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    Godzilla
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    Sicilien94
    Sicilien94

    35 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Actuellement la meilleur version du célèbre monstre Godzilla. Et ça se passe à New York...d'ailleurs les effets spéciaux sont très bon pour l'époque. Pourtant le film a fait un flop fasse au film "Armageddon". En tout cas le scénario est très bon et on ne s'ennuie pas dans cette version, je regrettes juste la fin qui est un peu trop facile spoiler: (l'explosion dans le batiment avec tous les bébé monstres)
    Nicolas V
    Nicolas V

    64 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    cest sur, les effets spéciaux ont pris un petit coup de vieux, mais dans l'ensemble, le spéctacle est au rendez rebondissements et les bonnes idées sont nombreuses ( les petits godzilla, la course poursuite en taxi, la scène ou le vieux peche godzilla ).il y a beaucoup plus d'idées enreichissantes que dans le godzilla de 2014. beaucoup plus réaliste mais moins fun a mon gout.
    ce godzilla a par contre un gros point faible : l'écriture des dialogues : navrants au possible, débiles parfois, drole de temps en temps, bref,ce godzilla est plus marrant, voir simpliste mais il est a regarder sans reflechir et sans le prendre au serieux.
    Marceau G.
    Marceau G.

    359 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 août 2014
    "Godzilla", version Emmerich, 1998... Alors, comme dans la version de 2014, il y a du bon, et du moins bon... Mais je tiens à dire que cette version est un poil plus réussie que celle sortie cette année. En effet, là où Gareth Edwards privilégiait le spectaculaire et les effets visuels, Roland Emmerich se concentre un peu plus sur son scénario et sa mise en scène. Même si ça reste néanmoins un blockbuster bourré d'effets spéciaux ! Je regarde les différentes versions du monstre Japonais le plus connue de l'Histoire dans le désordre, car c'est seulement après être aller voir la nouvelle version, que j'ai décidé de mater les autres... Bref, tout ça pour dire que ces deux visions de l'histoire sont différentes. Le casting, ici, est bon, plus que dans le film d'Edwards en tous cas... Côté effets spéciaux, c'est sans aucuns doutes bien meilleur dans le film de 2014, car ici, la créature est peu esthétique et beaucoup moins crédible. Les personnages sont cependant trop niais, et même si les acteurs sont bons, ça ne change pas grand chose... L'histoire d'amour est légèrement plus romancée chez Emmerich, mais son film reste cliché et bébête ! Par exemple, les Français s'appellent respectivement Philipe, Jean-Luc, Jean-Claude, Jean-Pierre, et Jean-Philipe (très original ma foi !)... Et le final traîne, mais traîne, à cause de rebondissements à gogo entre autres... Et puis, tout-ceci est assez improbable, surtout le dénouement, et tous ces bébés de la créatures qui arrivent comme ça, sur le tas, avec qui-plus-est, un look trop "dinosauresque" à mon goût, et trop proche des dinos de "Jurassic Park" ! Mais ce film reste divertissant et ne prend pas la tête. Ça détend.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juin 2014
    Je viens de regarder une nouvelle fois ce film (après avoir vu celui de Gareth Edwards au cinéma il y a quelques jours) : c'est clair que les effets spéciaux son d'époque mais ça me fait bien marrer quand même et j'ai toujours autant de plaisir à le voir. Je mets donc la même note mais les deux ne sont pas comparables.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 juin 2014
    Un des plus grands blasphèmes jamais réalisés depuis l'éveil de l'humanité, presque pire que celui qu'avait causé le tristement célèbre " Dragon Ball evolution ", sauf que cette fois-ci on a tenté d'usurper sans vergogne le succès du vrai, du grand et du fameux Godzilla crée par la Toho en 1954.
    Tout en ce film est un affront au mythe, parce que les américains veulent sans cesse insérer leur propagande insipide et leur vision des choses pathétique.
    Alors certes Jean Reno se débrouille bien ( ce n'est pas sans rappeler la situation de Chow Yun-Fat, piégé dans l'horreur de " Dragon Ball evolution " ) grâce à son talent que l'on ne peut renier, mais le reste c'est vraiment un peu pauvre. Les graphismes sont corrects pour l'époque, cela reste toutefois une oeuvre banale dans ce domaine, sans plus, surtout lorsque l'on ose la comparaison à la claque que fut " Independence Day "deux ans auparavant. Je n'ai pas non plus mentionné " Armaggedon " de Michael Bay qui range le film présent dans une autre catégorie, autre que celle des pures merveilles techniques.
    On ne s'attardera pas sur la trame scénaristique, ce résumant uniquement à un monstre voulant pondre ses œufs aux états-unis ( Pourquoi une créature issue de la mutation d'un iguane de la région pacifique irait se faire chier à traverser la moitié du globe dans le seul but de pondre à New York ? La réponse est évidente : Parce que toute la terre veut du mal au pays de l'oncle Sam. Ils ont pas de chance les pauvres, mêmes les pires catastrophes climatiques se déroulent à chaque fois sur leur patrie. On évitera de parler des attaques extraterrestres, des attentats, des conspirations soviétiques, sud-américaines et mexicaines... ).
    Le monstre en lui même, retravaillé à l'occasion, n'a aucun charisme. A vrai dire, on ne s'attache a aucun moment à lui, on éprouve rien à son égard, malgré le potentiel qu'il avait. Cette couse poursuite dans la ville est d'ailleurs à ce sujet complètement irréaliste : une bestiole de 60 mètres de haut, 320 mètres de long arrive à se cacher dans les ruelles de Manhattan ?! Si ce n'est de l'auto-dérision d'une armée américaine incompétente, qu'est-ce à part une incohérence grotesque ?
    De toute façon, ce coup de poignard dans le dos a été dans une certaine mesure une aubaine pour la Toho qui a pris soin de se démarquer en renommant à juste titre le monstre " Zilla " afin de ne pas ternir l'aura de notre cher Godzilla auquel les fans sont tant attachés. Au moins ça aura fait connaitre un plus le vrai Godzilla dans le monde très occidentalisé du cinéma.
    1/5 grâce à la performance de l'acteur français et à la présence de graphismes assez soignés.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mai 2014
    J'ai bien vu et revu ce film un paquet de fois et il me détend toujours autant, faut bien ce dire que ce genre de film que moi je classerais bien dans les genres aventure, fantastique et science-fiction.
    Donc, nous entrons bien là dans l'imagination de ce genre de film que j'ai particulièrement apprécié et ma soirée à chaque fois ou le moment où je l'ai visionné reste à chaque fois un plaisir. Oh je ne cherche pas à trouver tous les défauts qui peuvent passer, mais seulement à suivre l'histoire bien rondement menée et original, pour un film de (1998), les effets spéciaux étaient déjà pas mal. Alors je ferme le petit bouton de mon esprit lorsque je vois certaines scènes un peu trop décalées par un scénariste parfois plus que tolérant dans certaines situations du film, mais quel film, n'a pas son talon d’Achille, si nous, nous mettions à chaque fois à faire des recherches à défauts, je suis certain que le cinéma d'évasion, s'évaporiserait comme l'eau dans un désert. Alors, profitez du plaisir du cinéma et si cela ne vous plaît pas, il y a toujours un bouton STOP et le tour est joué et le film terminé, et puis votre critique en sera sûrement le témoin inaltérable de votre opinion que vous, vous êtes fait, sur ce film ou un autre bien sûr. Il est un fait que moi aussi, je ne puis tout aimer, alors ou je stop le film, ou je le regarde par curiosité et en écrit ma critique, si je ne l'oublie pas. Le cinéma est du cinéma et le restera toujours et cela pour tous les goûts de ses spectateurs qui aimeront ou non le regarder. Moi, j'ai adoré, donc même n'étant pas un gosse non plus, je le note 5 étoiles sur 5
    NiERONiMO
    NiERONiMO

    32 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Au fond, je savais pertinemment à quoi m'attendre avec le Godzilla made in Emmerich, et c'était lui faire une fleur que d'émettre un doute quant à la supériorité de la dernière version en date. En ce sens, ce premier remake américain du légendaire Kaijū japonais est l'exemple typique du divertissement sympathique pour un môme, et une fois révolu le temps de l'enfance ce dernier apparaît sous son vrai jour : un sacré navet. Sans plus digresser, on peut donc qualifier ce Godzilla de raté dans tous les sens du terme (ou presque), n'étant "sauvé" (qui est un bien grand mot) que par ses effets spéciaux on ne peut plus corrects (avec Emmerich pas de surprises sur ce plan, le budget n'était pas ridicule) ; abordons d'ailleurs le design du monstre, plus que revisité pour le coup (les puristes ont dû serrer des dents), et qui bien que trop "dinosauresque" de mon avis reste aussi osé que satisfaisant (mais on lui préférera sans hésitation l'original). Pour le reste, le visuel fait preuve d'une banalité affligeante, entre mise en scène téléphonée, explosions à tout va et compagnie, énième preuve d'un Roland Emmerich en manque cruel d'inspiration (et d'originalité, cela va sans dire). Dans la forme l'ensemble se veut donc passable, et, assurément, il en est bien pire concernant le fond : bien entendu Godzilla ne se prête pas de prime abord à une intrigue sensationnelle, mais le fait est que les ficelles grossières usées ici font peine à voir. En bref le scénario est une déroute totale, arborant péripéties et rebondissements limites insipides, auxquels s'ajoutent (comme si cela ne suffisait pas) d'importantes longueurs (le film est d'ailleurs bien trop long) ; sur ce point, plus qu'une éventuelle carence d'action, c'est la faiblesse inhérente aux personnages qui entre également en jeu. Ceux-ci sont en effet en tous points décevants, pour ne pas dire agaçants, comme l'illustrent si bien le fadasse Nick Tatopoulos (Matthew Broderick n'en mène pas large) ou encore l'invivable Audrey Timmonds ; dans une même veine, leurs diverses interactions plombent de par leur prévisibilité une intrigue globale déjà pas fameuse, et que dire du groupe de français ! Tel un cheveu sur la soupe, ces derniers ajoutent au manque de crédibilité du long-métrage, notamment car amusant (pour être poli) malgré eux : des stéréotypes en veux-tu en voilà (le mythe du Jean-machinchose, le croissant etc) et un Jean Reno cabotinant à n'en plus finir (à défaut de pouvoir relever le niveau déplorable du film). Enfin, cerise sur le gâteau, la séquence du Madison Square Garden avec ce remake de Godzilla virant au remake de Jurassic Park : les bébés monstres donnant la chasse font en effet penser à l'anthologique scène des vélociraptors, à ceci près que le résultat est ici déplorablement ridicule, ni plus ni moins. En résumé, ce G.I.N.O (Godzilla in name only, appellation plus qu'adéquate en la matière) n'usurpe d'aucune façon son statut de navet, en sa qualité de divertissement raté tenant d'une mauvaise série B ; et s'il n'y a rien à sauver dans le fond, il en va finalement de même pour la forme, dont les quelques (rares) bons points paraissent en l'espèce bien dérisoires. Emmerich signait donc là un sommet de banalités consternantes, à l'ambiance pas prenante pour un sou et aux personnages/dialogues idiots.
    Bardon de Kater
    Bardon de Kater

    12 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2014
    "Gode Zilla" avais-je cru lire, m'imaginant qu'il s'agissait d'un film sur les sex-toys et leur utilisation. Imaginez ma déception !
    AlexLeVengeur
    AlexLeVengeur

    9 abonnés 145 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 mai 2014
    Je m'attendais à un film plus intéressant avec Emmerich comme réalisateur. Le Godzilla n'a aucun charisme et les personnages principaux sont inutiles. Seul Jean Réno est crédible dans son rôle. Bref, un film ne faisant pas honneur au monstre japonais.
    MC4815162342
    MC4815162342

    366 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 mai 2014
    Comme je vais dans quelques jours voir le nouveau remake de Godzilla je me suis revu celui ci car j'en avais aucun souvenir et quelle catastrophe, ce film est un purge, c'est même pas un nanar mais un foutu navet, l'histoire est digne d'une série B voire Z, les effets spéciaux sont méga kitch, le casting est bon mais joue mal, enfin est très mal dirigé, la mise en scène est affligeante, la réalisation banal de chez banal, le scénario est rempli de cliché, rien que les français du film s'appellent Jean-Pierre, Jean Philippe, Jean Luc et Philippe, THE BIG cliché, ensuite les dialogues sont tellement cons et les punchlines pourries, ça tombe à l'eau à chaque fois.
    L'histoire partait pas mal mais on se rend vite compte que c'est du gros gros nawak, et puis la fin avec tous les bébés, c'te délire, les bébés font 3 mètres de haut qui dit l'autre mais ils sont plus petit que les humains qui ne font même pas 2 mètres, ensuite ils arrivent à courir plus vite que les reptiles, LOGIQUE non ?
    'Fin bref on pourrait en citer des incohérences, des affliginités (oui ce film m'inspire de nouveau mots) et j'en passe, un gros plantage, de toute façon avec Roland Emmerich fallait pas s'attendre à un chef d'oeuvre.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    32 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2014
    Le défaut principal de ce film est qu'il se répété bien trop souvent. Que ce soit les pièges tendus à Godzilla ou encore le parcours de Tatopoulos et de son équipe. Ça me fait rire les réalisateurs qui introduisent des acteurs Français, même si ceux-ci n'ont rien à foutre ici. " Qui sait ? Si le film fait un flop aux USA, on aura toujours le Québec et la France grâce à ce con de Réno ! " La première fois que j'ai vu ce remake signé Emmerich, je me suis dit " Pas mal " mais, en y repensant, les personnages sont complétements con quoi ! Pas foutu de stopper un désastre nucléaire sur pattes quand celui-ci est en train de s'empiffrer de poiscailles et se trouve juste à côté d'un escadron de tanks et d'hélicoptères. Et c'est seulement après qu'ils se disent qu'on devrait peut être se mettre à tirer. Juste avant ça il y a la mini séquence ou Broderick vient flatter le front de Godzilla, que j'ai trouver presque touchant ( un peu comme avec le tricératops dans Jurrasik Park ) Bref, après on voit Godzilla dévaler New York comme une grosse pute parce qu'il y a deux putains d'hélico de combat qui le poursuivent avec des sulfateuses. Dieu que l'on serre les dent à ce moment là. Il y a également la scène du missile sous-marin ou Godzilla se met à construire un tunnel parce qu'il est poursuivit par une torpille de merde. Pourquoi ne pas passer en dessous du sous-marin ? Après tout pour échapper aux hélico, Godzilla a bien confectionner un semblant de plan ( certes très merdique ) mais ça a le mérite de marcher. Alors pourquoi ne pas réfléchir ? Pour que le téléspectateur ne se mette pas à se dire " Ciel... Mais qu'il est con ! " Enfin bref. spoiler: La mort de Godzilla est assez bonne en fin de compte, assez réaliste. Mais rien n'est sauver dans ce film car il n'y a rien de sauvable ! ( Hormis les effets spéciaux )
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 mai 2014
    La psyché d'un peuple affrontant ancestralement des catastrophes, et qui a subit l'horreur de la bombe nucléaire :
    L'inéluctabilité de la mort par des radiations invisibles, indolores, inaudibles, oppressantes par leur dangerosité de proximité, et qui condamne les personnes et les terres contaminés, à être enfermer, exclut et sans avenir.
    A converti ses peurs dans un monstre mythique : Godzilla.

    Et dans ce film, il est vraiment très bien fait, il est crédible car il a un coté animal, prédateur qu'il en devient vicieux pour nous : ses proies.

    J'ai vraiment adoré ce film :
    Le prétexte des mutations sur le long terme des radiations pour le point de départ est très bien vu.
    Le scénario excellent, les acteurs drôles et attachants.
    Jean Reno, en grande forme, nous pond ici une prestation du barbouze français rigolote.
    Les américains ne sont pas en reste et ont aussi droit à leur petits clichés sur la suprématie.
    Même les second rôles participent intensément à l'action et nous permettent de nous immerger dans ce film intense et plein de rebondissements bien pensés.

    Je l'ai revu avant la sortie du Godzilla 2014, et "je comprends que J'aurais dû crier mon bonheur..."
    tant la mouture 2014 est mauvais.
    Du coup, Godzilla 98 est la référence pour tous les amateurs de film catastrophe sur le monstre, et je lui mets 5 étoile pour faire monter sa note tant il le surpasse en tous points.
    petitlapinnoir
    petitlapinnoir

    38 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mai 2014
    Les personnages sont ridicules, et comme par enchantement Godzilla débarque à New York. Mais le plus extraordinaire; c'est la tronche de Godzilla, plus proche de Jurassic Park que des films originaux. Encore une fois, tant pis pour les grincheux, mais Godzilla 2014 a le mérite de respecter l'oeuvre originelle.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 mai 2014
    Après le succès mondial de INDEPENDENCE DAY, Roland Emmerich renoue avec la science fiction en s’attelant au remake de GODZILLA. Premier remake américain du chef d’oeuvre de 1956 par Inoshiro Honda, Roland Emmerich espérait exploser le box office et envisageait même faire une trilogie de GODZILLA. Malheureusement, le GODZILLA de Roland Emmerich ressemble d’avantage à un navet tout droit sorti des studios Asylum.

    L’abomination principale de GODZILLA réside sans aucun doute dans son scénario rocambolesque-de-la-mort. A vouloir surprendre à n’importe quel prix son spectateur, l’équipe de scénaristes de Roland Emmerich tente le tout pour le tout et ré-invente castrophiquement l’histoire du premier GODZILLA. Fini les scènes de tensions palpables du film initial, GODZILLA d’Emmerich fait la part belle à l’humour et à la comédie romantique à l’eau de rose qui fait pitié. Car, même si le film s’intitutle GODZILLA, le pauvre monstre n’y apparaît que 30 minutes. Les rebondissements sont prévisibles et navrants. On assiste à un faux complot avec les services secrets français puis à Godzilla qui vient manger du poisson! Une abérration totale !

    La réalisation est à l’image du très mauvais scénario alternant avec des scènes fleurettes et des scènes d’actions. La réalisation est si mauvaise qu’elle fait passer le terrible SHARKNADO pour un chef d’oeuvre (car au moins il fait la part belle à l’action !). Le fameux Godzilla ressemble d’avantage à un T-Rex qu’à un Kaiju ! Bref, pendant un temps du film on a l’impression de revoir un mauvais remake de JURASSIC PARK ! Immagination proche de 0. Bien sur on fait grâce des scènes d’actions manquées où l’armée détruit d’avantage la ville de New York que le pauvre Godzilla!

    Le casting vient finir d’enterrer ce pseudo film avec un son cocktail de très mauvais acteurs. Pour commencer, Matthew Broderick n’a aucun charisme à l’écran et surjoue les moindres répliques de son personnage. Mais la palme du plus mauvais acteur revient haut la main à Maria Pitillo et son lot de mimiques faussement crédible. D’ailleurs, l’actrice a remporté le prix de la pire actrice lors des Razzie Awards 1998.

    Enfin, GODZILLA façon Roland Emmerich a été si mauvais qu’il a obtenu le prix du plus mauvais remake de l’année. Et même, GODZILLA fut renommer G.I.N.O (Godzilla In Name Only). Un conseil, ne gaspillez pas votre temps avec ce B-movie.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2014
    Remake américain du premier film sorti en 1954 qui exploite les thèmes écologiques et la peur du nucléaire dans un Japon d'après-guerre traumatisé par les bombardements, Godzilla est une bonne modernisation de la célèbre créature avec Matthew Broderick et Jean Reno au casting. Le film est assez long mais est suffisamment bien rythmé pour être intéressant de bout en bout, vaguant entre phases d'action, de catastrophe et de recherche. Le suspense est bien maintenu sur l'apparence du monstre : on voit vaguement une partie de lui alors qu'il attaque un bateau au début du film, on voit ensuite l'étude de ses empreintes géantes, on l'aperçoit dans les rues sans voir son visage, puis ses dents et ses yeux sont petit à petit dévoilés. Le principal intérêt du film est le traitement de Godzilla, qui n'st pas spécialement montré comme un monstre à absolument anéantir mais plutôt comme un animal complètement perdu par sa grande taille anormale due à la radio-activité de Tchernobyl qui donc davantage comme un animal qui subit une chasse alors qu'il n'a rien demandé. S'il avait pu faire couler des bateaux par effroi, on voit qu'il n'est pas agressif envers les humains qui ne leur font pas de mal quand il ne fait rien à Matthew Broderick alors qu'il se tient tout près : un certain attachement s'installe entre les deux et on peut remarquer la tristesse voire les regrets du héros tout à la fin alors que la bête ferme sa paupière. Si le film parle avant tout de science fiction et reste donc sérieux, l'humour n'est pas en reste avec Jean Reno dans le rôle de l'agent secret français qui balancent une vanne par-ci par-là comme le fait qu'il n'y ait que des donuts et non des croissants et du café assez dégueulasse (il dit même qu'il se sentira mieux après un bon café à la fin du film !). Techniquement, Godzilla fait assez vieillot (surtout comparé à Jurassic Park sorti cinq ans avant) mais la qualité de son traitement vient bien vite effacer ce vulgaire défaut. La dernière partie du film est intéressante dans la survie qu'elle propose quand ils se retrouvent coincés dans les sous-sols face aux œufs qui viennent d'éclore (non sans rappeler Alien), on se croirait dans le jeu Dino Crisis. Malgré l'accent pas spécialement pointé sur l'émotion, on peut ressentir de l'empathie pour Godzilla qui ne fait que se défendre et qui termine vaincu par les missiles aériens, alors coincé dans les mailles du grand pont de New York, passage d'ailleurs assez violent sur le rendu des blessures de la créature. Un bon classique de la science-fiction !
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