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    Une vieille maîtresse
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    85 critiques spectateurs

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    Nicolas R
    Nicolas R

    4 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2022
    Les lèvres pulpeuses et la voix grave, un adolescent récite d'un ton monocorde des phrases qu'il ne comprend pas à une beauté brune dont on ne comprend pas les phrases. Des plans fixes, presque pas de musique, le parti pris pourrait avoir de l'intérêt si le jeu des acteurs nous enflammait, si la réalisation nous rendait quelque chose de l'incandescence du roman. Mais non, tout est plat, morne, sous-joué, mal joué.
    Yalfy
    Yalfy

    90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2021
    Peut-être le meilleur film de la sulfureuse Catherine Breillat.Une adaptation du roman passionnel de Barbey d' Aurevilly, certes plus érotique que romantique à la différence du livre.Les acteurs et actrices sont tous très bons.Il n' y a pas Rocco Siffredi.Une vision essentiellement charnelle de l' amour passion, loin des clichés sur les cougars avec une touche de mysticisme
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 avril 2021
    Je ne vais pas pouvoir en dire grand chose car je suis passé totalement à côté. Pour un film que veut parler de la passion et du désir qui ne s’éteint pas, j’ai trouvé le film beaucoup trop froid et désincarné. C’est également trop passif, trop lent, trop long; je n’ai ressenti aucune tension sexuelle entre les deux personnages principaux alors qu’elle devrait être constante dans ce film. Bref j’ai trouvé cela raté et longuet, un petit mot sur les costumes qui sont remarquables mais cela fait trop peu pour rendre l’ensemble intéressant.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 octobre 2020
    J'ai vu Une vieille maîtresse cet après-midi et bien qu'à la fin ma montre m'ait assuré qu'il durait moins de 2 heures j'ai eu l'impression de m'être assis à travers la lecture d'un roman de 459 pages. Des dialogues interminables en français très littéraire avec les personnages assis filmés par une réalisatrice qui ne sait pas comment filmer les dialogues notamment le dialogue littéraire. Les costumes étaient beaux, tout comme les décors mais tous cela m'a rappelé une pièce de théâtre. Il y avait les petites erreurs ennuyeuses. Pourquoi au milieu d'un film qui reste proche de sa période historique de 1835 les personnages font ils une interprétation d'une chanson populaire allemande des années 1920. Pourquoi à l'ouverture du film la date 1835 est-elle indiquée avec l'étiquette la période de Choderlos de Laclos. Laclos mourut en 1805 et son œuvre unique Les Liaisons dangereuses date de 1782. Cette histoire date si clairement de la Restauration et juste après la période Balzac. Le jeu des acteurs ici était décent tous au plus les décors et les costumes aussi. Mais les dialogues étaient mauvais tout comme la réalisation et j'ai trouvé le rôle masculin ennuyeux...
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2020
    Seul film en costumes (XIXe) et adaptation d’un auteur (Barbey d’Aurévilly) en dehors des deux contes, « Barbe Bleue » et « La belle endormie », « Une vieille maîtresse » n’appartient clairement pas à l’univers habituel de Catherine Breillat. En faisant abstraction du choix de Fu'ad Aït Aattou trop jeune pour incarner Ryno de Marigny, le casting est remarquable, dominé par Asia Argento, Claude Sarraute, Yolande Moreau et Michael Lonsdale. Les dialogues repectueux du roman sont ciselés sur mesure, et les visuels souvent désarmant d’efficacité malgré leur simplicité, mettant ainsi en évidence de véritables tableaux par une utilisation très travaillée des éclairages. L’austérité des décors de bord de mer permet une concentration et une densité qui évitent toute fuite de tension. Rarement Breillat aura autant maîtrisé ce sujet dont pourtant elle n’est pas à l’origine. Ce point fort est aussi le point faible du film qui peine à rendre ces « Liaisons dangereuses » du pauvre véritablement passionnantes. Un comble pour la cinéaste, le film n’est ni assez fou, ni assez osé, n’exploitant que superficiellement le potentiel sexuel d’Asia Argento (peut être « un pareil laideron », mais elle en a émoustillé plus d’un !) comme l’avait fait Olivier Assayas dans « Bording Gate » sortit la même année.
    Fab3007
    Fab3007

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Film,au décor et paysage somptueux, bon film dans l ensemble ,asia argento nous livre un performance a la fois étonnante , charnelle, mystérieuse , nous prouve encore une fois que c est une magnifique actrice
    ferdinand75
    ferdinand75

    452 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2016
    Un beau film de Breillat, quoique un peu austère. Le thème du roman d’origine n’est pas très amusant et n’ouvrait pas vraiment le champ à la fantaisie. On est dans la tradition du roman de mœurs du 18e siècle, post libertin. Les décors sont bien choisit, les costumes très soignés, un gros travail de reconstitution d’époque, avec un budget limité, qui n’a pas gêné pas .Les trois personnages principaux sont très bons avec , Roxana Mesquida, en blonde, impeccable en jeune fille vierge et traditionnelle,de belle noblesse, décidemment une bonne actrice, aux multiples facettes, et Asia Argento en jeune femme libertine , dévergondée ,vénéneuse mais en même temps très amoureuse de son amant, et prêt à tout pour le garder . A noter l’interprétation très amusante, plutôt réussie de Claude Sarraute , chroniqueuse de télévision, qui s’en tire plutôt bien, car son texte , un peu précieux, lui correspond tout à fait. La dernière partie tournée sur les côtes bretonnes est peut-être la meilleure, avec quelques moments tragiques: la tromperie , l’attente de l’enfant, tout cela dans les décors sauvages de ce manoir Breton . Quelques jolis plans sensuels de caresses et d’enlacements, entre Argento et Ait Aattou qui nous rappelle que Breillat sait bien filmer les corps dénudés , dans son style bien particulier, un peu froid mais réaliste..
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mars 2015
    Des décors et des costumes superbes, des dialogues ciselés et élégants, des acteurs fort convaincants pour ce film réussi qui raconte une belle histoire d'amour... spoiler: et de cocufiage
    . Avec en prime une Asia Argento qui a le feu intérieur d'une Carmen, et qui ne cache rien !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Le casting riche, les beaux costumes et les décors donnent de belles images et une certaine assisse au film hélas l'arrivée de Claude Sarraute vient rapidement doucher notre enthousiasme. De plus Fu'ad Aït Aattou malgré une bonne performance semble un peu jeune pour le rôle , quant à Asia Argento elle assure une prestation en dents de scie à l'image de la réalisation qui alterne entre lourdeurs et outrances. Avec tout ça on a du mal à être convaincu par un scénario qui possédait pourtant du potentiel, dommage.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    104 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 août 2013
    Adaptation d'un roman du 19ème siècle qui ferait passer Jane Austen pour une auteure diablement rock&roll. "Une vieille maîtresse" n'est pas un film, c'est une punition...
    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2013
    Pour un Breillat Une vieille maîtresse est pas trop mal mais l'ensemble reste trop classique pour réellement nous passionner, on se laisse prendre par l'histoire mais ce film assez froid commence à nous lasser au bout de 30 minutes et si la reconstitution de l'époque est correcte au niveau de l'interprétation sans qu'elle soit mauvaise tous les acteurs ne sont pas forcément convaincant dans leur rôle. Sinon Breillat oblige on a droit à une scène de fesses à l'air (sans doute le moment ou Asia Argento s'exprime le mieux). Un Visconti ou un Bolognini auraient sans doute sublimé le roman de Barbey d'Aurevilly.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juin 2013
    Pour ceux qui ont lu et aimé le roman flamboyant de Barbey d'Aurevilly, dont ce film est l'adaptation, la déception est grande. Il y a d'abord un gros problème de casting. Fu'ad Ait Aattou est certes très beau, mais pas très bon... et surtout beaucoup trop jeune pour le rôle de Marigny, personnage qui a connu mille et une aventures avant d'épouser Hermangarde. Si Asia Argento (trop jeune elle aussi pour jouer une "vieille maîtresse") ne s'en sort pas mal (malgré un accent italien alors qu'elle incarne une femme espagnole !), ce n'est pas le cas de Roxane Mesquida (atone), Claude Sarraute (au talent limité) ou Yolande Moreau (improbable comtesse d'Artelles). Dans la bouche de la plupart des acteurs, la belle langue du XIXe siècle sonne affreusement faux. Les dialogues jaillissent artificiellement, sans spontanéité. À cela s'ajoutent des détails qui tuent, notamment lorsqu'on découvre que Hermangarde est une "fausse blonde", ou divers anachronismes, dans les costumes, par exemple. Bref, on n'y croit pas un seul instant et le spectacle frôle le ridicule.
    Visuellement, c'est du mauvais téléfilm. Il y avait pourtant matière à créer de superbes atmosphères d'intérieur. Au lieu de cela, Catherine Breillat nous sert des images et une lumière tristes à pleurer. Dans ce ratage quasi complet, ressortent cependant quelques tableaux réussis, comme l'enchevêtrement des corps de Marigny et de Vellini. Mais c'est bien peu.
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    Je n'avais jusqu'à présent vu aucun film de Catherine Breillat, peu attiré par la mise en scène de ses provocations et par son attitude lors de ses interviews ; je n'ai pas non plus lu le roman de Barbey d'Aurevilly. Pourtant, la vision de certains extraits, et la curiosité de voir ce que le cinéma français a choisi de montrer à Cannes m'ont poussé à aller voir cette "Vieille Maîtresse", premier film en costumes de Catherine Breillat. Des costumes, parlons-en ; ils sont à l'image de l'ensemble du film, un mélange d'académisme pétrifiant et de rares audaces réussies. Acteurs et réalisatrice semblent engoncés dans ces redingotes et ces robes empesées, comme ils le sont dans la langue du XIX° siècle, Catherine Breillat ayant été visiblement très fidèle aux dialogues du roman. Le début du film est épouvantablement lent et verbeux, avec des acteurs incapables de faire vivre leurs textes, à la notable exception de Michael Lonsdale.

    La caméra tente bien de mettre un peu de mouvement dans cette lecture digne du Lagarde et Michard avec des travelings neurasthéniques, mais cela reste du théâtre filmé. Et puis, il y a quelques tableaux plus réussis, et même quelques fulgurences, comme la narration elliptique de la mort de la fille de Vellini et Ryno, montré à la mode orientaliste, ou plus encore le mariage de Ryno et Hermangarde, avec des garçons d'honneur habillés comme des fraises tagada ou des pages de "Peau d'Ane", et le prêtre qui lit une épître de Saint-Paul terrifiante de phallocratie.

    A l'image de la pige de Lio chantant de Zarah Leander, ou des apparitions subliminales d'Anne Parillaud et d'Amira Casar, le casting est hétéroclite, avec une Claude Sarraute emmitouflée et affalée dont la modernité décalée ne passe pas l'écran, ou une Yolande Moreau en plein contre-emploi dans le rôle de la Comtesse d'Artelles. Quant à Asia Argento, elle joue la folie possessive comme si elle était dans un film de son père, et sa diction n'est pas toujours compréhensible.

    Le plus intéressant est peut-être le jeune Fu'ad Ait Aattou, qui a tapé dans l'oeil de Catherine Breillat par sa féminité non effeminée. Alors qu'Asia Argento incarne une brutalité virile, fumant le cigare et se déguisant même en homme pour assister à un duel, lui aussi joue l'inversion des genres avec sa bouche sensuelle, sa démarche gracile et sa suavité. On ressort de ce film avec l'étrange impression d'avoir vu quelque chose de très disparate, tant du point de vue de la narration, du jeu des acteurs et peut-être surtout du rythme, et d'avoir seulement effleuré, et trop rarement, ce que le film aurait pu être, un "Valmont" du début du XIX° siècle.
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2012
    Breillat filme une histoire de passion de façon dépassionnée, pourquoi pas. Elle a choisit un beau couple d’amoureux, le reste je reste un peu indécis. Casting discutable, des acteurs de la trempe de Lonsdale ou Moreau vraiment sous employés, ou d’autres mauvais comme Sarraute. Les costumes sont beaux comme si seul comptait le décor qui fait « historique » mais pas l’action, son couple de « jeunes premiers » est agréable à regarder, le reste, Breillat ne s’attarde guère. Les scènes de groupes sont très schématiques, trop minimalistes pour faire effet, sans charge émotionnelle, reste les dialogues quand même grotesques, des dialogues littéraires passés à l’exigence du récit cinématographique, et dits avec un sérieux ampoulé, cela fait toujours bizarre. Une image cadré très serré, un espace clos, mental, qui se joue du vide mais qui ne laisse que peut de place à l’imagination. Finalement on va trouver cela très long, le comble pour une passion amoureuse brûlante comme elle est censée l’être.
    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juillet 2012
    Je me demande toujours ce qui m'a pris de regarder ce film, peut-être une forme de masochisme latent. Déjà je n'aime pas du tout Barbey d'Aurevilly qui avec une prose ampoulée et des récits qui tournent très vite en rond arrivait à rendre ennuyeux des sujets aussi piquants que l'adultère, la perversité en amour, l'obsession du sexe, etc... On est à mille lieues de l'écriture troublante et puissante d'un Pierre Choderlos de Laclos. Ensuite je trouve qu'Asia Argento s'exprime aussi bien en français qu'un élan afghan et a autant de talent qu'un orang-outan constipé. Alors si vous mettez en plus une réalisation hyper-figée avec une overdose de dialogues indigestes à faire passer du Rohmer pour du Mankiewicz, un acteur aussi charismatique qu'une décharge de 220, des costumes qui ont l'air d'être tout droit sorti d'une vieille malle sans avoir jamais servi jusqu'ici et des seconds rôles ridicules. Être masochiste en amour pourquoi pas mais en cinéphilie il vaut mieux s'abstenir sous peine de virer un peu trop souvent dans les bras de Morphée.
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