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    Voyage au bout de l'enfer
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    Moulineaux de Montesson
    Moulineaux de Montesson

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juillet 2021
    Même s'ils chantent bien et s'il essaye d'être une bande d'amis, à par boire et jouer à la roulette russe on s'ennuie grave dans ce filme au scénario incompréhensible.
    Catherine C.
    Catherine C.

    6 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juillet 2021
    A mon avis le meilleur film sur la guerre du Vietnam mais d’une dureté absolue. Le rêve de 5 copains qui s’évanouit quand ils se retrouvent dans la jungle, torturés par les viets, cherchant par tous les moyens à sauver leurs peaux. Une fois la guerre finie, de retour de l’enfer, on espère, on croit qu’ils vont pouvoir retrouver leurs vies d’avant. Mais c’est impossible. Quand on est allé au bout de l’enfer, on y reste. Quand on a frôlé la mort de si près, que représente la vie d’avant. L’un d’eux est resté sur place et joue à la roulette russe. La mort, tu ne m’as pas eu au combat, m’auras-tu au jeu ? Robert de Niro et Christopher Walken sont absolument parfaits. Quant à la fin du film il faut bien s’accrocher, je vous l’affirme. On n’en sort pas indemne.
    Juveee
    Juveee

    6 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2021
    Je sais que pour beaucoup de gens ce film est considéré comme un chef d'œuvre absolu et bien malgré les très grandes performances d'acteurs de De Niro et Walken ce film n'a pas réussi à me captiver même si je peux tout à fait comprendre que pour beaucoup de gens c'est un très grand film. Pour ma part j'ai trouvé le film ennuyeux surtout la première heure à été très dur à regarder presque pas de dialogue j'ai même faillit zapper de plus le film dure 3h00 sa ma semblé une éternité à le regarder. Le seul moment où le film a réussis à me captivité c'est la scène de la roulette russe au Vietnam j'ai trouvé cette scène très forte et très réaliste avec une prestation de De Niro comme on aime. Pour ma part ce n'est pas un chef d'œuvre mais c'est pas non plus un navet à voir quand même une fois si vous êtes fan de De Niro comme moi.
    Calmos69
    Calmos69

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2021
    Le film sur le Vietnam et la guerre en général. Je ne sais pas si Cimino a été en extase devant "la guerre " d'Otto Dix avant a réalisation; mais pour moi Voyage au bout de l'Enfer est la version cinematographique de ce chef d'oeuvre. Le tryptique le plus réussi du cinéma. Acteurs au top. Difficile de départager De Niro et Walken
    Pour compléter les critiques précédentes. Mention spéciale pour la scène avec nos 5 amis sur le solo de piano avant le carnage. Je ne m'en lasserai jamais. La 1ere partie souvent décriée est la plus intéressante du point de vue de la sociologie de cette Amérique des ouvriers partie au Vietnam comme un devoir avec la certitude d'avoir raison et déjà cette peur de ne pas en revenir entier. La courte partie sur la guerre suffit à elle même. Quelle efficacité en moins de 40 mn !!!! Je ne connais pas d'équivalent au cinéma. La dernière est la plus innovante concernant le Vietnam. En 1978, elle parle à cette Amérique traumatisée quelques années avant le retour triomphaliste de la vague neo conservatrice et libérale. Cimino est arrivé juste à temps pour nous montrer "sa" guerre du Vietnam. En 1985 ce film ne serait pas sorti. Maudit ou pas.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2021
    Pour qui veut voir un film sur la guerre du Vietnam, 4 figurent au panthéon cinématographique et ont fini par se révéler incontournables : celui-ci auquel il convient d’ajouter : « Apocalypse Now », « Full Metal Jacket », « Platoon ».
    La critique Benoit Smith dans Critikat reflète particulièrement mon point de vue sur ce film. Frappé bien entendu par la force de certaines séquences d’une force incroyable et du propos sur l’absurdité de la guerre faisant des jeunes de famille populaire de la chair à canons ; je n’en demeure pas moins circonspect devant une partialité choquante visant à attiser la fibre patriotique du public américain.
    « The Deer Hunter (titre plus pertinent que Voyage au bout de l’enfer sur le propos du film, nous y reviendrons) est un film impressionnant, c’est certain. Il fascine par son ambition d’ampleur (trois heures) permettant de prendre son temps et d’embrasser le plus possible ; par ses basculements entre intimisme délicat et grandiloquence brutale, entre visions quasi documentaires et grand spectacle ; par sa volonté, surtout, de déborder de son cadre le plus évident (la guerre) pour atteindre une dimension plus large. Car The Deer Hunter a le point commun avec Apocalypse Now, quoique sur un mode très différent, de rebondir sur un contexte encore brûlant à son époque (la guerre du Vietnam à peine finie, douloureuse et vaine) pour essayer de transcender ce traumatisme immédiat, de viser au-delà. C’étaient des auteurs hollywoodiens[1] s’emparant de l’histoire américaine en train de s’écrire pour en tirer une expression artistique sur la guerre en général, mais surtout sur la déraison dont elle témoigne et qu’elle attise, sur l’humanité perdant ses illusions à travers elle ; et ce contexte – historique, politique et artistique – a évidemment contribué à l’aura qui entoure encore ces films aujourd’hui. C’est pourquoi les revoir quarante ans ou plus après leur sortie – en l’occurrence le film de Michael Cimino – n’a rien d’anecdotique, ne doit surtout pas se résumer à une déférence coutumière envers des « classiques » communément admis. La distance vis-à-vis du contexte initial devrait inciter à y poser un regard neuf et libre d’affects, à remettre certaines pendules à l’heure, à réajuster la plaque « chef d’œuvre » un peu poussiéreuse que la cinéphilie à travers les années a fini par leur apposer, une cinéphilie où, c’est bien connu, la fascination le dispute à l’esprit critique.
    The Deer Hunter est un drame en trois actes signifiant l’avant, le pendant (la guerre) et l’après aux yeux des Américains. Premier acte : la petite ville industrielle de Clairton (Pennsylvanie), où vit une forte population de descendants de l’immigration russe, s’apprête à voir trois de ses jeunes citoyens partir combattre au Vietnam. Sans manifester plus de crainte que nécessaire sur leurs chances de revenir vivants, les trois amis et la bande dont ils font partie vivent leurs derniers moments d’insouciance, assistant au mariage de l’un d’eux et au bal qui s’ensuit, se délassant au bar et au billard, crapahutant dans les montagnes pour chasser le cerf. Deuxième acte : plongée sans transition dans la barbarie de la guerre. Faits prisonniers ensemble et maltraités, les trois hommes de Clairton s’évadent à la faveur d’un jeu cruel auquel les livrent leurs geôliers (la fameuse roulette russe qui fit tant scandale au festival de Berlin de 1979 où le film fut présenté, sur fond de vraisemblance historique… et de guerre froide), et cherchent le chemin du retour à travers un Vietnam en proie au chaos et à la déchéance. Troisième acte : tentative de se réintégrer dans l’Amérique connue et aimée, de retrouver la confiance perdue – tentative illusoire, vaine d’emblée pour certains.
    On le voit : c’est une certaine image des États-Unis que Cimino vise en s’appuyant sur le traumatisme du Vietnam – une Amérique qui, en s’impliquant là-bas, y aurait laissé son innocence. Filmée en extérieurs avec la lumière soignée de Vilmos Zsigmond, appuyée par les passages musicaux lyriques de Stanley Myers, c’est une Amérique de l’intérieur, ouvrière et croyante, captée avec un souci de réalisme, mais néanmoins idéalisée, vue comme une nation de grands enfants qui n’auraient pas eu vraiment conscience de ce dans quoi ils s’engageaient. Il faut porter au crédit de Cimino que le portrait de la communauté américaine n’est pas si simpliste que cela. Dans ce film comme dans la plupart des autres depuis Le Canardeur, le cinéaste s’attache à l’idée d’une Amérique construite de matériaux divers, de pièces rapportées et de racines oubliées d’avant la colonisation, et unie seulement par la croyance en l’idée d’une appartenance. Faisant fi de la mentalité WASP, on peut faire honneur à ses racines étrangères et se déclarer fermement américain (comme Nikanor « Nick » Chevotarevich – joué par Christopher Walken – face à un médecin militaire). Les scènes les plus réussies de The Deer Hunter restent d’ailleurs les scènes communautaires (tout le passage du mariage et du bal, ou la scène finale du repas), où les diverses nuances de personnalités, d’environnements familiaux, etc. constituent un portrait collectif à la fois uniforme et polyphonique.
    Reste que cette uniformité selon une idée au fond assez réductrice gêne un peu aux entournures. De même, le contraste entre le réalisme fidèle des scènes américaines et les flambées de grandiloquence dans la violence de scènes de guerre plus proches du fantasme, au milieu du film, incite à s’interroger sur les raisons profondes de cette césure. L’idée de la perte de l’innocence se révèle assez pernicieuse, d’abord parce qu’elle suppose que celui qui en est le sujet était auparavant innocent, ou du moins pardonnable, ensuite – dans ce cas précis – parce que la perte d’innocence est avant tout le fait de l’autre, de l’ennemi rencontré à mi-parcours. Le traumatisme qui marque les personnages – et par extension la nation – n’est pas exactement celui de la guerre dans son ensemble, Cimino choisissant de ne montrer que celui des horreurs que l’ennemi leur a infligées ou les a forcées à faire. Les actes les plus barbares visibles à l’écran sont ceux commis ou imposés par les Vietcongs, comme le jeu de la roulette russe par exemple, tandis qu’un soldat américain – Mike Vronsky, joué par Robert De Niro – grillant un ennemi au lance-flammes choque moins puisqu’il ne fait que leur répliquer. Et quand Nick (Walken) se voit condamné à répéter encore et encore le geste traumatique de la roulette russe, contre de l’argent, jusqu’à ce que mort s’ensuive, c’est sous les regards impavides ou exaltés de ce même peuple vietnamien décidément inaccessible et antipathique. Si Cimino s’étend sur le traumatisme de la guerre sur la population américaine avec une pudeur et une empathie touchantes, on ne peut s’empêcher de voir dans les marges une certaine étroitesse d’esprit – notamment dans sa façon de rejeter les responsabilités sur l’étranger. Son portrait de la fragilité se montre paradoxalement rassurant envers son public américain : il n’inclut pas la culpabilité, qu’il attribue aux autres.
    On l’a déjà écrit, les scènes qui touchent le plus juste sont les scènes communautaires; les scènes les plus resserrées sur les individus sont, elles, plus à prendre avec des pincettes. Ce sont elles, en effet, qui signifient le point de vue majoritaire suivi par The Deer Hunter, en se concentrant sur un personnage en particulier: Mike (De Niro), le « chasseur de cerf » du titre, qui se détache assez du tableau commun pour que le film nous incite à suivre son regard. Avec sa discipline de vie ferme – sans être rigide – qui le place à l’écart voire au-dessus de l’insouciance ambiante (quitte à stigmatiser celle-ci pour une histoire de paire de bottes oubliées pour la chasse), Mike est sans doute la seule nuance sensible dans le portrait un peu angélique d’une innocence collective perdue, car il arbore d’emblée l’attitude de l’individu conscient de la dureté du monde, capable d’envisager les coups durs et préparé à y répondre. De ce fait, son statut dans le récit est quelque peu ambigu, et le fait que Cimino en fasse le héros effectif de The Deer Hunter s’avère tout sauf anodin. Seul de sa bande, Mike aura la volonté de survivre à l’enfer du Vietnam, le courage d’affronter même la cruauté du jeu des bourreaux et d’en sortir, là où ses camarades s’effondreront ou s’accrocheront en le suivant, déchéance dont il ne sera que l’observateur. Lui seul reviendra dans sa communauté avec son uniforme sur le dos, s’affichant comme celui qui « a été là-bas » et l’assume quand les autres sont restés à l’arrière ou se replient sur leurs stigmates. Lui seul, physiquement intact et encaissant ses blessures les plus secrètes comme une prise de conscience supplémentaire plus que comme un vrai traumatisme (son attitude vis-à-vis des armes), montrera un visage de résilience et de solidité face à l’horreur, la douleur et l’échec, assurant que quoi qu’il arrive, l’idée dont il porte l’uniforme – l’idée nationale – restera debout. Là encore, ce choix de point de vue s’avère opportunément rassurant pour le premier public visé, jusque dans la scène de repas finale où, certes sans emphase et dans une intimité endolorie, on se raccroche à l’idéal national et où Linda (Meryl Streep), la jeune femme aimée par Mike et Nick, accepte de regarder de nouveau le soldat dans les yeux, d’aimer le héros[2]. Si Cimino montre un indéniable doigté pour capter la douleur d’un groupe et d’un peuple, on ne peut pas négliger le fait que c’est en caressant celui-ci dans le sens du poil – ce qui devrait amener à relativiser sérieusement la portée de son propos, au-delà de la fascination que son film et sa mise en scène peuvent susciter. »
    Et pour finir des ancedotes de fous. La tension était particulièrement palpable sur le plateau, résultat de plusieurs semaines de tournage difficiles. John Cazale était malade (il mourra d’un cancer peu de temps avant la sortie) et quand le studio l’apprit, il fut immédiatement question de le remplacer. Mais sa compagne à la ville, Meryl Streep, également dans la distribution, menaça de quitter le film. C’est De Niro qui paya de sa poche les frais d’assurance afin de calmer les exécutifs de Los Angeles. Mais au-delà de ce premier accroc, les conditions de tournage étaient de manière générale, très difficiles. Exemple, la scène où John Savage immergé dans l’eau, hurle qu’il y a des rats. La réplique n’était pas prévue et en réalité, Savage ne récitait pas une ligne de dialogue mais s’adressait à Cimino lui-même, car il venait de remarquer qu’il y avait vraiment des rats autour de lui. Le cinéaste profita de la spontanéité du passage et garda la scène au montage.
    Mais revenons-en à la scène de la roulette russe. Les coups que reçoivent les comédiens n’étaient pas tous feints. Afin de renforcer le réalisme de la séquence, les acteurs jouant les vietcongs donnaient de réelles baffes à Robert De Niro et ses acolytes. Dans son délire fiévreux, Michael Cimino avait même convaincu Christopher Walken de cracher à la figure de Robert de Niro par surprise afin de… renforcer encore le réalisme de la scène. Walken l’a fait et Robert de Niro, surpris mais surtout furieux, menaça de quitter le plateau. Mais le pire restera le coup du revolver. Aujourd’hui, avec la mainmise encore plus accrue des assurances sur les tournages, l’idée est impensable. Et avec le recul, De Niro lui-même expliquera que c’était déjà à l’époque, du grand n’importe quoi.
    On passe (plus tard dans le film) à la scène où De Niro s’en prend à John Cazale après une mauvaise blague de sa part avec un pistolet, qui va lui rappeler son traumatisme de la « roulette russe ». Dans un élan de colère quasi-psychotique, De Niro attrape un pistolet, le plaque sur la tête de Cazale et tire. Afin de renforcer encore et toujours plus le réalisme de la scène (dès fois que c’était déjà pas assez), Robert de Niro suggéra une idée à Michael Cimino. Et si on mettait une vraie balle dans le pistolet ? Bah tiens, et pourquoi pas, soyons tarés. En temps normal, n’importe qui d’un tant soit peu sensé aura bien entendu refuser de courir un tel risque. Mais comme rien n’était visiblement sensé sur ce tournage dément. Allez savoir pourquoi John Cazale a accepté mais… ils l’ont fait ! Entre chaque prise, l’équipe vérifiait bien que la balle n’était pas dans la chambre du pistolet. Faut dire que la mort d’un acteur en plein tournage aurait un peu fait tâche quand même. Surtout si le studio et les assurances n’étaient pas au courant de l’affaire. Certes, le résultat est hallucinant et la tension intenable mais bon… Fallait-il en arriver à de tels extrêmes avec des comédiens suffisamment bons pour jouer la peur autrement qu’en se faisant réellement… peur ? Ce qui est sûr, c’est que tout cela a participé à la légende du film, lauréat de 5 Oscars et aujourd’hui classé à la 53eme place de la liste du Top 100 de l’American Film Institute.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    DreamTim
    DreamTim

    16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2021
    Film qui ce défoule en 3 parties, la première qui introduit les personnages et cette bande d'amis à travers un mariage et une partie de chasse, un peu longue mais importante pour qu'on est cette impression de rentrer dans la bande.
    La deuxième pendant la guerre du Vietnam, la scène d'intro m'a marqué et m'a de suite replonger complètement dans le film, cependant, cette partie semble destructurée, certe le but n'était pas de nous faire un film principalement de guerre mais quelques détails n'aurais pas été de trop, ce qui à eu comme conséquence de me faire décroché malgré les scène de roulette russe mythique.
    Enfin, la dernière partie c'est le retour de Michael, j'ai aimé cette retrouvaille avec Linda, revoir Steven malheureusement amoché, Stan et tout les autres. Puis Michael retourne chercher Nick, rester au Vietnam, pour une raison que je trouve encore trop vite expliqué et pas assuré approfondis. Le film ce termine sur une scène de roulette russe, elle aussi, puissante en émotion.
    Au final, Voyage au bout de l'enfer est un très bon film, mais je ne mettrais pas plus que 4 à cause des défauts évoqué précédemment.
    Mention spécial à Christopher Walken, le duo De Niro-Meryl Streep, John Cazale et cette musique que j'ai trouvé très juste et très bonne.
    Un film à voir ou à revoir pour 3h, malgré tout, de pur plaisir.
    Darksauterelle
    Darksauterelle

    6 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    Ok ce n'est pas un film sur la guerre du Vietnam. Mais, ce n'est pas non plus un film sur les conséquences psychologiques de la guerre comme certains le disent.
    C'est un film inutile, très mal joué, sans fil conducteur et construction de l'intrigue.
    1h15 de mariages et de scènes inutiles qui ne révèlent rien de bien faramineux sur les personnages.
    1 petite heure au Vietnam, tout décousu, sans trame.
    Et le reste insoutenable.
    stallonefan62
    stallonefan62

    237 abonnés 2 470 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2020
    Je croyais voir un film de guerre mais il en est rien !! Ce film traite principalement de l'aspect psychologique de la guerre du Vietnam !! J'ai trouvé ça très long et ennuyeux !! Déjà la 1ère partie fût un long chemin de croix où j'ai bien failli arrêter pour ne pas subir pendant 3 longues heures !! Puis arriva la séquence au Vietnam et cette fameuse scène de roulette russe !! Une scène incroyablement mise en scènes avec énormément de tensions !! dommage que la suite ne suit pas sauf le final avec un Christopher Walken convaincant !!
    Félinette Peloux
    Félinette Peloux

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2021
    Un chef-d'œuvre, mon film préféré. De magnifiques acteurs. J'ai aimé la scène de chasse où R de Niro ayant dans son viseur un magnifique cerf, baisse son arme et le laisse partir. Après avoir connu les horreurs de la guerre, c'était pour lui, une évidence. Film plein d'humanité dans ce contexte.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2020
    Voyage au bout de l'enfer est l'un des films les plus polarisants des années 1970. C'est le premier film sur le sujet très controversé de la guerre du Vietnam à connaître un succès critique et commercial. Cependant plusieurs personnes ont exprimé leur désaccord allant de sa représentation de la guerre du Vietnam à l'implication controversée de la roulette russe en passant par le chant de God Bless America. C'est un film difficile à regarder à cause de sa violence et des effets du PTSD (syndrome post-traumatique). Mais c'est un film très engageant et efficace et je le considère comme l'un des films américains les plus influents des années 1970. Pas le meilleur mais le plus influent parce que d'autres films à succès abordant la guerre du Vietnam se profilent à l'horizon. Michael un jeune Robert De Niro sensationnel est un personnage aussi extrême que Rocco l'était dans Rocco et ses frères. Sa bonté celle qui était toujours là mais qu'il découvre dans les circonstances les plus horribles imprègne tout le film. Je me souviens avoir pensé quand j'ai vu le film pour la première fois que je ne pouvais pas ou ne voulais pas passer dix minutes avec Michael et ses amis ceux que nous rencontrons au début du film mais à la fin je les ai considérés comme des frères et je les ai aimés. C'est en soi une sorte de miracle cinématographique. John Savage va vous briser le cœur il a certainement brisé le mien et Christopher Walken est absolument fascinant. Comme il est étrange de penser que Michael Cimino encore jeune n'est nulle part. Le Cimino derrière Voyage au bout de l'enfer est un vrai maître...
    Missa
    Missa

    23 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2020
    Tout semble déjà avoir été dis sur ce film. C'est un film sur la guerre du Vietnam culte. J'ai trouvé que le début est un peu long (la première heure, avant le départ à la guerre, n'apporte pas grand chose à l'intrigue). Le reste du film est excellent!
    serpicofrank78
    serpicofrank78

    41 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2020
    Du grand art !!! Un des films les plus aboutis traitant de la guerre du Vietnam et surtout des traumatismes qui en résultent. Le choix d ajouter le personnage de Linda au scénario de départ a été judicieux car Meryl Streep endosse son rôle à la perfection et apporte davantage de profondeur au film. Dernier long métrage de John Cazale qui mourut peu de temps après le tournage d un cancer... une BO superbe, une distribution parfaite, Un film qui laisse une empreinte indélébile. A voir et à ressentir !
    paopao2
    paopao2

    16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 septembre 2020
    Les trois heures passent presque trop vite tant chaque plan, chaque scène est divinement filmée, éclairée, jouée. De Niro est gigantesque, Walken est magique mais tous les acteurs semblent marcher sur l'eau. Une œuvre d'art.
    Le Rabzz
    Le Rabzz

    10 abonnés 327 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Cimino nous offre un film de guerre poignant, puissant émotionnellement, avec des acteurs qui sont au dessu de leur talent, mais quel film que celui ci qui traite les sequelle d'une telle guerre+4
    JRP
    JRP

    2 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Soyons clairs : un chef d'œuvre au cinéma, c'est un film qui atteint à la même densité d'écriture qu'une œuvre littéraire (Flaubert, etc). À ce compte, Voyage au bout de l'Enfer n'est pas un chef d'œuvre tandis que Les Mystères de Lisbonne de Raoul Ruiz en est un. Car on s'ennuie assez souvent durant les 3 heures, même si ça vaut la peine d'attendre.

    Et il y a ces ridicules... Le chasseur de cerf qui porte un parka orange, pour être sûr de se faire déceler, mais ça fait une belle couleur à l'écran. Les ouvriers métallurgistes qui roulent dans de grosses bagnoles, ont de belles armes, passent leur temps au bar à boire et à rigoler. Les soldats du Vietcong ramenés à des sadiques dépourvus de toute idéologie communiste, de toute discipline. Mike qui revient de guerre avec les cheveux bien trop longs pour un militaire en uniforme. La guerre qui n'est jamais remise en cause, qui apparaît juste comme une nécessité quand on aime son pays. L'action des USA au Vietnam qui n'est jamais discutée. Une sorte de racisme envers les Vietnamiens qui sont - ceux montrés - aussi sadiques que les communistes. Les actions de guerre sont incohérentes, partielles, invraisemblables. Le retour de Mike au Vietnam pour ramener Nick "à la maison" mené comme si c'était une mission spéciale au service de la CIA, c'est absolument incroyable. L'intérêt du film vient de sa capacité hypnotique dans certaines de ces scènes qui sont invraisemblables mais oniriques. Les acteurs, les décors soutiennent cet onirisme dont la capacité de fascination ne peut être nié, à condition que l'esprit critique lâche prise.

    On trouve aussi une symbolique sous-jacente forte. Les ouvriers métallurgistes font l'acier avec lequel ont fait les armes de chasse, les bagnoles, mais aussi les armes de la guerre. La place des machines en acier est notable, pas que les voitures, les camions qui sont une menace dès le début du film. L'aciérie est d'ailleurs présente tout au long, comme si sa production pesait sur le destin des personnages. Nick le russe va découvrir la roulette russe, comme si c'était son destin. Et ce jeu mortel et fou devient le vrai cœur du film, contre toute vérité historique, comme si les Américains étaient allés au Vietnam pour y jouer.

    L'histoire est celle d'un dé-niaisement. Les balourds de prolos rigolards vont se cogner à la réalité du monde. Pas tous, trois seulement. Mais ça servira de leçon aux autres. On passe d'un monde aux valeurs simples et triviales à quelque chose de fracturé, de fracassé, comme la tête de Nick et les jambes de Steven. Et Cimino le fait pressentir dès le début, en laissant apparaître des fêlures : Steven va épouser une fille enceinte d'un autre, Mike désire la femme que Nick veut épouser et c'est réciproque, mais sans suite à ce désir ; les bons copains ne sont pas si potes que ça, Mike le dit dès le début.

    Voyage au bout de l'Enfer, pourquoi ce titre qui ne signifie rien dans sa boursouflure banale ? Mais "Le Chasseur de Cerfs", titre original, est inadéquat également. Sans doute la guerre du Vietnam, la vraie, c'était impossible d'en rendre compte comme de la NOMMER pour les Américains de l'époque. Un point commun avec Apocalypse now,
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