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    Une vie cachée
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    3,9
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    241 critiques spectateurs

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    Carine R.
    Carine R.

    7 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2020
    Je ne peux que juger la première heure car j'ai quitté la salle à ce moment. Le film est très lent. Ça pourrait passer mais c'est continuellement la même chose. Pendant 1h, j'ai vu la même scène se jouer et se rejouer. Je ne me voyais pas voir cela pendant 3h... Dommage.
    rerererere
    rerererere

    2 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Un film long, qui s'étire, prend le temps de nous imprégner de la psychologie des personnages, de la beauté des paysages et du drame qui se noue... J’ai souvent trépigné, face à la lenteur du rythme, nécessaire, et je suis sortie un peu hagarde et sincèrement touchée par cette belle ode à un engagement fraternel face à la cruauté. Merci Mr Malick
    Anne M.
    Anne M.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    Éblouissant sur le fond et la forme.
    Chef-d'oeuvre de beauté pure qui nous " édifie" et nous élève . Un grand souffle d'air et d'espérance !
    Robert D
    Robert D

    3 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2020
    Très beau film d'une intensité remarquable! Peut-être un peu long il mériterait des plans un peu plus courts. La longueur justifie et retranscrit les sentiments forts avec de beaux paysages du Tyrol et une musique très appropriée. Le jeu des acteurs est sobres et poignant.
    Cette période difficile de la 2ème guerre mondiale nous fait réfléchir sur la conduite à tenir dans ces périodes troubles actuellement sur les sites de guerre un peu partout dans le monde! Les dictateurs n'ont pas disparus malheureusement. Je le conseille aux grands ados pour qu'ils connaissent une partie de notre histoire!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Exceptionnel sur un sujet difficile Magnifiques images Acteurs remarquables je reste sans voix mais profondément touchée
    Parle d un très bel amour conjugal d une épouse héroïque et de la SAISIE d une ÂME par l ABSOLU CHRISTIQUE
    francoisjhn
    francoisjhn

    23 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2020
    Film d'une extrême lenteur (qui se répercute donc sur la durée du film... 3 heures) ; le film aurait aisément pu durer une heure de moins. Par ailleurs, l'utilisation de l'anglais ne me semble pas appropriée : je doute fort qu'on parlait anglais dans les campagnes autrichiennes ! Dommage également de ne pas s'être donné la peine de sous-titrer les passages en allemand...
    Le positif est l'histoire, ainsi que le jeu des acteurs.
    jumeline
    jumeline

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2020
    superbe sur tous les plans " peut être que l'on peut intituler le film une vie "gâchée"..un peu lent au début mais volontairement filmé par le metteur en scène afin de mettre l'accent sur la douceur de vivre initiale et la tragédie finale.
    Jean Noel Lanthiez
    Jean Noel Lanthiez

    15 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Hé oui, voilà un chef d’œuvre....pour qui saura le recevoir.. simple et direct, ce film ne vous lache pas pendant trois heures, jusqu’à la fin...
    magistral de bout en bout!
    Morgane B
    Morgane B

    4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    C'est un peu toujours pareil. Un rappel à Dieu incessant. La famille. Un film qui questionne sur l'engagement et la resistance. La sienne est purement individualiste, sans conscience politique.
    barbarafels
    barbarafels

    6 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    J'ai adoré "thin red line" et "the tree of life". mais là c'est trop, Malick reste fidèle à son style, mais il n'est pas pour autant inspiré, et s'il continue à débiter ses films au genre spécial comme des hamburgers d'un fast-food, ça sera de pire en pire.
    Déjà l'histoire (vraie) en elle-même n'a pas assez de matière et d'événements pour en faire un film de 3 heures !
    Ensuite le titre trompeur, je croyais aller voir les années qu'un homme a passé caché, dans une forêt ou une montagne, et donc voir comment il organise sa fuite et sa survie...
    De plus j'ai été choquée et dérangée par le mélange d'anglais et d'allemand, pourquoi pas tout en allemand ? Ca fait vraiment pas abouti, pas propre, pas classe.
    Et puis preuve encore de son manque d'inspiration, et donc de génie, les scènes de bonheur familial et conjugal sont d'une mièvrerie mille fois trop vues et de plus absolument trop modernes pour des paysans autrichiens qui ne passent pas leur temps à se balader et se faire des mamours (étant alsacienne je connais les manières germaniques, adolescente j'avais des correspondants qui étaient choqués de nous voir nous faire la bise entre copains et copines)
    Un énorme ratage, qui n'augure rien de bien pour un prochain film, il faut renouveler son style, ou attendre une vraie inspiration, faire un film habité et pas creux !
    T-Tiff
    T-Tiff

    72 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Peu de gens connaissent le destin de Franz Jägerstätter, qui nous est raconté dans "Une vie cachée" de Terrence Malick. Ce dernier nous propose enfin une œuvre réellement intelligible depuis "The Tree of Life". Mieux, ce film puise probablement dans ce qu'il a fait de mieux dans ses récents films tout en s'en tenant à une véritable histoire. Ainsi, ce film est une immense méditation sur ce personnage, martyr chrétien, figure quasiment christique, qui n'aura jamais accepter de participer aux désastres commis par le régime nazi. Les éblouissants paysages de la montagne autrichienne, accompagnés de musiques particulièrement envoûtantes, nous captive durant ses trois heures. Alors, s'il tire probablement un peu la corde sur la fin, il se clos sur une formidable citation, mettant en perspective l'ensemble de l'œuvre. Sans aucun doute, Terrence Malick revient enfin au premier plan avec "Une vie cachée", film unique qui ne fera probablement pas l'unanimité puisqu'il ne s'accorde aucune légèreté, mais est une véritable expérience.
    Laurent & Chantal d
    Laurent & Chantal d

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    Film magnifique. Exemple d'une personnalité qui tient à ses convictions envers et contre tout.
    Un peu long, mais toutes ses images de sa vie antérieure permettent de comprendre tout ce que revit cet homme pendant son emprisonnement et comment il peut tenir le coup sous les tortures
    Jorik V
    Jorik V

    1 203 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Ahhh Terrence Malick, un cinéaste tellement inclassable. De ceux dont le nom devient même un adjectif tellement leur style est unique et reconnaissable entre tous, à l’instar d’un Tarantino, d’un Lynch ou d’un Scorsese. Avec son nouveau film présenté en compétition au Festival de Cannes l’an passé, il livre un film à la croisée des deux voies empruntées par son œuvre. C’est-à-dire avec un retour à une chronologie et narration plus limpides comme dans ses premiers (et très anciens films, de « La Balade sauvage » à « Un nouveau monde »). Mais, en même temps, pas forcément accessible à tous car toujours aussi porté sur une narration en voix off monocorde, sur une durée clairement excessive et sur des envolées lyriques et théologiques quelque peu absconses. Mais on est tout de même heureux de retrouver ce cinéaste dans une veine moins proche de l’essai théorique et plus en phase avec ce qu’on appelle communément le septième Art. Car, avec des œuvres comme « A la merveille » ou « Knights of Cup », il avait perdu beaucoup de monde en route. Ici l’excellence côtoie le profondément pesant, la première se révélant sur le côté visuel et le second davantage sur le fond.



    Sur le bon versant, applaudissons encore la magnificence de la mise en scène de Malick. Même si certains crieront à un film musée sur Mère Nature bloqué dans le passé, rares sont les cinéastes capables de nous émerveiller autant que lui. Chaque plan est une véritable peinture apposée sur la toile d’écran, un sublime tableau bucolique sur les merveilles que nous offre la campagne autrichienne. D’ailleurs, celle-ci n’a certainement jamais été mieux filmée que par ce réalisateur. Il la sublime, dans sa beauté la plus tellurique et profonde. Certes, les paysages et scènes choisies le sont avec soin, mais sa caméra rend l’image belle au-delà de toute espérance. Clairement, sur la forme « Une vie cachée » est proche du chef-d’œuvre pictural. C’est admirable à en pleurer et la musique qui accompagne les plans du cinéaste les rend d’autant plus poétiques et fascinants. Toujours à filmer en contre-plongée, comme par respect pour ce qu’il filme, nos yeux approchent donc de l’orgasme mais, malheureusement, il n’en est pas de même pour notre cœur qui reste en cale sèche.



    Le propos entamé par « Une vie cachée » est intéressant mais pas forcément facile à retranscrire au cinéma. Ce sont des thématiques chéries par Malick. Il convoque donc encore les notions de Bien et de Mal, de Foi, de désobéissance et les convictions profondes de chacun. Mais il ne sait pas couper, ou plutôt se recadrer, d’où, encore, une durée fleuve. Paradoxalement, même si le film semble bien long, on ne voit pas non plus tant de séquences que cela à ôter sur les trois heures de bobines sauf, peut-être, celles récurrentes et redondantes qui voient la vie de tous les jours du couple central entre travail au champ et vie sociale au village. La densité narrative apparaît tout de même trop limitée pour une telle durée, le long-métrage nous paraissant tout de même interminable passé la première heure. Tout comme les échanges passionnants entre les personnages sur les thèmes cités plus hauts qui s’avèrent trop disparates. Quant aux seconds rôles, ils passent comme des ombres, des fantômes dont on suppose que pas mal de séquences ont dû être coupées au montage (par exemple pour Matthias Schonnaerts). Cela a pour conséquence de faire s’évaporer le côté envoûtant qui se diffusait grâce à la joliesse des images. Et de la même manière, l’émotion a du mal à nous étreindre malgré un tel sujet. « Une vie cachée » a le mérite de mettre l’accent sur l’héroïsme ordinaire et inconnu mais se révèle trop baigné dans un lyrisme parfois excessif et le panthéisme si cher au cinéaste. En résulte une fresque intime et un hymne au courage, à la persévérance et à l’intégrité face à ses convictions les plus profondes qui charme sur la forme mais ne s’est pas donné les moyens de convaincre sur le fond. Et, encore une fois, vraiment trop longue.



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    Cinememories
    Cinememories

    443 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2021
    Nous le sentions grandir depuis ses trois premiers long-métrages qui ont fait l’unanimité, mais Terrence Malick a lentement commencé par sortir du registre contemporain pour retourner à la source abstraite, qui témoigne de tout son lyrisme et sa passion pour la narration. Depuis “The Tree Of Life”, sa curiosité l’a poussé à expérimenter des sensations, présages d’un renouveau d’une splendeur indétrônable. Quand bien même il sait rester modeste, même dans la folie ou les prises de risques, il a toujours su ce qui le faisait vibrer. À présent, il a fini par construire l’œuvre intermédiaire afin de nous transmettre tous ces frissons, ces maux de tête et de ventre, jusqu’à nous impliquer moralement et consciencieusement. Non pas qu’il ne l’ait jamais fait auparavant, mais dans ce dernier récit, nous y trouverons plus d’arguments pour débattre de ce que l’artiste souhaite véhiculer. À l’opposé de “La Ligne Rouge”, Malick nous rappelle, loin du Pacifique, et nous livre une bataille moins musclée et plus sensorielle que jamais. C’est tout un ensemble qui fait que son intrigue, bien qu’inspirée de faits réels, respire de nouveau le dilemme de la foi contre la raison.

    Autriche, 1940. Les champs murmurent, le vent caresse les faux, le blé frémit et les montagnes voilent ce paradis caché… Il faut peu de temps, dès les premières images, pour nous donner le ton dramatique et informelle d’une chute et d’un mauvais présage. La guerre et la Nazisme sont aux portes de cette campagne, où l’harmonie règne, toute comme le silence triomphant qui commande ces terres neutres pourtant riche en liberté. La Nature a une place bien propre dans ce récit qui surcutte des plans sans arrêt, mais qui jouent en faveur d’une expérience. Nous assistons donc à la descente de Franz Jägerstätter (August Diehl), mari accompli et père d’enfants innocents. Sa quête le mène à emprunter une destination qui rime avec résistance, mais sans conviction de changer le monde. Il s’agit avant tout de préserver le sien, car sa conduite morale lui dicte de se reposer sur son âme. Il n’est donc pas étonnant de le voir confronter ses idéaux avec l’Église, corrompu par la peur et le remord, sans qu’on puisse y faire quoi que ce soit. Le sujet a beau avoir été développé dans bien d’autres œuvres, mais c’est justement dans ce rapport à l’humanité qu’on devine rapidement le sort de ce dernier, martyr de la liberté.

    Il rappelle ô combien les épreuves de cette guerre et l’influence maléfique de l’Axe laissaient deux pôles se distinguer dans leur rang, les admirateurs et fidèles. Et bien que l’aboutissement d’un tel affrontement conduise à une vision de paix, elle reste inaccessible à ceux qui n’essaye pas de voir et il est important d’ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure, comme il faut savoir utiliser ses yeux pour accepter la tragédie de cette intrigue. Cependant, les décisions sont lourdes de sens et la responsabilité à porter est si grande pour des êtres qui n’ont pas plus d'impact que cela dans le monde. Et c’est sans nul doute la provenance de tout ce lyrisme qui s’affiche devant nous, nous qui nous n’avons rien d’autre à faire qu’à résister ou s’abandonner dans les limbes, loin de ce paradis que l’on voit se transformer au fur et à mesure que la conduite de Franz l’éloigne de son épouse Franziska (Valerie Pachner) et sa famille, qui endurent mille peines. Le lien fort qui les unis transcende pourtant l’écran, faisant des vas et vient vers le “nouveau monde” et “La Vie Cachée” dont nous comprenons la symbolique sur les dernières lignes de cette fresque de la foi.

    Malick possède toujours un sujet salvateur pour ses personnages, qui luttent contre le monde qui va trop vite et qui en oublie ces individus qui le constituent. Et en arpentant le sentier de l’abstrait, il nous tend une nouvelle vue à chacune de ses réalisations que l’on peut rarement estimer maladroites, car il ne nous est pas toujours permis de lire en lui comme dans un livre ouvert. Ce film testamentaire prouve toutefois qu’il est possible de renouer avec son art, comme si nous en faisions déjà partie et c’est bien entendu cette sensation qui nous excitera davantage à analyser et à interpréter sa partition, en parfaite symbiose avec le grand James Newton Howard et le cadre du cinéaste qui vise naturellement la contre-plongée pour nous émouvoir toujours un peu plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    un film magnifique très équilibré qui bouscule notre humanité. Je le mettrai en parallèle du film Silence dans son questionnement. Jusqu'ou sommes nous prêt à vivre sans compromission avec le mal ambiant.
    Un chef d'oeuvre pour moi que je vais m'empresser de revoir.
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