Derniers Avis : Rocky IV - Page 5

Un très bon Rocky, de la bonne musique, le combat est hyper réaliste, un de mes préférés, tous les Rocky sont exceptionnels.
Dragooooooooo.
Sylvester Stallone au top.

Le véritable duel entre Balboa et Drago ! Mon préféré des Rocky y a pas de doute. Les entraînements de Rocky et Ivan sont extrêmes et impressionnant, le film mérite d'être vu.

Le début de la fin pour Sly....L'histoire ne tient pas la route. Apollo est retraité depuis pas mal d années et veut affronter le champion du monde amateur soviétique Drago, dans un désir de propagande et d affrontement Est/Ouest, capitalisme contre communisme, sympas américains contre méchants russes... Le combat tourne au massacre et l arbitre n intervient même pas pour arreter le combat. Rocky part venger son ami à Moscou et, accessoirement, de tenter de changer les mentalités du public soviétique dans un contexte de guerre froide. À croire que le film a été scenarisé par l administration Reagan ! Un film très daté heighties avec ses clichés et ses maladresses ( ces longues séquences dignes d un clip d' MTV) apprécié tout de même par certains fans de la franchise. Un succès au box office, certes, mais on frôle le nanard.

Mon chef-d'oeuvre MON PRÉFÉRÉ Rocky 4 ses l'un des meilleure même Rocky 2 et mon préféré aussi ses tes un exellent combat entre apollo Creed j'en avais des frisson et la contre drago s'était pire

Très bien, le film retrace, son envie de combattre son l’adversaire Drago pour pour venger la mort de son amie apollo , un films émouvant.

Très bon film, le meilleur de la saga sans aucun doute.
Déjà très grand fan quand j'étais gamin, quand je le regarde j'ai des frissons. Même si ce n'est pas le meilleur film de tout les temps. J'apprécie surtout ce film par les émotions et souvenirs que j'ai quand je le regarde.

Certainement le plus spectaculairement des Rocky. On en prend plein les yeux, les muscles sont saillants, l'humour est omniprésent grâce à Paulie entre autre.

Ce film est à mon sens le meilleur de la saga Rocky. Il est impressionnant, extrêmement bien réalisé, certaines scènes sont intenses. De plus, il y a beaucoup de bonnes musiques ( "War" composé par Vince DiCola est extraordinaire ! ).

Après un rocky 3 décevant mais bourré de qualités, ce Rocky 4 est encore moins intéressant.
Stallone s'est engouffré dans une formule qui marche mais qui révèle ces faiblesses et qui se répète.
Déjà que je ressentais le sentiment de déjà-vu dans le trois.
De plus la subtilité est plus effacée et les parallèles entre Rocky et son adversaire sont encore plus appuyés.
Ici, Ivan Drago n'est qu'un porte flingue robotisé mais qui révèle une once d'humanité au final mais le problème est d'assister à un manichéisme pur là ou le 3 selon moi parvenait à l'éviter (je ne considère tout de même pas cet opus comme de la propagande).
Mise en scène efficace mais plus grossière et parfois de mauvais goût, structure narrative prévisible, personnages moins bien développés et surtout des dialogues assez creux qui sont d'habitude géniaux.
Rocky 4 c'est selon moi l'épisode qui amène la saga en dessous de la qualité attendue de la saga alors même que le 3 possédait de grosses lacunes. Dommage

Apollo meurt sur le ring brutalement et Rocky va en Russie pour venger la mort de son ami... Le scénario se tient mais j'ai moins accroché avec cet opus même si les valeurs de l'amitié et du sport sont au rdv, c'est un peu les gentils Américains contre les méchants Russes ! Cependant toute la deuxième partie est bluffante d'un point de vue muscles et le combat final est top !!

J ' ai toujours adoré la saga Rocky. C est une saga avec laquelle j ' ai grandit , et j ' adorait vraiment chacun des opus de la saga , sans forcément remettre en question leurs qualités cinématographiques.
Pour tout dire , étant plus jeune , Rocky 4 , était celui que j ' apprécié le plus. C ' était pour moi celui ou l ' adversaire était le plus impressionnant , ou les combats était les plus intenses ; bref pour moi ce Rocky ce présentait en quelques sorte comme le sommet de ce qu ' avais connu cette saga populaire.
Et puis j ' ai grandit , j ' ai pris de l ' age , et mon " sens critique " est passé par la...
Donc évidemment le capital sympathie que je ressentais en visionnant le film lui ne s est pas envolé. Je le trouve , meme aprés de multiples visionnages , efficace dans ses scènes de combats , et avec des personnages toujours aussi attachants. Seulement voila ; j ' ai vu aussi les nombreux défauts que traînait le film , et forcément il souffre de la comparaison avec ses glorieux aînés , qui eux , étaient plus recherchés, avec une psychologie plus approfondies des personnages.
Dans cette opus , le nouveau adversaire que vas devoir affronter Rocky se nomme Ivan Drago ( Dolph Lundgren impressionnant vraiment ) , un colosse réputé comme imbattable , un véritable bloc de béton vivant.
Dommage que l ' on ne creuse pas un peu plus la psychologie du personnage ou de ses origines ( tout juste à t ' il le droit à 5 lignes de dialogues. ) , il aurait était intéressant d ' en savoir un plus sur l ' homme derrière les muscles.
Pour en venir aux personnages , on retrouve ici des combattants sur le déclin et vieillissant , qui veulent avoir encore quelque chose à prouver , bien que leur heure de gloire soit déjà passé. C ' est notamment le cas d ' Apollo Creed , qui par orgueil de retrouver son panache d ' an tan , vas organiser un combat avec Ivan Drago , spoiler: acte qui causera sa mort
.
C est la suite logique de ce qu ' on pouvais attendre dans ce nouvel opus. On retrouve ici Rocky au sommet de sa gloire , mais qui n ' a plus vraiment l ' âme d ' un combattant et qui n ' a plus rien à prouver sur le ring. Cela étant , il fallait en quelque sorte " sacrifié son meilleur ami " pour qu il retrouve le gout au combat.
Pas que l ' idée sois mauvaise , mais ce que je reproche avant tout à cet opus , c est la simplicité de sa trame scénaristique , laissant peu de place à l ' originalité ou à la prise de risque. Pire , le déroulement des scènes et calqués sur ce qu ' on à déja vu auparavant sur la saga.
Rocky vas devoir affronter un adversaire réputé imbattable , il vas avoir une blessure psychologique qui vas le faire douter de lui même , il vas devoir avoir l ' aide de ses proches pour reprendre gout au combat et ne pas baisser les bras ; et enfin il finira vainqueur.
Voila , donc vous l ' aurez compris , le scénario n ' est pas vraiment là où le film se démarque de ses ainés et ne fait que suivre la recette à la lettre.
La réalisation , et bien que se sois toujours Stallone aux commandes est plus proche du vidéo clip ( par moments) , que des plans recherchés que l ' on pouvait voir dans l ' original. Pire encore , la multiplication de séquences entières avec musique pop en fond ( on en compte au moins 4 , pour un film d ' 1h25 !) , prouve que Stallone n ' a pas était très inspiré pour ses scènes un peu plus dramatiques , privilégiant une mise en scène clippes que. La caméra prend au final peu le temps de se concentrer sur ses personnages et sur ce qu ' il ressentent. Les seuls scènes où on sent enfin une mise en scène inspirée et bien pensée , c est lors des scènes de combats , qui iconise à merveille les deux boxeurs. Stallone , grâce à l ' utilisation de split screen et de gros plans sur le visage de ses combattants lors des combats. , capte parfaitement la haine que se vouent les deux boxeurs.
J ' ai beaucoup aimé l ' intensité du combat final , qui même si peut paraître démesuré , reste d ' une réelle efficacité.
Le discours pataud et sans finesse de la confrontation entre l' URSS et les Etats Unis en pleine période de guerre froide , ne joue pas en faveur du métrage.
Beaucoup de scènes qui font carrément remplissage pour combler le vide , tirent jusqu ' a la corde ( les scènes d ' intro avec Paulie notamment ) , on sent clairement qu ' il n ' y a plus grand chose à dire dans cette opus.

Malgrès tout les points faible que je trouve au film ( et dieu sais qu ' il y ' en a !) ce Rocky 4 est indéniablement un ajout très recommandable à la saga. Et on ressens toujours un certain savoir faire de la part de Stallone , devant et derrière la caméra. Il faut pas oublier que Stallone est attaché à la saga , et ce depuis le tout début , et son implication est un vrai plus au capital sympathie de ce 4 éme volet.
Un opus symbolisé par sa simplicité et son efficacité. Ni plus , ni moins , le métrage vas à l ' essentiel , sacrifiant hélas au passages la psychologie des personnages et toute la dramaturgie propre à la saga.
Efficace comme un uppercut bien placé , mais pas aussi marquant hélas.

Un chapitre sorti tout droit de la guerre froide ...mise à part ces clichés sur les méchants russe on peut quand prendre beaucoup de plaisir de spectateur comme sur le passage de la mort d Apollo Creed. La mise en scène est sans doute trop clipesque mais c est le milieu des années 80 ! dans l air de son temps.

Bien parti dans l'exagération et l'exubérance du précédent volet, c'est tout de suite après le troisième épisode que je me suis mis à redécouvrir, là encore pour la énième fois, "Rocky 4". Cette fois-ci, on ne fait clairement plus dans la dentelle et vous savez quoi, j'aime toujours autant ça.

En effet, avec cette quatrième aventure, on peut clairement dire au revoir à une certaine psychologie que l'on essayé d'installer chez nos personnages que l'on suit maintenant depuis quelques films. Certes, on les fait évoluer un peu, on parle un peu de leurs existences, de leurs passés, de ce qui les motive etc etc mais on ne va pas se mentir, on s'en moque un peu.

Ici, tout est prétexte pour nous refaire un film très caricatural et riche en stéréotypes où les gentils États-Unis vont affronter la méchante Russie. La guerre froide mais version boxe avec son lot de discours patriotique et de propagande qui trouveront son apogée dans un discours final des plus mielleux qui de mon côté, rajoute un peu plus au caractère comique que je donne au film.

Derrière ce gentil programme, on va reprendre la même trame qui me plaît tant. On ne s'embête même plus trop avec le scénario, ce dernier devient quasiment anecdotique et on s’occupe davantage de ce que l'on vient chercher à savoir du muscle, de la sueur et du poing. Ami d'une certaine finesse, vous pouvez passer votre chemin. Fort heureusement pour moi, j'aime ce genre de spectacle et je veux bien signer même si je sais que c'est du gros n'importe quoi.

Sylvester Stallone (Rocky) continue de se battre pour les idéaux de son personnage. Son rôle va continuer de véhiculer une certaine morale et même si on nous enrobe ça de vengeance, l'acteur continue de faire le job. On veut le voir taper du méchant, on veut le voir se muscler, on veut le voir avoir mal et il nous en donne pour notre argent. La vedette c'est lui, on veut du Rocky et on a du Rocky pour mon plus grand plaisir.

Et puisque l'on joue dans la caricature, autant jouer le jeu à fond avec Dolph Lundgren (Ivan Drago) qui fait un boxeur soviétique dopé aux hormones et sans cœur mémorable. Comme Mr T en son temps, je regrette un peu sa boxe un peu trop rigide à l'écran mais au final, ça colle bien avec la caricature de son rôle puis, en machine à tuer, il reste efficace. L'acteur trouve en tout cas sa place parmi les adversaires hauts en couleur de Rocky Balboa.

Les deux acteurs auront leurs moments à eux, chacun nous montrera sa force et son entraînement. Leur face à face reste l'élément principal de ce récit. A côté, on retrouvera tout de même Talia Shire (Adrian) qu'on exploite un peu moins malheureusement même si elle joue le jeu ainsi que Burt Young (Paulie) qui montre des bonnes choses mais qu'on continue de ne pas pousser plus loin. Carl Weathers (Apollo Creed) sera de la partie aussi tandis que Brigitte Nielsen (Ludmilla) fera une très bonne compagne pour Ivan Drago même si je cherche encore la véritable utilité de sa présence.

Sylvester Stallone en attendant se lâche à fond derrière la caméra. Il ne fait pas dans la demi-mesure et c'est tant mieux. Quitte à jouer la carte de l'action et délaisser la psychologie de ses personnages, autant le faire à fond et c'est ce qu'il fait. Visuellement, il se fait plaisir. C'est très soigné, très propre et on est encore plus loin du cadre intimiste du premier film.

J'ai bien aimé en tout cas que l'on joue à fond le jeu et que l'on exporte l'action en Russie. Les différents décors me plaisent et l'entraînement façon bûcheron de Rocky apporte un peu de piment à l'ensemble. Rien de nouveau à l'horizon dans la forme mais ça fonctionne puis ça évite une certaine monotonie je trouve. Après, le ton est donné de toute façon dès les premières secondes avec ce gant américain et ce gant russe qui explose pour bien nous montrer que c'est la guerre et qu'on ne fera pas dans le détail.

Je suis en tout cas toujours autant pris dans les différents entraînements que l'on nous montre (c'est ridicule je sais mais ça m'amuse quand un film me donne envie de faire du sport ) et toujours autant pris également dans les différents combats. Je connais l'issue mais je suis quand même à chaque fois dedans tant je les trouve bien filmé. Quant à la bande originale, je suis toujours aussi fan.

Pour résumer, si la "finesse" de "Rocky 3" vous avait perdu, celle de "Rocky 4" risque de vous mettre KO. C'est un parti pris de vouloir se concentrer principalement sur l'action et c'est un parti pris qui s'avère payant pour moi. On n'est clairement plus dans le grand cinéma, on s'en éloigne encore de façon certaine mais rien que pour le plaisir éprouvé de me replonger dans ma jeunesse et parce que le résultat est toujours aussi jouissif sur moi, je continue de prendre mon pied. Un divertissement simple, classique, caricatural mais efficace comme je les aime et dont je ne me lasse toujours pas. C'est grave Docteur ?

Mr Vladdy – 26 décembre 2015.

Le meilleur Rocky. Archi culte ! le scénario, le combat , le USA vs Russie , la musique .. tout excelle ! parfait

Certainement l’épisode que j’ai le plus regardé dans ma jeunesse, sans aucun doute le plus intense et le plus politique aussi. Sur fond de guerre froide, Stallone dresse les portraits emplis de clichés et de stéréotypes de tout ce que représentent les deux forces en présence, à savoir les Etats Unis et l’URSS, au travers des personnages d’Apollo Creed et d’Ivan Drago. A notre gauche, Apollo Creed, « show » comme la braise, symbole d’une Amérique puissante, suffisante, m’as-tu-vu qui regarde le reste du monde avec mépris. A notre droite, Ivan Drago, incarné avec charisme et force par un Dolph Lundgren glacial, symbole de la pauvreté soviétique, du communisme, du froid et du rejet anti capitaliste de tout un peuple. C’est là que Rocky entre en piste, d’abord aveuglé par la haine, il débarque en URSS, loin du luxe et des paillettes, dans des conditions très rudes et va apprendre à connaitre ce peuple et à gagner son respect. On peut dire ce que l’on veut mais le discours de fin de Rocky a une vraie signification, bien au-delà du match de boxe et n’est pas si simpliste qu’il y parait…toujours de fortes valeurs se dégagent de Stallone.
Les ingrédients qui ont fait le succès de la saga sont toujours au rendez-vous : Adrian est toujours aussi présente et déterminante dans la vie du champion, le combat final est intense, puissant, indécis, et surtout ce quatrième opus nous offre la scène d’entrainement la plus mythique possible, dans la neige, le froid, avec un Rocky barbu, émouvant, décidé. Le contraste avec l’entrainement du russe est saisissant, les produits dopants en bonus…
Enfin, le must de ce film est sa BO, absolument parfaite, que j’ai écouté en boucle à m’en faire saigner les oreilles, que ce soit lorsque Rocky part en voiture de nuit ou lors de ses entrainements dans la neige, ces musiques sont absolument magiques, intenses, bouleversantes.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)