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    De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites
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    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2022
    C'est du côté de Cassavetes et de Rafelson que se situe ce film étonnant de Paul Newman, où son épouse Joanne Woodward compose un personnage dont le mal-être est d'une vérité troublante. Le cousinage avec celui que jouera Gena Rowlands l'année suivante dans "Une femme sous influence" est réel, tout comme l'intérêt porté par des cinéastes importants à une classe moyenne peu présente dans les films américains. La scène de la remise du premier prix à la jeune Matilda dans son collège et l'irruption surréaliste de sa mère, psalmodiant un discours totalement décalé, est inoubliable.
    Criticman17
    Criticman17

    4 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2022
    Film de Paul Newman qui aborde le sujet d'une mère qui élève seule ses 2 filles. De là part plusieurs portraits psychologiques très différents chez ses 3 personnages mais paradoxalement liés par leur lien familial et la maison où ces personnages vivent.
    La tension et les excès créées par le personnage de la mère construit un climat ambigu et instable dans ce film . Dans cette maison lugubre et dans cette misère éducative portée par la mère jaillit une fille qui s'élève de ce contexte et réussi scolairement à s'extirper de son modèle familial par son amour du savoir et du monde qui l'entoure .
    Le jeu de lumière dans ce film est à souligner avec un début avec des scènes tournées en plein jour et une fin très sombre qui dénote toute la situation complexe que créée la maman qui conduit même à un sentiment de pitié pour elle et une descente aux enfers par l'absence éducative qu'elle a perpétué et le paradoxe d'être à l'image une femme au fort caractère omniprésente dans le non-essentiel .
    Film très intéressant à voir.
    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 385 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 octobre 2022
    Troisième long métrage cinéma réalisé par Paul Newman, tiré d'une pièce de théâtre qui obtint le prix Pulitzer, " l'influence..." bénéficie d'une solide réputation dans la cinéphile d'art et essai.

    Sa réédition permet d'évaluer l'opus du fameux acteur, passé par la réalisation dont les quatre autres opus sont aujourd'hui malheureusement tombés dans les oubliettes.

    " l'influence..." s'apparente aux films de John Cassavetes comme réalisateur. Sens du naturel qui se marie à un ton casi documentaire, peu de moyens et interpretation théâtrale des acteurs.

    J.Woodward, l'épouse de Newman occupe le rôle principal qui trouve des ressemblances dans celui du personnage incarné par Geena Rowlands dans " une femme sous influence ", voire au type d'interprétation de Barbara Loden ( compagne à la ville d'Elia Kazan) dans " Wanda ".

    Mais à la différence de "une femme..." le rôle principal n'est pas le personnage clef. Si l'artifice est une trouvaille intéressante, le problème c'est qu'il faille attendre les cinq dernières minutes, voire la dernière réplique pour en être certain.

    Les cinquante premières minutes sont taraudees par un cruel et pénible manque de rythme et il faut attendre la scène avec le policier ( une des meilleures de l'ensemble) pour que la direction soie désignée au spectateur.

    Film au combien inégal ( raté dans les premières 50 minutes et réussi pendant les 50 dernières), il se propose rien moins que de nous donner goût à la vie.

    Malgré son milieu amilial pathologique, voire indirectement maltraitant, la plus jeune des deux sœurs parviendra a trouver un immense intérêt à son existence. Elle le dira elle-même en voix off à la fin et le titre du film porte le nom de l'expérience scientifique quelle réalise.

    Woodward porte complètement le film sur ses épaules ( elle obtiendra avec lui, le prix d'interprétation à Cannes).

    " l'influence..." est un opus de Newman dont le thème suscite le débat ( peux t on s'échapper de son milieu ? Pourquoi certains y parviennent d'autres pas ? La vie vaut elle la peine d'être vécue ?) mais dont la vision de la première partie ( beaucoup, beaucoup, beaucoup trop longue) m'a laissé très dubitatif.

    Au plan formel Newman ne parvient pas à la maîtrise atteinte par John Cassavetes cineaste, dans ses opus les plus aboutis.

    Pour sa seconde partie, ( propice, au combien à la réflexion) les amateurs de cinéma du patrimoine ne laisseront pas passer, " de l'origine. .." sans attendre toutefois une perfection dont il n'est pas, à mon avis, pourvu. Une excellente idée ne fait pas forcément un film abouti.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2021
    Paul Newman avait déjà dirigé Joanne Woodward et leur fille Nell dans Rachel, Rachel, puis il les a dirigés dans De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites dans lequel Woodward joue le rôle de l'irascible chef d'une famille dysfonctionnelle. Le titre fait référence à un projet scientifique de la fille cadette et sert également de métaphore à l'effet de la société sur le personnage de Woodward. Tout objectif qu'elle poursuit sera presque certainement entravé par son instabilité. En fait elle et ses filles ne peuvent pas s'intégrer au monde qui les entoure. L'épilepsie et l'attitude rebelle de la fille aînée (Roberta la fille d'Eli Wallach) semblent la condamner à répéter la vie de sa mère tandis que la fille cadette trouve du réconfort dans son lapin de compagnie. J'ai aimé tous les films dans lesquels j'ai vu Joanne Woodward et ce film ne fait pas exception. Elle incarne la Béatrice mécontente qui essaie de faire ce qu'il faut mais dont les défauts font obstacle à tout. Nell la fille de Paul Newman qui apparaît désormais sur la couverture des produits Newman's Own aux côtés de son père est également très impressionnante dans le rôle de la jeune fille idéaliste. Ce film est un très bon film...
    guillebotis
    guillebotis

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2021
    Un film inouï, de la force d'Un tramway nommé Désir ou d' Un Eté à Osage County. Un film méconnu, injustement, incompréhensiblement. Joanne Woodward est une très grande actrice formée au théâtre, elle joue à la perfection la névrose hystérique dans son aspect le plus sombre. La destructivité d'elle-même et des autres y compris de ses propres filles est tragiquement, cliniquement, exact. Ce film dépeint la face mal cachée d'une Amérique dont l'une des faces a la phobie des laissés-pour-compte, qui rejette le plus loin possible son angoisse de la marginalité et ne peut soutenir la vue de l'échec social. La face inverse de cette Amérique triomphe dans la vitalité du personnage de Matilda qui concentre toutes ses forces de vie pour contredire sa mère et affirmer que la vie vaut la peine d'être vécue et que l'on peut poser sur elle un regard enchanté. Sa passion pour les sciences naturelles est l'antidote du poison maternel, en neutralise le fiel mortifère et produit le miracle espéré. Paul Newman signe un immense film tourné avec sa fille et sa femme. Couple discret à la ville, Woodward et Newman se sont adorés pendant 50 ans (1958-2008) jusqu'à la mort de Newman, une prouesse de couple dont le conjoint fut l'un des hommes les plus convoités de tous les temps par ces dames. Et avant tout un immense artiste.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 283 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2017
    "De l'influence..." a pour héroïne Beatrice Hunsdorfer, une femme d'une quarantaine d'années. Séparée de son mari, elle élève seule ses deux filles et vit dans une maison délabrée dont elle sous-loue une chambre à des personnes en fin de vie.

    "De l'influence..." a été tourné en 1972 par Paul Newman qui était alors au sommet de sa gloire. Le rôle de Beatrice est interprétée par son épouse, l'actrice Joanne Woodward. Il est tiré d'une pièce de théâtre qui venait de remporter le Prix Pulitzer.

    "De l'influence..." est emblématique de son temps. À commencer par son titre à rallonge qu'on n'aurait plus l'idée de donner aujourd'hui.
    Il est inspiré d'une pièce de théâtre, comme l'était un grand nombre de films de la décennie précédente : "Qui a peur de Virginia Wolf ?", "La Chatte sur un toit brûlant", "Un lion en hiver."..
    Surtout il s'inscrit dans un registre dramatique qui est aujourd'hui totalement passé de mode. À l'époque, le théâtre et le cinéma avaient une tendance à l'hystérisation qui s'est perdue. Les personnages étaient paroxystiques, au bord de la folie. Aujourd'hui, si le sujet des films n'a pas changé - "Aurore" sorti le mois dernier avait pour héroïne une femme divorcée élevant seule ses deux filles - leur ton n'est plus le même. Il est plus réaliste, plus doux, et surtout plus comique. La solitude d'une mère célibataire, hier, faisait pleurer. Aujourd'hui, elle fait, à tort ou à raison, rire.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2016
    Une femme plutôt amère et révoltée au cœur d'une comédie bouleversante et formidable. Quelle actrice.... Elle nous fait souvent rire mais c'est malheureusement contre son gré:
    "Ne te coiffe pas les cheveux aussi vite, tu vas nous électrocuter!!! A ce rythme tu auras pu tricoter des chaussettes!!!"
    Le thème est profond car il ne s'agit pas simplement d'une mère qui élève ses enfants seule, il s'agit de la façon dont une de ses filles moins exposée au rayonnement bouillonnant d'une femme "déglinguée" va s'épanouir et développer une mutation positive qui va l'aider à quitter certainement cette vie si triste. Vraiment beau film.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2015
    Très beau film "profond" sur une maman qui ne s'en sort pas avec ses deux jeunes filles ados.
    Étouffée par ses problèmes matériels, elle ne perçoit plus l'essentiel: comment aimer ses filles, les écouter, faciliter leur épanouissement.
    Elle est pourtant de bonne volonté et l'une de ses filles trouve sa voie...grâce à l'enseignement...drôle parfois, surtout poignant!!!! comme dans Stella, (Sylvie Verheyde)..
    El G.
    El G.

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mai 2015
    Une perle méconnue du cinéma américain des 70's au titre énigmatique tirée d'une pièce de théatre de Paul Zindel et réalisée par Paul Newman himself qui s'efface derrière sa caméra pour nous brosser une subtile chronique familiale dans la périphérie d'une ville du Connecticut.Le film est premièrement dominé par la performance de Joanne Woodward,l'épouse de Newman et la mère de Nell Potts qui joue le role de Mathilda,jeune fille introvertie et férue d'expérimentations scientifiques.J.Woodward campe ici une mère au foyer à la répartie facile élevant seule ses deux filles ;l'une ,Ruth,adolescente exubérante vivant difficilement les remarques parentales;l'autre,Mathilda,pré-ado réservée au comportement hiératique.On peut voir le film comme une charge de la domination d'une mère au bord de la névrose sur ses deux filles,bref,un film à voir ou revoir.
    Alexandre N.
    Alexandre N.

    42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2015
    Un film à la fois juste et touchant. Une chronique familiale portée par la richesse de ses trois personnages.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2020
    Un très belle oeuvre mèconnue et gageons que les gens la reconnaîtront malgrè son titre insolite! Le public sera èmu s'il se laisse èmouvoir! Paul Newman nous prèsente de façon admirable une famille troublèe par le caractère, quelque peu nèvrosè, de la mère! Drame magnifiquement interprètè par Nell Potts (fille de Newman & Woodward) et Roberta Wallach (fille du grand Elli), qui incarnent les filles Joanne Woodward, une mère nerveuse et à l'humeur changeante! Par son attitude scandaleuse, Bèatrice cherche à fuir sa vie dans des moments forts et remplis d'humanitè! Son personnage n'accomplit jamais ce qu'une Rowlands ou une Loden font! Newman nous fait croire qu'elle va se lancer dans le monde avec ses deux filles alors qu'en fait elle rentre chez elle! Du coup le film en devient assez ètrange avec un personnage qui ne franchit jamais le pas! Tout le monde aura compris que les marguerites dans le titre, ce sont les individus du film, en l'occurrence les deux filles! A plusieurs reprises, on se rend compte que Newman traite très diffèremment dans la cadre Matilda, de Ruth et Bèatrice! On pourrait dire qu'à plusieurs reprises, Newman cadre ensemble la mère et sa fille aînèe! Comme si l'autre ètait dèjà le miroir de la mère...ou en tout cas la mère son devenir! Et ça c'est plutôt fort et beau à la fois...
    Léa H.
    Léa H.

    30 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2014
    Paul Newman confirme avec ce second film qu’il est un réalisateur subtil, tourné vers l’intime et les plages d’ombre de la nature humaine, même si la réussite est moins spectaculaire que dans son magnifique « Rachel, Rachel ». De nouveau, Newman filme avec délicatesse les mouvements intérieurs de son personnage, quinquagénaire un peu paumée qui a autant de mal à entrer dans le moule d’une société encore très codifiée qu’à assumer sa liberté. Evitant le mélo et privilégiant une certaine âpreté dans ce portrait de femme, Newman se rapproche de Cassavetes, sans pour autant atteindre le même niveau d’intensité - le film peut être vu comme une version douce d’une « femme sous influence ». De la même manière, Joanne Woodwoard est souvent très juste, mais son interprétation n’a pas la puissance d’une Gena Rollands… Même s’il est un brin trop sage, « De l’influence… » demeure un beau film sur l’indécision et le trouble de l’âge adulte et sur la force tranquille de l’enfance.
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Un style sobre mais efficace. Le portage à l'écran de cette excellente pièce de théâtre est tout à fait réussie ! Quelques scènes sont véritablement hilarantes, d'autres remuent les tripes.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    220 abonnés 1 596 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Derrière ce titre pour le moins original, De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites, il y a le portrait d'une mère qu'on aurait pu trouver dans un film de John Cassavetes, sous les traits de Gena Rowlands. Une mère borderline, qui tente vainement de contrôler une vie qui lui échappe, une mère courage et une mère indigne malgré sa bonne volonté. Tout en nerfs, sans jamais basculer dans l'hystérie facile, Joanne Woodward donne à son personnage d'écorchée vive, rugueuse et fragile, une dimension infiniment pathétique. Quant à Paul Newman, derrière la caméra, il porte sur l'histoire du film et sur les personnages un regard sensible et tendre. Sans esbroufe, il réussit un dénouement à la fois cruel et qui serre le coeur.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2015
    La carrière de réalisateur de Paul Newman aura été mineure si on la compare à celles de certains de ses congénères comme Clint Eastwood , John Cassavetes ou Robert Redford mais les six films qu'elle comporte sont tous dignes d'intérêt, montrant la préoccupation de l'acteur pour les problèmes de son temps, sa volonté d'exorciser ses drames personnels ("L'affrontement") et son désir de réhabiliter le talent de sa femme que son immense carrière avait fini par éclipser. La présidence Nixon ne pouvait satisfaire un démocrate comme Paul Newman qui profite donc de l’adaptation d’une pièce de Paul Zindel pour dresser le constat assez amer d’une Amérique qui se réveille avec la gueule de bois après le rêve consumériste des années 50/60 auquel ont succédé les années de la libération hippie. Béatrice a traversé ces deux périodes pleine d’un espoir un peu fou et se retrouve à quarante ans divorcée avec deux filles à sa charge et sans emploi fixe. Newman n’est pas le seul à l’orée des années 1970 à s’interroger sur la place de la femme dans une société américaine en crise, Scorsese dans «Alice n’est plus ici » (1974) et, Martin Ritt dans « Norma Rae » (1979) sont comme lui à douter de la réalité de l’indépendance apportée par la libération sexuelle féminine encore toute récente. Mais le regard de Newman est sans conteste le plus sombre. Outre le côté sordide de la maison où vit la fratrie, l’apparence de Béatrice montre une femme prématurément vieillie qui progressivement semble renoncer à regarder l’avenir comme la promesse d’un possible bonheur. La métaphore sur l’influence des rayons gamma montre bien qu’il sera difficile pour les deux filles de Béatrice de se dessiner un horizon dans un environnement aussi plombant. L’aînée, Ruth est déjà à son corps défendant la copie conforme de sa mère et semble devoir emprunter le même chemin tortueux et douloureux. Newman qui est aussi très engagé politiquement n’oublie pas que Nixon a choisi de conduire l’Amérique dans le bourbier vietnamien plutôt que d’accompagner les mutations sociétales et économiques qui secouent un pays désormais en train de s’éloigner de la promesse faite à tous les émigrants venus jusqu’au début du siècle dernier dans ce grand territoire en quête d’un avenir meilleur. La petite Matilda jouée par Nell Potts la fille de Paul Newman et de Joanne Woodward, élève appliquée, férue de science se verra décerner le prix de son école pour son étude sur l’influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites comme l'indique le titre du film . Elle représente sans doute aux yeux du metteur en scène la lueur d’espoir vers un monde qui peut encore espérer dans l'avenir non sans devoir se prémunir de la confiance aveugle accordée jusqu'alors un aveuglément à un progrès technique qui présente aussi ses dangers comme le rappelle la mort du lapin dont il n’est pas clairement précisé dans le film s’il a été tué par Béatrice ou par son exposition aux rayons gamma. Comme le voulait son époux admiratif de son talent, Joanne Woodward porte tout le film sur ses épaules n’hésitant pas à briser l’image glamour que la jeune starlette des années 1960 avait projeté dans les magazines en compagnie de son nouvel amoureux . La récompense viendra au bout de tous ses efforts pour l’actrice avec le Grand Prix d’interprétation à Cannes.
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