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Un visiteur
4,5
Publiée le 15 août 2019
Stallone mythique dans son rôle de shérif mollasson, tout le monde ce fout de sa gueule pendant le film car il est trop gentil, trop naïf.. C est grâce à sa et au fait que les flics corrompus le sous estime qu il va pouvoir retourner la situation.. Un film de légende !
Vu le 22/07/2019. En général, les films avec Stallone sont assez bons, même ceux qui ne font pas partie de la série des "Rocky" ou des "Rambo". Mais sur celui-là, j'avoue avoir un peu déchanté. Stallone campe un shériff déprime (Freddy Hefflin) dont on a l'impression que chaque mouvement est un supplice et où finalement, il est mieux dans son canapé qu'à courir après les policiers corrompus... il est mou, il est lâche, il est lent, chaque réplique semble une torture... Non franchement, voir Stallone employé comme ça, c’est juste indécent, qui a pu l'endormir de cette façon là? Même la fusillade finale semble hors sujet tellement c’est médiocre. A coté de Stallone, nous avons un De Niro assez bon (Moe Tilden) même si on ne le voit pas pendant tout le film. Nous avons un Ray Liotta qui joue aussi bien son role (Gary Figgis) mais pourquoi l'avoir autant maquillé? On dirait une gonzesse avec du mascara, hallucinant... Robert Patrick est assez présent aussi de même que Harvey Keitel dans le rôle des méchants flics corrompus de service. La scène finale est assez étonnante d'ailleurs mais assez peu réussie. Au final, je garderai pas un souvenir impérissable de ce Copland très moyen
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3,5
Publiée le 24 juillet 2019
C'est en 1997 que Sylvester Stallone sort pour la première fois de son rôle « baraque » au premier degrè! Dans ce polar rèputè de James Mangold, Stallone, c'est un peu « l'homme qui en savait trop (pour reprendre un classique d'Hitchcock) et qui en avait marre du système dans lequel il èvoluait! Vèritable icône des 80, l'acteur mythique de "Rocky" et "Rambo" a pris vingt kilos pour prèparer son rôle de shèrif local sourd d'une oreille! Ce dernier va tenter d'imposer sa loi dans sa ville pour faire tomber plusieurs policiers corrompus! Le tour de force de "Cop Land" est de rèussir à brosser le portrait à la fois juste, crèdible et touchant d'un hèros dèchu! Un casting prestigieux (Robert De Niro, Harvey Keitel, Ray Liotta...), trop peut-être (leur importance pour l’histoire est moindre par rapport au personnage attachant de Freddy), où Sly arrive à lui tout seul à èclipser ses partenaires! Au final, un bon polar urbain qui prend rang parmi les rèussites du genre! On aimerait voir la director's cut et ses douze minutes supplèmentaires...
Tout Copland se traîne, accumule les tangentes – pour ne pas dire sorties de route – afin de repousser le sursaut final dans ses retranchements ultimes : digressions qui, de prime abord, alourdissent la dramaturgie et semblent dénuées de motivation, puis s’assemblent peu à peu pour ne former qu’un même tissu vicié que le sang vient enfin maculer. Le film est surtout l’occasion de retrouver Sylvester Stallone dans un rôle à contre-emploi : étranger à l’existence, bedonnant et benêt, il fascine et confère au rythme du long-métrage sa nonchalance répétitive. Pourtant, derrière les ambitions chères à James Mangold de revisiter le western pour en revisiter ses aspects les plus crépusculaires (pensons ici à High Noon), Copland souffre d’un éclatement de son intrigue en de multiples pôles qui non seulement manquent d’incarnation – la faute, peut-être, à la durée des scènes, étonnamment courte – mais surtout ébranlent la focalisation qui nous intéressait en tout premier lieu, à savoir le regard du shérif Freddy. Car nous aurions aimé suivre la progression du protagoniste principal à partir de son simple point de vue. C’est dire que ce qui fait la grande qualité du film en constitue également la principale faille : les pertes d’énergie du héros ne se convertissent que trop rarement en vitalité cinématographique. Et la partition que propose Howard Shore insuffle un suspense que Mangold maintient avec peine et qu’il n’aura de cesse, par la suite, de perfectionner (Logan en est la preuve). Reste une œuvre détonante dans le genre et qui réserve un segment final remarquable.
Quel plaisir de voir Sylvester Stallone à contre emploi. Il est juste excellent et nous prouve que c'est un excellent acteur. Le casting est magnifique
Un très grand film policier beaucoup trop sous estimé. Sly y interprète un de ses meilleurs rôle. C'est bien scénarisé, bien mis en scène et surtout bien interprété.
Le genre de films où il y a quelque chose à faire, où il y a du talent, de grands acteurs mais on suit le tout sans passion à cause d'un rythme saccadé, mollasson. Dans la même veine que les Pulp Fiction, Heat, American Gangster, Les Incorruptibles... unanimement salués à mon grand étonnement. Le seul moment intéressant du film sera la fusillade de fin, enfin un peu d'action, où l'on se met à la place du héros, déficient d'ouïe. Définitivement pas ma tasse de thé !
Souvent entendu parler de Stallone dans ce film , et j'ai enfin l'opportunité de le voir . Belle distribution de têtes connues , Sly à contre emploi mais ça a un peu vieilli à mon gout , il faut attendre les 3/4 du film pour que ça s'agite un peu.....
Un grand film. Les personnages sont un peu stéréotypé et le sujet est un peu classique. Ce film transpire une atmosphère délétère du début jusqu'à la fin ; et cela grâce à une mise en scène, un scénario et un travail du son remarquablement bien fait. Dernier point : Sylvester Stallone est terriblement émouvant.
A Garrison, cité-dortoir pour les flics de New York, le shérif Heflin (Sylvester Stallone) est dépressif et personne ne le respecte vraiment. La loi du silence de la profession lui impose un jour de masquer une bavure mortelle, mais l'insistance de l'incorruptible enquêteur Tilden (De Niro) va l'obliger à faire un choix... Sylvester Stallone trouve l'occasion de rappeler aux spectateurs qu'avant d'être une star de l'action, il fut un acteur attachant, peut-être pas le meilleur mais d'une grande sincérité. A ses côtés, on appréciera de retrouver des comédiens confirmés tels que Harvey Keitel, Ray Liotta et Robert De Niro. S'achevant sur un final digne d'un western, Copland reste encore aujourd'hui un film noir plus que recommandable.
Pour info, il est indiqué que "le shérif Heflin est un dépressif obèse que personne ne respecte", mais non, il n'est pas obèse. Stallone rempile ici pour porter à l'écran un personnage humble, un shérif encore traumatisé par un acte d'héroïsme qui l'a rendu sourd d'une oreille, ce qui l'a empêché de travailler ailleurs que dans une petite ville. Seulement, celle-ci est habitée par de nombreux policiers de New York, située non loin, dont un certain nombre est corrompu. Et notre shérif finit pas ne plus vouloir fermer les yeux sur la situation. Le scénario est intéressant, c'est correctement joué, sauf que le film souffre d'un gros problème : l'action ne se lance véritablement que dans la dernière demi heure. Mais, dans l'ensemble, l'ambiance et le suspens agissent suffisamment pour que ce Copland vaille un "pas mal".
Écrit et réalisé par James Mangold, « Copland » est un sombre polar d’excellente facture porté par une distribution royale. Sylvester Stallone y trouve un parfait contre-emploi, celui d’un bedonnant et taciturne shérif d’une petite banlieue new-yorkaise habitée principalement par des effectifs de la NYPD. Vaut largement plus que le peu de succès qu’il rencontra lors de la sortie.
Un bon polar à découvrir au plus vite. Stallone joue ici un rôle plus profond, et plus subtil que dans la majorité de ses films. Le reste de la distribution n'est pas sans intérêt, mais reste un peu moins audacieux dans le jeu d'acteur avec en autre un Harvey Keitel en dur à cuire, Ray Liotta fidèle à lui même.
Voilà un film pour lequel on peut miser beaucoup et pour lequel on peut perdre beaucoup. Le casting du film est XXL avec un mélange d'acteurs brillants. Le résultat est vraiment décevant. L'histoire tient la route : on suit une petite ville aux abords de New York dominé par la mafia et des policiers corrompus. Tout bascule le jour où l'un des leurs abats 2 jeunes noirs par erreur. Celui-ci sera protégé par les flics ripoux et le shériff de la ville comprendra qu'il est temps de ne plus se laisser faire... Le gâchis vient de la mise en scène, très molle et surtout par la fin du film, complètement absurde et dénué d'intérêt. Bref : Je dirai que ce film est dans la lignée des Badmovieland.