Derniers Avis sur Halloween 6 : La Malédiction de Michael Myers

Je trouve que le concept est monstrueux, mais les acteurs sont nuls, sauf l'acteur principal, sa se voyait dans ses fait et gestes que il en avait lui même marre. Bref, un bon concept mais un montage, scénario bien trop moyen...

Dans le panorama cinématographique des films d'horreur, "Halloween : La Malédiction de Michael Myers" se présente comme une tentative audacieuse mais finalement maladroite de renouveler la saga emblématique. Ce sixième volet tente de tisser une mythologie plus profonde autour de son antagoniste titulaire, intégrant des éléments de mysticisme et de culte druidique qui, bien que novateurs, alourdissent le récit d'une complexité peu convaincante.

Le film marque la dernière apparition de Donald Pleasence dans le rôle du Dr Sam Loomis, dont la performance, empreinte de l'urgence et du désespoir caractéristiques du personnage, reste un point lumineux dans un ensemble autrement inégal. Paul Rudd, dans son premier rôle majeur au cinéma, incarne un Tommy Doyle adulte, dont l'obsession pour Michael Myers oscille entre la détermination héroïque et une fixation presque malsaine, reflétant une tentative de connecter les points narratifs à travers la série.

La réalisation de Joe Chappelle peine à équilibrer les nombreux fils narratifs et les nouvelles introductions mythologiques, résultant en un film qui semble souvent disjoint et manque de cohésion. Les tentatives de renouveler l'horreur et le suspense qui caractérisaient les opus précédents se noient dans un flot de scènes d'action et de meurtres qui, bien que graphiquement impressionnants, manquent souvent de l'ingéniosité et de la tension nécessaires pour captiver véritablement.

Le scénario de Daniel Farrands ambitionne d'explorer les racines du mal incarné par Michael Myers, mais s'embourbe dans une explication surchargée qui dilue l'efficacité terrifiante de l'antagoniste. Le film tente de lier son histoire aux origines druidiques et à une malédiction ancestrale, une démarche qui, tout en apportant une dimension supplémentaire à la mythologie de la franchise, tend à éloigner le récit de ses racines slasher plus terre-à-terre.

La production tumultueuse du film, marquée par des réécritures, des reprises et une post-production difficile, transparaît à l'écran, conférant au projet une sensation d'inachevé qui ne rend pas justice au potentiel initial. Malgré cela, le film détient des moments de brillance, notamment grâce à la performance posthume de Pleasence et à certaines séquences efficacement macabres.

En comparaison avec les autres films de la franchise, notamment "La nuit des masques" de John Carpenter, qui reste un classique incontesté, "La Malédiction de Michael Myers" semble manquer de la simplicité et de l'efficacité horrifique qui ont fait le succès de l'original. Même par rapport à des suites comme "Halloween" de Rob Zombie et "Halloween II" de Rick Rosenthal, ce sixième volet peine à trouver sa place, offrant une expérience qui, bien qu'ambitieuse, s'avère finalement insatisfaisante et désordonnée.

Sixième opus ce pourtant plus sur la sorcellerie ; même avec certaines scènes plutôt corrects ; les opus 1, 2, 4 et 5 sont mieux réussis.

Après une genèse (1), une révocation (2), une résurrection et une élévation (4), une exploration sans fond (5), H6 persiste sur des bases instables et achève ce premier cycle avec la dernière apparition de Donald Pleasence, et toujours sans Jamie Lee Curtis, disparue depuis l'épisode 2.
La secte et l'alignement des étoiles mènent à une étude désuète du croquemitaine et de ses crimes qui parachèvent ce cycle; Première partie d'une franchise depuis longtemps délaissée par son auteur d'origine.
Les meurtres s'enchainent sans distinction. Beaucoup de personnages réémergent. On pourrait croire à une conclusion, mais là encore il n'en sera rien. Le pire de la franchise car assez crédule pour s'accrocher sans s'émanciper.

Je vais devoir spoiler des le debut de ma critique car ce film est vraiment une daube infâme, pour quoi ce film est médiocre alors voilà spoiler: Halloween 4 et 5 avait développé une histoire sur le personnage de Jamie Loyde qui était plutôt intéressante joué par l'excellente petite fille Danielle Harris et dans ce 6 ème opus par J.C Brandy. Ont peut comprendre que Danielle Harris à refusé le rôle dans ce 6ème opus car oui en à pène 20 minutes elle ce fais buté par Michael Myers
, Le film introduit donc de nouveaux antagonistes dont ont s'en fou complètement et ont ne rentre pas dans le film, c'est d'une ennuie vraiment. Et ont découvre qui est l'homme en noir du 5eme épisode dans ce 6eme, il s'agit spoiler: d'un docteur nommé Wyne qui dirige un genre de seste avec Michael Myers
enfin voilà ce film est vraiment nullissime, Donald Pleasence qui est là mais il est vraiment inutile à l'histoire et re spoiler spoiler: Michael n'est toujours pas mort à la fin, Loomis dit j ai un petit travail à terminé, et le film ce termine comme ça.
Ont n'a une impression que le film à été un peu bâclé, la fin est bizarre, pas très compréhensible, et voilà. Je déconseille ce film.

Va te confesser, Chappelle... Excusez le jeu de mot vaseux, mais Monsieur Chappelle nous a infligé le pire Halloween de la saga (pour notre part, et de très loin !) avec ses rites sataniques qui sortent de nulle part (un délire dont la justification donnée est assez épaisse pour qu'on puisse voir au travers sans lunettes) et ses sous-entendus de viol pédophile incestueux... On pense vraiment que lui (et son scénariste) ont besoin de se confesser ou d'une séance chez le psy. Ces choix-là sont tellement gratuits qu'on ne comprend jamais ce qu'ils apportent à cet opus, et plus généralement ce que cet opus foireux apporte à la saga. Commençons donc par vous dire que si les premières minutes vous donnent une envie irrépressible de zapper (avec sa voix-off pénible, sa cérémonie sacrificielle qui sort de nulle part, l'infirmière qui se fait planter sur une pique qui sort du mur et dont on se demande bien ce que cette pique fichait à cet endroit précis...), eh bien : succombez. Zappez. Car la suite vous poursuivra en massacrant ce que l'opus 4 (pas vilain) et 5 (vilain) avaient essayé de construire autour de Jamie, un personnage jusque-là assez mal exploité mais dont on espérait mieux que le gouffre douteux dans lequel il tombe (à 15 ans, la fille accouche, et le film insinue que le tonton est le père, donc on imagine bien que la relation était non consentie vu comme se termine le 5ème film... Allez, on a sali notre mémoire de cette saga avec cette image de viol incestueux sur une gamine de 14 ans. On préfère croire que l'on ne sait pas qui est le père). Changeons-nous les idées en parlant de Paul Rudd (oui, il y a Paul Rudd, dans son premier vrai rôle... Enfin, "vrai"... Il est là, quoi), et de la fin qui a certainement manqué de pellicule, puisqu'on a droit à des ellipses dignes d'une parodie : spoiler: la victime est défenestrée devant ses amis pris par les méchants, mais plan d'après (sans transition) elle n'est plus au sol et les amis sont libres dehors ("Ah, on s'est libérés !"... Euh, d'accord...), puis on passe à l'hôpital, puis ils sont devant la geôle où la victime est maintenant enfermée...
On a vraiment du mal à suivre, avec cette grande impression qu'il manque des scènes entières. Le combat final est décevant, et le twist de la dernière seconde commence à être plus que redondant, seul l'hommage à Donald Pleasance (acteur récurrent de la saga, décédé peu après le tournage de ce film) est un court rayon de soleil dans ces ténèbres poisseuses que sont les choix scénaristiques de cette purge accomplie.

Nul. Le pire épisode de la franchise pour moi. Alors que les anciens films de la franchise rendaient Michael Myers intéressant, c'était spoiler: qu'il était juste maléfique. Alors cette histoire de culte brise complètement l'intérêt du personnage.
En plus, le film est ennuyeux et plein d'incohérences. Seul bon point : Michael est très badass dans ce film.

Halloween 6 la malédiction de Joe Chapelle de 1995 est un très bon film
6ème et dernier opus de cette première timeline avant que cette dernière soit rebootée en 1998.
Le film prend place plus d'une dizaine d'années après halloween 5
Jamie Lloyd a eu un bébé mais Micheal s'en empare pour son culte [spoiler][/spoiler]


en tuant cette dernière.

Oui effectivement dans ce 6ème opus on apprend que la folie de Michael provient d'un culte
cela expliquerais donc sa force et sa résistance surhumaine.
On avait déjà aperçu un homme mystérieux dans halloween 5
on retrouve cet homme dans ce film
et il s'avère que cet homme était un vieil
ami du Dr Loomis
mais bien sûr [spoiler spoiler:


ce dernier va le trahir

lui et toute l'équipe (qui constitue la famille Strode et compagnie) du film.
On retrouve bien entendu ce bon vieux Dr Loomis pour la dernière fois malheureusement car son comédien Donald Pleasence décède non longtemps après la fin du tournage du film.
Il aurat été une très grande partie de cette saga et aurat rendu ces films puissants surtout ceux qui souffraient de problèmes (4, 5 et celui-ci).
On retrouve le petit Tommy Doyle qui était dans le premier film gardé par Laurie Strode lors de la soirée où Micheal a attaqué Laurie.
Ils vont donc tous essayer d'arrêter Micky.
Comme 4 et 5 le film est parfois ridicule et bâclé mais celui-ci l'est encore plus
ce n'est vraiment pas un grand film
en plus il très court.
les meurtres ça va encore
Dans le casting je retiens vraiment que Donald Pleasence et Paul Rudd (en Tommy Doyle)
Je ne dis bien entendu pas que les autres sont mauvais.
Le film possède une version director's cut avec une fin alternative
Voilà pourquoi je dis que le film est court.
Malheureusement nous n'avons pas cette version sur nos DVD français
seul les blu-ray américains on cette version
et pour le moment le 6 n'a jamais été réedité
en blu-ray en France.
Et c'est bien dommage car cette version possède plus d'explications et une fin beaucoup plus cohérent et compréhensible.
Mais bien entendu ce 6ème opus a évidemment ce charme spécial.
C'est ainsi que ce conclu cette première timeline.
Ces 6 films (5 chronologiques) resterons à jamais dans les mémoires
Je met au film plus de 3 étoiles

Après un médiocre cinquième volet, tourné à la va-vite dans le sillage du quatrième, Moustapha Akkad, le producteur de la franchise Halloween, décide de se donner le temps de la réflexion pour aboutir à un sixième volet plus posé. Qui ne sortira donc que 6 ans plus tard, en en 1995… et sera ironiquement encore plus raté que ses prédécesseurs. En effet, « Halloween : the Curse of Michael Myers » est célèbre pour ses diverses versions plus ou moins farfelues. La version officielle, sortie en salles, fit suite à des projections tests désastreuses, qui ont nécessité des retournages. Problème : Donald Pleasence était déjà décédé à ce moment. En résulte un film bazaresque à souhait. Il existe également un « Producer’s Cut », sorti en vidéo depuis, qui correspondrait plus ou moins au film présenté en projection test, avant les retournages donc, et qui a (un peu) meilleure réputation. Cette critique porte uniquement sur la version diffusée en salles. Version qui est tout simplement un produit boiteux et sans intérêt. Un scénario bourrés d’incohérences (dont le nouveau-né le plus silencieux de l’Histoire des bébés !), qui tente laborieusement de repartir de la fin du cinquième opus, où Michael Myers s’évadait avec la complicité d’un mystérieux homme en noir. Tout en essayant d’expliquer les origines et motivations de Michael Myers, sans y parvenir de manière satisfaisante (ni vraisemblable d’ailleurs). En guise de héros, on nous ressort le Dr Loomis, peu présent à l’écran, et incarné par un Donald Pleasence au bout du rouleau peu avant sa mort. Mais aussi des cousins éloignés de la famille Strode (qui a dit paresse scénaristique ?), ainsi que Tommy Doyle. Comment, vous ne vous souvenez pas de lui ? Enfin, il s’agit du garçonnet gardé par Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) dans le premier film. De toute évidence, sa présence était indispensable ! Et ce n’est rien de moins que Paul Rudd ( !) qui l’interprète. Et c’est un euphémisme de dire que l’acteur est complètement à côté de ses pompes, ses confrontations avec Michael Myers étant particulièrement risibles. La faute en revient probablement au réalisateur, car la même année Rudd était tout à fait convaincant dans « Clueless », tandis que pour cet Halloween c’est tout le casting qui semble aux fraises. Côté mise en scène, c’est au choix. On oscille entre de l’incroyablement plat, à coup de jump scares pathétiques, et du portnawak. Dont un final particulièrement brouillon et je-m’en-foutiste (comment un producteur a-t-il pu valider une chose pareille ?). A noter que devant ce chaos, le septième volet ne s’embarrassera pas de tenter de suivre le fil. Il annulera purement et simplement les volets 4, 5 et 6, préférant s’afficher comme la suite du deuxième. On le comprend…

Je ne sais pas ce que le réalisateur a encore fumé, mais, le coté sorcellerie, rituel etc, c'est d'une niaiserie et d'un ridicule sans nom. En plus de ça, le film est EXTRÊMEMENT lent et comme le dit une personne dans les commentaires, le montage est un merdier... Il rejoint la liste des Halloween tout pourri (Halloween 3)

Je me demande quel est le réel but de certains réalisateurs de cette SAGA... Des fois, c'est tellement hors contexte, sans rapport avec les autres, que ça en deviens limite drôle. POURQUOI mettre de la sorcellerie et des rituels dans Halloween ??

Un scénario catastrophique pour ce sixième film autour de Michael Myers.
Les seuls points positif qu'on peut tiré de ce film sont les scene d'horreur bien sanglante et un Michael fort présent.
Notons également la dernière apparition de Donald Pleasure avant sa mort qui etait présent depuis le premier Halloween.

Euh.. c'est bien de la merde, c'est inutile, ça n'apporte rien à cette saga, qui meurt depuis le 4ème épisode. Ce 6ème a quand même pour but de faire relever le niveau, j'ai quand même envie de vomir quand je dis ça.. mais quand vous voyez un Halloween ayant comme titre "La malédiction de Michael Myers", tu t'attend pas à un culte du cinéma de l'horreur et à un succès. J'ai l'impression que les producteurs insistent beaucoup sur le fait que c'est essentiel de rallonger cette pauvre franchise juste pour la faire souffrir encore plus et la faire tomber à l'agonie. Voilà c'est très nanardesque comme titre, surtout que ça a été recherché par le pauvre Joe Chapelle, réalisateur incompétent nous faisant exhiber sa Filmographe bien médiocre.

En faite Halloween 6, ça n'apporte rien oui.. mais si ça a pour but de faire kiffer les amateurs de gore et de continuer dans une linéarité scénaristique faible et à la fois complètement banale. Je me dit qu'on devrait s'en passer et en arrêter là, et attendre 40 ans après pour recevoir l'excellent Halloween 2018, comme ça on garderait que les 3 premiers épisodes, oui j'ai cité Halloween III parce que je l'adore, je suis complètement fan ! et garder ceux de Rob Zombie ^^ Surtout qu'en plus il essaye de rajouter une histoire un peu plus complexe, plus recherché afin de bien faire remplir son contenu et donner un nouveau chemin à la saga, mais si ça devait être original, hum.. c'est raté parce que ça ne sert toujours à rien.. et pk a t-il 6.6/10 sur Metacritic ? C'est pas mérité, c'est de la merde.. ça nous montre que du gore et rien de plus ! bref à éviter !

Nouveau volet pour Michael Myers et ses tueries !! Le film souffre d'un scénario insipide et d'une mise en scène moyenne !! Ca sent trop le réchauffé et les ficelles scénaristiques trop nombreuses !! Même Donald Pleasence, emblémùatique Dr Loomis, n'y croit plus

Six ans après le décevant Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers (1989), énième chapitre de cette franchise qui semble ne pas vouloir prendre fin et où l’on retrouve pour la dernière fois, l’acteur Donald Pleasence (Dr. Loomis) qui est décédé quelques mois après la fin du tournage. Seul rescapé de la franchise (en dehors du mystérieux "homme en noir" vu dans le 5ème volet), puisque même Danielle Harris (Jamie Lloyd, fille de Laurie Strode dans le 4ème & 5ème opus) ne figure pas au casting (elle fut écartée du projet à cause de ses exigences salariales) et se retrouve donc remplacée par J.C. Brandy.

Avec son scénario capillotracté (où il est question d’une secte adoratrice de Myers, qui enlève la fille de Laurie Strode) et ses innombrables remontages (pour remédier à différents soucis, notamment dû au décès de Donald Pleasence dont la fin initiale lui accordait trop d’importance pour la suite des épisodes à venir, sans oublier les projections-tests calamiteuses qui obligèrent Miramax et le réalisateur à retravailler le film), bref au final, un beau foutoir puisqu’il existe à ce jour, pas moins de 5 versions (dont la Director’s Cut, la Producer's Cut (la fameuse "666") et une version TV).

Avec Halloween 6 : La Malédiction de Michael Myers (1995), le film enchaîne les invraisemblances et/ou ne va jamais au bout de ses idées. Que dire par exemple de la famille Strode qui décide d’aller habiter dans la maison des Myers (!?) ou encore, le lien parapsychologique qui unit Danny à Myers et dont ne on connaîtra jamais les origines… ou encore de ces fameuses runes magiques dont Tommy Doyle (incarné par Paul Rudd) essaie tant bien que mal et grossièrement de nous en expliquer les fondamentaux.

Bref, il en résulte au final une intrigue bien trop confuse liée notamment aux nombreux reshoots et autres charcutage au niveau du montage initial. Un film qui démarrait mal dès le début (en atteste les projo-tests) et qui inexorablement aura fini par en payer le prix cher avec toutes ces modifications de dernières minutes.

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On reproche souvent aux Slashers de faire toujours la même chose surtout quand il s’agit d’une saga comme Halloween ou vendredi 13. Ce sixième volet d’Halloween tente de nouvelles pistes en faisant notamment de Michael Myers l’objet d’une secte. Pour le coup j’aurais préféré que le film se contente de renvoyer ce bon vieux Boogeyman terroriser des habitants de l’Illinois car rien ne fonctionne dans les nouvelles pistes qu’il lance. On sent que le film a été réécrit au fur et à mesure ou alors remonté en dépit du bon sens car on a aucune cohérence. Et puis du point de vu des meurtres c’est d’un ennui terrible. Et c’est vraiment l’ennui qui prédomine alors que le suivant est tellement mauvais qu’il tend vers le nanard.