfait.