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    Stalker
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    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2018
    ‘Stalker’ est peut-être une des expériences cinématographiques les plus particulières auxquelles j’ai eu l’occasion de m’adonner. Peut-être s’agit-il même d’un “film-qui-n’est-pas-un-film� mais qu’on pourrait assimiler à une rêverie métaphysique pour son auteur, un support permettant d’élaborer une réflexion aléatoire pour son destinataire. Sans remettre en question le génie visuel de Andreï Tarkovski, et ses réflexes d’aller chercher sa vérité artistique non pas dans le Nouvel homme socialiste mais dans l’Ancien homme empreint de foi et d’un mysticisme dont il était lui-même un partisan convaincu (ce qui rendit ses conditions de travail de plus en plus compliquées au sein d’un système politique basé sur le matérialisme athée), il est difficile de nier qu’à l’image de ceux d’un Pasolini, dont il partage la quête d’humanisme avec une sensibilité différente, son travail cinématographique est ardu, d’une haute exigence intellectuelle, parfois à la limite de l’hermétique ; qu’ils défie la logique d’un cinéma pensé prioritairement pour le divertissement et qu’ils devrait pour cette raison ennuyer prodigieusement la plus grande partie du public. Pour résumer ce qui tient lieu d’argument de départ, le “Stalker� doit conduire “l’écrivain� et “le professeur� au coeur de “la Zone�, en un lieu qui a le pouvoir d’exaucer tous les souhaits : les personnages ne sont pas nommés, c’est déjà un signe qu’ils ne valent - peut-être - que pour ce qu’ils représentent. On pourrait en révéler plus mais, à bien y réfléchir, ce n’est aucunement nécessaire. Si traditionnellement, ‘Stalker’ se rattache au courant Science-Fiction - le roman des frères Strougatski, ‘Pique-nique au bord du chemin’, en était, très clairement - la forme que Tarkovski lui a conféré n’en conserve plus que quelques vagues références, comme la nature de cette “Zone�, peut-être d’origine extraterrestre, peut-être détruite par la radioactivité, peut-être tout à fait autre chose : on n’en saura de toute façon rien, ‘Stalker’ n’étant pas de la race des films qui daigne apporter a moindre réponse. Dans le même ordre d’idées, il ne faut pas s’attendre à des visions du futur, des vaisseaux, des armes, des costumes ou que sais-je encore : d’un bout à l’autre de ‘Stalker’, il n’y a, en soi, rien à voir, quelques acres d’herbes folles, de ruines bétonnées et de canalisations inondées : Tarkovski étant un des cinéastes formellement les plus doués de sa génération, il parvient pourtant à conférer à ces environnements d’une banalité absolue un rendu troublant, jusqu’à rendre parfois presque “beaux� dans leur décrépitude ces panoramas de terre détrempée qui lui sont si chers. Il y a surtout que ‘Stalker’ affiche une progression d’une extrême lenteur. On peut même parler d’une forme d’immobilisme narratif puisque la narration n’est en aucun cas le moteur du film, et qu’un spectateur distrait pourrait affirmer sans honte qu’il ne s’est rien passé en un peu plus de deux heures et demi. Cette lenteur relève d’une certaine logique puisque la Zone est supposée être un lieu où les contingences physiques, géographiques et temporelles du monde sont abolies, et où la ligne droite n’est le plus sûr chemin que vers la mort. A l’instar de ses protagonistes qui prendront plusieurs jours pour parcourir quelques centaines de mètres, le film décrit un voyage interminable, où il ne se passe rien : les dangers sont sans cesse mentionnés mais rien ne vient confirmer qu’ils ont une existence tangible. D’ailleurs, le terme même de “Stalker� ne fait-il pas référence à une progression prudente, précautionneuse et discrète ? Paradoxalement, la léthargie qui pourrait guetter se trouve contrariée par une forte densité conceptuelle. A de nombreuses reprises, les trois voyageurs cessent leur progression et débattent avec animation, citent poètes et philosophes, confrontent leurs visions politiques et éthiques, se réfèrent à la bible pour tenter de percer à jour les secrets de l’endroit et leurs propres raisons de s’être lancé dans une telle expédition. Ces références, ces constats, ces pensées entreront, à un moment où à un autre, en résonance avec les propres questionnements du spectateur, et alimenteront cette réflexion, ce moment à passer avec soi-même, que recherchait Tarkovski...car c’est de l’Homme qu’il s’agit au final, de ce qui l’anime, de ce qu’il cherche à tâtons tout au long de sa vie, dans la souffrance et l’obscurité, sans être vraiment capable de l’identifier. Peu importe ce que le Stalker, l’écrivain ou le scientifique découvriront à l’issue de leur périple: même quand Tarkovski juge utile de lever un peu le voile, cela n’a qu’une valeur exemplative, un appui pour transformer l’expérience en une sorte de “Film-dont-vous-êtes-le-héros�, et dont ce sera au spectateur de définir ce qu’il lui aura spontanément inspiré et ce qu’il en aura retiré. Serez-vous sensible à la possibilité d’un lieu détaché des contingences matérielles et politique, qui rend possible une introspection objective ? Moquerez-vous la foi de charbonnier du Stalker ? Plaindrez-vous au contraire les deux cartésiens trop cérébraux pour regarder le mystère de la vie en face ? Est-ce l’allégorie religieuse (en fait panthéiste, mais on repère évidemment mieux la symbolique chrétienne) qui vous marquera en premier avec ce Stalker, figure d’humilité et de relatif désintéressement, qui se désespère de la cupidité, de l’arrogance humaine et de l’incapacité de ses semblables à être raccordés à eux mêmes, à l’écoute de leurs aspirations profondes ? Ou l’allégorie politique, puisque le lieu pouvant potentiellement conduire à l’épanouissement et au bonheur humain se trouve interdit d’accès et férocement gardé par le pouvoir en place ? Peu importe, il n’y a aucune vérité unique à retirer de ce projet brut et minimaliste, et Il est donc très difficile de définir ‘Stalker’ comme un bon ou un mauvais film : c’est un film marquant, fascinant, rebutant, une expérience à part entière, pensée et conçue comme telle dans son unicité, dont la bonne marche dépendra de multiples facteurs : même si cela sonne comme une énorme tarte à la crème, la destination n’ayant ici aucun intérêt, c’est du voyage dont il faudra tirer des agréments...mais cela variera aussi énormément en fonction du moment du voyage et du voyageur !
    janus72
    janus72

    44 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juillet 2018
    ATTENTION ! ! !
    Ceux qui voudrait revoir ce film de Tarkovski avec un déficit de sommeil risque fort de plonger dans l’abîme.
    Oui la photographie est superbe mais cela suffit-il pour crier au génie, sans bouillir ?
    Ces plans (séquences) qui durent une demi-éternité - des travellings à 0,5 km/h - ce jeu des acteurs forcément monocorde sur un scénario épais comme une feuille de Riz Lacroix pour ce long - long - trop long métrage (o2:45) "Mythique" . . . mystique... aux frontières de la lumière ou du sujet abscons ?
    Bref la ressortie de Stalker remastérisé me tentait bien tout en gardant un souvenir mitigé de Solaris.
    Alors mauvaise pioche pour moi et recharge de batterie assurée pour plusieurs spectateurs dans la salle.

    PS : Peut-être que ce film n'était finalement qu'un énorme Pub pour les verres Duralex qui ne se cassent que difficilement en tombant de la table . . . ?
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juillet 2018
    Stalker est un film bien étrange.
    Il vaut mieux s'accrocher au début car c'est assez difficile de tout saisir. L'atmosphère est très particulière (notamment par le choix de tout mettre en noir et blanc la première demi-heure du film avant de passer en couleur). Les décors sont à la fois simples et travaillés.
    Le rythme est très lent et contemplatif. À mon avis, ça ne mérite pas 2h45 ; je me suis ennuyé.
    Je n'ai pas accroché à l'atmosphère et je suis un peu passé à côté de ce film, c'est dommage.
    7eme critique
    7eme critique

    460 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2018
    Bienvenue dans la zone !
    C'est long, c'est lent, il y a beaucoup de scènes qui traînent en longueur, les dialogues sont nombreux, les décors sont beaux et seront sublimés par la photographie, le scénario est très original, l'approche l'est également, "Stalker" bénéficie clairement d'une réelle atmosphère, d'un vrai climat mystérieux, et parfois même, hypnotique. Cette aventure énigmatique dotée d'une esthétique de grande beauté (jonglant entre couleur et sépia) pourra nous rappeler le style d'un certain Iouri Norstein (un autre cinéaste russe de la même période, bien que d'animation pour sa part). "Stalker" ne laisse pas indifférent et occupera notre esprit quelques temps, tant ce film exploite de nouvelles perspectives cinématographiques (pour l'époque), laissant ainsi travailler la libre interprétation de chacun. Un voyage expérimental particulièrement original où la poésie viendra se mélanger à la philosophie. Un pilier du cinéma russe !
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2018
    Impossible de rester insensible à ce chef d'oeuvre aux ramifications multiples, dense mais lumineux, qui traite de l'espérance, de la possibilité du bonheur, de la foi, et peut-être très simplement de la puissance mystique du cinéma.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2017
    La puissance des images de Tarkovski emporte tout sur son passage. "Stalker" est un film hors du temps, unique, marqué par le terrible pessimisme du cinéaste. Perfection des plans, variations entre le noir et blanc et la couleur, recherche des sons, tout concourt à la création d'une ambiance inquiétante, l'évocation d'un monde schizophrène qui pourrait bien celui dans lequel nous vivons...
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    590 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2017
    Dans une ambiance électrique, envoûtante, hypotonique, l'histoire met en scène un lieu fantastique, fantasmagorique, la Zone. Un lieu dangereux, incompris, dans lequel une chambre réaliserait les désirs de l'Homme. Profondément réfléchie, Stalker est peut être une métaphore de la séparation de l'Allemagne, avec cet éternel questionnement : comment trouve le bonheur ?

    https://m.facebook.com/la7emecritique/
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juillet 2017
    Autant le dire tout net, le film n'est pas aimable et ne se laisse pas apprivoiser comme n'importe quel divertissement mainstream. Le symbolisme, la philosophie, la métaphore, la poésie visuelle, un refus des conventions classiques, tout cela fait que le film est assez compliqué à suivre, à aimer et à comprendre. Quoique la compréhension immédiate ne soit pas le but du film. En effet, à l'instar de Kubrick et son « 2001, l'odyssée de l'espace », le but est plutôt d'interpeller le spectateur, de balancer les questions métaphysiques et de laisser chacun y trouver sa propre explication. L'Homme remis au centre des enjeux. C'est bien normal pour un film ouvertement humaniste. Formellement, on est sans doute devant un film d'une rare beauté, filmé dans des décors comme on en avait alors jamais vu au cinéma, dans une espèce de no man's land rappelant vaguement une zone industrielle qui aurait mal tournée. La Nature a repris ses droits, l'Homme cherche des réponses et des solutions à ses problèmes quand bien même il les possède déjà, sans le savoir. Le rythme est lent, chaque action est exposée avec une lenteur qui pourrait décourager certains curieux mais pour ceux qui voudraient bien accepter le prix du voyage, la récompense pourrait être belle. Tarkovski y a mis toutes ses tripes, y laissant sa santé (c'est sur le tournage du film, à Tallinn en Estonie, au milieu de ce ramassis de relents toxiques, qu'il finira par développer le cancer qui mettra un terme trop prématuré à une carrière certes étalée sur trois décennies mais ne comptant que 8 longs métrages). Reste donc, pour l'éternité, un chef d'oeuvre qui n'aura jamais finit de questionner les voyageurs qui auront accepté cette main tendue du Stalker, qui les emmène dans cette Zone d'où on ne revient pas indemne. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    cortomanu
    cortomanu

    63 abonnés 403 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juillet 2017
    Attention film pour cinéphiles. Ne pas crier chef d'oeuvre est un pur blasphème. Trouver le film trop long et bavard c'est ne rien comprendre à la splendeur de sa contemplation et à sa poésie. Ne pas se contenter de la beauté de sa forme, image comme son, ce serait ne rien comprendre à l'art.
    Et bien alors je n'ai rien compris.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mai 2017
    Une expérience des plus profondes. Au sommaire un questionnement sur : la vanité de la recherche du bien matériel, la déshumanisation communiste, la quête du Graal pour un homme. Un grand voyage initiatique vous mettant face à vous même durant 3h.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2016
    Un pèlerinage au cœur d'un véritable paradis.
    Mené par le STALKER ( Alexandre Kaïdanovski ) accompagné par le Professeur ( Nikolaï Grinko ) et l’Écrivain ( Anatoli Solonitsyne ), trois hommes que tout oppose.

    spoiler: Vue comme un mystagogue par le Professeur et un truqueur par l’Écrivain.

    Qui est réellement le STALKER ? Qu'est-ce que la " Zone " et ses origines ?

    Une véritable oeuvre d'art, à voir absolument.
    Scorcm83
    Scorcm83

    88 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    Considéré par beaucoup comme le chef d'oeuvre de Tarkovski, *Stalker* est un film véritablement impressionnant en tous points. En terme de mise en scène, le film fascine, en terme d'écriture, le film divise. Deux parties sont distinctes, la première concerne le voyage, la seconde concerne l'arrivée au lieu tant désiré. Et cette seconde partie se révèle extrêmement philosophique, nous sommes plus dans la métaphore que dans le réalisme, posant des questions existentielles à travers les questionnements inhérents aux trois personnages représentant différentes castes de la société.

    Vu il y a quelques années, je ne me risquerai pas à faire une critique plus approfondie, mais une chose est sûre, celui ci m'a marqué et je le reverrai prochainement pour me faire un avis définitif.
    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2016
    Critiques hystériques, du genre "le meilleur film de tous les temps"!! D'un ennui terrible. Des gens s'enfuient.. L'image est étonnamment moche,, science fiction sans grand intérêt, propos façon caricature de Dostoïevski, Dieu, l’âme, etc. Il ne manque que "La sainte Russie" . Bref, si c'est un chef d’œuvre, passé à côté! Stupéfiant.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    80 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Vaste odyssée ontologique où se confrontent matérialisme et croyances. En conjuguant surréalisme, métaphysique et onirisme, Stalker sonde les âmes de ses excellents protagonistes et celle de ses spectateurs. Un récit humaniste mis en proses par la magistrale grammaire cinématographique d’Andreï Tarkovski et l’excellente composition d’Eduard Artemiev. La mise en scène du maître russe transcende l’espace visuel, le déforme et créé un espace spatio-temporel spécifique où l’imperceptible devient visible. Plus de détails sur notre blog ciné :
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    163 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Que viens-je donc de voir? Un oiseau? Un avion? Non... C'est Stalker, film culte d'Andreï Tarkovski ! Reconnu comme étant l'un des plus grands films russes, je ne pouvais y (re)passer à côté, sachant qu'à l'époque moi et ce genre de films... Ca faisait deux ! Sorti chez nous en 1979, ce film long de 163 minutes nous fait suivre 3 personnages dont on ne connait pas les noms ; l'un est écrivain, l'un est professeur et l'autre est le Stalker, un guideur d'hommes pour les mener à une zone pour leur faire exaucer les vœux qu'ils souhaitent ; après avoir pénétrer dans la zone interdite, ils rentreront dans une chambre mystérieuse et c'est en gros là ou angoisse, doutes et fatigue vont mener à bout les personnages. D'abord, on constate dès le début que le film est très, très lent (ce qui m'avait rebuté d'ailleurs à l'époque) alors que tous ceux qui n'ont jamais vus le film ne s'attendent pas à beaucoup de dynamisme : non, ici c'est métaphysique et contemplatif, Tarkovski y présente des plans très soignés et esthétiquement magnifiques. Il prend son temps pour nous montrer une histoire qui parait pourtant simple et jouant avant tout sur chacune des réactions des personnages spoiler: (crainte et potentiel danger de voir son désir exaucé avant d'entrer dans la Chambre, disparition du charriot menant à la Zone représentant l'allée sans retour possible ou encore désespoire de devoir accomplir son devoir y sont évoqués),
    qui sont ici tous deux réunis à cause de leur devoir (sauver ses enfants malades pour le stalker, être inspiré pour l'écrivain et faire une grande découverte pour le professeur) et nous fait surtout poser des questions sur eux. Chacun doit avoir vu le film pour se forger son propre point de vue. Ensuite, les dialogues qui constituent 3/4 de la bande-son du film sont eux-aussi très simples mais au message complexe et remplis de sens philosophiques. Je trouve aussi la scène finale très belle en ce que le miracle, sans cesse annoncé par le film, spoiler: n'intervient finalement pas dans la chambre des désirs mais via la gamine, qui fait bouger le verre
    : les miracles (donc une forme d'espoir) seraient possibles pour ceux qui y croient. L'autre bande-son du film, la musique d'Edward Artemiev (entre autre "Meditation") qui colle parfaitement aux émotions des personnages et renforce le côté sombre des décors, très froids (ça fait limite penser à du noir et blanc momentanément). Par contre, ce n'est pas un film super accessible, moi-même je n'ai pas compris certaines scènes, comme les scènes oniriques qui sont assez abstraites. Le genre de film culte, space et inaccessible qu'il faut voir pour se forger son propre opinion.
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