Derniers Avis sur Une nouvelle amie

Publiée le 9 novembre 2014 ( par Michel Crotti )
Deux acteurs géniaux et l'alchimie de François Ozon : Bingo. Quel plaisir de voir ce film de près de 2 heures !! Romain Duris y est formidable. On le savait déjà (De battre mon coeur s'est arrêté ou Populaire sans oublier l'auberge Espagnole) on va encore plus loin dans le physique et l'intellectuel.... De même pour Anaïs Demoustier toute en retenue et finesse, qui se lâche tout de même ici un peu plus, attirée non pas par une simple histoire d'amour, mais bien plus que cela, réussit à faire passer des émotions et magiquement transformer du "non possible" à une réalité possible. C'est elle le catalyseur du film. Je cherchais le mot .... "audacieux" en effet c'est une réalisation audacieuse ! Romain est Grandi et Anaïs est juste parfaite. Quels talents. On ne peut pas ne pas citer la musique "Femme" de Nicole Croisille qui colle à ce film. Les musiques sont très justes et non envahissantes. Très belles images à noter... Pas loin du chef d’œuvre !!**

Très beau film, émouvant, sensible, délicat (comme le sujet traité).
Tous les acteurs sont excellents excellents,
Romain Duris est époustouflant. la mise en scène de Ozon au top.
Une réussite pour un sujet pourtant très délicat à traiter.
J'ai beaucoup aimé.

Lorsqu'on regarde un film de F. Ozon, on est plongé, en quelque sorte dans un voyage introspectif de nos propres émotions et sentiments, au travers de ceux que vivent les personnages. Ici le réalisateur explore notre féminité, et plus particulièrement celle des hommes bien sur.
R. Duris travesti en femme est bluffant. Il garde une mâchoire carrée mais le reste fonctionne. Le début est un peu gnangnan, on s'ennuie presque, et ensuite une certaine magie opère et on se met à en vouloir savoir plus, sur les personnages et leur histoire.

François Ozon fait du François Ozon mais il le fait tellement bien.

C’est un réel plaisir de découvrir Une nouvelle amie sans savoir de quoi il est question. Romain Duris et Anaïs Demoustier sont splendides, les dialogues justes, la mise en scène précise. Et quel sujet !

C’est un film qui va plus loin que le film. Impactant, il dit beaucoup, parfois même avec pas assez de subtilité.

Un drame bien sûr, mais avec une certaine légèreté, une certaine joie.

Et puis c’est un film sur les femmes, pour les femmes, et qui les aime.

Quelle déception pour un film de François Ozon, "Une nouvelle amie" est une bouse sans nom! Romain Duris en travesti est complètement ridicule et l'histoire ne m'a jamais intéressé. C'est une sorte de plaidoyer pro LGBT, rien d'étonnant venant de François Ozon, il surfe sur la vague du moment. Seulement, le scénario n'est vraiment pas intéressant et je dirais même que cette histoire est ultra énervante et jamais drôle. Un zéro pointé.

Bienvenue dans l'univers bouleversant et singulier de François Ozon. Ce film, écrit et parfaitement mis en images, nous délivre une jolie photographie et nous offre de très belles scènes. Son scénario aborde avec finesse un sujet délicat ; il nous propose une histoire sensible traitée sans tabou ni ambiguïté. Le film est également interprété par un joli couple formé de Anaïs Demoustier et Raphaël Personnaz. Quant à Romain Duris, il réalise une réelle démonstration d'acteur dans le rôle principal de Virginia.

Traite étonnement bien le sujet de la recherche de genre. Film très convaincant.
Entres romain duris et anais desnoutier la tension sexuelle est palpable, de très grands acteurs!

Film étrange qui semble vouloir faire réfléchir à la sexualité spoiler: avec du travestisme
. Bien joué surtout par Anaïs Demoustier spoiler: qui semble au comble de l'excitation à plusieurs occasions
. Ah, oui, c'est une comédie assez dramatique et ironique. J'ai trouvé que l'histoire passait bien même si elle pousse l'enveloppe dans le sens de la sexualité hors-norme.

Un film très inattendu mais vraiment intéressant. Il y a beaucoup d'intérêt à analyser ce film avec un regard psychanalytique. Cela soulève un vrai sujet de l'identité de genre et du refoulement homosexuel, notamment. Duris est bluffant et Demoustier juste de A à Z.

complètement foiré. le personnage en question est déjà mal a l'aise dès que sa meilleur amie découvre qu'il se travesti, ça ne devrait pas être le cas, il n'as même pas de raison de le cacher AU CONTRAIRE n'en ai pas honte, la communauté LGBT l'as dit nous ne nous tairons plus, nous ne nous cacherons plus. que fait le film ? TOUT LE CONTRAIRE PUNAISE au contraire ouvrez là il y a des millions de raison de l'ouvrir, de ne plus se cacher. tout le long du film ont sent ce gros malaise de la meilleur amie choqué cherchant a le cacher, tout le film est que pour ça alors que l'histoire du bébé qui ressent la présence de la maman quand il se travesti était excellent pourtant ils en parles que pendant 5 minutes brièvement dans une scène sans explorer cette opportunité scénaristique. pareil dans une autre scène quand sont amie la juge alors qu'il veux sortir de façon féminine et l'assumer au lieux de le soutenir BANG elle le rabaisse en luis faisant comprendre que discrètement ça passe mais pas en public. sa féminité est tellement forte qu'a un moment ont comprend qu'il s'agit d'une caricature des personnes transgenre, la tête de sont amies quand elles(oui deux filles) se regardent SANS COMMENTAIRE............même l'affiche du film rouge vif faisant penser a la couleur du mal ce qui n'as STRICTEMENT RIEN A VOIR mais bon ont en est plus a ça près.

Entre mélodrame et comédie, un film étrange et troublant mais surtout déconcertant, qui navigue à l'aveugle.

Un film qui traite beaucoup plus que le travestissement ; c'est une histoire d'amitié, de désir, de tolérance, de chemin personnel, et finalement d'amour.

Franchement, j'ai pris la peine de crée un compte juste pour venir dire a quel point ce film est une purge ...
Je sais pas si c'est moi qui ai pas suivi l'histoire correctement ou si la réalisation ce moque du monde, mais les prises de vue passe du Canada a la France toutes les 15 minutes et c'est une horreur a suivre ...
Je me suis rarement fait autant CENSURE devant un film. Merci le cinéma français.

Au début, je me suis dit que Romain Duris n'arrivait pas à la cheville d'un Dustin Hoffman ou même de Christian Clavier dans "le père Noël…" mais j'ai quand même voulu laisser sa chance au film et je ne l'ai pas regretté car la fin est très émouvante.

Le titre n'évoque rien et tout est artificiel : les occasions de se voir (deuil, accident etc...), les voitures de luxe, les maisons sans clôtures (il faudra qu'on me dise où ça existe en France où les gens cachent et de barricadent !), la sortie de coma.
On retrouve le thème de l'absent, du disparu, comme souvent chez Ozon qui alterne ici encore moments de grâce et de malaise.
Et tout cela est dominé par le jeu de Romain Duris, qui s'est débarrassé de son air insolent et est ici d'une justesse rare. Il aurait largement mérité un César. Si seulement il n'était pas tombé l'année des 2 YSL !