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    On achève bien les chevaux
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    65 critiques spectateurs

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    this is my movies
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    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 août 2016
    (...) Sydney Pollack filme tout d'abord cette longue enfilade de personnes qui s'inscrivent pour le concours. Bien sûr, les organisateurs refusent d'entrée de jeu les participants un peu trop malades ou souffrants, ceci dans le but évident d'éviter un décès et un éventuel procès voire tout simplement un scandale qui obligerait le promoteur à mettre la clé sous la porte. Les règles du jeu sont expliquées et nous voilà partit pour un long défilé de couples qui se dandinent, rythmés par une pause de 10 minutes toutes les deux heures afin de se reposer voire de se laver. Les candidats peuvent également se restaurer avec un buffet qui arrive de temps en temps. Bien sûr, nos pauvres bougres ne se font pas prier et se ruent littéralement dessus, dévorant, engloutissant, mâchant à peine ce qui se présente sous leurs yeux. Une horloge tient le compte des heures et du nombre de couples restants sur la piste. Quand au public, car oui, il y en a, il paie l'entrée cinq cents, se voit nourrit à l’œil lui aussi et assiste bien peinard à se show pas comme les autres. Poussés par le désespoir, les couples dansent durant des heures entières, repoussant leurs limites, tenant le coup durant des jours et des semaines, poussés par l’appât du gain et l'espoir d'une vie meilleure. Ils peuvent aussi se voir sponsoriser par des membres du public. (...) Le film nous pousse sans cesse à nous questionner, à nous interroger sur ce que l'on voit, au fur et à mesure que les rouages cachés de ce triste spectacle nous sont dévoilés. Si au début, on peut se laisser prendre au jeu, d'essayer de deviner qui va gagner le concours, quel personnage va craquer, on en a très vite plus rien à faire et on attend qu'une chose : que le calvaire se termine. Le film n'est pas ennuyeux, non, jamais, bien au contraire. A la fin des années 60 et durant les années 70, le but n'est pas de faire un cinéma ludique, qui joue avec le spectateur et flatte son ego mais bel et bien d'éveiller les consciences, de faire travailler son cerveau tout en triturant ses tripes. (...) Au rayon mise en scène, Sidney Pollack, qui en est alors au début de sa carrière, est incroyablement inspiré. Comme la plupart des cinéastes, il a eu tendance à épurer son style, devenant peu à peu un cinéaste classique, à la mise en scène presque invisible voire sans personnalité. Mais là, il n'hésite pas à faire des cadres cassés, multiplier les points de vue et surtout, il signe des séquences de courses immersives. Le cinéaste a d'ailleurs filmé la plupart des plans lui-même en se juchant sur des rollers et en suivant les mouvements des acteurs, signant des vues subjectives bluffantes, rendant le chaos palpable. Les éclairages sont également parfaitement rendues et le film conserve un look assez particulier, avec son image un peu sale, rendant là aussi avec beaucoup de force la crasse ambiante. Quand aux acteurs, ils sont très bons et assez attachants dans des rôles pourtant peu évidents. La critique complète ici
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    217 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2016
    Réflexion sociale sur les années de la Grande Dépression et le cynisme des marchands de rêve, ce film de Sydney Pollack oscille entre virtuosité formelle et un certain académisme, notamment dans la prestation des acteurs. Poussant le concept jusqu'à l'extrême, il en expose toute l'absurdité sans fard, avec un luxe de détails pour refléter la déchéance des êtres. Un peu longuet et un tantinet répétitif, le film vaut quand même largement le coup d’œil.
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    43 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2014
    J'ai trouvé le scénario très original, mais aussi consternant, violent. On voit bien ce qu'il y a de pire chez l'homme à travers ce «spectacle» de danse immonde et inhumain : pendant tout le film se côtoient cupidité, sadisme morale et physique, ainsi que voyeurisme morbide (le public et les animateurs s'en donnent à cœur joie !). Plus le film avance, et plus les participants sont «zombifiés» et ne sont que l'ombre d'eux-même à l'autel de la mort... ce qui fait peine à voir, et pousse encore loin le sadisme de la chose (la compétition, pour l'appât du gain). Un film où on sent surtout la force et le jeu dramatique de Jane Fonda.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    Magnifique titre pour un moins magnifique film. Pourtant ça commence bien avec ce gars qui ne sait pas quoi faire de sa vie, et qui se trouve propulsé sur une piste de danse, qui ressemble plus à une arène qu’à un dancing. Ensuite c’est une longue agonie, des couples qui dansent jusqu’à l’épuisement, seuls le dernier couple qui restera debout gagnera le pactole. Ça tourne vite en rond, malheureusement. Le personnage principal, est très pâle, c’est peut-être un choix, mais ça ne relance pas le film, on finit par se demander ce qu’il fout là. Le plus intéressant c’est le speaker qui encourage tout le monde à danser, danser, jusqu’à plus soif, vendeur, bonimenteur, meneur d’hommes, on dirait un contremaître dans un champ de cannes à sucre. Sauf que Pollack ne fait pas de choix clairs. On ne sait pas s’il critique le capitalisme sauvage, apparemment, non, mais en même temps, il dépeint le présentateur, une sorte de Michel Drucker véreux, sous les traits de quelqu’un de cynique et manipulateur. Il a une mise en scène de l’évitement. Décrire les souffrances des couples sur la piste serait racoleur, en même temps comme c’est un jeu, personne ne les a demandés de venir se ridiculiser, leur douleur est seulement un spectacle. Ils sont poussés là par la misère ? Peut-être ? Les couples sur la scène n’ont aucun passé, donc on s’intéresse peu à eux. Et soudain apparaît Jane Fonda, et le film s’illumine, tellement qu’on oublie tous les autres. C’est presque une erreur de casting tellement elle écrase l’écran et qu’on voit plus qu’elle. Et puis cette fin clairement racoleuse cette fois-ci avec ce cheval qui se fait « achever », c’est un peu maladroit, et c’est dommage. A mon avis il ne s’avait pas comment bien finir le film, et il a voulut frapper un grand coup et choquer. Mais c’est un peu téléphoné.
    Benjamin A
    Benjamin A

    648 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2014
    Sixième film de Sydney Pollack, « On achève bien les chevaux », adaptation du roman de Horace McCoy, nous emmène dans la Californie des années 1930 en pleine période de la « Grande dépression » suivre un marathon de danse organisé avec une grosse prime pour le vainqueur et des concurrents prêt à tout pour la recevoir.

    A travers ce récit, Pollack va aborder différents thèmes que ce soit la misère, le désespoir et l’espoir durant la grande dépression, mais aussi l’exploitation de l’homme par l’homme et surtout l’exploitation de la misère humaine à travers ces pauvres gens qui devront en venir à bout de ses périples de danses, tout cela pour gagner de quoi manger avec des organisateurs ne pensant qu’à une chose : le public, et donc vont même organiser des courses autour de la piste où les couples arrivant derniers sont éliminés…

    L’histoire est bien écrite et le déroulement est convaincant, il rend les protagonistes attachant et notamment Gloria, qui a besoin d’argent et fera tout pour rester en course, elle sera associé au hasard avec Robert, ainsi qu’Alice, une blonde extravagante et désespérée. Et au contraire, il rendra très antipathique l’animateur, qu’il n’oublie pas.

    Sa mise en scène est superbe, tout comme sa réalisation, il filme magnifique la piste de danses, avec grâce et fluidité. Il capte bien les émotions de ses personnages et nous les fait ressentir aussi, il donne une dimension intense et éprouvante à son récit.
    Jane Fonda est émouvante et les autres interprétations sont parfaites, que ce soit Gig Young (qui remportera l’oscar) ou Susannah York.

    Après « Propriété Interdite », Pollack continue son exploration d’âme américaine durant la grande dépression et il nous livre un film émouvant et intelligent, très bien joué et réalisé.
    Truman.
    Truman.

    203 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2014
    Sydney Pollack dénonce ici l'exploitation de la misère humaine sur fond d'un concours de danse géant qui devient alors un concours qui pousse les gens au delà de leur limite physique et mentale, poussant certains à l'épuisement ultime dans des états inconcevables et d'autre au bord de la folie .

    Le récit se déroule dans les années 30 durant la grande dépression et les gens du bas de l’échelle sociale se rabaissent à ce jeu machiavélique dans l'espoir de gagner quelques centimes et des repas gratuit . Tandis que les organisateurs et les spectateur se délectent de cet enfer digne d'un cirque . Les danseurs ne sont plus des hommes mais des animaux .
    Le climat est étouffant, oppressant, transpirant, rude, âpre voir écœurant, on se sent coincé et comme le personnage on veut apercevoir le soleil et de la lumière .

    Les quelques flashbacks ne sont pas super bien glissés et pas moins subtile car on comprend vite la fin de l'histoire, le rythme lui n'est pas super bien géré et l'ensemble du film parait assez long et parfois ennuyeux c'est bien la le vrai défaut du film selon moi .
    Néanmoins le message et les propos sont percutants, comme la scène finale .
    Mention spécial au titre .
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2014
    S'il fallait sauver un film de Sidney Pollack ? They shoot Horses don't they ? Et oui, tout est dit avec ce titre mémorable... Le sacro-saint capitalisme sésame de toutes les libertés et de tous les progrès, soit. Mais dès qu'il échappe au contrôle de l'Homme (comme l'ordinateur Hal à son créateur dans 2001 A Space Odissey) il devient soudain le pire des bourreaux, le plus lâche d'entre les lâches, le pus impitoyable des esclavagistes ... La vie devient alors un jeu de miroirs où chacun se croyant plus libre qu'avant n'est sans le savoir qu'un cheval de traie harnaché pour obéir, courber l'échine et abandonner en chemin toute dignité...
    Prad12
    Prad12

    77 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Critique acerbe de la société du spectacle : "Je pense que dans le cinéma c’est comme dans la vie, tout est fait d’avance, les rôles sont distribués avant qu’on vous ai vu"..... il faut pourtant bien des spectateurs.... c'est sûrement le plus ignoble du film. Jane Fonda est absolument sublime dans le rôle d'une femme ne voulant pas perdre, employant tous les moyens (la fellation avec l'organisateur) et finalement renonçant....... "On m’a disqualifié en me mettant au monde" phrase choc résumant toute l'oeuvre.
    Pete le python
    Pete le python

    2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    Propos intéressant qui dénonce la façon dont les hommes peuvent être traités comme des animaux. Film concept qui dure malheureusement trop longtemps mais qui laisse pensif quant à la condition de certains êtres humains.
    matt240490
    matt240490

    70 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2013
    On Achève bien les Chevaux, de Sydney Pollack est, à coup sûr, l'un des sujets forts que l'on ne retranscrit que trop rarement au cinéma : les marathons de danse. La règle est simple : des couples, pour gagner 1500$, doivent danser le plus longtemps possible, avec des pauses de 10 minutes toutes les deux heures. Ainsi, jusqu'à l'épuisement, en rajoutant quelques épreuves bestiales, les uns tombent après les autres, dans un spectacle que seuls les plus patients pourront observer. La fin, dure pour l'époque, ne fera que mettre en évidence la prestation d'une Jane Fonda époustouflante.
    annatar003
    annatar003

    61 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2013
    C'est sous ce titre énigmatique que se cache pourtant l'un des chefs-d’œuvres majeurs de la carrière de Sydney Pollack. "On achève bien les chevaux" est un film comme on en voit rarement et non sans raison. Adapté du roman éponyme de Horace McHoy, ce drame moderne se déroule au lendemain de la Grande Dépression quelque part sur la Côté Est des États-Unis. A une époque où le chômage fait des ravages et où la pauvreté pénètre toujours davantage le foyer des classes moyennes, il est un spectacle qui fait son apparition : Les marathons de danse. Véritables jeux de cirque qui mettent en scène des couples sur une piste impitoyable par séance de deux heures entrecoupées de dix minutes de repos, ces évènements traduisent la cruauté animale qui anime une société à qui l'on a retiré toute trace d'humanité.
    Coincé dans un huit clos quasi carcéral, la réalisation de Pollack virevolte entre travellings et caméras mouvantes qui nous permettent de ressentir autant que possible la douleur et l'épuisement des candidats. Mais le travail scénaristique ne s'arrête pas à la simple souffrance physique et va plus loin en nous communiquant symboles et sentiments au travers de personnages réalistes et forts.
    En ligne de mire on retrouve Jane Fonda dans un de ses plus beaux rôles. Changeant drastiquement de registre en interprétant une jeune femme désabusée dont les rêves ne sont plus que des souvenirs oubliés, l'actrice impressionne et nous transmet une mélancolie captivante et dérangeante. Malgré un caractère difficile du à son vécu, son personnage gagne le cœur du public en lui communiquant des pensées noires souvent esquivées par le 7ème Art. Perdus entre des aspirations hollywoodiennes et la gloire dont profitent les stars de l'industrie cinématographique, les divers characters qui parsèment la plancher de ce combat à mort se montrent tous à la hauteur de l'enjeu. Pour accompagner Jane Fonda on retrouve un exceptionnel Michael Sarazin qui sous des airs introvertis et naïfs charme par sa présence et son charisme. L'animation du show fut quant à elle réservée à Gig Young, oscarisé pour son rôle, qui représente, selon Sydney Pollack, ce qu'il y a de pire et de meilleur sous le drapeau étoilé. On notera également les brillantes prestations de Susanna York ainsi que Red Buttons dont les histoires sonnèrent le glas du rêve made in U.S.A.
    Au travers de scènes moralement choquantes, où les plus démunis ne sont plus qu'un divertissement pour les plus aisés, "On achève bien les chevaux" cerne le côté sombre de l'âme humaine avec un impact perturbant pour l'esprit même des plus avertis. C'est au fur et à mesure de l'avancement du récit que tous les éléments psychologiques se mettent en place. Tandis que la souffrance laisse place à la mélancolie, les flashbacks se transforment en flashforwards pour clore le spectacle sur une note à vous glacer le sang.
    En résumé, "On achève bien les chevaux" ne démérite pas ses neuf nominations aux Oscars de 1970, loin de là. Témoignant d'un mal que l'on retrouve encore aujourd'hui via les shows de télé réalité, l'âme du roman de McHoy fait l'effet d'un ras de marré sur l'esthétique américaine habituelle. Armé d'un pessimisme et d'une noirceur sans égal, ce saut dans le vide restera à jamais gravé dans les mémoires.
    weezlesanguinaire
    weezlesanguinaire

    56 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2013
    Un excellent film a la morale très critique . Les acteurs sont tous excellent et servent parfaitement cette histoire qui n'a presque aucun temps mort . Un film a redécouvrir ! De plus la réalisation de Sidney Pollack est très classe et mets en valeur ce formidable bijou .
    cylon86
    cylon86

    2 256 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    Sydney Pollack a parfaitement saisi l'univers d'Horace McCoy, auteur du sublime roman qu'était "On achève bien les chevaux" et s'en empare pour le retranscrire à l'écran avec une fougue palpitante et une lucidité impitoyable. Sa caméra se promène sur la piste danse avec grâce, saisissant au passage les moments d'épuisement, de désespoir mais aussi de vivacité et d'espoir. Ces gens qui dansent des jours et des semaines durant pour tenter de gagner une récompense sont des victimes de la Dépression, des déçus de l'american dream qui dansent jusqu'à l'épuisement, jusqu'à la folie, jusqu'à la mort parfois. Le décor unique de la salle de danse crée une atmosphère étouffante qui correspond parfaitement au sentiment que l'on avait en lisant le livre. McCoy et Pollack ont la même vision des choses, de cette Amérique loin d'être parfaite et qui est mise en scène (Gig Young est parfait dans le rôle du commentateur et animateur de ce spectacle qui ressemble plus à un carnage qu'à un concours de danse) pour le plus grand bonheur des spectateurs. Et les spectateurs c'est nous, pris dans l'effervescence du cours des choses comme Jane Fonda et Michael Sarrazin, tous deux touchants en couple tragique. Le chef-d’œuvre de Sydney Pollack.
    Don Keyser
    Don Keyser

    66 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2012
    "On achève bien les chevaux" est un long-métrage qui garde le spectateur en haleine dans une seule salle. Néanmoins, les quelques longueurs dans le film se font parfois trop ressentir alors que l'on s'attend à plus de danse. Toutefois, la réalisation est réussie et les acteurs sont très convainquants. De plus, le scénario est bien écrit pour intriguer le public. Ainsi, l'oeuvre amène plusieurs réflexions chez le spectateur comme la fin qui est bien complexe, tout en restant intéressant et plaisant.
    WardStradlater
    WardStradlater

    46 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2012
    Symbolique de la société du spectacle, On achève bien les chevaux se vaut être une critique d'une société de voyeurs fatigués, passant leur temps à regarder des gens tourner en rond, le tout sous les commentaires du spectaculaire illusion. Cela dit, et même si côté réalisation tout est parfait, on ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil derrière les rideaux et de s’apercevoir que le message ne tient pas la route ; Pollack ne peut pas être crédible : la société du spectacle ne peut pas critiquer la société du spectacle, tout simplement. Avec ce film, nous assistons à une critique de façade, certes juste et pointilleux, mais qui ne peut pas faire mouche.
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