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    Under The Silver Lake
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    294 critiques spectateurs

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    Dois-Je Le voir ?
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    311 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2020
    J’ai trouvé ce film complétement fou mais pas dans le bon sens du terme. On enchaîne les idées qui partent dans tous les sens sans jamais totalement les clôturer. On ne sait plus qu’en faire. Cette multitude d’évènements sans réponse donne donc un goût d’inachevé. Cet enchainement effréné fait que par moments il y a un manque de logique dans l’assemblage et surtout d’une direction claire. Tout tourne autour de la fameuse Théorie du Complot mais cela reste brouillon. Le talentueux Andrew Garfield s’enferme dans une spirale paranoïaque, le faisant délirer sur un Los Angeles surréaliste. Tout se passera autour de la pop-culture avec des plans extrêmement bien travaillés. On enchaîne les hommages en tout genre dont un par exemple pour le personnage de l’homme araignée que Andrew Garfield avait joué dans THE AMAZING SPIDER-MAN. UNDER THE SILVER LAKE fait donc partie selon moi de ces films qui ne peuvent être savourés que par une poignée de cinéphile qui se régalera de la manière dont s’est tournée et toutes ses références cinématographiques.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    63 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2020
    L'idée d'apporter une touche un peu plus moderne au genre qu'est le film noir était intéressante mais son application se révèle un peu bancale. On retrouve tous les codes du genre dans un environnement contemporain, et si le effets de style fonctionnent, ils ne servent qu'une intrigue taillée à la hache, sans ambition. Le scénario s'étire péniblement, sans matière et sans rythme, pendant presque 2h30 ce qui rend l'ensemble assommant. Tout ça pour ça ?
    1712
    1712

    5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mars 2020
    La bande-annonce m'avait enthousiasmé mais après avoir vu le film j'ai été vraiment déçue. Le personnage principal est un espèce de stalkeur qui parcoure tout Los Angeles pour retrouver une voisine disparue avec qui il aura échanger quelques mots et vu un film. Je n'ai pas bien compris la fin , cette spoiler:
    [spoiler]histoire de rester enfermé dans un bunker pour aller dans un meilleur monde. 1 étoile parce que l'idée était bonne mais le résultat n'était pas au rendez-vous.
    198O
    198O

    2 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 février 2020
    Film au scenario certes original, mais qu'il est difficile de prendre au sérieux quand l'atmosphére qui devrait l'accompagner est aux abonnés absents. N'est pas David Lynch qui veut.
    GIJoe
    GIJoe

    85 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2020
    Enchaînement de scènes sans grande cohérence. Les acteurs sont insipides. Un film pour ados tout au plus
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    669 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2020
    Beaucoup moins marquant que son précédent film, a savoir le très flippant "It Follows", en grande partie à cause d'une histoire qui ne raconte finalement pas grand-chose, ce thriller de David Robert Mitchell est tout de même une oeuvre à découvrir pour son ambiance qui n'est pas sans évoquer les univers de David Lynch et d'Alfred Hitchcock. En effet en visionnant "Under the Silver Lake", il est difficile de ne pas penser à des oeuvres comme "Fenêtre sur cour" ou encore "Mulholland Drive". On notera aussi la bonne prestation d'Andrew Garfield dans un rôle bien éloigné de celui qu'il avait dans Spiderman et d'une musique qui propose une bonne dose de mystère.
    eldarkstone
    eldarkstone

    183 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2020
    Ce realisateur me surprend encore une fois avec ce nouveau film completement barré, surprenant mais etrangement prenant, avec un acteur à contre-courant !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 151 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    C’est amusant comment une œuvre peut parfois vous en rappeler d’autres – de manière presque excessive – tout en sachant trouver une réelle singularité.
    Une légitimité.

    C’est notamment ce que j’ai ressenti face à cet « Under The Silver Lake ».

    J’y ai retrouvé une partie du Hollywood de « Mulholland Drive ».
    Cet aspect monde semi-réel. Cet artifice dérangeant car totalement factice.
    Ce faste éventé souvent au service de médiocres gens.
    Mais en compensation de tout cela, cet étrange magnétisme que génère cette conviction aveugle qu’ont tous ces pantins face à leurs propres chimères.

    Avancer dans cet Hollywood là, c’est avancer de plus en plus dans un monde à part.
    Dérangé.

    Mais « Under The Silver Lake » est en cela beaucoup moins anxiogène que le chef d’œuvre de David Lynch.
    Au contraire, il a une part de détachement, de recul, de second degré.

    En cela il a aussi des faux airs de « Southland Tales ».
    Il est une farce immense, mais une farce très sophistiquée formellement.
    Une farce qu’on ne peut s’empêcher de se prendre au sérieux malgré la légèreté évidente de l’ensemble.

    Et puis enfin, il y aurait presque du Shane Blake dans ces personnages et ces situations absurde.
    Une sorte de « Kiss Kiss Bang Bang » mystique.

    Un mélange surprenant mais loin d’être désagréable.

    Alors OK, au final cet « Under The Silver Lake » n’aboutit pas vraiment dans la mesure où il n’atteint pas d’objectif discursif précis. Mais franchement ce n’est pas un souci.
    Depuis le départ ce film a cette identité un peu fofolle qui n’appelait pas à un déroulement conventionnel.
    Que ce film se finisse comme une semi-farce, ça a clairement du sens au regard de ce qu’il est. Surtout qu’il sait se montrer parfaitement cohérent et régulier en termes de rythme et de narration.
    On sait quand on arrive au bout et on nous a parfaitement bien préparés à cet état d’esprit.

    En somme, cet « Under The Silver Lake » m’est apparu comme une œuvre intrigante.
    Presque joliment gratuite.
    Mais une œuvre qui a son identité et qui, surtout, a son charme.
    Un vrai bon plaisir.
    Merci donc, David Robert Mitchell pour ce petit cadeau.
    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    orlandolove
    orlandolove

    115 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Croisement entre Lynch et Araki, "The Silver Lake" déstabilise dans un premier temps, avant de se montrer surprenant et assez addictif. Et le film offre une séquence immédiatement culte (la rencontre avec "le compositeur").
    Legid
    Legid

    34 abonnés 570 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2019
    Trois ans après le très bon, et très flippant, It Follows, David Robert Mitchell, revient avec un OFNI.
    Etrange film que ce Under the Silver Lake, mélange de film d’enquête, de film noir et d'une point d'horreur.
    Le film brasse beaucoup de genre, s'essaye à plusieurs style mais laisse au final un impression étrange, à l'image de sa fin, inattendue.
    Le visionnage n'est pas ennuyeux grâce à la réalisation et à la lumière élégante et à l’interprétation de bonne tenue, Andrew Garfiled en tête mais le film manque d'intensité pour être totalement captivant.
    Le film laisse une impression étrange et on ne sait dire si on n'a aimé ou pas.
    A voir pour les amateurs d'expériences cinématographiques qui sortent des sentiers battus mais peut-être pas pour le spectateur lambda. Un film pour les cinéphiles en somme !
    elbandito
    elbandito

    317 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    N’est pas David Lynch qui veut. Cette dérive rocambolesque d’un improbable détective privé qui s’ennuie au cœur d’un L.A. déluré et surréaliste nous garantit un assoupissement total et indéfectible, malgré la présence d’Andrew Garfield dans un rôle pour le moins gênant.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2019
    Les odyssées “sous influence” constituent un Genre à part entière, et l’un de ceux qui récolte le plus mes faveurs depuis que j’ai découvert ‘Easy rider’ il y a de nombreuses années de cela. La dernière expérience en date, le mémorable et fumeux ‘Inherent vice’ de Paul Thomas Anderson, plongeait au coeur de ces années 70 férues de communion astrale par les plantes : on s’amusait de ces péripéties et rencontres toujours plus barrées, dont on n’était jamais tout à fait assurés qu’elles ne relevaient pas de l’imagination embrouillée de Doc Sportello, de ces déductions qui n’en étaient pas et de ces pistes vouées à mener de moins en moins quelque part à mesure que l’enquêteur improvisé s’enfonçait dans les vapeurs de sa propre conscience fiévreuse. Orchestré par un des des plus brillants réalisateurs en activité, ce Trip plus ou moins Bad faisait mouche, son unique défaut de cuirasse étant que tôt ou tard, tout esprit cartésien ne pouvait que se révolter contre ces dérapages psychédéliques en série, désespérant d’établir une véritable logique, ou au moins un début et une fin, à ce qui ne relève que des bouffées délirantes d’un cerveau en surchauffe. Né trente an plus tard, Brecht aurait peut-être pu dire que quand le spectacle n’a plus la confiance du cerveau, il suffit de dissoudre le cerveau et d’en choisir un autre : à vrai dire, c’est un peu ce qu’on a fait cette fois-ci, pour pouvoir pleinement apprécier le nouveau film de David Robert Mitchell, qui confirme sa place dans le top 5 des réalisateurs américains les plus prometteurs. Point de symétrie parfaite avec ‘Inherent vice’ d’ailleurs, le véritable point focal du film est Los Angeles, cité-mirage et phare dans la tempête pour les fous en tous genres, capitale des excès et des débauches polymorphes, bâtie sur le sable des ambitions déçues et des rêves brisées : au commencement, il n’y a que la rumeur d’un tueur de chiens, un comic amateur cryptique et un mystérieux symbole sur le mur en guise d’indices pour résoudre la disparition d’une jolie voisine. Des preuves qui n’en sont pas mais dont, faute de mieux, Sam se contentera pour entamer des recherches erratiques dans un dédale urbain de plus en plus étrange et décalé : ‘Under the silver lake’ est l’histoire d’une dérive psychologique qui prend ses aises, puis ses distances avec la réalité, où les petites anomalies qu’on peut mettre sur le compte de l’excentricité propre à L.A. finissent par phagocyter le réel, avant d’en devenir le döppleganger. Sam se lasse porter plus qu’il ne donne l’impulsion à son enquête et accueille comme autant de présages concrets des signes qui n’en sont que dans la logique de la pop-culture dont il se gave. Le trentenaire n’est pourtant pas accro à l’herbe qui fait rire : oisif, spleenique sans même avoir conscience de l’être, il comptabilise les occasions qu’il a laissé passer et contemple la lente désagrégation des normes culturelles rassurantes d’un monde qui semble de moins en moins le sien. Que cherche-t-il, au juste ? Un mystère à résoudre qui ferait mentir le constat objectif d’une existence sans enjeux ? Des explications fumeuses pour stabiliser un univers angoissant ? Et qu’importe que la voie à suivre puisse se trouver dans les paroles jouées en Reverse de l’album d’un groupe gothique ou au fond d’une boîte de céréales collector, si c’est ce qu’il a envie de croire? Riche en clins d’oeil et références à cette pop-culture qui se réinvente en permanence et donne le mouvement d’un monde qui a tué les religions et les idéologies et n’a rien trouvé de mieux pour les remplacer, ‘Under the silver lake’ semble nous dire que la réalité n’existe pas, que contrairement au mot de Phillip K.Dick, elle n’est pas ce qui continue d’exister quand on cesse d’y croire : au contraire, elle ne serait qu’une toile désespérément blanche sur laquelle on plaquerait sa propre réalité, ses angoisses, ses névroses, ses croyances et ses fantasmes, afin de lui faire prendre vie, comme une sorte de ‘Ready player one’ I.R.L. Ou alors, la vérité se trouve encore ailleurs...car le film est trop labyrinthique et confus pour susciter une analyse unique et rien d’autre ne peut corroborer ce point de vue que mon ressenti personnel : c’est le propre des Grands Films Malades, après tout.
    Ebobo75 E
    Ebobo75 E

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2023
    Mouais...une tizane et au lit...mou mou mou...pas grand chose a tirer de ce film long trop long...ennuyeux a souhait. Sauf petit moment d'anthologie avec le "createur" et son piano vers 1h30. Excellente scene...ce qui fait legé sur 2h13 de purge.
    maxime ...
    maxime ...

    198 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2019
    David Robert Mitchell n'est pas un inconnu pour moi, j'ai de par le passé déjà vus ses deux précédents films à savoir The Myth of the American Sleepover et It Follows par plusieurs fois. C'est donc avec enthousiasme que j'accueil ce nouveau long métrage du cinéaste. Résultat, Under The Silver Lake est assurément le film le plus déglingué que j'ai vu depuis Southland Tales de Richard Kelly l'hiver dernier ! On passe par une multitudes de théories en tout genres et au final peu de réponses sont à définir ... spoiler: Qui tue les chiens ?? Sam, La Chouette Tueuse, un tiers ?? D’où sort le Roi des SDF ? Pourquoi faut-il gratter la tête de James Dean ?
    Je n'ai pas tout pipé à Under The Silver Lake, tant mieux ! Car oui se troisième film de David Robert Mitchell est comme les deux premiers, perspicace et cool à suivre. La pluie de référence et de détails en tout genres contribue à l'atmosphère bizarroïde et participe pleinement au délire que se soit au travers de la musique, du cinéma ou de la Pop-Culture en général. Pour ma part la suite de références aux cinéastes a éveillé mon intérêt à mesure. Hitchcock et Lynch sont évidemment les deux figures tutélaires que se soit au sujet de la trame ou dans son univers. Fenêtre sur Cour, Psychose, Mulholland Drive ou encore Blue Velvet et Twin Peaks traînent non loin ... Les hommages de Brian De Palma au premier me sont aussi tout de suite venu à l'esprit, Pulsions notamment. Kubrick aussi, Eyes Wide Shut entre autres. L'auto-citation de Robert Mitchell via son recours à The Myth of the American Sleepover et son introduction partielle et détourné m'a ravi, une super idée. Autre point de conquête, LA ! La encore on ressent la présence d'un autre David sur le travail élaboré ici, cette ville fascine, Under The Silver Lake ne faillit pas à sa réputation sulfureuse. Plus bizarrement si se film m'a rappelé beaucoup de choses il m'a aussi rappelé un livre lu il y'a quelques temps , La possibilité d'une Île de Michel Houellebecq ... J'aimerais organiser une rencontre ( rires ) ! Si je me suis beaucoup étalé sur le film je n'ai en revanche rien dit sur le casting très inspiré ici. Riley Keough est peu présente à l'écran en terme de minutes mais elle s'en accommode à ravir et au final en fait une force significative. Andrew Garfield lui signe une prestation du Feu de Dieu ! Peut être sa meilleure soit dit en passant. Il n'en fait jamais trop, sa grande justesse et son sens innée à la gaucherie l’amène à susciter des émotions divers et variés. Son jeu est immense son les traits de Sam, c'est dans les vingt derniers minutes qu'il laisse entrevoir toute sa palette. Son échange enchaîné avec le " Homeless King " et les larmes contenus qu'il garde m'a rappelé l'épisode de Ma Scène préféré qui lui était consacré sur Allociné il y'a quelque temps. Cette séquence m'avais à l'époque complètement bouleversé ... Pour conclure avec Under The Silver Lake, c'est avec plaisir que je l'ai vu, c'est avec un sentiment similaire j'imagine que je le reverrai à l'avenir !
    Roub E.
    Roub E.

    739 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2019
    Autant j’avais été emballé par son formidable It Follows, son précédent film que la je ne suis jamais rentré dans ce nouveau film de David Robert Mitchell. C’est soigné au niveau de la mise en scène, mais j’ai trouvé son scénario trop alambiqué, les rebondissements sont trop artificiels du coup j’étais plus à me demander qu’est ce qui allait encore sortir du chapeau plutôt que vraiment d’attendre le déroulé avec une forme d’impatience. Dommage pour Andrew Garfield qui continue de faire des choix de films atypiques et qui gère bien son post SpiderMan. Il y a quelques beaux plans, la manière de filmer Los Angeles est intéressante le film dans son ensemble l’est moins.
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