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    12 hommes en colère
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 septembre 2013
    La raison est incontrôlable. Surtout lorsqu’elle est jetée, comme en pâture aux dangereux prédateurs, à la transparence totale de l’affect qui, par excellence, a construit, déconstruit et reconstruit l’homme contemporain. Cet affect est totalement indépendant. Il est pur. Il est une authentique manifestation affective, sans qu’aucune forme de certitude, de vertu, de courage, de vice ou de volonté, ne viennent le contraindre, ce qui ne serait qu’une pollution morbide. Cet affect, c’est le doute.
    En cela, Douze hommes en colère, n’est pas un discours. Ce n’est pas un film polémique, ce n’est pas une œuvre d’art maîtresse de sa propre beauté, ou de sa propre intégrité artistique, qui en ferait un phénomène intemporel. Justement, le huis-clos de Sydney Lumet sortit en 1957, est un opéra de la psyché, peignant une époque où la morale, soi-disant instrument de la maîtrise de son être, commençait à montrer des signes d’inquiétudes ; sa consumation corporelle et psychique avec l’instrument de la maîtrise du monde : une nature étrangère à la raison morale, pratique, et que seule cette dernière pouvait amener à sa propre maîtrise. Car il suffit bien, non pas d’un instant, mais d’une saisie de cette proximité entre la morale et la nature, entre la raison jusqu’alors déguisée, et l’imprévisibilité du doute. C’est donc le doute qui échappe au temps, c’est donc le doute qui se présente comme intemporel, et cette saisie remplaçant l’instant de doute tant redouté, est elle-même pure instantanéité. Car si le doute, une fois éprouvé donne l’impression d’avoir toujours existé au plus profonds des êtres, la manière de l’appréhender et de le rencontrer, elle, est d’une effrayante lourdeur psychologique, la question étant : aurons-nous le temps pour démontrer quelque chose qui, au fond de nous, donne cette impression de présence éternelle, ou plutôt aurais-je le temps de démontrer tout ce qui demeure au fond de moi, et que moi-même je ne connais point encore ?
    Mais ce jeu de miroir, de chat et à la souris, entre morale et nature de « l’être moral », ne transparait pas tout de suite. Les premiers plans privilégient l’attaque psychologique. L’entrée dans le palais de Justice, est dominée par l’agressivité et la puissance des volumes de l’infrastructure. Puis, la plongé dans le huis-clos se transpose, lentement, surement, tel un étranger sous la forme d’une ombre, pénétrant dans cette maison, celle que Freud appela pour l’une des première fois, la psyché, cette maison, dont le propriétaire, n’est même pas maître à bord. La salle de délibération est cette maison apocalyptique, cette révélation d’une absolue absence de connaissance et de maîtrise de soi. Le doute est un acteur ponctuel, il s’invite sur les traits du jeu crépusculaire d’Henry Fonda. Celui-ci maitrise le regard de cet architecte effrayé et combatif, à la perfection. Sa démarche à la fois frêle et pleine d’assurance, exposent chacun de ses « adversaires » à cette saisie douteuse du jeu de miroir entre l’Ethos et la Phusis. Son regard scrute les yeux de tous, comme s’il voulait passer derrière, et leur proposer cet effroyable autre point de vue. Car la force du personnage principal n’est pas sa volonté acharnée de démonstration, mais son authentique mise à nue, sa poignante exhibition de lui-même pour prouver qu’il y a peut-être autre chose derrière tous ces regards. Ce que craint donc la société contemporaine, contrairement aux sociétés dites traditionnels et modernes, « renaissantes », ce n’est pas l’autre, car cela la raison est maintenant capable de l’appréhender comme elle-même, doué de cette raison. Ce que craint le contemporain, c’est l’autre chose. Cet autre chose que l’histoire semblait pourtant avoir vaincu, enterré, considéré comme un soupçon du passé, un protagoniste ayant échappé aux marques du progrès, progrès qui ne s’en tient, « qu’aux faits ». L’autre chose n’est donc pas la certitude de notre immanence, l’autre chose, c’est qu’il y a peut-être une autre possibilité dans le fait qui s’est produit. Le temps qui passe devient alors, le témoin de la honte, celle qui se manifeste lorsque la démission semble inévitable, lorsque l’abandon apparaît comme le seul moyen d’échapper à cette infernal confrontation avec nous-même, avec l’approfondissement de nous-mêmes. Jamais au cinéma, il n’aura été aussi poignant de voir des hommes changés d’avis. L’image noir et blanc est une somptueuse calligraphie de cette psyché humaine. Déchirée entre le doute éternel et la temporalité du jeu de l’action. La lumière devient poisseuse, s’engraissant de la sueur et de la peau écrasée par la chaleur et le confinement. La mise en scène est implacable, et ne laisse aucun répit psychologique aux protagonistes attablés. L’objectif de Lumet se déplace telle une forme insondable, faisant de tours de table comme si elle suivait la géométrie d’un losange ou d’une rosasse. Telle une fleur, pourrions nous-mêmes dire. S’épanouissant et se refermant pour épouser la musique psychique des jurés, pour les torturer sans aucune prévisibilité. Reproduisant le jeu de miroir. La dernière prise de vue est formelle : l’homme n’est jamais seule, il est toujours surplombé ; par la colonne d’un édifice dont le pouvoir qu’il représente peut déterminer le sort de votre existence en quelque seconde, où bien par la lumière du jour, découlant comme un sablier, le temps qu’il vous reste pour entrer au plus profond de vous-même. Ce genre d’expérience, ce sont les rares instants où un être humain peut saisir cette opportunité, et s’il est toujours surplombé par la prose froide et austère du temps qui passe et vous écrase, il peut être au moins certain d’une seule chose : le doute au fond de lui-même ; existera toujours, l’empêchant de voir au plus lointain horizon, la certitude de son malheur ou de son bonheur.

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 septembre 2013
    Pour son premier long-métrage, Sydney Lumet, qui a déjà travaillé pour la télévision et le théâtre, s'attaque à l'adaptation d'une pièce de théâtre de Reginald Rose créée en 1953. Celui-ci en profite pour se faire scénariste. Super Reginald ! Pour information, il a également écrit le script de "L'homme de l'Ouest" (d'Anthony Mann) et des "Oies sauvages" (avec Roger Moore) notamment, avant sa disparition en 2002.
    A l'initiative du projet, Henry Fonda est aussi producteur, tout comme Reginald. On peut donc dire que c'est grâce à Henry Fonda (il a déjà tourné avec Ford ("Les raisins de la colère", "La poursuite infernale", ...), Lang ("J'ai le droit de vivre"), et sort du non-moins connu "Guerre et paix" de Vidor) que le grand Sydney a fait ses débuts. Merci Henry !
    "12 hommes en colère" sort donc en 1957 sous la houlette de Sydney Lumet.
    Synopsis : accusé d'un parricide, un adolescent risque la peine de mort ; le jury se retire pour délibérer. Il s'avère qu'onze jurés sont d'accord pour plaider coupable. Connaissant la présomption d'innocence et ayant voté non-coupable, le juré n°8 (Henry Fonda), sommé de s'expliquer, va tout mettre en œuvre pour les faire changer d'avis un à un... .
    Avec ce scénario implacable, Sydney Lumet s'offre un film judiciaire aux antipodes car se déroulant dans une seule et même pièce ! Et ce, à l'inverse des films habituels qui prennent le tribunal comme un lieu de jugement : "Le verdict" (toujours de Lumet !), "Le droit de tuer" (de Schumacher), "Sleepers" (avec DeNiro) et "Meurtre à Alcatraz" (avec Kevin Bacon) en sont de parfaits exemples. Un film à prendre en compte les jurés est "Le maître du jeu" (avec Dustin Hoffman) qui distille un peu la même ambiance. Avec "12 hommes en colère", c'est non seulement le lieu qui est important, mais aussi le temps qui s'écoule. Le film débute lorsque les jurés rentrent dans la salle exigüe, et ils en sortent quand le film se termine. On a vraiment l'impression que tout se passe en temps réel. Alors oui il s'agit d'un théâtre filmé, et l'essence même ressort de l'ambiance instaurée par Lumet. Sydney en profite pour creuser la psychologie des personnages et met à égalité le rôle des jurés pour un jugement qu'ils dénigrent tous un peu. Je ne vais pas aller à l'analyse de chaque personnage, mais chaque juré a sa part de vérité (son opinion qu'il peut se faire), et chaque dialogue qui en découle est non seulement porteur d'un message de liberté (ou non), mais aussi le réquisitoire de la justice elle-même (comment fait-on la différence entre le bien et le mal). Ce qui est bien, ici, c'est que Sydney Lumet pose les failles de la justice américaine dans la case scénario-personnages-dialogues. Très beau point Sydney !! Et tu gagnes ici toute la confiance de Hollywood et du cinéma mondial a vouloir influencer une nouvelle génération (je pense bien sûr aux Coppola, Scorsese et consorts).
    Ensuite, Sydney met dans son huis-clos une galerie d'acteurs tous charismatiques à souhait. Il n'y a pas une ou deux têtes d'affiches, ils sont tous impériaux dans leurs rôles, jurés, adolescent ou juge. Je vais juste me contenter d'apprécier à ma juste valeur la direction d'acteurs de Lumet (ceci n'engage que ma personne). Il y a en premier Joseph Sweeney (vu au cinéma aux côtés de Gregory Peck dans "L'homme au complet gris"), très bon dans le rôle du vieux sage, avec une interprétation toute en délicatesse. Vient ensuite l'affrontement Fonda-Lee J. Cobb (il a joué dans "Sur les quais" avec Brando, "F. comme Flint" (avec pour partenaire Coburn), "L'exorciste"...) qui tient toutes ses promesses. Puis en seconds couteaux (c'est le cas de le dire !!), E. G. Marshall ("La poursuite impitoyable" (d'Arthur Penn), "Superman 2". Il a été dirigé pour la dernière fois par Clint Eastwood pour "Les pleins pouvoirs"), Ed Begley ("Bas les masques", "Doux oiseaux de jeunesse" (tous deux de Richard Brooks). Il reçoit pour ce second film l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle) et Rudy Bond ("Un tramway nommé désir", "Le parrain"), parfaits, tout simplement. Notons aussi la présence de Martin Balsam (vu dans "Psychose", "Little big man", "Les hommes du président" et tant d'autres... !) et de Jack Warden ("Mort sur le Nil" (avec Ustinov), "Le verdict", "L'avocat du diable" (tous deux de Lumet lui-même)...), non inconnus au bataillon, et pourtant, non appréciables au titre d'acteurs de premier plan. Ils font partie d'un ensemble d'acteurs qui est ici non reconnaissant à leurs faveurs. Dommage Martin et Jack !
    Ajoutons là-dessus le parachèvement, l'ultime, la mise en scène au cordeau de Sydney Lumet : plans élargis en première partie partie qui vont se resserrer sur les acteurs en seconde partie. De l'application donc, de l'implication. Le résultat est une maîtrise du suspense qui monte crescendo et qui va aboutir à un final (certes connu d'avance) mais bougrement efficace.
    "12 angry men" est finalement signé d'une patte reconnaissable, une griffe incontestable qui a marqué le genre du film judiciaire. Coup de chapeau maître Lumet ! ...regretté par ailleurs, tout comme ses acteurs, au sommet de leur art. Une œuvre posthume si l'on peut parler ainsi.
    Je ne sais pas s'il s'agit d'un chef d’œuvre ou d'un film culte, en tout cas il fait partie des classiques du cinéma. 56 ans !, et pas une ride (sauf pour la musique). Indémodable !! Ours d'or 1957.
    Une claque cinématographique, amis spectateurs, qui ne vous laissera pas le temps de monter... un escalier !!
    jcdelagrange
    jcdelagrange

    50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 septembre 2013
    Je n'avais jamais vu ce film, j'ai sauté sur l'occasion lors de son passage sur ARTE...malgré sa version française. ce huit clos étouffant est très certainement un des meilleurs que j'ai vus, la psychologie de chaque homme étant particulièrement bien vue.
    pierrre s.
    pierrre s.

    373 abonnés 3 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    Intéressant, perturbant, émouvant, touchant et même terrifiant! En instaurant ce huis-clos, Lumet réussit un incroyable tour de force qui même 50ans après conserve toute sa force et son intensité.
    Roub E.
    Roub E.

    780 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 octobre 2014
    Une œuvre intemporelle. Une joute verbale jamais verbeuse ou des jurés vont décider du sort d un homme et s il va être ou non condamné à mort. Le film illustre la difficulté de se montrer impartial face à une situation car nous jugeons forcément avec notre vécu et notre sensibilité. Plaidoyer contre la peine de mort, un film à voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 septembre 2013
    histoire dzja decouverte en versiin piece de theatre mais tellement mieux en film noir et blanc avec des plans tres simples et de bons actzurs.. bon film a voir en hiver sous la couette avec u. bon pop corn <3
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Pour une première réalisation Lumet réussit un joli coup avec ce huis clos. Le début n'accroche pas spécialement mais par quelques plans géniaux le réalisateur nous fait rentrer complètement dans le jeu. Petit bémol, la salle de délibération finit par ressembler un peu trop à un cabinet de psychanalyse avec des personnages trop caricaturaux.
    lejojoducoin
    lejojoducoin

    20 abonnés 876 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2013
    Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est un chef d'oeuvre, mais 12 hommes en colère est incontestablement un très bon film, et un classique du cinéma américain, à voir absolument. Bien sûr, il a quelque peu vieilli, et je regrette quelque peu la facilité de persuasion de certains jurés, mais pour le reste, ce huis clos est parfait, il nous tient en haleine jusqu'au bout, et les acteurs sont d'une justesse incroyable (Henry Fonda en prime). En plus, il ne traîne pas trop en longueur, et au final, il passe assez vite. Même si la fin est visible, on passe un très bon moment de cinéma.
    A voir pour les amateurs de cinéma.
    Thibault F.
    Thibault F.

    44 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Détrompez-vous, ce n'est absolument pas un chef d'oeuvre, c'est bien plus que cela... C'est avant tout un art, une expérience où les acteurs sont aussi les spectateurs de ce film. En effet, ces 12 hommes composent un jury qui doivent débattre afin de statuer le sois disant meurtrier: Est-il non coupable ou bien coupable et donc l'envoyer sur la chaise électrique?
    Le réalisateur, Sidney Lumet joue avec les trois unité de temps, de lieux et d'action. La mise en scène et le fait que l'ensemble du film se déroule dans un même lieu me fait penser à une pièce de théâtre cinématographique. Etouffant, terrifiant et humaniste, ce film est un classique, un petit bijoux du cinéma. D'autant que les acteurs sont tous fabuleux, pas un seul et laissé de côté (mention spécial à Fonda et Warden)
    MAGIQUE!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    magnifique. ce huit-clos est juste un des meilleurs que j'ai vue avec la corde de alfred hitchcock. Les jeux des acteurs sont parfait et chaque acteur joue son personnage magnifiquement bien. Un film a conseiller pour les gens qui aime les huit-clos
    maxime ...
    maxime ...

    204 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2019
    12 Hommes en Colère est un film essentiel à la pensée ! Les enseignements de ce long métrage sont primordiaux, les débats aussi animés soit-il sont tout bonnement étincelants et d'une intelligence remarquable. Le distribution est aussi de mise, la passion qui les habitent offrent une texture et un sens aux propos. Une oeuvre charnière à ma cinéphilie, un choc qui se réédite à chaque coup.
    blacktide
    blacktide

    42 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2013
    En signant "12 hommes en colère", Sidney Lumet devient un peu comme Francis Ford Coppola et son "parrain", c'est à dire tout d'abord un grand réalisateur mais surtout le réalisateur d'un film culte apparaissant dans le top 50 des meilleurs films mondiaux. Quand on se dit que ce film est un huit clos de 1h30 toujours dans la même pièce, avec aucune scènes d'action et que des monologues, vous vous dites sûrement: "ah 1h30 sans action, je vais bien me faire chier!!!!" mais détrompez-vous, ce drame est tout à fait passionnant!!!!!!!!! Ce drama nous plonge dans le milieu juridique avec l'importante décision qu'on les jurés à faire après l'audience: la réponse fatidique par oui ou non pour juger coupable ou non coupable. Henry Fonda est incroyable dans ce film sans défauts (enfin aucun de visibles). C'est quand même troublant de se dire qu'on peut envoyer quelqu'un d'innocent à la morgue sans avoir approfondi le sujet, heureusement que dans ce film, le personnage interprété par Fonda est intervenu: 1 voix contre 11 au départ et après ça bascule jusqu'à la décision finale. Bref "12 hommes en colère" est l'exemple parfait du film parfait, c'est à dire que tout est fantastique: la performance des acteurs, la réalisation, l'histoire, les dialogues, la mise en scène... Un classique incontournable à voir et à revoir!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2013
    Un magnifique film ! Quel scénario ! Quelle qualité de jeu, on pourrait ce croire dans un réel débat, dans tous les cas il s'agit d'une très bonne leçons de vie, toujours réfléchir avant d'agir, ne jamais mettre de côté ce qui est peu probable ! A voir absolument !
    Emmanuel C
    Emmanuel C

    9 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Je suis surpris par toutes ses critiques, chef-d'oeuvre, chef d'oeuvre, chef d'oeuvre, certes c'est bien joué ,et sydney lumey était un bon réalisateur, mais je pense que ce film est un peu surrané ,trop bavard, trop théatral , bref , il n'a pas réussi à me captiver mais je j 'ai plutôt trouvé chiant comme la pluie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2013
    Pour un huis-clos d'une heure trente, sans aucune scène d'action, aucune longueur dans ce film vieux de plus de 56 ans ne se fait sentir, l'on aimerait même que le plaisir dure un peu plus. Une superbe réalisation, des excellents acteurs, et un très bon scénario font de ce film à mes yeux un chef d'oeuvre éternel!
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