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    Stuck - Instinct de survie
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    Estonius
    Estonius

    2 504 abonnés 5 236 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2022
    Un thriller réalisé de main de maître par Stuart Gordon et qui nous scotche dans notre fauteuil pendant 90 minutes. C'est inspiré d'un fait réel, mais ça reste du cinéma d'où la touche finale très "horror movie". La force du fim est de nous montrer que l'horreur vient ici du quotidien, une indécision, une lâcheté et le reste n'est qu'enchainement, Il nous faut remarquer l'excellent travail d'acteur de Stephen Rea. Mena Suvari en ange de la mort fait bien le boulot, mais on aura une petite réticence pour Russell Hornsby. Le réalisateur à eu l'intelligence de saupoudrer son film d'un peu d'érotisme, de l'humour (la scène des deux maitresses) et fait très rare au cinéma on a même une séance scato non choquante. Un excellent film !
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 020 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mars 2021
    S'il reste quelque chose à sauver dans ce film qui s'inspire d'une histoire vraie, c'est Stephen Rea qui accomplit la performance de rester coincè dans un pare-brise de voiture pendant deux tiers de film! Quand il en sort, c'est pour rester enfermè dans un fichu garage! Venant de Stuart Gordon (le culte "Re-Animator" quand même) qui signait là son dernier long-mètrage pour le cinèma, "Stuck" est un film bien dècevant! Le pompon revient au dealer black qui trompe sa petite amie et qui se cache derrière elle comme un poltron! Eh oui tout ceci est une histoire vraie, rèalisèe à l'èconomie, avec de piètres seconds rôles qui font dans la caricature pure et simple! Si le rèsultat n'est pas à la hauteur de l'ambition, c'est à cause d'eux! Et puis Mena Suvari est vraiment mauvaise en jeune infirmière! Bref on ose tout et on n'a pas peur de citer O. J. Simpson pour faire passer un soi-disant message...
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    La filmo de Stuart Gordon aura suivi l'évolution des préoccupations plus sérieuses voire auteurisantes de cinéastes partis du fantastique horrifique le plus débridé pour atterrir dans l'horreur dite moderne et sociale. Stuck clôt ainsi une trilogie entamée en 2003 avec le mésestimé King of the ants et poursuivi deux ans plus tard avec Edmond, l'adaptation d'une pièce de David Mamet (Les incorruptibles, La prisonnière espagnole).
    Stuck, c'est l'adaptation d'une traditionnelle histoire "choc" et véridique, qui décrit les trajectoires très différentes de deux personnages que rien ne semble pouvoir réunir. Deux destinées qui vont littéralement se percuter en début de métrage après avoir bien pris connaissance de l'existence de chacun des deux personnages.

    Attention résumé succinct de la première partie du film :
    Brandy, une jeune femme bien sous tout rapport, employée dans un hospice s'apprête à être promue chef de service tandis qu'un pauvre loser subit les retombées d'une administration sociale incapable de la moindre compassion envers les pauvres chômeurs sans couverture sociale. Ainsi, Tom Bardo est-il désigné d'office comme le martyr d'une société inhumaine, le voyant d'abord perdre son logement puis ses aides et son statut social en une seule journée de merde. Ce qui le conduit à passer sa première nuit à la belle étoile en tant que clochard officiel. Lequel se fera un allié fugace en la personne de Sam (l'oncle ?), vieux clodo rompu au vagabondage, seul véritable semblant d'humanité jusqu'à présent. En parallèle, nous avons donc Brandy, l'aide-soignante pleine d'abnégation, à voir comme elle s'occupe de ses patients, et qui se voit miroiter une promesse de promotion. Nous voyons alors le côté moins reluisant de Brandy, quand elle passe une bonne partie de la nuit à fêter sa nomination dans l'ambiance chaleureuse d'une boîte craignos, tout en ingurgitant à la volée un nombre incalculable de cachetons d'ecsta et autres cames illicites comme autant de smarties, fournis par son bienveillant petit-ami dealer, Rachid. Lequel au passage, affirme tout en gouaille être rompu à tous les exercices criminels, homicide compris.
    Suite à la java, Brandy se persuade d'être en état de conduire pour rentrer chez elle alors qu'elle a la démarche chaloupée d'une ivrogne au dernier degré. Son doux prince lui promettant de passer la voir un peu plus tard dans la nuit, c'est sur cette tendre promesse qu'elle prend sa voiture et rappelle son mec plusieurs fois en route pour lui demander d'apporter des chips en plus de l'alcool et de la came. Il est deux heures du mat. Concentrée sur son téléphone alors qu'elle roule dans une large avenue déserte, elle percute de plein fouet, le brave nouveau clodo qui traversait sans regarder. Lequel est... Tom Bardo, je vous le donne en mille. Terrifiée, poussant une série de petits cris aigus, propres à réveiller toute la rue, Brandy, prend donc la direction de l'hôpital dans l'intention de déposer ni vu ni connu le pauvre gars inconscient qui s'est méchamment encastré dans son pare-brise et dont le sang commence à bien tâcher le siège du mort. Las, elle renonce à son intention première, dérangée par une équipe d'urgentistes à deux doigts de la surprendre. Elle a alors l'excellente idée de ramener sa voiture chez elle, de la garer en toute sécurité dans son garage, clochard compris et de faire dans un premier temps comme si de rien n'était en s'envoyant en l'air avec son petit-ami dealer, tout en espérant que le type canne dans son garage durant la nuit. Mais au petit matin, le gonze toujours confortablement installé dans le pare-brise, mi-capot, mi-tableau de bord, est toujours vivant, le saligaud, malgré l'essuie-glace qui lui chatouille méchamment le rein. Celui-ci à nouveau conscient, demande à Brandy de l'aider, elle ment effrontément en lui disant qu'elle va le faire tout en l'incriminant au passage d'avoir traversé la route sans regarder.
    Je ne vais pas spoiler le reste, mais croyez-bien qu'en 85 petites minutes, le métrage aligne les situations et réactions absurdes et donc improbables à la louche.

    Vous l'avez compris, Brandy est une conne (au péremptoire) et c'est encore un euphémisme, tant son degré de bêtise s'aligne avec le François Pignon du Dîner de cons. Pour ceux qui en douteraient, je les invite à voir ou à revoir son geste ultime en fin de métrage, car là vraiment on navigue dans de la connerie de compétition.
    Certes, elle n'est pas totalement méchante, puisqu'on la voie bien s'occuper d'un vieillard incontinent en début de métrage. A part ça, dès que quelqu'un vient se planter dans son pare-brise, il n'y a plus que sa promotion qui compte. L'homme a beau agoniser dans son garage, hors de question de reconnaître en ce clodo une vie humaine qui vaille la peine d'être sauvée au point de sacrifier son si bel avenir. Tous ses gestes pourront être facilement vus comme guidés par la peur, une trouille maladroite et cruelle, qui devient, il faut l'avouer, de la simple cruauté quand elle fait de Rachid son complice en vue d'une exécution en bonne et due forme.
    Sauf que celui-ci est tout aussi con qu'elle, la différence étant qu'il n'arrête pas depuis le début de se vanter d'être un criminel homicide aguerri (et donc l'homme de la situation), ce qu'il n'est évidemment pas, vu sa réaction première à la vue du corps ensanglanté de Bardo.

    Au premier abord, le pitch du film est intriguant, il est vrai (il m'a intrigué moi), voire alléchant (il m'a même alléché). Un huis-clos insoutenable, une confrontation psychologique et non-manichéenne entre deux personnages qui n'auraient jamais dû se rencontrer (ça c'était le film tel que je me l'imaginais). Autant de choses qu'aurait pu être Stuck mais qu'il n'est finalement pas.
    L'histoire est traité de manière grossière, comme une dénonciation simpliste du système déshumanisé dans lequel se vautre l'Amérique moderne. Au point de pousser une gentille aide-soignante a souhaiter la mort d'un pauvre couillon. Au point même qu'une famille d'immigrés chicanos, avoisinant le garage, décide, par peur de s'attirer les foudres de l'immigration, d'ignorer purement et simplement le mec encastré dans la bagnole du garage d'à côté qui ne cesse de martyriser le klaxon de la-dite caisse et donc de manifester sa présence à tout le quartier.
    Des personnages positifs dans le film il y en a deux, le clochard Sam, lequel appelle des flics, occupés à le contrôler inutilement, à s'intéresser à la bagnole dans laquelle s'est encastré un homme et qui passe juste derrière eux. Mais les flics on le sait, ils sont obnubilés par les sans-abris (film non-manichéen). Le second perso vaguement humain, c'est le petit latino qui veut à tout prix sauver Bardo et que son père gronde en lui enjoignant de la boucler, que c'est pas bien de se mêler des affaires des autres.
    Là où le métrage aurait pu gagner en crédibilité en humanisant un tant soit peu ses personnages, il échoue lamentablement en alignant une galerie de stéréotypes à une série de péripéties absurdes et grotesques dont on peut vraiment douter de la véracité.
    Bardo attire inévitablement la sympathie tant son chemin de croix parait aussi atroce qu'abusif. Il est traité de manière abstraite par Gordon dès le début du récit, quand on voit que sa seule photo-souvenir témoigne d'une existence vide de sens et de proches.

    Le film est-il un échec total ? Faut pas exagérer. Gordon a de l'expérience et de la bouteille, en plus d'un statut de réalisateur culte quand même. Son introduction montrant la vie dans un hospice, un ballet de vieillards sur fond de musique hip-hop témoigne de sa volonté de briser certains schémas établis. Il pousse l'audace plusieurs fois dans son métrage, jusqu'à montrer une scène de coït sauvage au bout duquel l'orgasme explose en parallèle avec le souvenir de la collision entre la voiture et Bardo.
    L'interprétation sans atteindre les cimes du métier, est plutôt bonne. Une gageure tant il est difficile de donner corps à des personnages aussi abstraits. Mena Suvari alterne parfaitement les expressions de bêtise crasse, de surprise horrifiée et de détermination cruelle. Quant à ce vieux briscard de Stephen Rea, il est irréprochable tant l'essentiel de son interprétation se repose sur le calvaire d'un personnage malmené durant tout le film. Le reste du casting assure son boulot sans plus.

    Ce qui est donc grandement dommageable au film de Gordon, c'est son traitement archi-simpliste, à la fois des personnages et des événements. Stuck se repose sur deux parcours radicalement différents et largement sous-traités qui se rencontrent en une situation horrible et incongrue. Cela aurait pu passer pour avoir été une histoire vraie si les personnages n'avaient pas été de simples caricatures. Au vu de la filmographie de Gordon, c'est une véritable déception.
    Roub E.
    Roub E.

    737 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    J’étais curieux de voir une des dernières réalisations de Stuart Gordon, un excellent artisan du cinéma bis. Ce Stuck est assez intéressant au niveau de ce qu’il raconte: on suit une jeune infirmière en passe d’obtenir une promotion, qui un soir de fête renverse un sdf qui s’encastre dans son pare brise. Pour ne pas risquer de perdre sa petite vie tranquille elle n’appelle pas les secours et laisse ce dernier à l’abandon dans son garage. Parabole évidente sur l’égoïsme, sur la négation des gens de peu par l’ensemble de la société et même par des classes sociales à peine plus élevées, Stuck est un polar qui souffre de quelques longueurs (un moyen ou court métrage aurait été plus efficaces), d’un manque de moyen et d’une direction artistique assez faiblarde. Il y a tout de même de très bon passage, notamment son final qui pour le coup est très réussi.
    Benito G
    Benito G

    586 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2020
    Un scénario qui pourrait éventuellement être réel (sauf quelques moments spoiler:
    "du choc au garage... [spoiler][/spoiler" par exemple). Qui même si on comprend et entre facilement dans l histoire. On va dire que la 1ere partie, il y a petit manque de rythme... Les acteurs sont pas extra mais font le boulot. Et les acteurs secondaires, dont on ceux doute, a la lecture même du scénario aurait pu être exploiter un peu plus ou de façon différente. Il en reste un petit film sans doute, sans gros budget. Qui fait le travail de nous divertir le temps d un film avec un "twist final" prévisible sur quelques points mais totalement sur le façon dont il est exposé. Bref sans être exceptionnel ni le film à voir et revoir. Sa se laisse regarder. Mais classé "épouvante / horreur et je ne sais plus trop quelle autre catégorie. Pour le coup ce n est pas un film d horreur. Un peu de suspens, un petit peu côté drame... Mais pas vraiment autre chose. Inconnu pour moi auparavant, donc vu par hasard. Cela aurait pu être pire, mais on sauve les meubles on va dire.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 427 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2020
    Avant tous saluons la mémoire du grand Stuart Gordon, qui nous a offert des films comme Re-Animator ou The Pit and the Pendulum. Le personnage principal est un égoïste et lâche et si elle ne le gardait pas dans son garage, elle aurait pu aider le sans-abri qu'elle percute en appelant les autorités ou en lui donnant un traitement approprié (elle est infirmière). Non elle ne le fait pas et elle le garde dans son garage. Est ce qu'une personne ordinaire devient monstrueuse, quel est le déclencheur, quel est le tournant fatal ? La peur est-elle une raison acceptable d'égoïsme, de brutalité et de fuite folle de toute responsabilité ? Dans Stuck Gordon traite admirablement de ces dilemmes en utilisant un équilibre astucieux entre horreur et humour. Celle-ci devient inhumaine tandis que la victime reste humaine et humaine à travers sa douleur. Si vous avez un sens de l'humour sombre ce film est absolument à voir...
    Djo D
    Djo D

    58 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2019
    Honnête mais sans grand talent. Un pitch original et bien mené, mais pas d'inventivité. Peu voire pas de tension mais un attrait certain pour les deux situations parallèles que vivent les deux personnages principaux. Bien mais pas top, quoi.
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    15 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    Un film relativement ennuyeux qui souffre d’un manque de budget évident pour lui permettre de s’en sortir honorablement. Bien que le scénario soit plutôt intéressant, l’exploitation qui en est faite n’est pas convaincante et devient assez rapidement peu crédible (Stephen Rea est franchement un surhomme pour survivre à l’accident…). Pourtant, le casting est bien choisi, Stephen Rea est un grand acteur, très touchant dans son rôle de SDF, et c’est avec une immense joie que l’on retrouve Mena Suvari, brillante actrice totalement sous exploitée et laissée aux oubliettes sans raison. Cependant le tout manque de rythme, de force, de rebondissements crédibles pour faire de ce film autre chose qu’une série B de plus, sortie directement en DVD et oubliée presque aussitôt.

    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    Artriste
    Artriste

    83 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 août 2017
    Ma critique de Stuck va être rapide tant il n'y a rien a dire sur ce film, pourtant le synopsis un peu barré me donnait envie. L'histoire soit disant tiré d'une histoire vraie qui ne valait pas plus d'une ligne dans un journal mais dont ils ont fait un film se met en place durant les quinze premières minutes et c'est plutôt sympa avec ce gars a qui il arrive que des problèmes. La scène ou Sam lui parle dans le parc est le seul passage intéressant car oui on s’aperçoit rapidement des limites du scénario. Il ne se passe rien, c'est grotesque, sans intérêt et l'ennuie a vite pointé le bout de son nez. Heureusement le film est court mais les une heure vingt paraissent duré une éternité. Les acteurs sont mauvais et leurs personnages insipides. Leurs réactions sont débiles, les dialogues ridicules et la réalisation bas de gamme. La fin pour le reste n'a aucune importance tant on s'en fou. La seule bonne chose est la musique du générique de fin car elle est sympa et surtout car elle nous délivre de cette horreur. Oui Stuck est juste nul. Si c'est un film qui se veut sérieux c'est raté, si c'est un film qui se veut être une parodie c'est raté car on ne rit pas. A fuir absolument tant c'est une perte de temps et qu'il n'y a rien a en retiré.
    panus
    panus

    4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juillet 2017
    Au début du film, on s'attend à voir un bon thriller, puis tout doucement on s'aperçoit qu'il ne faut pas prendre ce film au sérieux. Bien qu'il soit inspiré d'un fait réel (et grave celui-ci),il y a un côté parodique qui prete plus à sourire qu'à frissonner. Je ne suis pas adepte de ce genre de film, mais j'ai quand-même passé un bon moment. Je dirais qu'il est dans le style de "Scary movie" mais en moins bon.
    fatalfurcy
    fatalfurcy

    1 abonné 45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2017
    Pas besoin de budget colossal quand on a des idées. Ce film le prouve. Simple et efficace. Ce n'est pas le film du siècle mais la réalisation est honnête et suffisamment prenante. On accroche bien aux personnages et la caricature est assez plaisante. Un sdf intègre, un caïd black couard, une aide soignante psychopathe, des voisins sans papiers, .... seul défaut, le doublage vf très moyen.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 octobre 2016
    Dire qu'il s'agit d'une histoire vraie !! Très bien fait à mon goût et réaliste. Mes respects.
    On peut vraiment dire que ces "méchants" étaient trop nuls... A l'image de ceux qui avaient kidnappé le juif millionnaire dans NO Pain No Gain(encore une histoire vraie).
    Nicothrash
    Nicothrash

    293 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2015
    Autant se le dire de suite, on est assez loin des premiers métrages de Stuart Gordon, ce "Stuck" bien qu'avec un scénario original se révèle trop classique. Finalement, le seul véritable intérêt est qu'il est tiré d'un fait réel abominable car pour le reste c'est très limite. Pour ce qui est du casting, seul le SDF s'en tire avec les honneurs, les autres sont tout bonnement mauvais en plus d'incarner des personnages d'une débilité incommensurable, la palme revient à Mena Suvari et sa tronche d'extra-terrestre qui surjoue constamment en plus de paraître, et de loin, la plus bête de ce métrage. Un des rares points positifs est sans conteste l'entrée en matière qui plante le décor et nous familiarise avec la victime, l'empathie n'en sera que plus grande et le final plus agréable. Le reste se suit sans véritable plaisir, entre scènes sanglantes au rabais et moments ridicules, on veut surtout connaître la fin et pouvoir passer à autre chose. Dans le même registre, j'ai préféré "Hit and Run", plus fun et plus gore, bien barré mais qui s'assume.
    Lemmy K
    Lemmy K

    15 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    Ignoble, malsain, horrible... et tellement vrai !
    C'est le côté réaliste de la noirceur de l'âme qui dépeint cette histoire basée sur des faits réels !
    S Rea est juste impeccable de réalisme et M Suvari pleine de cruauté soujacente à une lachete emplie d'égoisme !
    Marc T.
    Marc T.

    240 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2015
    Je ne sais pas si tout doit être imputé à la - très mauvaise - VF et au - mauvais - jeu des acteurs mais seul Stephen Rea se sort honorablement de cette - mauvaise - série B. L'idée de départ laissait présager un bon petit thriller horrifique, mais il devient hélas vite guignolesque jusqu'à la très risible scène spoiler: du stylo enfoncé dans l’œil
    . "inspiré de faits réels" nous dit-on dès les premières secondes. Sérieusement ?
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