Avis sur Donne-moi des ailes

Quelle belle histoire, mais quelle BELLE histoire à aller voir en courant, ou plutôt à tire-d’aile. Ces acteurs formidables, habités, touchants nous font vibrer. Les paysages sont à couper le souffle. Et que dire de l’excellent choix de la musique. Tous les protagonistes de cette odyssée sont en formation, ils ont tous, toutes, quelque chose à apprendre, qui va donner un nouveau cap à leur vie, les bipèdes à orteils comme les … palmés ! C’est aussi une belle leçon de solidarité. On est pris par l’enthousiasme et l’émotion qui animent nos personnages, et dans le contexte actuel dans lequel nous vivons, fait de mauvaises nouvelles et de drames, voilà qui donne la pêche. Qui donne des ailes.

Magnifique ! Envoûtant, émouvant, fais vibrer ! Une super aventure, avec des images majestueuses et des personnages que l'on apprécie. C'est bien joué, on y croit, même si je comprends que l'on puisse formuler certaines critiques, qui, pour ma part, viennent de personnes coïncées. On se laisse pourtant emporter !

Quelle magnifique histoire d'espoir que de voler avec les oies comme Icare. Quelle belle image ce film donne de l'humanité qui peut aider la nature en toute humilité.

Film d'une beauté incroyable, paysages sublime, une leçon de perceverence et d'amour entre l'homme et l'animal. Les acteurs sont excellent.
Merci pour ce film qui fait du bien surtout quand ont sait qu'il est issue d'une histoire réel.
Ils souligne une fois de plus l'importance du travail des hommes et femmes qui travails pour sauvez des espèces de la menace humaine sur la biodiversité.
Bravo à voir sans hésitez.

Excellent film ! Très beau, poétique, drole, émouvant. Tout est réunit pour passer un bon moment. Bon film à voir en famille, on est avec Louis Vazquez dans l'ULM et avec les oies, on se sent transportés

"Aujourd’hui sort le dernier film de Nicolas Vanier « Donne-moi des Ailes ».
L’occasion pour France Nature Environnement Languedoc-Roussillon de rappeler les importants dégâts engendrés par le tournage sur la seule colonie de Flamants roses de France.
11 % des nids de flamants roses abandonnés
Le tournage du film a eu lieu sur les parcelles du conservatoire du littoral, dans une zone humide proche du Grau-du-Roi (Gard). À proximité se trouvent les salins d’Aigues-Mortes, seul site de France où nichent actuellement les Flamants roses, espèce menacée, emblématique de la Camargue. La période de la couvaison des œufs étant la plus sensible pour cette espèce qui niche en vastes colonies, un tel tournage exigeait les plus grandes précautions pour éviter d’effrayer ces oiseaux et menacer la réussite de leur reproduction. L’équipe de Nicolas Vanier était informée des risques.
Pourtant, le soir du 7 juin 2018, un membre de l’équipe de tournage a survolé en rase-motte et à plusieurs reprises la colonie de Flamants roses, afin de les pousser à s’envoler pour réaliser des images. Paniqués, 500 couples, sur les 4500 que comprenait la colonie, ont abandonné définitivement leur œuf, dont une bonne partie ont été détruits dans le mouvement de panique
FNE Languedoc-Roussillon a porté plainte pour perturbation intentionnelle d’espèce protégée et destruction d’œufs d’espèce protégée. A ce jour l’enquête préliminaire est toujours en cours. In fine, celle-ci devra établir la chaîne de décision et les responsabilités éventuelles de chacun : celles de la société « radar film » et son représentant légal M. WARTER chargé de la production du film et/ ou de M. BARRAULT prestataire de « radar film » pour la réalisation des images en ULM et/ou de M. VANIER réalisateur du film.

« Cet incident nous met en garde sur les risques générés par l’essor des loisirs motorisés dans les espaces naturels. De l’ULM, en passant par le petit avion, le paramoteur, et dernièrement, les drones : ces appareils permettent à n’importe qui de se prendre pour un reporter animalier, sans nécessairement avoir les connaissances pour ne pas provoquer de catastrophes. Ce film est un mauvais exemple à plusieurs égards : parce qu’il glorifie ce type de hobby et parce que le tournage du film lui-même n’a pas été exemplaire. Il peut également donner l’illusion que les oiseaux sauvages peuvent s’accommoder de la présence de ce type d’engins, alors qu’il s’agit d’oies dressées à cette fin. Notre rôle est de rappeler au public que les espèces sauvages ne sont pas des jouets et que les oiseaux qui nichent ont besoin de tranquillité. »
Simon Popy
(président de France Nature Environnement Languedoc-Roussillon)

très beau film, magnifiques paysages de Norvège et Camargue
les personnages sont touchants, choix des comédiens parfait
une belle histoire, optimiste et poétique, ça fait du bien!

véritable chef d'œuvre sur la vraie Vie... un film qui fait du bien ! à conseiller à tous ceux qui veulent garder les pieds sur Terre et avoir la tête dans les nuages...

Sublime. Le jeune Thomas est remarquable tout comme son papa dans le film. Nicolas Vanier a une fois de plus assuré. Les paysages sont fabuleux, la BO magnifique, les acteurs au top.

Un pur émerveillement que ce film animalier de Nicolas Vanier. Moi qui suis hypersensible, j’ai souvent eu les larmes aux yeux tout au long de la projection. Les interprètes sont excellents, surtout Jean-Paul Rouve qui est l’acteur vraiment fait pour son rôle. Des films comme celui-là on aimerait en voir davantage car ils nous redonnent un peu d’espoir en l’avenir

Basée sur une histoire vraie, "Donne-Moi des ailes" est une fable écologique qui donne le sourire et pousse à réfléchir à la gestion de notre monde. Les paysages de la Camargue ou de la Norvège sont sublimes. On reconnait la touche du réalisateur Nicolas Vannier qui réalise souvent de beaux films autour des animaux (loup, un saint Bernard, ...) Les vols avec les oiseaux sont de toute beauté. C'est émouvant, Rafraichissant dans la simplicité.

Un film super génial une histoire superbe des paysages superbe sa fesai très longtemps que j'avais pas vu un film français je recretepa les mots me manques pour parler du film de l'histoire un doléances de nos jours qui tombe amoureux d'oiseaux il va ce lance dans la vanture il va traverses la moitié de l'Europe du Nord ver sud de la France des milliers de kilomètres dans un Ulm avec les oiseaux une aventure humaine animalier j'ai pleuré devant une telle histoire pour then dabitude je plus les films actions usa mais la liste histoire me plaisait ya vais qu'elle choses qui ma tiré

La très grande force du cinéma de Nicolas Vanier, c’est de démontrer non par thèses mais en actes. Il y a chez lui ce même refus des logorrhées verbales inertes qui anime le personnage de Christian, écrasé sous les procédures administratives dont la finalité n’intéresse à vrai dire personne, du moins pas les politiciens pour qui l’environnement ne représente un investissement ni rentable ni capitalisable. Il faut du mouvement, de l’action, de la vie pour essayer de faire changer les choses. Pourtant, le cinéaste refuse la dichotomie qui renverrait dos à dos la vie urbaine irrespectueuse et la vie rurale écologique : le père est aveuglé par sa passion au point de négliger sa famille ; le fils est pris entre ces deux milieux et tend à devenir, au fil de ses aventures, un citoyen du monde. En effet, le jeune Thomas réussit à concilier culture de l’écran et connaissance responsable de la nature dont il se rend non pas le maître mais le protecteur, à l’instar de cette séquence de tempête qui le contraint à affronter des éléments naturels plus forts que lui tout en se ménageant, par l’endurance qu’il manifeste contre vents et marées, une ouverture, une trouée lumineuse par laquelle s’échapper et ainsi s’élever au-dessus des nuages. Thomas passe de l’autre côté de l’écran, cesse de jouer aux voitures sur sa console pour devenir le héraut d’une petite cause porteuse de grands espoirs dont s’emparent les différents médias. Il se sert de notre société-écran pour changer son projet personnel en buzz à retombées collectives et universelles, puisqu’il rallie les états, communie avec les langues nordiques, redouble le trajet des oiseaux d’un réseau international réuni autour d’une même cause. Donne-Moi des ailes est un acte de foi en l’homme capable d’agir sur et pour le monde, un acte de foi en l’enfant conscient de l’impact que peuvent avoir ses actions – ou son inaction – sur le monde dont il hérite et qu’il léguera aux siens, une fable politique européenne ou plus largement interétatique qui décloisonne les espaces, dépasse les frontières pour raccorder l’humain à ce lien primordial qui le rattache à sa mère-nature. On pourra reprocher à Donne-Moi des ailes le convenu des relations familiales qu’il met en scène, ainsi que l’évolution psychologique du fils, trop brutale pour réellement convaincre. Mais qu’importe. C’est un film de responsabilisation qui réussit à tenir un discours accessible à tous les spectateurs grâce à des images magnifiques qui, comme toute expression du beau, sont prises entre une impression d’éternité et leur terrible fugacité, la menace qui pèse en permanence sur elles. Aussi le film propose-t-il en creux une défense de l’art, un art qui est le fruit direct d’une contemplation de la nature et d’une méditation sur ses pouvoirs, et qui a la simplicité et l’insouciance de l’enfance. Une œuvre modeste et importante.

Tout simplement magnifique. ..
Une très belle histoire avec de somptueux paysages. ..les acteurs sont attendrissants...et bravo aux dresseurs d'oies.

C’est un film documentaire qui enchantera ceux qui aiment les oies et la nature, et qui intéressera ceux qui admirent les parcours humains hors-normes. Synopsis : une espèce migrante en voie de disparition est menée manu-militari vers son lieu d’envol, au-delà du cercle polaire, où elle devrait y revenir toujours pour se reproduire. Il y a malgré tout quelques dramatisations dans le film, comme le père divorcé de sa femme, le beau-père bien rangé, ou la police norvégienne pas gentille et un peu coincée avec ces expériences. Mais ces dramatisations, véridiques ou pas (dans l’histoire réelle de Christian Moullec) sont un peu inutiles voire néfastes. Néanmoins, quand même, il faut reconnaître que c’est l’une de ses dramatisations qui mérite d’être applaudie ! C’est l’ado de 14 ans le nez dans ses jeux et dans ses réseaux qui ne veut pas aller en vacances voir son père ornithologue. Il commence alors à lui échapper avec "Le Merveilleux Voyage de Nils Holgersson", un bouquin suédois poussiéreux. Puis c’est là que l’émotion se joue, de voir ce gamin peu à peu attrapé par l’intérêt du projet écologique et ornithologique de son père –et même plus, en protégeant une nonnette non visée par le projet. Nos sociétés d’adultes ont bel et bien métamorphosé cet ado en suiveur jouisseur bécasson, sans qu’il ne s’en rende compte, mais au fond il garde intacte sa capacité d’émerveillement et de désoppression. A.G.