Derniers Avis : The Forest - Page 3

Le top du top!
Le meilleur film d’épouvante / horreur que j'ai pu voir depuis pas mal d'années.
L'histoire est originale et l'intrigue est préservé du début jusqu'à la fin, ça ne s'arrète jamais.
Je regarde chaque semaine deux a trois films d'horreur (j'adore) et celui-ci ma particulièrement plus et déranger. Avis aux personnes qui cherche un excellent film!

Malgré une affiche vraiment très graphique, très belle, “The forest” n'est qu'un de ces innombrables films d'horreur/épouvante comme il en sort tous les ans. L'intrigue est assez simpliste et les péripéties pas franchement passionnantes. De plus, sérieux défaut, les effets d'épouvante sont amenés avec tellement de lourdeur, de manière tellement empruntée, qu'ils en deviennent prévisibles et que leurs effets s'en retrouvent annihilés. En somme, l'intrigue assez commune n'est pas contrebalancée par une nervosité de réalisation qui aurait pu conférer à ce long-métrage une vraie ambiance d'épouvante. Le seul vrai point positif est le dépaysement au Japon et les très beaux décors de la forêt d’Aokigahara au pied du mont Fuji. Un film qui ravivera les amateurs pas trop exigeants du genre ou ceux qui s'effraient pour peu de choses, les autres s'ennuieront vaguement devant cette production horrifique inoffensive et insipide. Parfaitement dispensable.

Si on fait exception de la présence de Nathalie Dormer, il est difficile de trouver un point positif à ce film. Le scénario est banal, aucun rebondissement ne relance l'histoire. On s'ennuie très vite. Malgré tout, The Forest se laisse regarder grâce à de bons acteurs et de jolies décors. Cependant, il ne vaut pas la peine d'être vu... En espérant voir Nathalie Dormer dans de meilleures réalisations à l'avenir !

« La Forêt » est un film d’horreur très médiocre. L’histoire n’est intéressante que par l’originalité du lieu dans laquelle elle se déroule. Le scénario est très mou, sans profondeur et surtout n’apporte aucune frayeur digne de ce nom. L’intrigue est faible et la fin est tirée par les cheveux. Le casting fait ce qu’il peut dans l’atermoiement de la mise en scène. Malheureusement encore un métrage qui va rapidement finir aux oubliettes et qu’on ne peut absolument pas conseiller sans risquer de se retrouver avec les quatre pneus de sa voiture crevés.

Nous attribuons à ce film la note d'une demi étoile, à défaut de n'en mettre aucune, étant donné que nous nous sommes ennuyées durant chaque minute de ce chef-d'oeuvre, au nombre de 94. Plusieurs choses nous ont déplu: les scènes très mal filmées, le manque de conviction du jeu d'acteur, les acteurs, l'absence de suspens. En somme un film trop prévisible, où tous les protagonistes ont l'air de s'ennuyer ferme et ennuient le spectateur par la même occasion. A noter que nous n'étions pas réticentes au début, étant des amatrices du genre.
Rajoutons à cela une liste non-exhaustive de ce qui nous a marqué (en mal) durant ces LONGUES 5640 secondes: La ressemblance FRAPPANTE entre Sarah et Jess, qui nous fait poser des questions sur les coulisses du tournage. Qui jouait qui? Qui est cette brunette qui semble plus jeune et moins grosse que l'actrice principale? Cette dernière aurait-elle une jumelle IRL? Si non, ils ont dû mettre du temps et de l'argent à la dénicher (c'est pourquoi le budget pour le reste du film semble inexistant). Une autre remarque du côté japonais: la jeune asiatique apeurée du début (dont le nom reste inconnu mais que nous appellerons Sakura) surjoue par ses tremblements rappelant une crise d'épilepsie (mais nous ne sommes pas médecins, qui sommes nous pour juger?) Egalement, un conseil chère Margaery: ne balancez pas les Macbooks comme vous le faites sur votre lit, ça attire les mauvais esprits. Joffrey va venir vous hanter (c'est peut-être lui la petite fille de votre rêve). Anecdote: l'actrice se réveille nue alors qu'elle s'est endormie habillée. Comment est-ce possible? De la magie noire? Ou alors une tentative désespérée pour le film de faire le buzz? De plus, il est à noter que Margaery prend le temps de boire des pintes et de manger des crevettes encore vivantes (de faire du tourisme quoi) alors que sa soeur est peut-être en train de mourir au fond d'une cavité submergée par des zombies. Soulignons d'ailleurs que la soeur a oublié sa carte de la forêt avant de partir, peut-être la raison pour laquelle elle n'arrive pas à retrouver son chemin. Côté vocabulaire, l'emploi du mot 'cellulaire' est à proscrire (excepté pour nos amis les québécois, on vous embrasse, cependant je doute que la japonaise qui a employé ce terme le soit). Enfin, le terme 'précipitation' est mal employé lorsque Margaery évoque sa grand-mère (à moins que la lenteur dont cette dernière fait preuve soit sa vitesse de pointe, mais il faudrait en informer le spectateur: une annotation ne nous semble pas superflue).
Nous n'irons pas plus loin dans les détails, signalons seulement que spoiler: la fin est cliché au possible, mais au voyons les choses du bon côté: au moins le mari de Sarah n'aura qu'à teindre sa soeur en blonde et ça sera tout comme.

Signé: les Gueules
PS: Cette critique est définitivement plus longue que le scénario.

Au Japon, si votre vie vous insupporte et que vous voulez y mettre un terme, il existe un endroit parfait pour ça : la forêt d'Aokigahara située au pied du Mont Fuji. C'est the place to be pour tous les suicidaires du pays, même Gus Van Sant a tenté de mettre fin à ses jours de réalisateur là-bas avec son "Nos Souvenirs", c'est dire sa renommée ! Mais forcément, avec tous ces morts volontaires au kilomètre carré, la forêt est peuplée d'esprits revanchards qui prennent un malin plaisir à vous torturer mentalement pour que vous les rejoignez dans leur entre-deux-mondes VIP.

Jess (brune et délurée), une institutrice américaine, disparaît dans la fameuse forêt. Tout le monde croit bien évidemment à son suicide... sauf sa soeur jumelle Sara (blonde et sage, vous avez remarqué la subtilité ?) grâce à un lien mystico-gémellaire, une sorte de GPS surnaturel pour les jumeaux. Elle embarque donc pour le premier vol en direction du Japon afin de retrouver celle avec qui elle a partagé une colocation pendant les neuf premiers mois de son existence.

Comme d'habitude, quand le cinéma d'épouvante US est en panne d'inspiration, il délocalise et quoi de mieux que les pays asiatiques et leurs légendes ancestrales pour faire connaissance avec de nouveaux esprits ! Et, comme très souvent, le résultat est pathétique et nous ressert bien évidemment la même soupe dans un autre contexte.
"The Forest" fait un carton plein quant à l'ennui qu'il provoque en nous emmenant dans toutes les directions possibles que l'on connaît déjà : vous aurez bien entendu droit à la rencontre avec un beau gosse australien débordant de muscles qui accompagne l'héroïne dans sa quête, à l'incontournable "Hé-tiens-je vois-une silhouette-qui-n'a-rien-à-faire-là-au-milieu-de-la-forêt-mais-je-me-lance-à-sa-poursuite-en-pleine-nuit-comme-la-reine-des-cruches", aux inévitables soupçons entre les deux partenaires, à 40 minutes de séquences qui auraient très bien pu être coupées au montage sans que l'intrigue en soit impactée (à part si vous vous éclatez à regarder trois gugusses marcher dans la forêt avec des gros plans sur des champignons, des racines ou des ruisseaux accompagnés de bruits looooouuches),... D'ailleurs, parlons-en de cette histoire, "The Forest" n'a que son twist final d'à peu près malin mais, à force de ne pas savoir quoi raconter avant, le film part dans tous les sens et, au final, aussi bonne qu'était cette dernière idée, elle se retrouve submergée par la médiocrité de l'ensemble.
On sauvera peut-être de cet immense baillement d'1h35 une ou deux apparitions bien senties (l'héroïne fait une drôle de fixette sur les grands-mères asiatiques apparemment) pour ne pas crier complètement à l'arnaque.
Mais "The Forest" mériterait tout de même bien de brûler dans l'enfer d'ennui dans lequel il nous plonge.

Petit film d'horreur sans grand relief mais néanmoins sympathique, sur les mystères de la forêt d'Aokigahara, réputée pour ses nombreux suicides depuis les années 50. On n'aurait pû s'attendre à quelque chose d'encore plus poussé dans l'horreur, avec un sujet et un lieu tel que celui-ci, mais le tout reste étonnamment sage et trop lent. Il y avait matière à bien plus d'angoisse et de suspense, mais le réalisateur ne fait qu'effleurer son sujet avec plus ou moins d'efficacité. Oui car tout n'est pas à jeter, reste l'ambiance glauquissime à souhait et dérangeante, une actrice principale charismatique qui porte le film à elle toute seule car les autres personnages sont totalement transparents et sous développés alors qu'il n'avaient pas l'air inintéressants, j'aurais aimé qu'on nous en dise un peu plus sur le rôle de chacun et que la mythologie du lieu soit encore plus mise en avant. Il y a quelques scènes frissonnantes mais dont l'effet "choc" retombe presque aussitôt tant le reste est trop bavard et traînant. Il faut plus de quarante minutes au film pour nous donner les premiers sursauts, autant dire qu'il met du temps à démarrer, j'aurais voulu être plongé plus rapidement dans le vif du sujet. Ce n'est quand même pas désagréable et cela reste toujours mieux que d'autre bouses du genre qu'on nous sert à la pelle depuis plusieurs mois, mais The Forest n'exploite pas assez son sujet, il ne fait que le survoler.

Le film a un peu de mal à démarrer et au global, ne se démarque pas des autres productions du même style. Cependant, le casting est sympa et le cadre de la forêt du mont Fuji rendent ce film attrayant. Les petits moments qui donnent la pétoche sont plaisants.
Film qui vaut largement certaines productions à gros budgets.

Plutôt modeste dans ses intentions et bénéficiant d'un casting sympa, The Forest n'a clairement pas à rougir face à d'autres bêtes du genre bénéficiant d'une visibilité plus conséquente. Ne serait-ce que parce qu'il remplit haut la main son contrat flip. Pour le reste, on pourra toujours lui reprocher son manque d'originalité, c'est sans compter sur son atout flip majeur, la forêt du mont Fuji, qui ne donne franchement pas envie d'aller y faire un feu de camp. La critique complète est en ligne sur le site Terreurvision.

2/5 Vraiment dommage j'avais aimer le scénario mais plusieurs élément mon vraiment gêner, j'ai trouver le film brouillon je me suis perdu entre le reele et le faut a certain moment du coup j'ai pas accroche vraiment déçu de se film qui aurait pu être vraiment bien.

Un film d'épouvante sans le frisson qu'on attend. Je n'ai pas réussi à avoir peur comme dans les bons films d'horreur. l'idée du scénario est bien, mais la fin est décevante. Mais j'avoue que le temps ne m'as pas paru si long, et que si ce n'est surement pas le meilleur des films d'horreur, il n'y a pas trop de clichés et on se laisse quand même surprendre

J'ai toujours adoré les films d'épouvante et d'horreur même en étant très peureuse et ce film fait peur sans réellement faire peur (bravo à ceux ou celles qui ont compris ce que je voulais dire).
C'est surtout les "screamers" qui m'ont fait peur.
Le plus drôle, c'est que j'ai toujours la petite intuition pour ce genre de film, je sais à peu près quand il va y avoir un moment flippant et là je me suis faite avoir à plusieurs reprises donc la technique des doigts éventail ne m'a pas franchement servie...

Sinon je trouve que ce film est vraiment bien car il ne tourne pas trop en rond ce qui fait que l'on est tout de suite absorbé dans l'histoire même si plusieurs détails auraient pu être plus approfondis car depuis que j'ai vu la fin, je me pose une multitude de questions (en particulier sur les personnages) qui me laisse penser qu'il y aura peut-être une suite qui y répondra...

spoiler: A la fin du film, je me suis dis "c'est qui Aiden en réalité ?", "Pourquoi il avait une photo de Jess et disait qu'elle était enfermée alors qu'en faite non?", "Et Jess est toujours en vie mais elle a fait quoi tout le long du film ?" et tout un tas d'autres questions... Et aussi les parents, on comprends qu'en faite ils ne sont pas morts dans un accident de voiture mais d'après la scène que l'on voit,le père aurait tiré sur la mère et se serait suicidé en suite mais pourquoi ? Et c'est qui la collégienne que voit Sarah dans la forêt ? Au début, elle paraît toute gentille puis sa devient une sorte de monstre qui fait froid dans le dos qui m'a fait pensé à la fille de The Grudge.


Enfin bref, ce film est rempli de mystères qui j'espère seront éclaircis dans une probable suite....

Une petite ambiance sympathique et plutôt originale, due en grande partie au lieu, la forêt d'Aokigahara au Japon, pour un film d'épouvante qui vaut surtout pour le joli minois de Nathalie Dormer, la Margaery Tyrell de GOT, car à part ça et de bien jolis décors, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent avec ce premier long métrage de Jason Zada. On y trouve certes bon nombre de jumpscares mais absolument attendus pour la plupart et le scénario ne fait pas vraiment ni dans l'originalité, ni dans l'imprévisibilité. Au final ni bon ni mauvais, "The Forest" vient alourdir la pile de films d'épouvante qui passent en général inaperçus et qui sont aussi vite vus qu'oubliés.

L'idée de base de The Forest est original, ça change du tueur qui poursuit sa proie dans les bois, malheureusement le film ne parvient pas à décoller. Trop de longueur, pas assez de rebondissement font de The Forest un thriller horrifique mou, sombre et trop long pour vraiment sortir du lot. On perd le côté original du scénario dans la réalisation, et malgré les efforts des acteurs, le film ne parvient pas à se tirer vers le haut.

L'idée de départ était pas mal, permettant de situer l'intrigue dans une forêt immense mais au final le film reste très moyen. Malgré de bons acteurs, pas de gros frisson et un début de film un peu long.