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Daniel Thorpe
1 abonné
11 critiques
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0,5
Publiée le 31 mars 2024
Revu ce film culte que j’avais sûrement adoré à sa sortie.Mais qu’est ce que ça a vieilli .Totalement nullissime.Tout frise le grotesque.On ne peut que mettre 0 aujourd’hui et toute autre note est du snobisme.
Premier film de l’australien visionnaire George Miller, Mad Max est une dystopie pas si loin de nous dans laquelle tous les organes gouvernementaux sont près d’imploser et où la violence devient prépondérante. Il crée pour l’occasion un personnage mythique, Max, ainsi que sa bagnole tout aussi mythique, l’Interceptor. C’est dans ce paysage du bush quasi désertique que l’on suit les affrontements entre ce qu’il reste de la police et des hordes de voyous sans foi ni loi. Pour l’époque c’est particulièrement violent, ça a d’ailleurs value une interdiction sur le sol français durant 3 ans, et les cascades sont plutôt impressionnantes sachant qu’il y a très peu d’effets spéciaux. Le budget serré n’a pas empêché Miller de nous sortir une œuvre aussi pessimiste que culte avec en tête d’affiche la découverte d’un Mel Gibson charismatique au possible. Ce premier opus a tout de même vieilli et ça se sent, malgré tout, hormis quelques creux le suspens y est assez haletant par moment et c’est surtout le point de départ d’une saga marquante du genre post-apo, le deuxième opus lui étant bien supérieur à mon sens.
Un western moderne dans un monde dystopique. Le passage du temps a fait à Mad Max la même chose que le passage des motards sur la famille du personnage éponyme. Probablement novateur autrefois, le film paraît souvent kitsch. Le tout manque globalement de rythme et on reste sur sa faim après la conclusion. Certains éléments qui feront le succès de la série sont abordés brièvement sans jamais être complètement développés. On passe malgré tout un bon moment, le statut iconique du personnage et l'anticipation des suites donnant de l'intérêt à ce premier volet, et un aperçu du potentiel de l'univers, exploité davantage dans des suites plus affirmées.
Je pensais que j’avais déjà vu Mais Max mais en fait ça devait être le deuxième que j’ai vu car je n’avais aucun souvenir de celui-ci. Et vu sa qualité, je pense que je me serai souvenu d’un tel film ! Car sur le papier, on sent que Mad Max est une oeuvre complètement fauchée et le pitch de base est quand même ultra simpliste, quelque part ça me fait penser aux films que je pouvais faire avec les cousins qu’on improvisait quand j’étais gamin. La seule différence, c'est que la réalisation est ici brillante et vient accentuer la descente dans la folie que va traverser Max, dans ce monde qui part en sucette. C'est du (presque) post-apocalyptique vraiment brillant, les scènes d'action sans déborder d’explosion, débordent d’inventivité et d’intensité à l’image d’un Duel de Steven Spielberg. Non franchement rien à dire, Mad Max est une œuvre brillante qui n’a pas pris une ride, hormis ses toutes dernières minutes qui coupent de manière très abrupte alors qu’on en aurait voulu plus. Un grand film, à voir absolument.
Dans Mad Max, on suit une belle brochette de dégénérés appelés les Aigles de la route ainsi que des flics aux pratiques plutôt musclées et peu orthodoxes. Parmi eux Max, un flic qui va se retrouver confronté à plusieurs drames qui vont le pousser dans une quête de vengeance.
Malgré un manque de budget apparent, ce qui se comprend aisément quand on sait que le film a coûté seulement 350 000 dollars, on se dit que Miller a été plus que créatif et débrouillard pour donner du cachet à son film. Malgré tout, il est normal que le rendu fasse assez kitsch par moment (notamment l'usage des plans accélérés). Mais l'ambiance est bien là grâce à ces paysages désertiques, ses pillards aux gueules et aux look d'enfer et à ses scènes d'action en pagaille.
L'idée de mettre une caméra embarquée sur les bolides ou de filmer au raz du sol procure une sensation de vitesse lors des courses poursuite à moindre frais. Certains plans sont également assez ingénieux pour suggérer plutôt que montrer et sombrer dans le trash pour rien ([Spoil] je pense notamment à la scène à l'hôpital où Max découvre son camarade brûlé, caché sous un drap, ou encore, la scène où sa femme et son fils sont renversées par le gang, simplement suggéré dans un premier plan par une chaussure et un ballon qui tombent sur la route [spoil]).
Niveau histoire, il n'y a pas énormément à se mettre sous la dent, mais quand même plus que j'aurais pensé en démarrant ce film. Suivre l'évolution de la psyché de Max, flic dépassé par les événements et la montée de la violence est plutôt plaisant. Cette quête de vengeance qui s'en suit est assez accrocheuse mais nous laisse sur une fin plutôt abrupte après la capture et le meurtre d'un des membres du gang par Max. Le film reste aussi moins violent que ce qui était vendu à l'époque, mais je peux comprendre que cela dénotait par rapport à ce qui pouvait être proposé.
Le résultat est assez efficace pour un budget fauché face aux montants actuels des films d'action, mais affiche des défauts évidents que la technique de Miller ne suffisent pas à gommer.
Ésotériques, les aventures tumultueuses entre les Justiciers et les Aigles de la route dans les paysages désertiques d'Australie ne plairont pas à tout le monde. Elles permettent cependant de découvrir Mel Gibson dans ses premiers pas au cinéma international.
Voici une raison de pourquoi il faut voir Mad Max : c'est le contraire d'une vision d'un hollywood un peu putassier qui ne peut pas s'empêcher de mettre du sex dans tout ces flims. Là il y en a pas, Max est devenu l'homme magnifique intouchable, c'est l'homme d'une seule femme. Un grand film sur la culpabilité du survivant
Un classique du cinéma qui est toujours aussi exceptionnelle encore aujourd'hui ! Certes, nous avons un scénario simple (une histoire de vengeance), mais l'univers du film, nous plonge dans une atmosphère très particulière. C'est un film violent et jouissif. Les acteurs sont très convaincants ainsi que la brillante mise en scène de Georges Miller qui apporte un tout !
e reconnais que je n'ai jamais été fan des Mad Max et le dernier compris (limite encore moins le dernier avec du sable et du sable et...) mais disons que celui-ci à ce côté vengeance classique qui me plait assez. On voit Mel Gibson tout gamin et qui va commencer à gagner en notoriété sous la houlette de George Miller le papa de "Babe" (oui grand écart entre les deux). Bon ensuite je trouve que le film à pris un sacré coup de vieux surtout peut être du au doublage français assez moche et le fait de passer d'un scène à une autre sans fioriture. Mais quand même sympa de le revoir mais sur grand écran.
Mad Max est cartes un film culte mais il manque beaucoup trop de scènes d'actions , les personnages ne sont pas attachant et on a une mise en scène très ennuyeuse avec un scénario qui se répète en boucle cela devient clairement chiant.
Au-delà de l’incroyable puissance cinétique de ce premier film chauffé à blanc sous le soleil australien, Mad Max marque les consciences par l’ambivalence de son protagoniste, sorte d’ange exterminateur dont la candeur semble presque irréelle – et donc suspecte. Même si on ne voit jamais vraiment Max s’adonner aux joies de l’ultra-violence ou à l’ivresse du pouvoir que lui confère son badge (contrairement à son pote Goose), sa vengeance finale semble bien trop maîtrisée et froide pour ne pas révéler des pulsions enfouies. A se demander si le choix d’emmener sa famille en dehors des frontières, mais ainsi l’exposer au danger, ne serait pas une façon de répondre à son désir inconscient de s’en débarrasser, pour libérer ses pulsions. Le jeu très « innocent » de Mel Gibson participe à cette transparence malaisante du personnage. Sa ligne claire se brise sur l’implacabilité finale. Ainsi le chagrin de Max ne se fait pas dans des scènes de désespoir lacrymal, mais passe dans le durcissement de son regard, l’impassibilité de son visage et, comme le montre la fin du film, un certain apaisement émotionnel. Se délivrer des illusions de l’enfance, affronter la violence de la nature humaine, assumer ses pulsions, c’est de cette façon que George Miller affranchit la fiction du puritanisme et inscrit ses personnages dans le monde, en dehors de leur propre sphère. C’est à ce prix qu’ils deviennent libres. Car le dernier plan de Mad Max, sur l’interminable route qui défile sous ses yeux, montre autant le no man’s land spirituel où il se retrouve à errer que la liberté sans barrière qu’il vient d’acquérir...
Je n'avais encore jamais vu la trilogie Mad Max, et ces films m'intéressaient en étant assez fan des univers post-apocalyptiques. J'ai trouvé la trilogie d'occasion dans un magasin pour un euro symbolique, je n'ai pas hésité... Globalement déçue par ce film, et encore arrivée au générique de fin, j'ai revalorisé ma note à la hausse car la dernière demi-heure du film relève un peu le niveau. Le scénario se met en place au bout d'une heure de film. Avant cela c'est course poursuite entre flics et débiles mentaux sur les routes d'Australie au volant de voitures ronronnantes mais on n'apprend pas grand chose sur ce qui s'est passé en Australie pour que les australiens en arrivent à ce stade de délinquance et de débilité. Les dialogues sont aussi creux que le contenu du film la première heure de visionnage, et cela malgré un Mel Gibson qui joue pas si mal que ça... En bref, pour moi, une dernière demi-heure qui sauve les meubles mais pas suffisamment pour mettre plus que la moyenne.
Mad Max est le film qui révéla Mel Gibson au cinéma, réalisé par le visionnaire George Miller. Le film se passe dans un futur proche, les délinquants règnent sur les sociétés, les gouvernements sont totalement dépassé, l'anarchie et le chaos sont proches. Max Rockatanski est un policier de route, qui lors d'une poursuite stop et tue le malfrats, qui n'es autre que le frère du chef de gang de la route. Poursuite et vengeance sont au rendez-vous vous. Un film qui montre également la violence qui règne en maître. Une œuvre de science fiction qui est devenue culte.
Début des années 80, qui ne parlait pas de Mad Max, un film référence, devenu culte. Je me suis dit que je vais le revoir, sans me souvenir de quoi que ce soit. En fait ce film est un navet. Le genre était nouveau à l'époque et a certainement inspiré "Fast and Furious" ou "Taxi", mais c'est très faible. C'est débile, délirant, décalé, mais ... spécial vers 1979. Le film a terriblement mal vieilli et il faut aussi être fan de ce genre de gros bolides pilotés par de petites cervelles. Quelle déception.